Comme Alpo
Obama va entamer une campagne électorale et a absolument besoin de l’appui de l’AIPAC
Netanyahu n’a aucune marge de manoeuvre
"Il se
maintient au pouvoir à la tête d’une fragile coalition appuyée sur
plusieurs petits partis d’extrême droite . Il ne peut que répéter son
refus d’un gel des constructions à Jérusalem-Est. Lors d’une visite à
Washington en mars dernier, il a d’ailleurs redit dans ses grandes
lignes le credo selon lequel « Jérusalem n’est pas une colonie de
peuplement, mais la capitale d’Israël ». Et même si le ton est plus
dur, il n’est pas éloigné, non plus, de la position sur ce point de la
plupart de ses prédécesseurs depuis 1967, qu’ils soient travaillistes,
du Likoud (droite) ou de Kadima (centre-droite).«
....Même si »la
chef de l’opposition, Tzipi Livni, a accusé M. Netanyahu de faire «
payer un prix trop élevé à l’État hébreu pour sauver sa coalition et
assurer sa survie (politique) », en se mettant à dos le président
américain. « Le Premier ministre a porté atteinte sans nécessité
impérieuse aux relations entre Israël et les États-Unis. Il a ainsi mis
en danger la sécurité d’Israël et son pouvoir de dissuasion », a
déploré la dirigeante du parti Kadima."
En Israël, une vraie régression est dénoncée et des appels pressants se manifestent.