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Accueil du site > Tribune Libre > Portraits d’Islam (1) : Mahomet, le Conquérant de l’Arabie

Portraits d’Islam (1) : Mahomet, le Conquérant de l’Arabie

Voici quelques temps déjà que j’envisageais de publier un article sur l’Islam. Différents événements me poussaient en ce sens : d’abord, et de façon très personnelle, un regain d’intérêt pour cette religion qui fut, pour ainsi dire, ma matière principale au cours de ma dernière année d’études supérieures ; ensuite, des commentaires, lus ici ou là sur des forums, y compris sur Agoravox, ou entendus, dans la rue, au supermarché ou ailleurs. Commentaires rarement élogieux, parfois clairement racistes, et tous frappés du sceau, peu glorieux à mes yeux (sans doute est-ce là mon côté conservateur), d’une croyance ignorante (presque un pléonasme). Et de ce fait, enfin, l’envie de pourfendre cette croyance ignorante, quand bien même ce ne serait qu’un coup d’épée dans l’eau ; elle et ses maudits rejetons que sont les opinions, auxquelles on doit donc en tout état de cause opposer la connaissance.

Néanmoins, un seul article n’y aurait pas suffi. Comment décrire la complexité de presque un millénaire et demi d’histoire d’une religion aux multiples branches et facettes, éclatées en multiples groupes, tendances ou sectes n’ayant parfois que bien peu de rapports entre eux, sauf à tomber dans cette simplification qui constitue l’ennemie irréductible de toute connaissance et de tout effort intellectuel ?

C’est pourquoi j’ai choisi de présenter la chose différemment. Au cours des prochaines semaines, je vais tenter, à travers six portraits différents, de brosser celui de l’Islam. Non pas un portrait monolithique, s’achevant sur une quelconque sentence, ni même sur un simulacre de non-lieu qui exempterait les musulmans de toute critique ; mais plutôt un portait éclaté, à facettes, chronologique, marchant sur les pas de ces différents personnages -sept en tout- pour retracer et raconter l’histoire d’une religion, entre grandeur et décadence, entre lumière et ténèbres.

Mais quid du choix de ces hommes -car oui, Mesdames, il s’agira exclusivement d’hommes, n’y voyez aucune offense- me direz-vous ? Je confesse par avance qu’un certain nombre ont été choisis de façon totalement arbitraire, leur parcours personnel ne constituant qu’un prétexte à l’évocation de faits ou d’idées majeurs de leur époque, bien qu’ils marquèrent tous, d’une façon ou d’une autre, l’histoire de l’Islam. A une exception près, la volonté qui était la mienne de demeurer centré sur ce qui constituait le coeur même de cette religion me contraindra à me limiter à l’évocation d’un Islam arabe et sunnite, tout en m’efforçant d’en tirer des leçons plus universelles.

Toutefois, le choix du premier protagoniste de cette série de portraits ne posait guère de difficultés ni ne soulevait de grande interrogations. À tout seigneur, tout honneur, dit-on, et comment prétendre parler de l’Islam sans évoquer son Prophète ?

Et pourtant, cette déférence obligée vis-à-vis du fondateur de la religion musulmane se doublait d’une nécessité actuelle. Car comment oublier la description au vitriol, régurgitée en 2006 par Robert Redeker dans les colonnes du Figaro ? « Chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame », écrivait-il alors, récoltant injures et menaces de mort... les premières compréhensibles, les secondes, je le précise afin d’éviter tout équivoque, répréhensibles et condamnables. Sans doute était-ce le droit inaliénable de M. Redeker que d’écrire cela, bien qu’à mes yeux son devoir inaliénable, en tant qu’universitaire, eut été de faire preuve de davantage de sagesse et de mesure. Non pas pour s’épargner la hargne des fondamentalistes, mais par goût de la vérité.

Le prédicateur de La Mecque

Né en 570 (date retenue par les historiens) dans une famille d’ascendance noble, orphelin à l’âge de six ans, Mahomet (je conserve cette retranscription de son nom afin d’éviter l’anglicisme Muhammad) fut recueilli par son grand-père, puis par son oncle Abu Talib, un caravanier qu’il eut l’occasion de suivre dans ses voyages jusqu’en Syrie. Plus tard, vers l’âge de vingt-cinq ans, il épouse Khadija, une riche veuve dont il gérera les intérêts. Mais ce n’est qu’une quinzaine d’années plus tard, vers 610, que Mahomet aurait reçu ses premières "révélations", attribuées par des versets tardifs du Coran à l’ange Gabriel, et il attendit encore quelques années avant de se lancer dans une prédication publique : de 614 à 622, annonçant l’imminence du Jugement dernier, il n’aura de cesse de convaincre ses compatriotes mecquois de rejeter les divinités païennes pour se tourner vers le Dieu Unique, et réussira au bout de ces huit années à constituer autour de lui un noyau dur d’une centaines de fidèles. Malheureusement pour lui, ses prêches lui valent également bon nombre de railleries, puis l’hostilité pure et simple de nombreux habitants de La Mecque, notamment parmi la classe dirigeante qui redoutait sans doute de voir le prédicateur isolé se muer en un chef politique de premier plan.

Aussi bien cette hostilité se manifesta-t-elle avec toujours davantage de régularité et de force. Les disciples de Mahomet, quelle que fût leur extraction sociale, furent soumis à des pressions, notamment économiques, au point que certains s’exilèrent dès 616 en Éthiopie. Mahomet résista quant à lui aussi longtemps que ses ressources le lui permirent, mais l’année 619 fut un coup dur pour lui : ayant perdu consécutivement son épouse et son oncle, tous deux constituant pour lui et pour l’oumma naissante des soutiens indispensables, il fut contraint à l’exil en 622. Ce fut l’épisode de l’hijra, l’hégire, l’"expatriation" qui conduisit Mahomet et les siens de La Mecque à l’oasis de Yathrib, la future Médine et autre Lieu Saint de l’Islam, en même temps qu’elle marquerait le début du calendrier musulman.

Elle marquait aussi la fin de la première partie de l’existence de Mahomet, sa période mecquoise, ouvrant du même coup un nouveau chapitre. À cinquante ans passés, celui qui derrière les murs de La Mecque n’avait été qu’un prédicateur devint, du fait même de la composition, hétéroclite et fragile, de la toute nouvelle "Communauté des Croyants", un chef politique et militaire.
 

Le seigneur de Médine

Chef politique, car il était le seul à pouvoir jouer le rôle d’arbitre, susceptible de garantir l’équilibre entre les différentes composantes de cette communauté : musulmans mecquois chassés de leur ville, bédouins de Yathrib convertis et clans juifs "associés" aux destinées de la nouvelle entité, prémisse de l’État musulman à venir. À cette fin fut rédigé un document connu sous le nom de "Constitution de Médine", qui définissait non seulement les droits et obligations de chacun mais aussi les contours de cette oumma : un bien commun supérieur aux entités qu’elle coiffait, comme un embryon de République au coeur du désert, certes confessionnelle, mais non exclusive. Et les nouveaux versets ajoutés au Coran à cette période s’intéressaient de près aux règles qui devaient régir la vie, publique et privée, des Compagnons du Prophète, établissant de nouvelles règles concernant le culte, bien entendu, mais aussi le mariage, la répudiation et la polygamie, les règles successorales, le commerce. Le texte devint donc Code civil, mais aussi Code pénal : crimes et châtiments furent ainsi définis, établissant au-delà de la religion un corpus juridique à même de garantir la concorde civile de l’oumma.

Mais dans le même temps, Mahomet devint également un chef militaire : de fait, il conservait une amertume particulière de l’exil auquel les autorités de La Mecque l’avaient contraint, et cette amertume nourrissait son ambition de reconquérir sa ville natale. Par ailleurs, les Médinois ne disposant que de peu de ressources propres, et le trafic caravanier étant toujours entre les mains des Mecquois, Mahomet se retrouva, effectivement, dans l’obligation d’avoir recours au pillage, dans le double objectif de gêner le commerce des Mecquois et de récupérer une part de leurs profits à son propre avantage. Et il fut un commandant avisé et efficace : ainsi, en 624, à la bataille de Badr, les Médinois vinrent à bout d’une soldatesque mecquoise largement supérieure en nombre. D’autres affrontements eurent lieu, et la situation demeura relativement indécise jusqu’au moment où les Mecquois décidèrent d’assiéger Médine, en 627.

Au cours de ces trois années séparant Badr du siège de Médine, Mahomet renforça son pouvoir, cependant que son attitude envers les juifs changeait. Mais loin d’alimenter l’image de "massacreur de Juifs" décrite par Robert Redeker, l’hostilité grandissante de Mahomet envers les clans juifs répondait surtout à une logique politique, le premier doutant de la loyauté des seconds, dont certains s’étaient joints aux Mecquois. Certains furent expulsés de Médine, d’autres virent leurs hommes exécutés jusqu’au dernier. De fait, impitoyable, Mahomet le fut sans aucun doute, et à partir de cette époque le divorce fut consommé entre musulmans et juifs : les fidèles se tourneraient désormais vers La Mecque, et non Jérusalem, au moment de la prière, et le jeûne du ramadan remplacerait les dates du jeûne juif pourtant choisi dans un premier temps comme référent. De là à voir en Mahomet la préfiguration d’un antisémitisme à vocation homicide, un croisement d’Adolf Hitler et d’Oussama Bin Laden, un nazislamiste avant l’heure, il y a un pas gigantesque que la rigueur intellectuelle ne permet pas de franchir.

Le siège de Médine, dont la conclusion est connue sous le nom de "Bataille du Fossé" (allusion au fossé que les Médinois creusèrent pour défendre leurs possessions), marqua le début du triomphe de Mahomet. En 630, plusieurs milliers de Musulmans entreprirent d’occuper La Mecque, et cette même année 630 vit Mahomet entrer en vainqueur dans le sanctuaire de la Ka’ba et y briser les idoles païennes. Deux ans plus tard, en mars 632, il accomplit le Pèlerinage, dans son intégralité, et, comme si cet événement marquait la fin de la mission qui lui avait été assignée, mourut trois mois plus tard.

Moins de dix ans furent donc nécessaires à Mahomet pour imposer l’Islam à l’Arabie tout entière, usant à la fois de persuasion et de force pour obtenir la conversion des principales tribus, tout en accordant aux non-musulmans, qu’ils fussent chrétiens ou juifs, le statut de "tributaires", protégés dès l’instant où ils s’acquittaient de l’impôt prévu. Prophète, créateur d’une nouvelle religion, il fut également législateur, et les règles qu’il instaura allaient bouleverser durablement le paysage, politique et juridique, du monde arabe, et même au-delà.

Et c’est en vain qu’on attribuera à l’Islam une incompatibilité avec la laïcité, la séparation des pouvoirs, la démocratie ou la citoyenneté. Le refus de la séparation du spirituel et du temporel fut, du temps de Mahomet, davantage le fruit des faits et de la situation politique arabe, puis après sa mort, de la pratique, notamment avec l’instauration du califat, que la conséquence délibérée d’un Islam "englobant", véritable idéologie à tendance totalitaire. L’Islam de Mahomet était mouvement : il donnait aux femmes un statut alors même que l’Arabie préislamique ne voyait en elles que des objets. La logique aurait voulu que les successeurs du Prophète poursuivent sur cette lancée, confèrent à la femme musulmane toujours davantage d’indépendance et de droits. Là encore, ce fut la pratique qui figea le texte du Coran, en certains temps et lieux, alors même qu’ailleurs, en Tunisie ou en Irak par exemple, les États amendaient les règles pluriséculaires, voire, comme dans le cas de la Turquie, allaient encore plus loin, adoptant de nouveaux corpus de règles, non pas conformes à la lettre du Coran, mais sans doute en accord avec son esprit.
 

Frédéric Alexandroff


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302 réactions à cet article    


  • abdelkader17 3 novembre 2009 15:12

    @Bonjour
    c’est une transcription assez fidèle des nuances du personnage central de l’islam et des conditions de naissance et d’établissement de cette religion, bien loin des clichés réducteurs voulant nous présenter cette religion comme la survivance d’un fanatisme antérieur.
    Je vous souhaite beaucoup de courage face à l’hostilité que vous risquez de rencontrer dans votre tentative d’explication et de reconnaissance du fait religieux musulman.


    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 16:22

      Bonjour Abdelkader17, et merci de votre commentaire. Il n’était pas facile de livrer un condensé de la vie de Mahomet et en même temps, il me fallait éviter de transformer mon article en opuscule de cent pages (on y est vite, avec ce genre de personnage).

      Pour le reste, l’hostilité fait partie intégrante de ce genre de cette démarche. Il est toujours délicat de vouloir mettre les gens face à l’inanité de leurs opinions, opinions que Hobbes définissait comme le fruit de processus de réflexion interrompus avant leur terme. Au bout de cette série de portraits, j’espère voir certains de ces procesus relancés. Et tant pis pour ceux qui préfèreront camper sur leurs positions dépourvues de fondement.

      Cordialement,

      Frédéric Alexandroff


    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:37

      Reprenons point par point :


      « L’islam de mohamed... »vous en connaissez d’autres ?

      Oui, plein : le hanafisme, le hanbalisme, le malikisme, le chaféisme, le chiisme duodécimain, le soufisme, les druzes, l’Islam Noir influencé par les pratiques animistes. L’Islam n’est pas monolithique, très chère.


      Dommage que, contrairment aux autres sociétés, les musulmans n’ont pas su faire évoluer la leur pour donner aux femmes l’EGALITE !
      Ce statut de la femme pour Mohamed est celui de demi-humaine (son témoignage devant un tribunal islamique vaut la moitié de clui d’un homme, et elle reçoit aussi une part d’héritage moindre que les fils), hors aujourd’hui TOUTES les autres sociétés et civilisations les considèrent comme égales à l’homme.
      D’ailleurs, la déclaration des droits de l’homme, comme les lois française, européenne et onusienne, interdit toute discrimination sur le sexe.
      L’Islam est donc en opposition avec les droits de l’homme, et il appartient aux musulmans de le faire évoluer.


      Marrant, ça... moi qui croyait que les femmes gagnaient en France toujours moins que les hommes. Egalité, dites-vous ?
      Plus sérieusement, et là je serai d’accord avec vous, l’Islam, de façon générale, n’a pas vraiment su évoluer en la matière, encore qu’il faudrait distinguer selon les aires géographiques. Là encore, c’est l’un des points que je m’efforçerai de traiter par la suite.


      Ou bien seront-ils obligés de comettre razzias, MEURTRES (Mohamed a tué lui-même bien des infidèles, et en a fait massacrer bien plus) et pillages pour s’imposer ?
      Aux dernières nouvelles, c’est la voie qu’ils ont choisie.
      Au grand malheur de l’humanité, qui se voit obligée de lutter pour des idées que TOUS, hormis les islamistes, partagent.
      Mais votre texte, auteur, déclarant haut et fort qu’il est naturel de commettre des crimes pour imposer ses idées, que pensez-vous qu’il va se passer lorsque la majorité humaine s’opposera à l’invasion islamique imposée par le coran (La terre ne connaîtra la paix que lorsqu’elle sera entièrement soumise à la charia, dit ce coran) ?


      Hum... les Croisades, ça vous parle ? La conquête de l’Amérique du Sud par les Espagnols ? La violence n’est pas réservée aux seuls musulmans. C’est même le plus petit dénominateur commun de l’Humanité. Et en parlant de chose commune, j’ignore quelles sont ces valeurs prétendument universelles à tous, sauf aux islamistes. Si vous parlez des théories démocratiques des Américains pour le Moyen-Orient, je passe mon tour.



    • Big Mac 3 novembre 2009 23:08

      "Croyez le vous en savez beaucoup plus sur le sujet qu’une large majorité de musulmans eux même."

      C’est bien ça l’ennui d’une secte, c’est que les ouailles y sont moins renseignés sur leur gourou que le premier venu.


    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 4 novembre 2009 09:27

      Il nous a fallu pas mal de temps pour séparer l’Eglise et l’Etat, et par ailleurs la laïcité véritable est assez rare : la Reine d’Angleterre est chef de l’Eglise anglicane, et on peut difficilement voir dans la religiosité américaine une authentique laïcité.

      On ne brûle plus les sorcières, très juste, mais figurez-vous qu’en france on a jugé jusqu’à la fin du XVIIIème siècle des animaux, des malades mentaux voire même des cadavres.

      Pour le reste, seriez-vous prêt à miser sur la mise en accusation à venir du criminel de guerre George W. Bush ? Moi, non.


    • Big Mac 4 novembre 2009 09:36

      Au lieu de parler de bush, de Sarkozy, de multiplier les diversions, voudriez vous répondre aux questions en rapport avec votre aticle, dont celle-ci que je vous ai posée une demi-douzaine de fois sans réponse :

      1 seule femme cheftaine d’entreprise avant l’islam, 26 femme et concubines cloitrés sous leurs tentes après l’islam, ça prouverait que l’islam aurait émancipé les femmes ?


    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 4 novembre 2009 09:49

      Mon cher Big Mac,

      Pardonnez-moi, mais en principe, une question se reconnaît à l’usage de la forme interrogative et à la présence, tout à la fin de la phrase, d’un symbole cabalistique appelé « point d’interrogation ». Aussi bien toutes vos phrases consistant en affirmations ponctuées uniquement d’éructations injurieuses, j’ignorais qu’il me fallait y répondre.

      Le statut de la femme dans l’Arabie préislamique était moins bon, c’est la position traditionnelle des orientalistes. D’une manière générale, son statut juridique s’apparentait davantage à celui d’un objet, bien qu’il y ait eu des disparités entre les différentes tribus arabes, et que certaines aient pu avoir des positions plus enviables (Khadija par exemple, qui était effectivement une négociante et gérait ses affaires de façon indépendante). Mais il me semble que la situation de cette dernière était davantage une exception que la règle.


