Saint-Paul disait que l’homme de bien est esclave de la justice alors que l’homme de mal est esclave du péché. Il y a d’autres esclavages comme celle aux drogues, a la malbouffe ou aux exces de corps, la pollution. Ce qu’il faut choisir est le bien car c’est la sa plus grande libération. Aujourd’hui nous savons ce qu’il faut pour faire le bien ; les médias nous le rappelle a chaque instant. Dieu nous a donné une loi, les dix commandements et un fils pour nous montrer la voie. Tout le reste est accessoire. L’homme nouveau de Marx n’est pas mort, il n’est qu’endormi et il triomphera de tous les autres modes de pensée.
Pierre Boisjoli
Celui qui est oint de Dieu