Vous avez raison, Desperado, le viol et l’inceste ne sont évidemment pas significatifs d’un quartier en particulier, et les pervers se trouvent aussi bien en ville que dans les campagnes ou les résidences huppées.
Je faisais simplement allusion aux initiatives qui ont été prises, ici et là, dans des lycées pour amener un dialogue entre les filles et les garçons sur la notion de respect, dialogue qui, en certains lieux, n’a pas hésité à aborder la question du viol et des « tournantes ».