    • Big Mac 4 novembre 2009 09:58

      « Le statut de la femme dans l’Arabie préislamique était moins bon, c’est la position traditionnelle des orientalistes. »

      Auriez vous des sources et citations de ces orientalistes qui auraient émis une théorie pareille ?


    • Big Mac 4 novembre 2009 11:00

      La Jahiliya a été définie par les musulmans comme l’ère de la dépravation morale, la barbarie, et la discorde religieuse.

      Ce mythe a été fabriqué par l’islam mais la réalité contredit tant ce mythe que les musulmans en sont à censurer voire interdire les recherches qui prouvent le contraire.

      L’Arabie, tout comme beaucoup de contrées du moyen orient pré-islamiques, comprenaient en fait une population ou juifs, chrétiens et polythéistes se cotoyaient et commerçaient.

      Ainsi pour Gordon Newby, toute la péninsule arabique était colonisées par des juifs marchands, bédouins, agriculteurs, poètes, et mêms si ces Juifs parlait une version corrompue d’araméen, leur langue maternelle était l’arabe.

      La totalité des sources musulmanes attestent aussi de cette forte présence juive, et si Mahomet a massacré plusieurs tribus juives arabe, c’est bien que celles-ci existaient CQFD.

      La présence chrétienne est attesté de la même façon, et ce dans toutes les variantes du christianisme, Waraqa Ibn Nawfal, le cousin de Khadija, était prêtre ébionite, ce qui explique au passage le statut émancipé de Khadidja, statut qui loin d’être une exception était commun à toutes les femmes chétiennes du moyen orient.

      Ainsi l’auteur du présent article, ne fait que relayer la légende de la Jahiliya, un mythe musulman battu en brèche par tous les historiens et orientalistes.


    • azer 4 novembre 2009 15:23

      Bonjour,

      J’aimerais bien répondre à « Ma copine Rachel », vous avez posez pas mal de questions qui sont intéressantes. Je vais vous répondre d’une manière logique et en se basant sur les connaissances que j’ai dans ce domaine.

      D’abord vous avez dit :
      Dommage que, contrairment aux autres sociétés, les musulmans n’ont pas su faire évoluer la leur pour donner aux femmes l’EGALITE !

      Réponse : D’abord  scientifiquement la femme est différente de l’homme (biologiquement, psychologiquement....), et mathématiquement il est dénué de sens de dire que deux ensembles sont égales, l’égalité dans les ensembles n’existe pas (voir la théorie des ensembles). Tout ce que nous pourrions affirmer est que l’homme et la femme sont différents mais ils sont compatibles et complémentaires, aucun des deux ne peut vivre sans l’autre. Le mot égalité doit être employer dans certaines conditions et pas dans tous les domaines, sinon vous pouvez imaginer un jour que l’homme doit tomber enceint pour vérifier votre loi d’égalité. J’aimerais bien vous dire aussi que sociologiquement et cela personne ne veut en parler que : la loi de la liberté et de l’égalité dans le sens connu aujourd’hui est INCOMPATIBLE avec les principes de bases de la famille. Résultats : Plus de mariage et ceux qui sont mariés se divorcent. Ce sont des notions qui doivent être réviser le plus vite possible, car la société occidentale va vers l’autodestruction. Les femmes dans notre société sont devenues malheureusement des objets que l’on utilisent pour vendre d’autre objets. C’est bien dommage mais c’est la réalité. Je ne vois pas ici d’égalité mais plutôt l’infériorité, la société occidentale a changé la femme par un objet ou autrement dit être humain par un objet et souvent l’objet après son utilisation on le jette. Dans l’islam, la notion de la femme et de l’homme sont différents : ils sont tous les deux des êtres humain, mais chacun prend son rôle. Vous allez me dire pourquoi la femme cache son corps ; la réponse est très simple. Il y a deux philosophies pour l’habillement. 1- La femme s’habille pour attirer la tension des hommes et pour qu’elle apparaisse la plus belle possible. 2- La femme s’habille pour ne pas attirer la tension des hommes, mais chez elle, elle peut s’habiller comme elle veut pour attirer l’attention de son marie. La société occidentale a choisi la première, et l’Islam conseille la deuxième.

      vous avez dit : (son témoignage devant un tribunal islamique vaut la moitié de clui d’un homme, et elle reçoit aussi une part d’héritage moindre que les fils)

      Pour la première partie de ta phrase, la réponse est très simple et réside dans la biologie et la psychologie de la femme. La femme peut faire plusieurs taches en même temps tandis que l’homme ne peut pas faire ça. Par contre la concentration de l’homme pour un sujet fixe est très élevée par rapport à la femme. C’est la raison pour laquelle tu trouveras jamais une femme ’chef d’orchestre’ ou dans les chirurgies qui demande beaucoup de concentrations, et même si cela existe elles sont très marginales. C’est une collègue médecin qui m’a donné ces informations. En fait, le cerveau de l’homme est comme un ordinateur avec un seul processeur mais très puissant, et le cerveau de la femme comme un ordinateur avec plusieurs processeurs qui se communiquent (en informatique cela s’appelle la parallélisation). Donc voilà encore une fois l’homme est diffèrent de la femme, et c’est tout. psychologiquement la différence est claire quand l’homme ou la femme sont en face d’un accident. Le comportement n’est pas le même, la femme perd le contrôle plus rapidement que l’homme et cela vient de l’état psychologique de la femme qui perturbe sa concentration et donc la mémoire pendant l’accident . Pour répondre à ta question, la femme au tribunal peut facilement oublier ce qu’elle veut dire (climat au tribunal) et surtout dans des situations très délicates (meurtres par exemple) le juge demande dans certaines cas de raconter avec une grande précision la situation dont elle est témoigne. Cela demande une très grande concentration pendant le témoignage. D’autre part, parfois la femme par peur ou par pitié ou par amour pourrait ne pas donner un témoignage correct ce qui pourrait influencer sur les juges. Si la femme pendant un accident perd le contrôle, elle perd la concentration et si elle perd la concentration, elle ne mémorise pas grand chose, et si elle ne mémorise pas grand chose, comment voulez vous qu’elle soit un témoin puissant ? je répète c’est tout à fait biologique et psychologique.

      Pour l’héritage, J’ai un petit conseil, si vous ne lisez que les journaux et les revues des médias, alors changez de lecture. En effet, La femme dans l’islam et dans toutes les cultures, elle peut être une mère, une sœur, une fille, une tante, une cousine,...Dans le cas que tu as cité est quand elle est fille, c’est à dire que quand l’un de ses parent ou les deux sont décédés. Oui dans ce cas la fille prend la moitié que prend le garçon. Mais dans d’autre situation elle prend autant que l’homme et dans d’autre situation encore, elle prend plus que l’homme. Les médias parlent de ce cas particulier pour faire une généralisation tout à fait fausse et ignorante. C’est pourquoi je t’ai donné ce conseil. L’héritage dans l’islam est très important est pour le décrire il faut au moins un livre. Alors le résumé en une seule phrase, c’est de l’ignorance tout simplement. Revenons à ta question. Pourquoi das ce cas la fille prend la moitié. Le Coran traite chaque cas. Tu peux considérer le financement pour la femme comme un système d’équations dans l’islam. La solution est celle qui vérifie toute les équations, donc résoudre une seule équation est tout simplement donner des résultats faux.
      - La femme dans le cas que t’as cité prend la moitié, et le garçon prend son double (Équation 1).
      - La femme est libre de faire ce qu’elle veut avec son argent (équation 2).
      - Le marie doit prendre en charge le financement de la maison et obligatoirement de sa femme sinon, il n’a pas le droit au mariage (équation 3).
      - Le marie n’a pas le droit de demander l’argent de sa femme, même si elle est riche (équation 4)
      - Si la femme n’est pas mariée, son père qui la prend en charge, si son père n’est plus en vie c’est son frère qui prend le rôle. etc (équation 5)

      En résumé, si la femme prend la moitié, cette somme est considérée comme argent de poche, et l’homme (frère, ou marie car l’un des parents est décédé (parfois père)) prend en charge le reste. A ton avis qu’est le gagnant ? l’homme ou la femme. Mathématiquement c’est la femme : Elle garde la moitié pour elle (argent de poche), et elle partage ce que son frère ou son marie ou son père (si la mère qui est décédé) a gagné. C’est pas super ça. 

      Je pense qu’avant une critique objective il faut une connaissance solide, sinon c’est malheureusement de l’ignorance, j’ai pas envie de continuer à écrire ici pour répondre à tes idées, car ça demande à mon avis un livre.

      Lisez, apprenez, réfléchissez, raisonnez avec objectivité avant de critiquer. sinon, vous perdez votre crédibilité comme les médias.

      A.Z

        


    • fkarakaya 4 novembre 2009 17:27

      Tous les tortunionnaires d’Abu Graib et autres prisons ont été libéres !

      Quand tu dis nous on a séparés l’Eglise de l’Etat Tu parles de la France ou du monde occidental ?

      A ma connaissance en commencant par les USA bon nombre de pays dont l’ANgleterre, Hollande, Espagne ont des rois qui tire leur pouvoir de l’Eglise.

      Le PAPE a encore un pouvoir considérable : rappelle toi à la mort de Jean Paul 2 les drapeux mis en berne en FRANCE !!


      Au sujet de la femme : Ce n’est pas parce que Muhammed (je préfére ce nom original à Mahomet nom occidcental) n’était pas marié à plusieurs femmes avant de devenir prophète que ce n’était pas le cas des autres. Il suffit de lire des livre d’histoire et tu verras comment le femme était traité ! Pas de mariages, uniquement objets sexuels, aucun droit !

      Ensuite avec les guerres, le nombre d’Hommes tués certaines femmes se sont retrouvées seules et démunies. Alors l’Islam petit à petit a mis en place une régle : maximum de mariage autorisé 4 à la fois !
      Il a donné une statut à la femme (dans le couran plusieurs verset comment par muslimin et muslumates les hommes et les femmes)
      En terme de de l’application, tous les deux sont soumis aux mêmes régles. (Prières, jeûens etc..)

      LA différence est dans la nature (les femmes qui ont leurs règles n’ont aps besoin de prier ! )

      Vous parlez d’héritage : dans l’islam une femme n’a aucune obligation de subvenir aux besoisn de la famille. C’est à l’Homme seul de s’en charger. Aujourd’hui en Occident si le femme ne fait que dépenser et l’Homme que travailler, à 90 % il va la quitter !

      Donc l’héritage qu’elel va recevoir à moitié ne va lui servir que pour son propre plaisir alors que l’Homme doit subvenir à tous les besois de la famille !

      Donc il est normal qu’elle touche que le moitié !

      La première guerre mondiale, la 2eme qui ont fait tant de mort n’ont pas été déclenchés par les musulmans alors avant de critiquer quelque chose renseigner vous correctement et balayer votre porte


    • ELCHETORIX 4 novembre 2009 18:13

      @ AZER bonsoir , j’ai lu attentivement votre post qui résume clairement les droits ( en partie ) de succession de la femme dans le monde musulman , je vous remercie pour votre clarification des droits de la femme .
      R A


    • abdelkader17 3 novembre 2009 16:19

      @Thierry Jacob
      Quel constat faut il alors tirer du sionisme criminel ?


    • manusan 3 novembre 2009 16:26

      sionisme, islamisme, même combat,

      même mentalité, même finalité.


    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 16:27

      Ce que raconte Monsieur Blackwater (pseudonyme hautement révélateur) est tellement ahurissant de bêtise et si peu fondé historiquement que j’en rirais presque. Où Diable se situe votre « Empire islamique » exactement ? Parlez-vous du Califat aboli en 1924 ? Et si c’est le cas, de quel califat parlez-vous exactement ? Des Omeyyades, des Abbassides, des Fatimides, des Ottomans ? Avez-vous au moins compris l’un des termes que je viens de citer ? Dans le cas contraire, abstenez-vous de porter des jugements sur une religion dont maniféstement vous ignorez tout, et ouvrez donc un bouquin.



    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 16:30

      A Manusan,

      Ne confondons pas judaïsme et sionisme, Islam et islamisme, car il s’agit de raccourcis mentaux malheureux aux conséquences fâcheuses. Je m’efforçerai d’ailleurs, à travers les portraits suivants, de détricotter l’amalgame.

      Frédéric Alexandroff


    • abdelkader17 3 novembre 2009 16:36

      @Manusan
      Mais de quoi parles tu en faisant de telles caricatures ,il existe des mouvements islamistes de nature très différente, certains s’intégrant même dans le jeu institutionnel comme en Turquie au Liban en Palestine ou ailleurs,on ne peut globaliser et faire de ces mouvements une entité monolithique, c’est une hérésie.
      Tu es atteins d’une drôle de maladie,l’ignorance sous toutes ses formes.


    • manusan 3 novembre 2009 17:10

      Est ce que j’ai parlé d’islam et de judaïsme ?????
      c’est quoi ce raccourci accusateur infondé ???
      du genre : si vous croisez un allemand, c’est pas forcement un nazi.

      islamisme, définition : idéologie manipulant l’islam en vue d’un projet politique : transformer le système politique et social d’un Etat en faisant de la charia, dont l’interprétation univoque est imposée à l’ensemble de la société, l’unique source du droit. je ne rentre pas en détail sur la charia.

      définition du sionisme : guère mieux.

      je vous invite à prendre un dico.


    • manusan 3 novembre 2009 17:12

      sinon bon article, j’attends la suite

      le commentaire était juste pour Abdel qui a tendance à dévier tout ce qui lis vers le complot sionisme.


    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:19

      A Manusan,

      Pas de souci, je l’avais bien compris comme ça.

      Cordialement,

      Frédéric Alexandroff


    • ZEN ZEN 3 novembre 2009 18:04

      Blackwater n’a que des idées pacifiques...


    • aladin aladin 4 novembre 2009 09:47

      On décèle tout de suite les commentaires des islamophobes pour leur clichés (sionisme et islamisme=même combat) et les raccourcis (empire musulman, massacres, tatati-patati,momo, concubine).

      Le sionisme qui n’est qu’une forme de racisme, comme l’antisémitisme des nazis et l’islamophobie des néo-nazis, n’a pas, a ce que je sache été abordé ou mentionné dans cette première partie du portrait du prophète Muhammad, alors pourquoi faire des commentaires hors sujets, si ce n’est la preuve des préjugés, des clichés et des stéréotypes.

      Considérer le quart de l’humanité comme des incultes lobotisés est une insulte à l’intelligence humaine.



      L’article dépeint beaucoup plus Muhammad, le leader militaire que Muhammad le Messager de Dieu. Cela ne rendra pas compte de la réalité du personnage qui apparaitrait comme agissant de son propre chef, alors qu’un Messager ou un Prophète, ne fait qu’obéir à une inspiration Divine. Tout le drame des occidentaux est là. Lorsqu’ils parlent de Jesus ils le voient en Dieu, alors que pour nous musulmans, c’est un homme. Lorsqu’ils parlent de Muhammad ils le voient en homme ordinaire, alors que pour nous il est avant tout un Prophète.


    • aladin aladin 5 novembre 2009 12:45

      @blackpipi
      « L’empire islamique se fissure ici et la car les peuples conscients de leur histoire en ont assez ( »kabyle,..etc..

      Empire ? vous voulez dire "communauté ?

      ça fissure grave depuis que black pipi s’est converti au racisme anti-musulman ?

      la preuve le hit parade du top-religion aux NAtion Unies le confirme.
      Cette religion caracole largement en tête de toutes les autres ?


    • sentinelle 3 novembre 2009 16:20

       ;@ l’auteur

      un article rare comme j’aimerai en lire....felicitation et merci

      attention la horde va debarquer....backmerdier en tete


      • Le péripate Le péripate 3 novembre 2009 16:35

        Intéressant et ambitieux. J’aimerai savoir à peu près quels sont les sources sur ces évènements, et si elles sont unanimes et crédibles.
        Ensuite je suis surpris de voir l’argumentation prendre le pas sur le factuel, et parfois de manière pour le moins abrupte : tout de suite après avoir dit que Mahomet légifère, vous dîtes que le spirituel et le temporel sont séparés en Islam, et suit une digression sur le statut de la femme. Tout cela est contradictoire, j’en tirerais plutôt la conclusion que puisque le chef spirituel légifère, il n’y a pas séparation laïque. A comparer avec la devise paulinienne « rendez à César ce qui etc.. »
        Sur ce point, il semble que vous ayez quelques cartouches avec le califat, si j’ai bien compris ?


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 16:49

          Bonjour Péripate. Excellente question d’ordre logique à laquelle j’espère l’auteur répondra.

          J’ai pour ma part une autre remarque à faire. Le Coran est présenté dans cet article sous son aspect incréé, révélé du temps de Mahomet. Or cette version catéchisante, si je puis dire, est mise en cause par tous les islamologues. Très léger, donc, ce texte.


          Le Coran, avant d’être un livre, a été un ensemble de messages transmis de Muhammad. Ils sont reçus par les musulmans comme Parole de Dieu. Mais comment sont-ils devenus un livre ? À cette question, une réponse simple est couramment donnée aujourd’hui : sous le calife ‘Uthmân (644-656), un livre a été constitué rassemblant tous ces messages, et ayant acquis le statut de Révélation.

          Pourtant, les historiographes musulmans des premiers siècles suggèrent que la rédaction du texte coranique connut une histoire bien plus complexe, qui ne s’acheva qu’au Xe siècle avec la fixation d’un corpus intangible et commun à tous les musulmans. Cette mise en écrit des textes transmis a impliqué des choix dans un contexte de divisions politiques et de confrontations religieuses, elle a nécessité l’intervention des autorités califales, elle a entraîné des débats sur le statut du Prophète, sur l’origine, la langue, la nature de son message.

