Je n’ai rien contre la liberté si elle est adossée à la vertu. En revanche, je suis contre si elle est adossée au vice, car, tôt ou tard, par la force des choses, elle sera réduite. (... Elle se trouva fort dépourvue lorsque l’hiver fut venu).
L’accroissement de liberté est le produit naturel d’une société aux moeurs apaisées.
La liberté n’est pas un moyen de la prospérité, c’en est une conséquence.
Vouloir proclamer la liberté par la loi est absurde.