Bonjour, Henri.
Une question reste posée, qui n’est curieusement pas abordée par les médias : Accoyer avait-il tout simplement le droit d’interrompre les « explications de vote » ? Et en vertu de quels articles règlementaires ?
Car on peut s’interroger : soit il en avait le pouvoir et l’on se demande pourquoi il a laissé s’engager ce marathon dont on savait dès le départ qu’il se terminerait 12 ou 13 heures plus tard, soit il n’en avait pas le pouvoir et les élus de gauche seraient alors fondés à réclamer l’annulation du vote au motif qu’il est censé avoir pu être faussé par la censure des explications de vote.