          A.-L. de Prémare, historien des textes et des idées, reprend ces questionnements d’hier, en traitant des origines du Coran selon les méthodes et les interrogations propres à toute recherche actuelle sur la littérature religieuse.

          Connaître ainsi les modalités de rédaction du corpus coranique, analyser les procédés littéraires alors mis en œuvre, découvrir les enjeux politiques et religieux sous-jacents permettra de mieux comprendre un livre dont l’opacité première est due, entre autres, aux conditions de sa production et pas seulement à son statut de parole révélée. La voie est alors ouverte pour sortir du cadre d’une exégèse traditionnelle, de type historico-théologique, et envisager des lectures critiques renouvelées de cette « Écriture sainte »


        • abdelkader17 3 novembre 2009 16:51

          @Péripate
          Il est évident que l’auteur n’a pas été puisé son inspiration Chez Bernard Lewis, à ton grand regret.
          http://www.monde-diplomatique.fr/2005/08/GRESH/12402


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 16:51

          Bonjour le Péripate,

          Pour répondre à votre première interrogation, mes sources sont exclusivement des ouvrages rédigés par des historiens ayant fait leurs preuves quant à cette matière bien particulière. Je citerai entre autres Dominique Sourdel, professeur honoraire d’Histoire et de civilisations islamiques à l’Université Paris IV Sorbonne.

          Pour le reste, je ne crois pas avoir écrit que spirituel et temporel étaient séparés : au contraire, j’ai bien évoquer un « refus » de la séparation de ces deux matières, tout en expliquant pourquoi, selon moi, ce refus s’expliquait moins par une vocation totalitaire que par la puissance des circonstances, puis par l’instauration d’un système -le califat- qui l’institutionnalisait. Il en sera bien entendu question dans les prochains articles.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:18

          Bonsoir Cosmic Dancer,

          A l’instar du Péripate, je suis étonné car vous semblez avoir lu quelque chose que je n’ai pas écrit.

          Je ne prétends pas faire du catéchisme musulman : je ne suis pas musulman, n’ai pas l’intention de me convertir dans les prochains jours, aussi bien abandonnerai-je le prosélythismes aux religieux, qui s’en dépatouilleront bien mieux que moi.

          Effectivement, le Coran, comme livre, n’aurait été compilé que bien après la mort de Mahomet, bien que les versions divergent : certains pensent que c’est vers la fin du règne d’Abû Bakr, en 634, et à l’initiative du futur calife, Umar, que les fragments épars du texte furent réunis. Selon d’autres sources c’est seulement Uthman qui aurait présidé à cette compilation, et c’est cette version qui aurait alors été retenue comme « universelle ».

          J’ai cependant pris le parti de me fier à des historiens, et de ne jamais citer le Coran en tant que tel. Pour quelle raison, me demanderez-vous ? C’est simple : à partir du moment où je commencerai à citer tel ou tel passage du Coran à l’appui de mes démonstrations, par exemple pour démontrer que l’Islam n’est pas intrinsèquement violent, on viendra m’enquiquinner avec le verset 190 de la Sourate de la Vache, dont le contenu est pour le moins désagréable. Voilà pour la démarche.

          Pour le reste, la question du rôle des premiers Califes sera abordée dès les semaines suivantes. Ce premier article s’intéressait uniquement à la genèse de l’histoire islamique, afin de poser des bases pour la suite.


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 17:27

          Vous écrivez pourtant :
          "Et les nouveaux versets ajoutés au Coran à cette période s’intéressaient de près aux règles qui devaient régir la vie, publique et privée, des Compagnons du Prophète, établissant de nouvelles règles concernant le culte, bien entendu, mais aussi le mariage, la répudiation et la polygamie, les règles successorales, le commerce. Le texte devint donc Code civil, mais aussi Code pénal : crimes et châtiments furent ainsi définis, établissant au-delà de la religion un corpus juridique à même de garantir la concorde civile de l’oumma.

          Mais dans le même temps, Mahomet devint également un chef militaire : de fait, il conservait une amertume particulière de l’exil auquel les autorités de La Mecque l’avaient contraint, et cette amertume nourrissait son ambition de reconquérir sa ville natale."

          Ce qui laisse à penser que la rédaction du Coran est une révélation contemporaine de Mahomet. Votre proposition est parfaitement apologétique et anhistorique. Je maintiens, c’est extrêmement léger lorsque l’on prétend offrir un article sur la vie de Mahomet.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:46

          Vous remarquerez que lorsque je parle des versets, je ne précise pas s’ils étaient ou non déjà classé. On sait que leur ordre chronologique fut l’un des principaux problèmes des compilateurs du Coran.

          Apologétique et anhistorique ? Diable que voilà de grands mots ! Le côté apologétique doit venir de mon style d’écriture, rien de plus. Sauf à considérer qu’est apologie tout texte ne décrivant pas Mahomet comme une ordure, ce que je vous soupçonne de faire. Anhistorique ? Les faits décrits (l’exil, la guerre entre La Mecque et Médine) ne souffrent guère de contestation. Après, libre à vous d’avoir une autre intérpretation, mais évitez le flingage en règle en m’accusant de « légèreté ». Je trouve ça réellement insultant.


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 17:51

          Il ne me paraissait pas insultant à votre égard de vous faire remarquer que vos formulations « dans le même temps » à propos de vie du prophète et d’écriture-révélation du Coran relèvent d’une interprétation anhistorique, au sens précisément où l’est celle qui considère ce texte comme « descendu » tel quel d’Allah à Mahomet.

          C’est même la base de toute étude islamologique...

          Vous, en revanche, me « soupçonnez » de choses dont rien dans les critiques que j’émets sur votre texte ne vous autorise à les extrapoler. Je vous cite de grands islamogues, vous me mettez sauvagement en cause à titre personnel en usant de « soupçon ». J’apprécie moyennement.


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 17:53

          "Vous remarquerez que lorsque je parle des versets, je ne précise pas s’ils étaient ou non déjà classé. On sait que leur ordre chronologique fut l’un des principaux problèmes des compilateurs du Coran."

          La question soulevée par votre article dans le paragraphe que j’interroge ne concerne pas la compilation des versets, qui en est une autre, mais la rédaction-révélation de l’ensemble de ceux-ci.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:54

          « Sauvagement en cause » ? Navré si c’est l’impression que vous avez retirée de mes propos.

          Juste à titre informatif, qui sont vos grands islamologues ?


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:57

          Hum... il est vrai qu’à me relire, j’ai mal agencé cette partie du texte. Je n’aurais pas dû dire « ajoutés au Coran à cette période », et formuler la chose autrement. Que voulez-vous...


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 18:04

          Gerd-Rüdiger Puin, philologue à l’Université de Sarrebrück et spécialiste en paléographie coranique, spécialiste des manuscrits de Sana’a au Yemen.

          Alfred-Louis de Prémare, docteur des universités (Paris-III, 1984), qui a terminé sa carrière d’enseignant au département d’études arabes de la faculté des lettres d’Aix-en-Provence. De 1963 à 1965, puis en 1968, il avait été accueilli à l’Institut dominicain d’études orientales du Caire. C’est là qu’il avait préparé, puis soutenu en arabe à l’Université égyptienne d’État de Guizeh, une thèse de magistère en langue et littérature arabes. Historien du monde arabo-islamique, professeur émérite à l’Université de Provence et enseignant-chercheur à l’Institut de Recherches et d’Études sur le Monde Arabe et Musulman (IREMAM, Aix).

          Si ces spécialistes reconnus mondialement ne vous conviennent pas, j’en citerai d’autres.
          Et quant à vos « soupçons », je maintiens que cet argument d’autorité est parfaitement déloyal, ce que ne sont pas mes interventions argumentées et sourcées analysant votre écrit à partir de ses propres termes.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:10

          Chère Cosmic Dancer, seriez-vous donc du genre « pinailleuse » (je précise que j’écris ça sur le ton de la plaisanterie) ? Vous vous offensez de l’utilisation du verbe « soupçonner » ? Je ne vous soupçonne de rien du tout, là encore, mon style vous fait voir une insulte là où il n’y en a pas.

          En vous remerciant pour vos références.

          Frédéric Alexandroff


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 18:12

          C’est honnête de le reconnaître, Frédéric Alexandroff, mais un peu tard pour le corriger. Ce qui est extrêmement ennuyeux pour les lecteurs qui ne liront pas les corrections fondamentales qu’il eût fallu, sur ce point précis, apporter, afin d’éviter toute interprétation anhistorique.

          J’aurais d’autres critiques à formuler, mais je manque de temps. On verra.


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 18:14

          Je ne pinaille pas, cher auteur, je critique méthodiquement un élément fondamental de votre article.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:20

          « Fondamental », dites-vous ? Amusant, comme formulation, car moi-même je n’y aurais vu qu’un problème de forme (la compilation du texte n’étant pas faite à ce moment-là) que de fond (le texte existe bien, malgré son côté « décousu ») : le Coran en tant qu’ouvrage compilé n’existe pas encore, mais ses éléments constitutifs sont bel et bien présents.

          Et de ce point de vue là, je trouve votre analyse assez savoureuse : voir du fondamental là où il n’y a que de la forme est un des éléments constitutifs de cet islamisme que pourtant vous semblez -à raison- mépriser et combattre.


        • Big Mac 3 novembre 2009 18:22

          Cosmic Dancer,

          Cet auteur refuse manifestement de répondre à toute question gênante sur ses propres manipulations et contradictions, et très logiquement il ne lui reste que l’argument d’autorité : puisque le grand pschitt l’a dit c’est que c’est vrai !

          Voyez comme sa femme objet préislamique auquel l’islam aurait donné un statut est complètement réfutée et désintégrée par la Khadija préislamique qui avaat un statut de chef d’entreprise tandis que les épouses post-islamique étaient des femmes objets.

          Cet auteur après plusieurs relance refuse obstinément de répondre à cette question, d’ailleurs a-t-il répondu à une seule question ? Il passe son temps comme un genre de méduse à flotter entre deux eaux et nier ses propres propos au besoin.

          Pour moi ce n’est qu’un de ces nouveaux faux laïcs mais vrais islamophiles, comme il en sévit déjà tant sur ce site, et qui me conforte dans mon idée je ne donnerais pas un sou pour que ce site répande son idéologie, je paierais plutôt pour le voir disparaitre.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:24

          D’ailleurs, voici comment j’aurais dû écrire la phrase incriminée :

          « Et les nouveaux versets ajoutés à cette période à ce qui allait devenir le Coran s’intéressaient de près aux règles qui devaient régir la vie, publique et privée, des Compagnons du Prophète, établissant de nouvelles règles concernant le culte, bien entendu, mais aussi le mariage, la répudiation et la polygamie, les règles successorales, le commerce. »

          Fondamental, en effet...


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 18:25

          Fondamental au sens d’essentiel, oui. Car au sens où vous l’entendez ci-dessus, c’est-à-dire au sens du fondamentalisme islamique, dans cette interprétation fondamentaliste le Coran existe à l’époque de Mahomet puisqu’il est « incréé » selon cette doctrine...
          Donc votre formulation, en induisant cette « incréation » (= texte sacré révélé en arabe, parole directe de Dieu au prophète), flatte la lecture fondamentaliste.
          Vous voyez le problème ?


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 18:27

          Bien sûr que c’est fondamental, puisque l’écriture du Coran, sur plusieurs siècles, étant historique, elle est éminemment politique. Et la rédaction des différents versets répond à des impératifs politiques précis !


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:33

          A Cosmic Dancer,

          Si j’avais voulu flatter les islamistes, j’aurais sorti l’artillerie lourde et utiliser l’indicatif pour évoquer l’ange Gabriel et tout le tralala religieux, j’aurais passer beaucoup plus de temps à brosser le portrait d’un Mahomet intime, alors que je suis rapidement passé à l’homme politique et au chef de guerre. S’agissant des faits, je ne crois pas avoir violé une quelconque réalité historique

          S’agissant de Monsieur Big Mac...

          Il me semble répondre aux questions... en tous cas lorsqu’elles sont posées intelligemment et sans me couvrir d’injures. De même, j’évite de répondre aux Frédéric Lyon, Kronfi et autres islamophobes incultes qui en sont restés à l’image du barbare au couteau coincé entre les dents, dont les leurs grinceront sans doute à l’évocation de certains portraits ultérieurs. Bien que je compte bien entendu m’attaquer à certaines figures de l’islamisme. En ce sens, ma série d’articles n’aura de réel sens qu’une fois terminée.




        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:34

          Ouh là... je commence à fatiguer, pardon pour les fautes de grammaire... aïe... je vais bientôt devoir rayer la mention « jeune » de mon profil...


        • Le péripate Le péripate 3 novembre 2009 18:35

          Juste, vous n’avez pas écrit qu’il y avait séparation du spirituel et du temporel, mais que l’islam n’est pas incompatible (notons la double négation euphémisante) avec la laïcité. Or, je ne connais qu’une seule condition à la laïcité, c’est cette séparation, condition nécessaire et suffisante.

          Donc dans sa pratique comme dans ses textes, l’Islam ne sépare pas. Mais ce qui permet la surprenante affirmation « n’est pas incompatible » smiley, c’est la théorie de l’excuse par les circonstances, théorie abondamment usée et réutilisée pour la Terreur et le Goulag, les Kmhers Rouges et j’en passe. Comme dans les exemples précités je ne peux y voir qu’un tour de passe-passe : au mieux, vous me présenterez Mutazilites comme possible précurseurs du profane, mais vous n’irez guère plus loin. La réalité et le texte sont d’accord ; pas de séparation du spirituel et du temporel.


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 18:39

          Il se peut alors que l’on flatte inconsciemment le pire...

          Illustration par Rémi Brague, sur la théorie de Luxenberg :

          "On notera une conséquence capitale : si Luxenberg a raison, le Coran ne prétendait pas remplacer la Bible, mais en fournir une version intelligible aux arabes de l’époque. Il ne se présentait donc pas comme une révélation immédiate (L, 100). De la sorte, la doctrine de la dogmatique islamique postérieure selon laquelle une révélation serait « abrogée » (naskh) et « remplacée » (tabdîl) par une révélation postérieure (l’Évangile remplaçant la Torah), jusqu’à la révélation définitive coïncidant avec l’islam, perdrait son fondement. "


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:43

          D’accord sur ce point : j’ai dit qu’il n’y avait pas incompatibilité. Mais c’était moins un euphémisme (je n’aime pas ces bestioles) qu’une réponse directe à tous ceux qui prétendent qu’il y a incompatibilité absolue et irrévocable. Par la suite l’Islam n’a pas su séparer les deux... pas plus d’ailleurs que l’Eglise catholique, longtemps accrochée à la théorie des deux glaives. Pourtant, il y a dans le Christianisme des éléments qui tendent vers la laïcité (vous avez déjà cité le « rendez à César... ») mais c’est hors du cadre religieux que ces éléments se sont concrétisés. Le monde islamique -Turquie mise à part- n’a pas réussi cette transformation, notamment en raison de l’échec du nationalisme arabe : idée singulière et séduisante, combattue par les Américains et les Saoudiens, puis totalement détournée et massacrée par les partis Ba’as irakiens et syriens.


        • aladin aladin 4 novembre 2009 11:48

          Le Coran, que les musulmans considèrent être la parole de Dieu révélée au Prophète Mohammad (que la paix soit sur lui), a été écrit et mémorisé du début jusqu’à la fin, pendant la vie du prophète lui-même. Pendant l’année qui suivit Sa mort, le premier texte standard écrit a été produit. Dans les 14 années après sa mort, des copies autorisées (la recension uthmanique) faites d’après le codex standard (livre écrit à la main) ont été envoyées dans toutes les capitales des pays musulmans et toutes les autres copies non autorisées ont été détruites.
          Depuis la mort du prophète en 632 après Jésus-Christ, un nombre croissant de personnes de chaque génération a mémorisé le texte complet du Coran du commencement à la fin. De nos jours, il existe des dizaines de milliers de personnes à travers le monde qui récitent le texte complet du Coran par cœur, chaque année durant le mois du Ramadan aussi bien qu’à d’autres occasions.
          Un des meilleurs orientalistes, Kenneth Cragg, a dit ceci à propos de la mémorisation et de la préservation du texte coranique :
          « Ce phénomène de la récitation du Coran signifie que le texte a traversé des siècles en une séquence vivante et sans rupture de dévotion. Il ne peut conséquemment pas être considéré comme un objet antique ni un document historique issu d’un passé lointain. »
          Un autre orientaliste, William Graham, écrit :
          « Pour des millions de musulmans depuis plus de quatorze siècles d’histoire islamique, le Coran a été un livre appris, lu et transmis par répétition vocale et mémorisation. Le Coran écrit peut visiblement établir l’autorité de la parole divine d’une manière jamais vue dans l’histoire, mais l’autorité du Livre coranique n’est seulement réalisée dans sa plénitude et sa perfection que lorsqu’il est bien récité. »
          Un autre encore, John Burton, déclare :
          « La façon de transmettre le Coran de génération en génération, en apprenant aux jeunes enfants à mémoriser la tradition orale de leurs aînés, a atténué dès le début, en quelque sorte, les pires périls, ceux de se baser uniquement sur les copies des scribes. »
          À la fin d’un ouvrage volumineux sur le Coran, Burton déclare que le texte coranique disponible aujourd’hui est bien « le texte qui a été transmis, sous la forme dans laquelle il a été organisé et approuvé par le prophète... Ce que nous tenons dans nos mains aujourd’hui est le moshaf (texte du Coran) de Mohammed.


        • projetX projetX 4 novembre 2009 11:52

          Les scientologues font pareil !


        • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 4 novembre 2009 11:59

          J’espère, cher auteur, que vous apprécierez ce long commentaire d’Aladin étayant la théorie « non fondamentale » de votre article selon laquelle le Coran est LA parole divine, le Livre incréé, descendu directement sur le prophète.
          Selon laquelle, pour reprendre des islamologues apologétiques cités par ledit Aladin, il n’est pas historique.


        • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 4 novembre 2009 13:04

          Ma chère Cosmic

          Une fois encore vous semblez avoir lu article que je n’ai pas commis : « ...la théorie »non fondamentale« de votre article selon laquelle le Coran est LA parole divine, le Livre incréé, descendu directement sur le prophète. »

          L’article porte sur Mahomet, non sur le Coran. Je me suis déjà expliqué sur les raisons qui m’ont poussé à exclure le contenu même du texte de mon propos, je ne devrais pas avoir à revenir dessus, sauf à considérer que j’ai à faire à des idiots, ce que vous ne semblez pas être.

          J’aborderais cependant, en introduction de mon prochain article, la genèse formelle du texte coranique, juste pour vous faire plaisir. Le faire ici, en commentaire noyé dans la masse, n’aurait guère de sens à mes yeux.


        • FYI FYI 4 novembre 2009 14:26

          Je suis toujours surpris qu’un Occidentaux se permettent de donner des leçons d’humanismes aux musulmans ...
          En effet, l’Occidentaux parlent de démocratie, pourtant ce sont les mêmes au pouvoir depuis 40 ans et on s’assoit même sur leur vote au Référendum.
          L’Occidentaux parlent d’Humanisme et pourtant ont perpétré les plus grands génocides que notre Histoire s’en souvienne, et ça continue sous couvert des Droits de l’Homme ....
          L’Occidentaux parlent des droit fondamentaux et pourtant n’ont pas hésité à retirer des terres entier à des peuples pacifiques (le colonialisme sous couvert de civiliser les sauvages etc...). Et je peux continuer n’est-ce pas !

          Ce qui ne fait aucun doute à terme, c’est qu’il ne fera pas bon de se venter des préceptes occidentales, car lorsque l’Asie prendra le Pouvoir et l’influence nécessaire, beaucoup de peuple, et en particulier les Africains vont commencer à demander des comptes à ces derniers, car l’Occident a toujours essayer par tous les moyens de freiner ou de discriminer l’émancipation des autres peuples, en gros, tu ne penses pas comme moi, tu es donc un sauvage, un barbare, un arriéré mentaux ...


        • ELCHETORIX 3 novembre 2009 16:39

          @ L’auteur
          je vous remercie pour votre article relatant brièvement l« historique » du prophète Mahomet du monde musulman , je lirai avec attention vos prochains articles à ce sujet .


          • sentinelle 3 novembre 2009 17:24

            @ elchetorix

            bonsoir mon ami

            je suis surpris que vous ecriviez«  » mohamet«  » il s’agit surement d’une fote de frappe car c’est le prophete Mohamed _ (lsws)..

            j’ai cru comprendre que vous etiez de la region lyonnaise ; car nous organisons une conference sur le nouvel ordre mondial sur la region ;; ; cela vous interesse-t-il ? il y aura aussi une 1° partie avec le docteur Vercoutere sur la vaccination et big pharma...
            le dimanche 15 novembre apres midi (14 H)


          • ELCHETORIX 3 novembre 2009 18:53

            bonsoir sentinelle , j’ai un peu de mal avec le clavier ( je me suis fait opérer du canal carpien à la main droite - le travail -le travail pas de la dentelle et du bla-bla ), je fais de temps en temps des fautes de frappe.
            Mais peu importe !
            oui , je suis intérêssé pour cette journée que vous avez indiquée .
            Je viendrai y assister .
            Merci
            A+


          • ELCHETORIX 3 novembre 2009 19:04

            @ rachel
            Bonsoir et merci de m’indiquer les lectures , j’ai le CORAN qu’une belle-soeur m’a offert depuis cinq ou six ans , en arabe et en français.
            Sans faire de la publicité voici les références :
            distribué par :
             albouraq diffusion distribution etc..
            C’est un ouvrage réalisé par : l’Atelier Graphique Albouraq 2005 .
            mes hommages les plus respectueux , madameou mll.


          • Big Mac 3 novembre 2009 16:43

            Ah que j’aime ces phases du style « Mahomet se retrouva, effectivement, dans l’obligation d’avoir recours au pillage ».

            Oui pare que vous voyez travailler pour gagner sa vie, le Momo était pas habitué après avoir été le gigolo de Khadija, la riche veuve !

            Et puis un type qui se fait lourder de chez les siens après leur avoir cassé la tête avec ses bondieuseries, c’est tout à fait normal qu’après une carrière de gigolo il se lance dans le braquage à main armée en bande organisée.

            Et aussi d’autre phrases cache misère : "Moins de dix ans furent donc nécessaires à Momo pour imposer l’Islam à l’Arabie tout entière, usant à la fois de persuasion et de force".

            Ce que l’auteur oublie de vous dire c’est qu’après avoir galéré des années en ne convertissant qu’une centaines de cousins, Momo a réussi dès qu’il s’est reconvertis au braquage en bande à main armée et a assuré aux membres du gang, que Allah ne voyait pas d’objection à cela.

            Evidemment promettre à ses ouailles un butin plus immédiat que le paradis aura été beaucoup plus rapide et persuasif que les années de sermons.

            Bon j’arrête les frais n’étant pas payé pour relever toutes les délires propagandistes de ce ce qu’il faut bien nommer un article.


            • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 16:57

              Désolé Big Mac, vous avez changé d’avatar et dans un premier temps je ne vous avais pas reconnu... et puis votre hargne à l’encontre du personnage de Mahomet m’a mis la puce à l’oreille. Comment allez-vous, depuis la dernière fois ?

              Plus sérieusement, j’ignore où vous voyez en moi un propagandiste. Je suis un grand défenseur de la laïcité, cependant que pour moi, laïcité et ignorance de la religion n’ont jamais été synonymes.

              Je profite toutefois de l’occasion pour vous remercier : vous avez largement contribué à m’inspirer l’idée de cette série d’articles. Et ne vous inquiétez pas : il m’arrivera aussi de taper sur certains de ces personnages.


            • Big Mac 3 novembre 2009 17:04

              Désolé mais quelqu’un qui écrit qu’un être humain est obligé de faire des braquages en bande à main armée et pire qu’un propagandiste, c’est un pousse au crime.


            • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:23

              Je crois que c’est Hérodote qui a dit : « les circonstances dirigent les hommes, les hommes ne dirigent pas les circonstances ». Et le pillage est demeuré une pratique courante dans la péninsule arabique, jusqu’à une période assez récente au regard de l’histoire des lieux.

              Quant à me traiter de « pousse-au-crime »... on ne me l’avait jamais faite, celle-là ! Je vais tout de suite l’ajouter à ma collection !


            • John Eastwood 2 John Eastwood 2 3 novembre 2009 17:33

              @ l’auteur


              Merci pour ce texte et les futurs.

              Plus votre texte sera pertinent et juste et plus vous verrez apparaître des connards, organisés ou non, qui seront là pour troller les articles qui parlent de l’Islam.
               
              La technique est simple, écrire le maximum de commentaires en un minimum de temps, détourner au maximum les sujets de conversations, provoquer avec des informations incohérentes ceux qui échangent sérieusement et sont intéressés, et bien s’assurer que les moutons continuent de penser comme des moutons.

              Votre article doit être pertinent pour qu’ils soient aussi nombreux à troller votre file, prennez le comme un compliment smiley


            • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 3 novembre 2009 17:38

              Les « connards » en question, outre qu’ils analysent la prose de l’auteur, s’en réfèrent aux spécialistes incontestés de l’islamologie.

              Même Ternisien n’ose pas prétendre que le Coran fut rédigé-révélé pendant la vie de son prophète, c’est dire si ces « connards » sont « une meute organisée financée par Tel-Aviv ».

              "Pour les musulmans, la totalité du Coran a été révélée (le terme propre est « descendue ») pendant la carrière du prophète, entre 610 et 632. Dans un premier temps, la recherche orientaliste moderne a généralement repris ce schéma, classant les différents chapitres (sourates) du Coran comme ayant été révélés successivement à La Mecque et à Médine. Les manuels scolaires reprennent généralement ce schéma, certains allant même jusqu’à dire, par exemple : « En 610, le Coran est révélé par l’archange Gabriel ». Cette perspective, outre l’utilisation d’un langage proprement confessionnel, ne tient pas compte du travail rédactionnel qui s’est étendu bien après la mort du prophète de l’islam et dont la tradition islamique nous donne de multiples témoignages.
              De même, il savoir que la constitution du corpus s’est faite dans un espace plus large que celui de La Mecque et de Médine, qui s’étendait du Hedjaz et du Yémen à la Mésopotamie. En effet, nous avons affaire à un processus qui commence à Médine, mais qui continue après la conquête en Syrie et en Mésopotamie surtout, où se constituent des codex concurrents de celui de Médine.
              Il s’agit donc d’une période longue : il faut compter environ un siècle pour l’établissement d’une vulgate officielle du Coran, et un siècle de plus pour celui des grands corpus canoniques du
              Hadîth.
              Il s’agit aussi d’un travail collectif qui prend en compte l’œuvre de scribes dont la tradition islamique atteste l’existence et nous donne les noms. On y parle des secrétaires qui entourent Muhammad dont certains sont d’anciens juifs qui ont adhéré à la foi nouvelle ; tel autre est d’origine éthiopienne ou byzantine, à côté d’Arabes de la Péninsule, du Nord ou du Sud. Certaines traditions laissent penser que Muhammad reçoit du ciel, mais aussi de ses secrétaires !
              1 Après la mort du fondateur, le travail de constitution du corpus se poursuit non seulement à Médine, mais aussi dans les nouveaux centres créés par la conquête : c’est le cas de la nouvelle agglomération de Kûfa en Irak qui verra l’établissement d’un codex coranique concurrent de celui de Médine. Les récits traditionnels évoquent aussi des codex concurrents en Syrie et au Yémen.
              Les musulmans des premières générations, racontant comment s’était constitué le Coran, le faisaient avec beaucoup de liberté et de réalisme, et paraissaient donc moins rigides que beaucoup de musulmans d’aujourd’hui."

              Xavier Ternisien


            • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:05

              A John Eastwood 2,

              Merci pour votre commentaire. Effectivement, il y a fort à faire avec ces « connards » comme vous les appelez. Remarquez que je ne mettrais pas dans le même sac notre ami Big Mac, aux commentaires aussi indigestes que le simili-sandwich dont il a pris le nom, et Cosmic Dancer, qui avance des arguments intéressants.


            • Big Mac 3 novembre 2009 18:25

              Mon Big Mac indigeste ? Moins que votre couscous laïc !


            • John Eastwood 2 John Eastwood 2 4 novembre 2009 13:22

              Agents de Tel Aviv ?

              Chère Cosmic, je sais encore faire la différence entre des momes de 12 ans et des agents secrets.

              Mais si en effet vous n’êtes pas concernés, pourquoi passer vos journées à désinformer, cracher votre haine et vos insultes pueriles aussi mécaniquement..... ?

              Vos discussions sur l’histoire des religions n’ont aucun sens, les jeunes d’aujourd’hui voient beaucoup plus loin que les textes ou les dogmes, vous êtes les derniers crétins à vous intéresser à ces vieilles histoires. 

              Regardez devant vous, sortez de chez vous, voyagez si vous voulez comprendre l’Islam d’aujourd’hui.


            • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 4 novembre 2009 13:30

              « Chère Cosmic, je sais encore faire la différence entre des momes de 12 ans et des agents secrets. »

              Vous êtes prodigieusement intelligent. D’ailleurs, cette judicieuse intervention tout à fait dans le sujet le prouve amplement. Ainsi j’apprends que mes commentaires issus de journées passées sur le forum (? ???) sont des « crachats de haine et des insultes puériles ». En plus de « désinformer ». Les grans orientalistes cités apprécieront.

              Après avoir prétendu que je passe mes journées ici (comme c’est drôle !), que j’insulte et désinforme (je ris !), vous m’interdiriez de répondre si je ne me sentais pas concernée ! Un problème avec la liberté d’expression et le débat public, monsieur le démocrate ?

              "Vos discussions sur l’histoire des religions n’ont aucun sens, les jeunes d’aujourd’hui voient beaucoup plus loin que les textes ou les dogmes, vous êtes les derniers crétins à vous intéresser à ces vieilles histoires.« 

              Heu... Je ne suis pas l’auteur de ce premier article d’une série de sept ou huit consacrés à ce que vous appelez »l’histoire des religions". Adressez donc ce paragraphe, et le suivant subséquent, à Frédéric Alexandroff, ce sera plus cohérent.


            • John Eastwood 2 John Eastwood 2 4 novembre 2009 16:52

              Cosmic


              Ne vous cachez pas derrière vos formules de plus en plus verbeuses, vous pouvez dire les choses simplement.

              Je parlais bien de nos amis Big Mac, Kronfi, MCM et autres qui ont historiquement trolés tous les sujets qui traitent de l’Islam avec respect et espoir et tolérance.

              Ces sujets auraient pu apporter un espoir aux français musulmans qui souhaitent faire adapter leur religion à l’occident et surtout faire évoluer les dogmes de leur religion.

              Mais non, s’ils lisent ces articles, ils ne verront que les commentaires haineux, comme MCM qui affirmait que l’Islam est une race qui n’évoluera jamais, que leur culture est incompatible avec l’occident, que le choc des civilisations est une fatalité…

              Je pense d’ailleurs qu’AV a récemment réservé les « plussages » aux membres pour stopper cette dérive et ne plus voir des messages aussi racistes remonter comme les plus appréciés des lecteurs.

              Vous vous sentez concernée par ma remarque et vous incluez, de vous-même, dans cette famille de trols, je n’en suis pas responsable. Vous me dites que je vois des agents de TEL AVIV partout….alors je vous réponds.

              Quand je vous invite à regarder devant vous Cosmic, c’est positif. Et pour vous répondre encore une fois, je pense que l’auteur y arrive grâce à son regard « adapté, moderne, tolérant, neutre, ouvert » sur ces vieux textes. Une démarche positive et constructive que j’apprécie.


            • Big Mac 4 novembre 2009 16:57

              « MCM qui affirmait que l’Islam est une race qui n’évoluera jamais »

              N’avez vous pas honte de sortir des mensonges pareils ? Trouvez moi donc le passage où j’aurais dit ça. De deux choses l’une :

              1) Soit vous montrez ces propos que j’aurais tenu 
              2) Soit vous démontrez à tout agoravox que vous n’êtes qu’un gros con de menteur.


            • Nobody knows me Nobody knows me 4 novembre 2009 17:14

              Et pour vous répondre encore une fois, je pense que l’auteur y arrive grâce à son regard « adapté, moderne, tolérant, neutre, ouvert » sur ces vieux textes. Une démarche positive et constructive que j’apprécie.

              Il est difficile pour certains d’accepter des articles très critiques sur certains sujets comme il est difficile pour d’autres d’accepter des articles qui ne tirent pas à boulets rouges sur ces mêmes sujets.
              C’est assez flagrant je trouve et bien triste. Je me compte évidemment dans le lot.


            • Big Mac 4 novembre 2009 17:34

              Alors John eastwood 2 on se débine la queue entre les jambes ? On cumule le mensonge avec la lâcheté ?

              Je vous le répète :

              1) Soit vous montrez ces propos que j’aurais tenu 
              2) Soit vous démontrez à tout agoravox que vous n’êtes qu’un gros con de menteur.


            • John Eastwood 2 John Eastwood 2 4 novembre 2009 18:32

              D’accord MCM, c’était le 28 juillet 2009 à 14h42 dans la file du texte "se faire débaptiser, une démarche simple et complexe. Un peu plus bas vous avouez d’ailleurs être né mumulman, pour être plus crédible dans votre démarche de désinformation j’imagine.

              Par mcm (xxx.xxx.xxx.46) 28 juillet 14:42

              L’auteur n’a aucune chance d’être traité de raciste puisque le catholicisme n’est pas une race contrairement à l’islam !

              ---

              Vous vous êtes d’ailleurs octroyé 38+ pour cette remarque d’un rare intélligence. Et si vous voulez qu’on fouille dans les commentaires de Bois Guisberg, Philbrasov, vous, Kenza (la pire de toutes, vu qu’elle se fait passer pour une musumane), mon amie rachelle et compagnie, on peut, vous écrivez des perles.


            • John Eastwood 2 John Eastwood 2 4 novembre 2009 18:41

              Big Mac ????? tu as retrouvé la page, c’est bon ??


              C’est marrant ce passage où tu expliques que tu es né musulman et qu’on t’a coupé un bout de bite pour reprendre tes mots. Un grand moment d’émotion. Ca me rappelle le jour ou Philbrasov nous expliquait que sa femme était un canon de magazine, il en parlait comme un footballeur parle de ses nouvelles gentes alu, mémorable.


            • ZEN ZEN 4 novembre 2009 18:45

              Big Mac serait mcm ?
              Non !
              On se cache comme on peut


            • Big Mac 4 novembre 2009 18:54

              Voici votre accusation initiale : "MCM qui affirmait que l’Islam est une race qui n’évoluera jamais"

              Voici ce que ce vous produisez : « L’auteur n’a aucune chance d’être traité de raciste puisque le catholicisme n’est pas une race contrairement à l’islam ! »

              Une phrase d’humour faite pour justement contester que l’islam soit une race.

              Vous êtes donc bien un menteur doublé d’un falsificateur puisque loin de produire la phrase que vous m’attribuiez vous ne produisez que son exact infirmation.

              Sachez pour votre gouverne que je suis un un maghrébin ex musulman, et que changer de religion n’a pas changé mon éthnie, comme vous voulez mensongèrement me le faire dire.

              Je passe sur vos accusations d’auto-plussage que vous feriez mieux de réserver à vos amis islamistes dont les scores ont atteint des records inégalés.

              Voilà le problème avec vous autres les tolérants auto-proclamé : vous n’avez que le mensonge et la calomnie à la bouche et vous prétendez donner des leçon de morale.


            • John Eastwood 2 John Eastwood 2 4 novembre 2009 20:37

              MCM

              Merci pour votre honnêteté.

              Mais lisez seulement les commentaires suite à votre remarque dans cette file, je ne suis pas le seul à en avoir marre de votre « humour » contre l’Islam qui, semble-t-il, s’explique par une expérience personnelle douloureuse.

              Vous appelez ça de l’humour, moi j’appelle cela de la provocation.

              Et si vous voulez penser que je suis un menteur, ne vous retenez pas, mais c’est ce que je pense sincèrement après avoir subi votre humour à trop forte dose. Et quand j’écris « n’évoluera jamais » je me réfère bien à d’autres commentaires, toujours négatifs et focalisés sur ce sujet. Je vous donnerais bien la liste des commentaires de MCM pour répondre à vos accusation de mensonge et calomnie mais elle n’est plus accessible, un falsificateur aurait-il agi ? (humour)

              Et pour votre information, je n’ai pas d’amis islamistes, je suis plutôt attiré vers un modèle laïc qui respecte toutes les religions. Aimer et respecter des êtres humains qu’ils soient nés musulmans ou juifs ne veut pas dire vouloir imposer une religion au Monde.


            • Big Mac 3 novembre 2009 16:54

              Ah si relevons encore la plus savoureuse : "L’Islam de Mahomet était mouvement : il donnait aux femmes un statut alors même que l’Arabie préislamique ne voyait en elles que des objets. "


              L’auteur nous dit à raison que tant que Khadija la chef d’entreprise, n’était pas morte, l’islam n’existait pas.

              Mais alors comment il explique que Momo soit resté époux d’une seule femme dans les temps préislamiques et époux de 26 femmes et concubines sans compter les esclaves sexuels après l’avènement de l’islam ? 

              Comment expliquer aussi la Khadija la chef d’entreprise des temps préislamiques et les 26 épouses et concubines cloitré dans la tente au temps islamiques ?

              La réponse est simple, Khadija détenait les liens de la bourse, et lui n’avait que ses bourses en échanges, mais plus tard, le braquage en gang avait bien rapporté est Mahomet pouvait se payer de nombreuses femmes avec sa nouvelle doctrine qui lui en donnait le droit.


              • Big Mac 3 novembre 2009 17:37

                Je crains fort que l’auteur, loin de répondre à mes questions très précises, ne se lance dans une vigoureuse noyade de poisson comme celle de son article.

                D’ailleurs notez que la totalité des islamophiles ne répondent jamais à ces questions très gênantes pour leur propagande.

                Alors répétons un seule femme cheftaine du foyer avant l’islam, 26 femmes soumises après l’islam et l’islam aurait libéré les femmes ?


              • aladin aladin 4 novembre 2009 20:22

                cocorico,

                vous tronez en effet en tête comme vous dites, sur un un gros tas de mensonges et de propos orduriers. Bravo donc ! dans quelques semaines, lorsque tous les articles de notre jeune auteur seront publiés, on a se cotiser pour vous decerner un prix, au choix entre :

                - un pot de chambre
                - un desodorisant
                - une cadeau surprise


              • Armog 3 novembre 2009 17:25

                Concernant l’islam, je me fie à ce que j’ai pu lire dans le coran (et en tant que républicain, laic, il y a des passages choquants), à l’âge d’Aisha quand elle a épousé le prophète (d’ailleurs depuis la loi coranique a décrété que la défloration était licite dès l’âge de neuf ans) ; je me fie aussi aux versets sataniques de Rushdie, à Taslima Nasreen (et à leur fatwa respectives), à Ibn Waraq (pourquoi je ne suis pas musulman que j’ai lu aussi), à la crise mondiale qui a suivi les dessins de mahomet et à toutes les guerres ou l’on trouve des musulmans, pour me faire l’idée générale que l’islam n’est pas une religion de paix, d’amour et de tolérance.

                Mais c’est mon point de vue ...


                • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 17:51

                  Bonjour Léon,

                  Je compte bien évoquer le rapport des musulmans à leur religion. Les portraits constituent une suite logique, et celui-ci ne constitue qu’une introduction.


                • Big Mac 3 novembre 2009 17:52

                  Mais Léon cette article est une vigoureuse noyade de poisson qui use de ruses vieilles comme le monde :

                  1) Citer des horreurs édulcorées en leur donnant une légitimité de circonstance.
                  2) Noyer les horreurs dans 2000 hectolitres de salive apaisante.
                  2) Mentir effrontément et ne pas répondre aux questions qui débusquent les mensonges.


                • Nobody knows me Nobody knows me 4 novembre 2009 13:22

                  1) Citer des horreurs édulcorées en leur donnant une légitimité de circonstance.
                  2) Noyer les horreurs dans 2000 hectolitres de salive apaisante.
                  2) Mentir effrontément et ne pas répondre aux questions qui débusquent les mensonges.

                  XPTDR... mcm avec moi, on révise : 1, 2 .... 3 !!


                • frédéric lyon 3 novembre 2009 17:47

                  L’Islam n’est pas une religion mais un projet idéologique et politique, qu’un chef politique et militaire a mis au point pour justifier ses actions politiques. Il n’y a aucune distinction dans le Coran entre le temporel et le sacré.


                  Or, ce projet politique est clairement contraire à la Démocratie et à nombre de principes démocratiques, tels que la liberté de pensée et d’opinion, la Laïcité de l’Etat, le droit des femmes à l’égalité et à la dignité, le principe démocratique comme seule source de la loi, etc. etc.

                  On aurait pu s’en apercevoir plus tôt et très facilement en lisant plus attentivement le Coran et en étudiant plus attentivement la vie politique ou juridique des pays qui se réclament de l’Islam pour fonder leurs principes de gouvernement.

                  Il est temps de réaffirmer nos principes démocratiques, sans craindre de faire apparaitre les contradictions irréductibles entre la Démocratie et l’Islam. 

                  Car il est temps d’avouer que si nous avons hésité à le faire jusqu’à présent, c’est parce que nous avons craint de faire apparaitre ces incompatibilité en pleine lumière et de mettre l’Islam au pied du mur. 

                  • abdelkader17 3 novembre 2009 19:34

                    @Lyon
                    Est ce que ce sont des gouvernement islamiques qui dirigent les pays musulmans ?
                    à de rare exception non,des monarchies, des dictatures militaires à façade civil,des pouvoirs autoritaires qui auront bridé toute contestation,seule la mosquée reste le lieu de contestation radical,il faut arrêter ces interprétations malhonnêtes et orientées.
                    Les gouvernements occidentaux soutiennent toutes ces crapules s’ils s’alignent servilement sur la politique occidentale, qui dénonce la torture et la faillite du pouvoir du potentat Moubarak ?
                    La Turquie est gouvernée par un parti islamique qu’en est il ?l’obscurantisme total ?
                    l’échec des sociétés arabes et musulmanes ne provient pas de l’islam mais de politiques cohérentes et consistantes visant à s’accaparer les leviers du pouvoir ,de politiques erratiques,de la corruption et du népotisme de rien d’autre.
                    Pourquoi a on détruit l’Irak Bassiste dans ce cas ce ne sont pas les religieux qui avait la haute main sur l’état que je sache
                    Une société qui formait des élites ou les femmes avaient un statut reconnu à été renvoyé au moyen age pour satisfaire les appétits de quelques criminels en col blanc occidentaux.
                    La dépossession du sous sol Irakien,la mise sous séquestre de son pétrole, la mise en en œuvre d’un programme de privatisation qui n’avait vu le jour nulle part ailleurs,jusqu’à privatisé la guerre et la torture, voilà le résultat de l’apport de la démocratie des nouveaux barbares.


                  • ZEN ZEN 3 novembre 2009 19:43

                    Bien vu Abdel
                    Les pétroliers us sont comme larrons en foire avec les princes du pétrole
                    Qui a dit : « nous ramènerons l’Irak à l’âge de pierre » ?
                    Bush ou son caniche Blair ?


                  • Le péripate Le péripate 3 novembre 2009 20:03

                    Oui, le Baasisme. Nationalisme et socialisme sont les deux piliers du baasisme, qui entretient avec l’islam un rapport ambivalent : laïcité déclarée mais islam perçu comme force mobilisatrice de la résurgence arabe. Le Baas est le producteur d’un État fort, à l’intérieur par la terreur et à l’extérieur par la permanence d’une action hégémonique qui le pousse à l’expansionnisme. Social nationalisme ou national socialisme.
                    Pleurer l’Irak baasiste détruit, c’est un peu comme pleurer l’URSS ou l’Allemagne nazie, une incongruité.


                  • abdelkader17 3 novembre 2009 20:12

                    @ zen
                    salut
                    Bush et Powell ,certains voudraient désormais expliquer la faillite de certains état par des traits culturels et religieux ,on ne tient compte d’aucun autre facteur,les explications simplistes de l’air du temps,le mythe de la guerre des civilisation s’exportent à merveille , des schémas pour le moins ridicules et bancales qui ne tiennent pas devant la réalité des faits.


                  • abdelkader17 3 novembre 2009 20:25

                    @Péripate
                    notre caricaturiste maison comme d’habitude ne fait preuve d’aucune nuance et discernement préférant relayer ses mensonges et sa propagande classique .
                    http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_Baas
                    http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Aflak
                    Quand à la fin de votre pitoyable raisonnement ,sortir de telles ordures révèlent vraiment votre nature sadique et immonde.


                  • Big Mac 3 novembre 2009 20:37

                    Et voilà nos islamophiles qui accusent les autres de connards et de troll, mais qui multiplient les diversions hors sujet pour noyer le poisson :

                    En est il un qui relèvera le défi de m’expliquer comment au temps pré-islamiques momo épouse une seule femme chef d’entreprise et au temps post-islamiques en épouse et concubine 26 cloitrés dans leurs tentes.

                    Alors l’islam a-t-il amélioré le sort des femmes de son temps, ou l’a-t-il dégradé ? 


                  • Le péripate Le péripate 3 novembre 2009 21:13

                    Je peux faire une erreur intellectuelle, mais que ça fasse de moi un « sadique » et autre chose que j’ai oublié me paraît, comment dirais-je, un tantinet exagéré. smiley
                    Est-ce que je dois répondre à cette insulte, ou simplement considérer que je vous ai fait fermer votre gueule. Devinez.....


                  • aladin aladin 4 novembre 2009 10:24

                    d’ou vous sortez ces 26 femmes , de votre kipa ? le Coran autorise d’epouser « jusqu’a » 4 epouses « a condition d’etre equitables envers elles ». Le prophète n’a jamais eu plus de 04 épouses en même temps. La totalité des femmes qu’il a epousé n’ont pas dépassé 9 ou selon certaines soources, le nombre de 13.

                    Cette condition d’equitabilité a empeché les musulmans d’avoir chacun 04 femmes systematiquement,...

                    Car le Coran ajoute a cette condition « si vous ne pouvez être équitables, alors UNE SEULE »....


                  • projetX projetX 4 novembre 2009 11:56

                    «  » si vous ne pouvez être équitables, alors UNE SEULE «  »

                    Le moins qu’on puisse dire c’est que lorsqu’il s’adresse aux hommes et parle des femmes, le coran ne se mouille pas.

                    Bien pratique ce bouquin !


                  • ELCHETORIX 4 novembre 2009 19:01

                    Aux détracteurs du prophète mohamed , on ne dit pas « momo » ce n’est pas votre copain - pour l’irrespectueux big mac .
                    L’islam ne résulte pas d’un dogme figé à sa révélation , l’islam évolue et des philosophes contemporains se chargent de moderniser et adapter cette religion dans le monde actuel .
                    Les responsables des musulmans de notre pays prônent un ISLAM modéré , sans renier , me semble-t-il la genèse du livre révélé !
                    Vous stygmatisez cette religion , car elle est le plus puissant rempart à l’occident qui veut imposer partout , dans le monde , sa SOCIETE MARCHANDE , uniforme et insipide , réduisant toute personne en CONSOMMATEUR et ses PLAISIRS IMMEDIATS, sans tenir compte de sa pensée , ses rêves , sa foi , ses doutes , etc..
                    hasta luego !
                    et INCH ALLAH ! pour les hommes et femmes qui ne veulent pas être des « robots » de ce monde , dit moderne , qui élève au « statut de religion » l’économie de marché libérale " qui a pour règle le profit et la consommation des biens , sans pour autant apporter des remèdes pour le salut et le bonheur du plus grand nombre .


                  • ELCHETORIX 4 novembre 2009 19:25

                    @ BLACK..... , vous avez « bonne mine » avec cet avatar , ce logo est encore plus sinistre que le drapeau que vous affichiez auparavant .
                    Allez , comme à tous vos semblables
                    hijo de ..... !
                    y hasta la victoria siempre !


                  • aladin aladin 5 novembre 2009 12:11

                    @Frederic Lyon
                    "contraire à la Démocratie et à nombre de principes démocratiques, tels que la liberté de pensée et d’opinion, la Laïcité de l’Etat, le droit des femmes à l’égalité et à la dignité, le principe démocratique comme seule source de la loi« 

                    beaux principes en effet !
                    demandez aux 1 500 000 de morts algériens du fait de la colonisation ce qu’ils pensent de vos beaux principes de liberté et de démocratie » ?!
                    et aux 45 000 morts de mai 45 qui « eux aussi reclamaient leur independance » ce que fut votre reponse à leur revendication democratique ?!(ces 45 000 morts qui pensaient qu’après vous avoir donné un de main pour vous liberer du nazisme, ils allaient etre entendu par les chantres de la démocratie a double vitesse qui a toujours été la votre....


                  • ZEN ZEN 3 novembre 2009 18:46

                    Ce texte de L.Strauss, que je connais bien, souvent cité hors-contexte par Courouve, mérite d’être mis en perspective (il parle d’une expérience limitée à la région de Karachi à une certaine époque) et d’être critiqué par son caractère généralisant.
                     Il y a des formes d’Islam très diverses.
                    Voir là-dessus les excellentes études d’Olivier Roy, un des meilleurs connaisseurs français de l’Islam
                    L.Strauss est meilleur quand il parle des Bororos d’Amazonie


                  • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 18:52

                    Tout à fait de l’avis de ZEN : le texte, bien qu’intéressant, est très circonscrit géographiquement, et sa citation « globalisée » ne rend guère hommage à son auteur. On ne saurait réduire l’Islam à cette description particulière.

                    Cela dit, rendons effectivement hommage à Claude Levi-Strauss... un peu d’intelligence en moins dans un pays qui en manque déjà tant.


                  • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque 3 novembre 2009 18:56

                    @ Zen :

                    J’ai bien cité quelques textes de Lévi-Strauss, mais jamais celui-là.

                    C’est donc votre message qui est totalement « hors-contexte », et votre sens du contexte complètement inexistant.


                  • ZEN ZEN 3 novembre 2009 18:57

                    CLS, ethnologue de génie, mais historien médiocre, du fait d’une méthode structurale féconde mais rigide, adaptée seulement aux sociétés sans écriture (ce que Sartre lui reprochait...)

                    "...Dans Tristes tropiques, il confie à un détour de page : « … il m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France est en train de devenir musulmane […] » dit-il. Plusieurs décennies plus tard, au début des années 2000, Claude Lévi-Strauss réitère ses propos en confiant au Nouvel Observateur : « les brefs contacts que j’ai eus avec le monde arabe m’ont inspiré une indéracinable antipathie ».

                    L’amoralité d’un tel aveu contraste évidemment avec les multiples précautions oratoires prises par les intellectuels les plus conservateurs pour parler du monde arabo-musulman. Mais au-delà de cette originalité, il y a l’indécrottable culturalisme de Claude Lévi-Strauss, un culturalisme qui le conduit paradoxalement à naturaliser la culture, c’est-à-dire à en faire un phénomène dissocié du reste du monde social ou considéré comme une réalité totalisante dépassant les processus politiques et économiques qui le constituent.

                    En effet, Claude Lévi-Strauss a toujours retraduit le monde contemporain au prisme d’une interrogation : la différence entre les sociétés. Peu de choses, dans son anthropologie, permettent de comprendre comment les sociétés changent, comment elles s’inventent et s’imbriquent pour donner des phénomènes inédits. Cette incapacité à lire le changement social et cette inaptitude à entrevoir le monde aux travers des acteurs sociaux qui l’éprouvent sont au fondement de sa cécité face à la société actuelle. Elle est sans doute à mettre en relation avec son rapport lointain au terrain et la faible perspective historique à laquelle il pouvait ainsi prétendre concernant les sociétés qu’il a lui-même étudiées.

                    Mais c’est aussi la notion de « sociétés » tels qu’il en fait usage qui est en jeu. À la fois homogénéisées et expurgées des clivages sociaux qui les constituent, les sociétés semblent pouvoir s’incarner dans les comportements d’individus. Des immigrés par exemple. Claude Lévi-Strauss a finit par voir le monde contemporain à la lunette de clivages culturels et « ethniques » passés, un monde où les classes sociales n’apparaissent pas, où tout se qui s’apparentent au capitalisme et à l’État ne semble considéré que dans une globalité extrême. Cette pensée a de quoi susciter la critique. Mais c’est surtout l’admiration ambiante, peut-être celle du respect ou du devoir à l’égard du maître qui explique qu’aussi peu de voix s’élèvent pour marquer leur distance à l’égard de l’œuvre de Claude Lévi-Strauss.

                    Cette perception « archéologique » du monde lui permet de se voir accorder les vertus de misanthrope fantasmant le traditionnel pour mieux dénoncer le moderne. Mais a-t-on besoin d’une telle idéologie pour reconnaître les méfaits de notre société ? Malgré le nombre de pages publiées, malgré la puissance de la réflexion et de l’exceptionnalité de sa pédagogie, Claude Lévi-Strauss laisse orphelin ceux à qui l’on renvoie constamment leur culture pour expliquer "les échecs de leur intégration". (eric S. Mediapart)


                  • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque 3 novembre 2009 19:02

                    Voici ce que j’avais cité :

                    Claude Lévi-Strauss (1908-2009) :

                    «  L’intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s’en rendent coupables, car s’ils ne cherchent pas toujours, de façon brutale, à amener autrui à partager leur vérité, ils sont pourtant (et c’est plus grave) incapables de supporter l’existence d’autrui comme autrui.  »

                    Tristes Tropiques, 9e partie, xxxix.

                    «  J’ai dit dans « Tristes Tropiques » ce que je pensais de l’islam. Bien que dans une langue plus châtiée, ce n’était pas tellement éloigné de ce pourquoi on fait aujourd’hui un procès à [Michel] Houellebecq. Un tel procès aurait été inconcevable il y a un demi-siècle ; ça ne serait venu à l’idée de personne. On a le droit de critiquer la religion. On a le droit de dire ce qu’on pense. [...] Nous sommes contaminés par l’intolérance islamique. Il en va de même avec l’idée actuelle qu’il faudrait introduire l’enseignement de l’histoire des religions à l’école. J’ai lu que l’on avait chargé Régis Debray d’une mission sur cette question. Là encore, cela me semble être une concession faite à l’islam : à l’idée que la religion doit pénétrer en dehors de son domaine. Il me semble au contraire que la laïcité pure et dure avait très bien marché jusqu’ici.  »

                    Visite à Lévi-Strauss, Le Nouvel Observateur, 10 octobre 2002.


                  • ZEN ZEN 3 novembre 2009 19:08

                    Senatus
                    Je parlais de Courouve...
                    Il y a erreur


                  • ZEN ZEN 3 novembre 2009 19:16

                    « a chacun son CLS.. en somme.... »

                    Non point
                    Il se trouve que j’ai lu toute son oeuvre et que j’ai fait une thèse sur lui
                    Chaque homme, quelque célèbre qu’il soit, a ses grandeurs, mais aussi ses limites


                  • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque 3 novembre 2009 19:17

                    Non, parce que Senatus populusque est le pseudo de Courouve


                  • aladin aladin 4 novembre 2009 12:55

                    claude levis strauss n’est pas le bon Dieu et vous n’etes pas son prophète.
                    Des penseurs aussi libres sinon plus que lui ont emis des jugements sur notre prophète, beaucoup plus sincères et parfois même admiratifs.

                    je vous en cite parmi le nombre :


                    Alphonse de Lamartine

                    « Jamais homme ne se proposa volontairement ou involontairement un but plus sublime, puisque ce but était surhumain : saper les superstitions interposées entre la créature et le Créateur, rendre Dieu à l’homme et l’homme à Dieu ; restaurer l’idée rationnelle et sainte de la Divinité dans ce chaos de dieux matériels et défigurés de l’idolâtrie. »

                    « Jamais homme n’entreprit, avec de si faibles moyens, une œuvre si démesurée aux forces humaines, puisqu’il n’a eu, dans la conception et dans l’exécution d’un si grand dessein, d’autre instrument que lui même et d’autres auxiliaires qu’une poignée de barbares dans un coin de désert. »

                    « Enfin jamais homme n’accomplit en moins de temps une si immense et durable révolution dans le monde, [...]. »

                    « Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l’immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l’homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l’histoire moderne à Mahomet ? Les plus fameux n’ont remué que des armes, des lois, des empires ; Ils n’ont fondé (quand ils ont fondé quelque chose) que des puissances matérielles écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des législations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d’hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué de plus, des autels, des dieux, des religions, des idées, des croyances, des âmes ; il a fondé sur un livre ou chaque lettre est devenue loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toute langue et de toute race,[...].  »

                    « « Cet homme était-il un imposteur ? Nous ne le pensons pas, après avoir bien étudié son histoire. L’imposture est l’hypocrisie de la conviction. L’hypocrisie n’a pas la puissance de la conviction, comme le mensonge n’a jamais la puissance du mensonge de la vérité. »

                    « [...]. Une pensée qui porte si haut, si loin et si longtemps, est une pensée bien forte ; pour être si forte, il faut qu’elle ait été bien sincère et bien convaincue. [...] »

                    Philosophe, orateur, apôtre, législateur, guerrier, conquérant d’idées, restaurateur de dogmes rationnels, d’un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d’un empire spirituel, voilà Mahomet ! A toutes les échelles où l’on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand  ? »Alphonse de Lamartine


                  • aladin aladin 4 novembre 2009 14:08

                    KRONFI

                    Comme Claude LevisStrauss n’est pas le bon Dieu et que Kronfi n’est pas son Prophète, tentons de citer des penseurs autrement plus libres et moins sectaires à propos du Prophète de l’Islam.



                    Alphonse de Lamartine

                    Librairies-Editeurs : Victor Lecou et Pagnerre ; 1855 ; Tome Premier ; Chapitre : Livre premier ; Partie : XCIV(94) ; page 277

                    « Jamais homme ne se proposa volontairement ou involontairement un but plus sublime, puisque ce but était surhumain : saper les superstitions interposées entre la créature et le Créateur, rendre Dieu à l’homme et l’homme à Dieu ; restaurer l’idée rationnelle et sainte de la Divinité dans ce chaos de dieux matériels et défigurés de l’idolâtrie. »

                    « Jamais homme n’entreprit, avec de si faibles moyens, une œuvre si démesurée aux forces humaines, puisqu’il n’a eu, dans la conception et dans l’exécution d’un si grand dessein, d’autre instrument que lui même et d’autres auxiliaires qu’une poignée de barbares dans un coin de désert. »

                    « Enfin jamais homme n’accomplit en moins de temps une si immense et durable révolution dans le monde, [...]. »

                    « Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l’immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l’homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l’histoire moderne à Mahomet ? Les plus fameux n’ont remué que des armes, des lois, des empires ; Ils n’ont fondé (quand ils ont fondé quelque chose) que des puissances matérielles écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des législations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d’hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué de plus, des autels, des dieux, des religions, des idées, des croyances, des âmes ; il a fondé sur un livre ou chaque lettre est devenue loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toute langue et de toute race,[...]. »

                    Librairies-Editeurs : Victor Lecou et Pagnerre ; 1855 ; Tome Premier ; Chapitre : Livre premier ; Partie  : XCV(95) ; page 279

                    « « Cet homme était-il un imposteur ? Nous ne le pensons pas, après avoir bien étudié son histoire. L’imposture est l’hypocrisie de la conviction. L’hypocrisie n’a pas la puissance de la conviction, comme le mensonge n’a jamais la puissance du mensonge de la vérité. »

                    « [...]. Une pensée qui porte si haut, si loin et si longtemps, est une pensée bien forte ; pour être si forte, il faut qu’elle ait été bien sincère et bien convaincue. [...] »

                    Philosophe, orateur, apôtre, législateur, guerrier, conquérant d’idées, restaurateur de dogmes rationnels, d’un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d’un empire spirituel, voilà Mahomet ! A toutes les échelles où l’on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand  ? »

                    Georges Bernard Shaw, Un Irlandais acerbe et provocateur, pacifiste et anticonformiste, il obtint le prix Nobel de littérature en 1925.

                    Au-delà de toute idéologie, l’objet de cet article est de vous présenter quelques passages témoignant de l’admiration que portait George Bernard Shaw pour le Prophète Muhammad (Que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur Lui). Les extraits suivants sont tous vérifiés et référencés, ils sont donc des réalités de fait. En revanche nous nous garderons bien d’en faire une interprétation, bien que certains extraits soient longs et compréhensibles, ils n’en sortent pas moins de leur contexte. Au lieu de légitimer une thèse, nous préférons vous laissez juger par vous même .

                    Extrait : “The Genuine Islam”

                    Vol. 1, N° 8, 1936

                    « Ce dont le monde a le plus besoin est un homme qui a l’esprit de Mohammed. Les hommes religieux dans le Moyen-âge, par ignorance et par fanatisme, ont propagé une image obscure de la religion de Muhammad qu’ils ont considéré comme l’ennemi du christianisme. Mais après avoir eu connaissance de l’histoire de cet homme, j’ai trouvé que c’est un prodige exceptionnel et j’ai conclu qu’il n’est pas l’ennemi du christianisme mais le sauveur de l’humanité. Selon mon opinion, s’il avait à se charger des affaires de ce monde actuel, il résoudrait tous nos problèmes et assurerait la paix et le bonheur pour le monde entier »


                  • Nobody knows me Nobody knows me 5 novembre 2009 13:10

                    On ne saurait réduire l’Islam à cette description particulière (cf région de Karachi).

                    Vous croyez que ça lui fait peur de réduire l’Islam à une vision particulière ? En l’occurrence la sienne ? Détrompez-vous.
                    kronfi nous a fait une rapide (c’est peu de le dire) esquisse de l’ensemble de la communauté musulmane en nous présentant un cas dans la communauté pachtoune (qui on le sait vit dans une région très stable)...
                    Il a pas que ça à faire, y a des « business plan » sur le feu.


                  • samir 4 novembre 2009 13:51

                    tout ethnologue qu’il est je pas du principe que les discours generalisant sont tres dangereux et tres betes

                    Citer par « ils » plus de 1,6 milliards d’humains et leur attribuer qualités defauts, comportements psychoogies commun(es) me fait etrangement penser a ce qu’on disait des juifs en Europe au debut du siecle dernier...

                    ce texte releve plus de la subjectivité que de l’etude scientifique serieuse


                  • ZEN ZEN 3 novembre 2009 18:49

                    Hommage à lui, oui
                    Mourir à 100 ans !
                    J’ai eu l’occasion de suivre certains de ses séminaires
                    Un grand bonhomme


                    • sentinelle 3 novembre 2009 19:16

                      @ philbroff

                      «  »vous avez de la merde dans les yeux«  »
                      grossier personnage

                      cela n’a pa l’air de tourner comme vous le souhaitez....me trompe je ?


                    • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 19:16

                      Pour ce qui est d’avoir de la merde dans les yeux, je crains que vous ne soyez mal placé, mon cher Kronfi... n’y voyez aucune offense.

                      Oui, on peut lire le Coran et, comme vous, ou à l’instar des islamistes que pourtant vous prétendez combattre, ne retenir que les passages qui appellent au meurtre. il est vrai qu’il y en a un paquet, et néanmoins j’attirerais votre attention sur certains passages du Talmud franchement limite. Dans un autre genre, je connais des extrémistes protestants qui pouvez vous légitimer n’importe quelle horreur en citant la Bible. Chrétiens, Juifs, Musulmans, Hindouistes,¨païens et incroyants, tous ont commis des massacres.

                      Voilà précisément pourquoi je ne voulais pas citer, ni ne citerai le Coran au fil de mes portraits. A avoir constamment le nez dans les textes religieux, on finit par dire n’importe quoi.

                      Frédéric Alexandroff


                    • MaxlaMenace 3 novembre 2009 19:17

                      Pour l’auteur.

                      J’ai lu plus haut que vous avez fait des recherches universitaires et que vous n’êtes pas prosélyte car pas musulman.

                      J’aimerai profiter de ce forum pour vous poser quelques questions « historiques » sur l’Islam, ainsi que d’autres, plus contemporaines.

                      Vous n’êtes nullement obligé de me répondre. Mon souhait étant de profiter de vos connaissances immédiates (sans vous obliger à faire de recherches complémentaires). Si ma question sort de vos connaissances, j’irai chercher plus loin.

                      De toutes façons j’ai de nombreuses questions à vous poser !

                      Je commence par la première : est-ce exact que l’Islam tire une partie de sa doctrine du culte lunaire Babylonien. Le Dieu Lune semblait être l’une des 360 divinités arabes avant la création de l’Islam. D’où le symbole du croissant sur le drapeau ou la monnaie de nombreux pays. Mahomet aurait détruit à Médine toutes ces 360 divinités arabes pour n’y laisser que celle du Dieu lune. Des fouilles archéologiques en Arabie Saoudite ont mis au jour des idoles et statuettes du Dieu lune.

                      Pouvez-vous confirmer ou infirmer ?

                      D’avance merci.

                      Max.


                      • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 23:09

                        Bonsoir Max,

                        En préambule, je précise que je ne suis pas historien de formation, mais juriste... du coup, je me suis surtout intéressé à l’Islam sous un angle historico-juridique, si bien que la période antérieure à son avènement ne constitue pas ma spécialité. Par ailleurs, la question que vous me posez est -si ma mémoire est bonne- loin d’être tranchée par les spécialistes de la question, aussi bien vous inviterais-je à prendre ma réponse avec des pincettes.

                        Effectivement les sources mentionnent la présence de 360 statues de déités païennes à la Ka’ba, et lorsque Mahomet y pénétra, en 630, il les brisa toutes... oui, je ne crois pas me souvenir qu’il aurait épargné celle du Dieu Lunaire, nommé -entre autres- Hubal, en qui certains voient une « préfiguration » d’Allah, voire tout simplement considèrent Hubal et Allah comme une seule et même divinité, la victoire de Mahomet l’érigeant au rang de Dieu Unique. Toujours est-il qu’en dépit de la destruction de la statue, Hubal aurait « survécu » à travers certains symboles, et notamment, comme vous le faites remarquer, le croissant.

                        J’espère avoir pu vous apporter quelques lumières, et si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas.

                        Frédéric Alexandroff


                      • MaxlaMenace 3 novembre 2009 23:37

                        Merci Frédéric.

                        Je ne connaissais pas son nom. Votre réponse m’est déjà très utile seulement sur ce point !

                        Connaissez-vous les spécificités de cette ancienne divinité Hubal : rites, « pouvoirs », qualités / défaut. En dehors du symbolisme, avez-vous retrouvé des traces de ce Hubal dans le Coran ?

                        PS : pour plus de clarté pour les autres forumeurs, j’ouvrirai une autre sous-file pour une autre question.

                        Max.


                      • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 4 novembre 2009 14:08

                        A Max,

                        Pour ce qui est de retrouver Hubal dans le Coran, « en dehors du symbolisme » là, j’ai un doute...

                        Navré.


                      • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 23:16

                        « mahomed ? aucune image »

                        A part les chiites qui le représentent en long, en large et en travers, au grand désarroi des sunnites qui y voient de l’idolâtrie...

                        « vous avez du travail monsieur l’auteur, pour nous faire avaler votre histoire de l’islam alors que des scientifiques de renom ont passe leur vie a decrire une partie de l’imposture islamiste a un moment donne. »

                        Amusant, vous passez d’« Islam » à « islamisme » dans la même phrase. Si ce n’est pas de l’amalgame, ça mon bon monsieur. Amalgame qui est la première arme en même temps que le meilleur bouclier des islamistes... mais dans quel camp êtes-vous donc ?

                        « la masse arabo musulmane inculte et lobotomisée »

                        Ce n’est pas la masse arabe qui a élu Sarkozy Président de la République, ce qui n’est guère une preuve d’intelligence. Oui, d’accord, l’argument est spécieux, mais c’était irrésistible. Et votre réthorique est tellement gavée de racisme primaire que je peux sans doute me le permettre.


                      • Big Mac 3 novembre 2009 23:48

                        « Ce n’est pas la masse arabe qui a élu Sarkozy Président de la République, »

                        Et les palestiniens qui votent pour le Hamas à 90% c’est une preuve d’intelligence ?


                      • projetX projetX 4 novembre 2009 11:23

                        Il n’y a pas de difference entre islam et islamisme.
                        L’islamiste n’est qu’un musulman qui applique ouvertement et à la lettre les idees de l’islam !
                        C’est d’ailleurs pourquoi vous ne voyez jamais defiler les musulmans pour se plaindre des attrocités islamistes !


                      • Big Mac 3 novembre 2009 20:30

                        Peu après la mort de Muhammad, lors de son discours de la mosquée de Médine, Abu Bakr admettais que malgré tous les efforts de Muhammad à La Mecque pour y diffuser l’islam par la douceur et la persuasion avaient complètement échoué. Il ajoutait : « Muhammad étant resté plus de dix ans parmi les siens, et les ayant invités à l’islam, cette communauté n’a pas cru, à l’exception de quelques-uns. À la fin, par la Volonté du Dieu Très-Haut, il jeta sur vos demeures le rayon de son regard et fit de votre cité la demeure de son exil et le refuge de la Migration »(Rauzatu-s Safa, vol. II, p. 221 ).

                        Donc Muhammad après treize ans à diffuser sa religion par des moyens de conversion pacifiques, avait selon tous ses proches et dans toutes les sources échoué. L’exil de l’hégire survient après un échec total de la conversion pacifique.

                        Dès le début de l’Hégire Muhammad approuva et encouragea la guerre et le pillage et les Arabes se rallièrent en masse derrière son étendard. Comme l’atteste Ibn Isham (Vol. I, p. 177. ), quelques mois après son arrivée à Médine, « il n’y avait pas une famille de Médine qui ne croyait pas, à l’exception de certains de la tribu des Aus ».

                        Désormais, tous les clans s’étaient ralliés à sa juteuse cause, leur nombre était tel que, En l’an huit de l’Hégire, Muhammad avançait pour attaquer La Mecque avec une armée de 10 000 musulmans. (Ibn Athir, vol. II, p. 93. ).

                        En l’an 9 de l’Hégire, l’expédition à Tabuk mobilisait 30 000 musulmans. Un peu plus tard, le Katibu’l Waqidi (Futuhu’sh Sham, vol. I, p. 6 ) dit qu’Abu Bakr avait envoyés en djihad pour conquérir la Syrie des musulmans si nombreux qu’ils « remplissaient le pays »

                        Alors quand l’auteur prétend que : « Moins de dix ans furent donc nécessaires à Mahomet pour imposer l’Islam à l’Arabie tout entière, usant à la fois de persuasion et de force pour obtenir la conversion », vous comprendrez que c’est une falsification grave des faits relatés dans toutes les sources islamiques.

                        Plus exactement l’auteur a converti en 13 ans une centaine de personne par la persuasion, mais par le pillage en bande organisé, en moins de dix il a converti des dizaines de milliers de personne.


                        • monbula 4 novembre 2009 08:26

                          Big, Big

                          Quel savoir.... 1515, dîtes-moi, c’est bien la Bataille de Marignan. ?


                        • invisible man invisible man 3 novembre 2009 20:33

                          Belle pub pour l’un des pires psychopathes que la Terre ait jamais porté !
                          Agoravox s’enfonce de plus en plus...


                          • monbula 4 novembre 2009 08:32

                            invisible main
                            Belle pub pour l’un des pires psychopathes que la Terre ait jamais porté !

                            Et en plus, à l’école, il avait un comportement anti-social. Je me souviens, il me piquait tous mes bonbons.


                          • Big Mac 3 novembre 2009 23:04

                            Ben voilà bilan de la première journée de débat, pas un islamophile ne répond aux simples questions bon sens posées, mais comme d’habitude, les insultes et la censure volent bas pour remplacer l’argumentation qui fait défaut.

                            Bien sûr les sempiternelles attaques contre le complot sioniste et le nouvel ordre mondial, arrivent à point pour masquer le désordre mental de ceux qui accusent les autres de troll, de connards et de sadiques, alors que les prétendu trolls sont les seuls à parler du sujet avec références historiques à l’appui.

                            Vous avez dit bizarre ?


                            • snoopy86 3 novembre 2009 23:15

                              @ l’auteur

                              Envisagez vous de faire la même série sur la vie de Gilbert Bourdin ?

                              Et sur Claude Vorilhon ?

                               


                              • Big Mac 3 novembre 2009 23:18

                                Non il entend nous démontrer le pacifisme de Hitler.


                              • Frédéric Alexandroff Frédéric Alexandroff 3 novembre 2009 23:18

                                « Commentaires rarement élogieux, parfois clairement racistes, et tous frappés du sceau, peu glorieux à mes yeux (sans doute est-ce là mon côté conservateur), d’une croyance ignorante (presque un pléonasme). Et de ce fait, enfin, l’envie de pourfendre cette croyance ignorante, quand bien même ce ne serait qu’un coup d’épée dans l’eau ; elle et ses maudits rejetons que sont les opinions, auxquelles on doit donc en tout état de cause opposer la connaissance. »

                                Merci d’apporter autant d’eau à mon moulin...


                              • Big Mac 3 novembre 2009 23:27

                                Répondez au question qui sont posées au lieu de tourner autour du pot en digressions :

                                Alors 1 seule femme cheftaine d’entreprise avant l’islam 26 femme et concubines cloitrés sous leurs tentes après l’islam, ça prouverait que l’islam aurait émancipé les femmes ?


                              • snoopy86 3 novembre 2009 23:28

                                1) En dépit de votre insondable prétention vous ne nous avez rien appris sur l’islam que nous ne sachions déjà ( surtout Moncef ) ....

                                2) Vous pourriez également nous expliquer pour quelles raisons le gourou de cette secte vous semble plus intéréssant que les deux que je vous ai cité.

                                Personnellement je les trouve plus rigolos et moins sanguinaires


                              • Big Mac 4 novembre 2009 00:10

                                Le problème c’est que quand l’auteur n’était pas même à l’état de projet, moi je récitait le coran en tant que musulman, fils petit fils et arrière petit fils de musulman.

                                Mais le monsieur qui a pris quelques cours en amphi et a consulté google, prétend m’apprendre l’islam.

                                 


                              • ykpaiha ykpaiha 4 novembre 2009 00:28

                                Monsieur,
                                Le racisme le vrai l’hideux l’ignoble racisme est de faire accroire aux postulats révélés et divins d’un texte qui ne résiste a aucune critique sérieuse.
                                Ce faisant, vous enfermez les gens dans l’abrutissement et la jégende, taisant toute forme d’émancipation.
                                Oui mahomet était un pervers, oui l’islam est un syncrétisme opportuniste, oui la foi des armes n’a été que le seul et unique vecteur de son développement et de maintien au pouvoir.
                                D’ailleurs je m’interroge, a savoir si en final les soubressauts actuel du monde musulman.ne sont pas une forme symptomatique du vide que génère cette philosophie, qui pour s’imposer n’a d’autre moyen que de soumettre.


                              • Armog 4 novembre 2009 10:50

                                D’ailleurs, il est de bon ton de rappeler que le petit caporal appréciait particulièrement cette religion de paix/amour/tolérance :

                                http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Bundesarchiv_Bild_146-1987-004-09A,_Amin_al_Husseini_und_Adolf_Hitler.jpg


                              • monbula 4 novembre 2009 09:44

                                Kronfi
                                 bonjour madame,
                                 
                                Vous savez notre momo ayant vu que michel etait deja pris par les juifs, il avait le choix entre st raphael et st gabriel.....

                                La diversion est vraiment mauvaise....


                              • Shaytan666 Shaytan666 4 novembre 2009 12:10

                                La Marie en question n’habitait pas plus Nazareth qu’il n’y a de beurre en branche.
                                Le fameux village de Nazareth n’existait pas à cette époque, les croisés l’ont cherché en vain.
                                Jésus venait d’une famille de nazaréens, qui à l’époque était une secte religieuse, d’où la confusion entretenue par l’Eglise catholique.


                              • monbula 4 novembre 2009 08:37

                                tektek

                                En base de départ, vous avez ceci :

                                http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_le_Baptiste


                              • acoquetel 4 novembre 2009 06:54

                                Mon cher Alexndroff,

                                 

                                Vous etes surement musulman pour tenir des propos aussi provocants.
                                Vous dites « Mahomet se retrouva dans l’obligation d’avoir recours au pillage ». Voila un bel exemple d’amour du prochain. Vous justifiez les pillages doublement : pour affaiblir la mecque et récupérer une part de leur profit.
                                Vous justifiez le crime religieusement. Vous justifiez la violence religieusement.

                                Mais vous venez de prouver que Mahomet est un voleur, un pillard et rien de plus. Mahomet est devenu très riche grace aux pillages. Quelle était la repartition du butin ? Pratiquement tout pour « l’envoyé de Dieu » et rien pour les autres.

                                Vous idéalisez un homme qui a volé, menti, tué, qui avait pour femme une gamine de 9 ans, et qui a fondé une idéologie acquise à sa cause. Lisez donc les écrits de Voltaire sur le sujet. Vous verrez que l’islam n’ a rien à voir avec la laicité.

                                Mais étant donné que vous êtes musulman, vous ne pouvez pas le concevoir. Pour vous il est normal de faire des razzias pour la cause religieuse.

                                A part ça , l’Islam est une religion de paix avec un « beau modèle ».


                                 

                                 

                                 


                                • Gazi BORAT 4 novembre 2009 07:35

                                  @ acoquetel

                                  « Beau modèle »..

                                  Evitez toutefois d’ériger Voltaire en modèle..

                                  Difficile de prétendre qu’il aurait raison dans ce qu’il aurait écrit à propos des Musulmans et tort dans ses productions concernant les Juifs :

                                  « le plus abominable peuple de la terre »,

                                  un « peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition et à la plus invicible haine pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. »

                                  Certains « grands penseurs » sont comme les livres prétendument révélés, une sorte de grand marché où l’on trouve tout ce que l’on vient y chercher..

                                  gAZi bORAt


                                • ambre 4 novembre 2009 09:22

                                  Frederic, votre article me touche beaucoup, les gens sincères il n’ y a que cela de vrai, je salue votre courage et surtout votre honnêteté puisque vous avez pris la peine et le temps de vous renseigner et d’étudier le sujet en mettant tous vos aprioris de côté, beaucoup de personnes sur ce fil malheureusement ne sont rongés que par leur haine et leur peur et ne font aucun effort pour ouvrir leurs yeux, leur esprit voire leur coeur. S’ils réfléchissaient un peu ils se demanderaient pourquoi cette religion suscite autant d’intérêts, et pourquoi autant de gens se convertissent, je leur souhaite sincèrement d’être guidé vers le droit chemin car chaque être humain mérite d’être heureux et surtout de vivre en paix. Je tiens juste à préciser que l’islam n’est pas une religion nouvelle, islam signifie paix mais également soumission à DIEU, Abraham(SAWS) était soumis à DIEU, Moïse(SAWS) était soumis à DIEU, Jésus(SAWS) était soumis à DIEU, tous les prophètes(SAWS) étaient soumis à DIEU, Mohamed(SAWS) était le dernier messager soumis également à DIEU, donc un musulman est une personne qui se soumet à DIEU.

                                  http://www.youtube.com/watch?v=N1CaT2cKJqI
                                  http://www.youtube.com/watch?v=nymR-Ce2i4E

                                  http://www.youtube.com/watch?v=c29ITgnWx6I


                                  • ambre 4 novembre 2009 09:40

                                    Mohamed(saws) n’a jamais rien pillé, ni volé vous devez sûrement confondre avec les tribus arabes pré-islamiques qui elles commettaient des razzias de pillage et Mohamed(SAWS) a justement éradiqué cette pratique avec la venue de l’islam.


                                    • Armog 4 novembre 2009 10:55

                                      Ha bon ?

                                      http://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Mahomet

                                      Sinon un petit résumé :

                                      618  : Massacre des ennemis à la bataille de Bu’ath
                                      620  : Bagarre à coup de pierre et d’os de chameaux entre musulmans et infidèles
                                      622  : Mahomet reçoit le verset :« tuez les infidèles où vous les trouverez, faites les prisonniers... »
                                      622  : Sad fils d’Abou Waqqash lance la première flèche tirée par un musulman
                                      623  : Combat de Nakhla ; premières morts violentes ; quatre bédouins tués par huit musulmans
                                      623  : Mahomet aurait construit une mosquée à Médine en coupant des arbres et en exhumant les sépultures d’infidèles
                                      623  : Meurtre d’Amrou ben Al Hadhrami chef de caravane, contre l’avis de Mahomet. Premier notable tué par les musulmans
                                      623  : Avis de Mahomet : « ce sont des infidèles, envers lesquels il n’y a pas lieu d’observer une interdiction sacrée »
                                      624  : Bataille de Badr ; première victoire sur les infidèles
                                      624  : Razzia sur la Mecque, pillage et prise de captifs
                                      624  : Après la victoire de Badr, début de l’élimination des juifs
                                      624  : Décapitation du poète Kab been Al Ashraf à Médine, opposant à Mahomet
                                      624  : Bataille de Badr, Mahomet à oqba : "je fais à Dieu le voeux que si je te saisis en dehors de la Mecque, je te ferai couper la tête".
                                      624  : Bataille de Badr, Abou Bakr à Mahomet : « l’infidélité sera exterminée dans le monde ».
                                      624  : Bataille de Badr, défaite des infidèles : « les musulmans les tuèrent à coup de sabres et firent des prisonniers »
                                      624  : Bataille de Badr, Mahomet à ses hommes : "quiconque d’entre vous rencontrera Djahl, tranchez lui la tête et apportez la moi".
                                      624  : Révélation de Mahomet : "il n’a pas été donné à un prophète d’avoir des prisonniers sans faire de grands massacres sur la terre".
                                      624  : Décapitation de Kab ben Asraf, poête critique
                                      624  : Décapitation de deux poêtes anonymes après la bataille de Badr
                                      624  : Après la bataille de Badr, Mahomet à oqba : "ta place et celle des tes enfants est en enfer. s’ils ne deviennent pas croyants, je les ferai tuer..."
                                      624  : Décapitation du poète Abu Afak en Arabie pour avoir critiqué l’islam
                                      624  : Exécution d’Asma Bint Marwan femme ayant critiqué Mahomet
                                      625  : Expulsion du clan juif des Al Nadir
                                      625  : Destruction de l’idole Oubal
                                      626  : Massacre des juifs Beni Khazradj, partage du butin et des familles réduites en esclavage
                                      626  : Expédition contre les juifs Beni Qoraizha,insultés par Mahomet : « O vous, singes et cochons... »
                                      626  : Massacre des 700 juifs Beni Qoraïzha, liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d’un fossé, avec les jeunes garçons
                                      626  : Meurtre du poête satiriste juif Kab chef des Beni nadhir, et de sa femme qui s’était moqué de Mahomet
                                      626  : Expédition contre les juifs de Kaihbar
                                      626  : Meurtredu juif Sallam abou rafi sur ordre de Mahomet
                                      626  : Tentative de meurtre d’Abou Sofyan ordonné par Mahomet
                                      626  : Mahomet fait couper les palmiers de l’oasis des juifs Beni Nadhir
                                      626  : Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme part du butin
                                      627  : Massacre du clan juif des Qurayza à Médine
                                      627  : Massacre des juifs de Médine ; partage des familles réduites en esclavage et des biens
                                      627  : Début de la politique d’agression systématique envers les autres tribus
                                      627  : Agression de la tribu des Bani Moustalik
                                      628  : Attaque par Mahomet de l’oasis de Khaybar
                                      628  : Caravane d’infidèles pillée par Mahomet
                                      628  : Mahomet aux juifs beni Qainoqa : « si vous n’embrassez par l’islam, je vous déclare la guerre »
                                      628  : Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik
                                      628  : Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers
                                      628  : Prise de l’oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet
                                      628  : Soumission des juifs de Wadil Qora
                                      629  : Destruction des idoles d’Allat, Manat et Al Uzza en Arabie
                                      630  : Prise de la Mecque ; 30 exécutions
                                      630  : Première agression contre la Perse à Tabuk
                                      630  : Bataille de Honaïn contre les Bédouins païens
                                      630  : Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba
                                      630  : Décapitation à la Mecque de l’apostat Abdallah ibn Abou Sahr
                                      630  : Décapitation à la Mecque du poête satiriste Abdallah ibn Khatal
                                      630  : Décapitation à la Mecque de Howairith ibn Noqaïd
                                      630  : Condamnation à mort à la Mecque de Ikrima, en fuite
                                      630  : Condamnation à mort à la Mecque de Cafwan ibn Ommayya, en fuite
                                      630  : Condamnation à mort à la Mecque de Hind femme d’Abou Sofyan, en fuite
                                      630  : Exécution à la Mecque de Sara, esclave affranchie
                                      630  : Exécution à la Mecque de Qariba, chanteuse
                                      630  : Exécution à la Mecque de Fartana, chanteuse qui s’était moquée de Mahomet
                                      630  : Destruction de l’idole d’Hubal située dans la Kaaba
                                      630  : Mahomet à son ennemi Cafwan : « tu n’as qu’à choisir entre le sabre [qui te coupe la tête] et l’islam »
                                      630  : Massacre de la tribu des beni Djadsimaa
                                      630  : Arrachage des vignes en Arabie
                                      630  : Destruction de 360 idoles à la Mecque
                                      630  : Prise de Taif par les musulmans
                                      630  : Bataille de Houynan contre les tribus hawazites
                                      630  : Destruction de l’idole d’Al Uzza dans le temple de batn nakhla
                                      630  : Destruction du sanctuaire de Manah par Ali sur les ordres de Mahomet
                                      630  : Destruction du sanctuaire d’AlFals, idole des Tayyi, par Ali sur les ordres de Mahomet
                                      630  : Destruction de l’idole d’Allat par Ibn Suba sur les ordres de Mahomet
                                      630  : Destruction de l’idole Al Uzza dans la vallée de Nahla
                                      630  : Meurtre de Dubayya prêtre d’Al Uzza
                                      630  : Destruction du démon femelle Al Uzza par Halid « femme noire dévêtue »
                                      630  : Destruction de l’idole d’Isaf
                                      630  : Destruction de l’idole de Naila
                                      630  : Destruction de l’idole de Ruda par Al Mustawgir
                                      630  : Destruction de l’idole Du Al Halasa, du temple ; 200 morts dans l’attaque
                                      630  : Incendie de l’idole Dul Kafayn, dieu des Daws
                                      630  : Destruction de l’idole Dus Sara des Banu Al Harit
                                      630  : Destruction de l’idole Al Uqaysir
                                      630  : Destruction de l’idole A’im des Azd as Sarah
                                      630  : Destruction de l’idole Su’ayr des Anaza
                                      630  : Destruction de l’idole Umyanis des hawlan
                                      630  : Destruction de l’idole Wadd dieu des Qura par Ibn Al Walid
                                      630  : Destruction de l’idole Suwa à Ruhat
                                      630  : Destruction de l’idole Yagut au Yémen, dieu des Madhig
                                      630  : Destruction de l’idole Yauq dieu des Hamdan
                                      630  : Destruction de l’idole nasr dieu des Himyarites sur ordre de Mahomet
                                      630  : Destruction de l’idole Ad Daggal
                                      630  : Destruction de l’idole Al fals des Tayyi et sacrilèges
                                      630  : Destruction de l’idole
                                      631  : Attaque de la ville byzantine de Tabouk
                                      631  : Soumission de Tabouk ; tribut pour les chrétiens
                                      631  : Attaque contre le chrétien Adi et rapt de sa soeur
                                      631  : Destruction par Mahomet de l’idole des Beni Tay
                                      631  : Interdiction du pélerinage de la Mecque pour les infidèles
                                      631  : Pour les Mecquois, « ceux qui restent, qu’ils deviennent musulmans, sinon, que le sabre ou la guerre décident »
                                      631  : Apostasie de la tribu des chrétiens Abdul Qaïs, soumission ou élimination
                                      631  : Soumission des chrétiens de Nadjran
                                      632  : Hérésie d’Al Asuad au Yémen
                                      632  : Traité de soumission de la tribu chrétienne des Taghlibites
                                      632  : Traité de soumission de la tribu chrétienne du Nadjran
                                      632  : Soumission d’Al Aswad chef yéménite apostat
                                      632  : A sa mort, le pacifique Mahomet possède 7 sabres, 3 lances, 3 cuirasses, un bouclier
                                      632  : Appel au meurtre de Tolaïha, comme faux prophète
                                      632  : Appel au meurtre de Aswad, magicien au yémen
                                      632  : A la mort de Mahomet, colère d’Omar : « que la langue de ceux qui disent qu’il est mort soit arrachée »
                                      632  : Décompte par Al Tabari de 62 expéditions guerrières pour Mahomet

                                      Pas mal pour un type qui prône l’amour, la paix, la tolérance. Je n’ose pas imaginer le résultat si ce type avait un brin méchant ....


                                    • projetX projetX 4 novembre 2009 11:05

                                      Et ca continu tous les jours depuis cette epoque.

                                      Alors l’islam , religion de paix et de tolérance, j’appele cela du foutage de gueule !


                                    • Paul Muad Dib 4 novembre 2009 09:41

                                      Salut, l’article est intéressant, personnellement je n’ai aucune croyance, croire n’est pas savoir, or l’imaginaire humain est si roublard que aujourd’hui le plus grand guerrier de la terre reçoit un prix explosif de la paix, le nobel de la paix étant le summum de la vacuité de l’humain en quête de suicide..
                                      qui essaye de dominer le monde par l’argent, les pressions économiques ,les guerres, les famines organisées ,le vol de territoire, la ségrégation, le meurtre ,la torture, la déstabilisation des nombreux états, l’organisation d’attentats étatiques sur les populations déjà mal en point,
                                      la main mise sur les médias mondiaux influents, le vol de biens commun des états accumules grâce a la collectivité etc etc ???
                                      qui donc agit comme cela, certes pas les islamistes, ni les chinois, ni les africains, ni chavez, ni le japon ..... alors qui ?
                                      indice, : certains passent leur temps a gémir de tout !
                                      et d’autres ont démarré fort par un massacre de ceux qui pensent que l’univers est un grand tout, quand aux derniers ils se sont vendus corps et âmes aux deux premiers..
                                      a qui cela profite t’il ?
                                      sûrement pas aux défenseurs de l’iniquité ici présent...les vainqueurs ne frequentent pas ces sites sur le web, !!


                                      • ambre 4 novembre 2009 09:47

                                        Les gens de la Makkah le surnommait « Al amine » qui signifie le digne de confiance et ce bien avant qu’il ne soit messager.


                                        • projetX projetX 4 novembre 2009 11:44

                                          « Le digne de confiance » ?

                                          Comme mon voisin et mon docteur ? Pfff la belle affaire !!!!

                                          élu « digne de confiance » par une bande d’illetrés il y a des centaines d’années !!!!

                                          Ca c’est une SACRé GARANTIE  !!! Merci bcp


                                        • samir 4 novembre 2009 14:08

                                          justement dans cette société la bande d’illetrés donnait une grande valeur a la parole d’une personne...


                                        • iaito68 4 novembre 2009 09:53

                                          Comparaison Jesus-Mahomet à partir des seuls écris du Coran.... à vous de voir ....

                                          http://maranatha.mmic.net/Metwalli.htm


                                          • iaito68 4 novembre 2009 09:56

                                            Extraits du Coran :

                                            « Cette combustion d’hommes et de pierres prête pour les incroyants (ou les incrédules). » Sourate II (la vache, ou la génisse), verset 22 ou 24.

                                            « Les incrédules seront les hôtes (ou les compagnons) du Feu. » II, 37 ou 39.

                                            « Allâh maudisse les incroyants. » II, 83 ou 89.

                                            « Aux incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux). » II, 84 ou 90.

                                            « Aux incroyants l’affreux tourment (un châtiment douloureux). » II, 98 ou 104.

                                            « Je précipiterai l’incrédule dans le châtiment du feu . Quelle affreuse fin (pour lui) ! » II, 120 ou 126.

                                             « Allâh n’aime ni l’incroyant (ou le pécheur incroyant) ni l’impie. » II, 276 ou 277.

                                            « Les incroyants, je les tourmenterai terriblement (ou je le punirai d’un châtiment cruel) en cette vie et dans l’autre et ils seront sans recours. » III (la famille d’Amram), 49 ou 56.

                                            « Quiconque cherche une autre religion que l’Islam ne sera pas accepté. » III, 79 ou 85.

                                            « Qu’Allâh éprouve ceux qui croient et détruise (ou fasse disparaître) les incroyants. » III, 135 ou 141.

                                            « Nous jetterons l’effroi dans le cœur des incroyants. » III, 144 ou 151.

                                             « Nous tenons prête pour les incroyants la honte du tourment (ou une peine ignominieuse). » IV (les femmes), 37 ou 41.

                                            « Ceux qui ne croient pas à nos versets (ou à nos signes), nous les pousseront au feu. Chaque fois que leur peau sera brûlée, nous leur donnerons une autre peau pour qu’ils goûtent le tourment. » IV, 56 ou 59.

                                            « Ceux qui troquent cette vie contre l’autre, qu’ils combattent au sentier d’Allâh. Et ceux qui combattent au sentier d’Allâh, s’ils sont tués ou s’ils sont vainqueurs, nous leur donnerons un salaire sans borne. » IV, 74 ou 76.

                                            « Ne prenez pas d’amis (ou de patrons) chez eux avant qu’ils émigrent dans le sentier d’Allâh. S’ils tournent le dos, saisissez-les, tuez-les où que vous les trouviez. » IV, 89 ou 91.

                                            « S’ils ne se tiennent pas à l’écart, s’ils ne se rendent pas à vous et ne déposent pas les armes, saisissez-les, tuez-les où que vous les trouviez. Nous vous donnons tout pouvoir sur eux. » IV, 91 ou 93.

                                            « Un croyant ne doit pas tuer un croyant, sauf par erreur. » IV, 92 ou 94.

                                            « Allâh tient prêt pour les incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux). » IV, 102 ou 103.

                                            « Nous tenons prête pour les incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux). » IV, 150 ou 151.

                                            « Les incroyants qui nient nos versets seront les hôtes de la fournaise (ou les compagnons de l’Enfer). » V (la table servie), 10 ou 13.

                                            « Les incroyants qui nient nos signes seront les hôtes de la fournaise (ou les compagnons de l’Enfer). » V, 86 ou 88.

                                            « Oui, les incroyants auront le tourment du feu. » VIII (le butin), 14.

                                            « Vous ne les avez pas tués, c’est Allâh qui les a tués. » VIII, 17.

                                            « Les pires bêtes, aux yeux d’Allâh, sont les incroyants qui s’entêtent à ne pas croire. » VIII, 55.

                                            « Annonce aux incroyants l’affreux tourment. Les incroyants avec qui vous avez fait un pacte et qui ne vous ont pas fait tort et n’ont aidé personne contre vous, eh bien respectez ce pacte jusqu’à son terme car Allâh aime les fidèles. Une fois passés les mois sacrés, tuez les incroyants où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez les, dressez leur des embuscades. S’ils se repentent, font la prière, acquittent l’aumône, laissez-leur le champ libre, car Allâh pardonne, il a pitié. » IX (la repentance), 3-5.

                                            Combattez-les (massacrez-les), Allah les torture par vos mains et les couvrira d’ignominie (traduction sur Internet). IX, 14

                                            « Croyants, quand on vous dit : au combat dans le sentier d’Allâh  ! pourquoi rester cloués au sol ? Aimez-vous mieux cette vie que l’autre ? » IX, 38.

                                            « Allâh a promis aux hypocrites, hommes et femmes, et aux incroyants le feu de la géhenne. » IX, 68.

                                            « L’affreux tourment frappera ces incroyants. » IX, 90.

                                            « Allâh achète aux croyants leur âme et leurs biens pour qu’ils aient le jardin. Ils combattent dans le sentier d’Allâh. Ils tuent ou sont tués. » IX, 111.

                                            « Croyants, combattez les incroyants qui sont dans vos parages et qu’ils vous trouvent durs. » IX, 123.

                                            « Pour les incrédules, boisson brûlante (ou le breuvage de l’eau bouillante) et châtiment douloureux, parce qu’ils n’ont pas cru. » X (Jonas), 4.

                                            « Ceux qui ne croient pas aux versets d’Allâh, il ne les guide pas, ils auront l’affreux tourment. » XVI (les abeilles), 104.

                                            « Nous avons préparé pour les coupables un feu dont les flammes les envelopperont. S’ils crient au secours, nous les secourrons avec une eau comme du bronze en fusion pour leur brûler la face. » XVIII (la caverne), 29.

                                            « Les incroyants arguent de l’erreur pour rejeter la vérité. Ils se moquent de nos signes et de nos avertissements. » XVIII (la caverne), 56.

                                            « Ah ! si les incroyants connaissaient le moment où ils ne pourront soustraire au feu leur face ni leur dos, car ils seront sans recours.  » XXI (les prophètes), 39.

                                            « On taillera des vêtements de feu pour les incroyants, on leur versera de l’huille bouillante sur la tête. » XXII (le pèlerinage), 19.

                                            « Ceux qui s’efforcent d’abolir nos signes (ou nos versets) : voilà ceux qui seront les hôtes de la fournaise. » XXII, 50 ou 51.

                                            « Les croyants continueront d’en douter jusqu’à la venue de l’heure soudaine, quand leur viendra le tourment d’un jour dévastateur. » XXII, 55.

                                            « Ils nient l’heure, mais nous avons préparé un brasier pour ceux qui nient l’heure. Quand le brasier les apercevra, ils l’entendront mugir et siffler. » XXV (le critère), 11-12.

                                            « N’écoute pas les incroyants, combats-les rudement avec ce Coran. » XXV, 52.

                                            « Le jardin sera rapproché des fidèles et la fournaise se montrera aux égarés. » XXVI (les poètes), 90-91.

                                            « Les incroyants qui nient nos signes et la rencontre de l’autre vie seront dans le tourment. » XXX (les Romains), 16.

                                            « Allâh maudit les incroyants, il leur a préparé un brasier. » XXXIII (les ligues), 64.

                                            « L’incroyance des incroyants ne fait qu’accroître l’horreur qu’Allâh avait d’eux. » XXXV (le créateur), 39.

                                            « Malheur aux incroyants, à cause du feu. » XXXVIII (çâd), 27

                                            « Ils auront un nuage de feu sur eux et sous eux. » XXXIX (les groupes), 16.

                                            « Les incroyants auront le grand tourment. » XLII (la délibération), 26.

                                            « Les incroyants profitent, ils mangent comme des bestiaux, mais ils auront le feu pour logis. » XLVII (Mahomet), 12.

                                            « Nous avons préparé un brasier pour les incroyants. » XLVIII(la victoire), 13.

                                            « On vous lancera du feu et du bronze en fusion et vous serez sans recours. » LV (le Miséricordieux), 35.

                                            « Ceux qui ont nié nos versets seront les hôtes de la fournaise.  » LVII(le fer), 19.

                                            « Aux incroyants l’affreux tourment. » LVIII (la plaidoirie), 4.

                                            « Les incroyants qui ont nié nos versets seront pour toujours les hôtes du feu. Mauvais avenir. » LXIV (la duperie réciproque), 10.

                                            « Noé dit : Seigneur, ne laisse pas d’incroyants circuler sur Terre, car si tu les laisses, ils égareront tes esclaves et n’engendreront que des pervers sans foi. » LXXI (Noé), 26-27.

                                            « Pour les incroyants, nous avons préparé chaînes, carcans et brasier. » LXXVI (l’homme), 4.

                                            « Les incroyants, qu’ils aient le livre ou qu’ils ajoutent des dieux, iront dans le feu de la géhenne et y seront pour toujours. Ce sont les pires des humains. » XCVIII (la preuve), 6.

                                            N.B. Ces références sont faites d’après :

                                            1 : l’édition en coll. Points, au Seuil, en 1998 (réimpression de juin 2001) ; traduction de Jean Grosjean pour les Éditions Philippe Lebaud, 1979. 2 : l’édition en coll. PBP, chez Payot, en 2001 ; traduction d’Édouard Montet en 1958. 3 : l’édition en coll. Folio classique chez Gallimard, en 2001 : traduction de Denise Masson en 1967.


                                            • agent orange agent orange 4 novembre 2009 16:13

                                              Ca sonne comme du Saint Augustin...
                                              Outre les soi-disant innombrables « défauts » du Prophète, celui-ci avait il aussi celui de plagiaire ?


                                            • Nobody knows me Nobody knows me 4 novembre 2009 16:23

                                              La bonne vieille liste de sourates incriminées. Malheureusement, avec une citation bête et méchante de cegenre, on n’y comprend rien.
                                              Vous devez la connaître par coeur à force. Prenez garde de ne pas tomber dans le piège...
                                              xD


                                            • frédéric lyon 4 novembre 2009 10:13

                                              Donc l’Islam est un projet et une idéologie politique qui se déguise en religion. D’ailleurs le Coran n’a jamais eu la prétention d’avoir une dimension spirituelle ou morale.


                                              En voici quelques citations :

                                              "Allâh tient prêt pour les incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux)." IV, 102 ou 103

                                              "Nous tenons prête pour les incroyants la honte du tourment (ou un supplice ignominieux). IV, 150 ou 151

                                              "Les incroyants qui nient nos versets seront les hôtes de la fournaise (ou les compagnons de l’Enfer)." V (la table servie), 10 ou 13

                                              "Les incroyants qui nient nos signes seront les hôtes de la fournaise (ou les compagnons de l’Enfer)." V, 86 ou 88

                                              « Oui, les incroyants auront le tourment du feu. » VIII (le butin), 14

                                              « Vous ne les avez pas tués, c’est Allâh qui les a tués. » VIII, 17

                                              "Les pires bêtes, aux yeux d’Allâh, sont les incroyants qui s’entêtent à ne pas croire." VIII, 55

                                              "Annonce aux incroyants l’affreux tourment. Les incroyants avec qui vous avez fait un pacte et qui ne vous ont pas fait tort et n’ont aidé personne contre vous, eh bien respectez ce pacte jusqu’à son terme car Allâh aime les fidèles. Une fois passés les mois sacrés, tuez les incroyants où que vous les trouviez. Prenez-les, assiégez les, dressez leur des embuscades. S’ils se repentent, font la prière, acquittent l’aumône, laissez-leur le champ libre, car Allâh pardonne, il a pitié." IX (la repentance, ou l’immunité), 3-5

                                              "Ceux qui ont accusé de mensonge Dieu et son prophète sont restés chez eux. Un châtiment douloureux atteindra bientôt ceux d’entre eux qui sont incrédules" (1) IX, 90

                                              "Parmi les bédouins qui vous entourent et parmi les habitants de Médine, il y a des hypocrites (des polythéistes) obstinés. Tu ne les connais pas ; nous, nous les connaissons. Nous allons les châtier deux fois, puis ils seront livrés à un terrible châtiment." (1) IX, 101

                                              "Croyants, combattez les incroyants qui sont dans vos parages et qu’ils vous trouvent durs." IX, 123.

                                              "Ceux qui ne croient pas aux versets d’Allâh, il ne les guide pas, ils auront l’affreux tourment." XVI (les abeilles), 104.

                                              "Nous avons préparé pour les coupables un feu dont les flammes les envelopperont. S’ils crient au secours, nous les secourrons avec une eau comme du bronze en fusion pour leur brûler la face." XVIII (la caverne), 29.

                                              "Ah ! si les incroyants connaissaient le moment où ils ne pourront soustraire au feu leur face ni leur dos, car ils seront sans recours." XXI (les prophètes), 39

                                              "On taillera des vêtements de feu pour les incroyants, on leur versera de l’huile bouillante sur la tête.« XXII (le pèlerinage), 19

                                              ............................

                                              Voici donc ce que les fidèles, ceux qui sont »soumis« à dieu, sont fermement invités à faire au »incroyants" !!

                                              Est-il surprenant dans ces conditions que le taux de délinquance des musulmans soit si élevé, au point qu’ils encombrent toutes les prisons de France et de Navarre ?

                                              Ces textes ne tombent-ils pas sous le coup des lois qui répriment les incitations au meurtre et à la violence ?

                                              Pris au pied de la lettre, le Coran est incompatible avec la loi républicaine. Mais faut-il le prendre au pied de la lettre ? 

                                              Si nous avons de la mémoire, nous nous souviendrons qu’on nous conseillait déja, dans les années trente, de ne pas prendre Mein Kampf au pied de la lettre. Encore un texte qui annonçait pourtant clairement la couleur !

                                              Nous ne referons pas la même erreur aujourd’hui.





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