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Les commentaires de FuturHebdo



  • FuturHebdo FuturHebdo 18 août 2007 12:10

    Le Tétragramme était pronnoncé, qu’à certaines occasions, par le seul grand prètre, dans le secret du Saint des Saints, salle à la quelle il avait seul l’accès.

    Quand à la prononciation de l’hébreux, c’est une construction moderne qui date du XIXe siècle et qui fut l’oeuvre d’Eliezer Ben Yehouda (Litunia,1858 - Israël, 1922), l’hébreux étant devenu au cours des siècle une langue morte.



  • FuturHebdo FuturHebdo 18 août 2007 11:54

    Bonjour, Le seul propos de cet article est de montré l’inconsistence de hypothèses créationnistes. Ceux-ci s’insinuent dans la recherche scientifique... et de plus en plus en Europe... ils s’insinuent dans l’esprit des gens provoquant un trouble grandissant. Demandez à des enseignants ou des chercheurs, ils commencent à témopigner !

    Le propos de cet article est de montré qu’on peut leur répondre en utilisant leur vocabulaire et leur mode de pensée...

    Si j’avais su que ce texte provoquerait autant de vague... peut-être l’aurais-je publié plutôt ! smiley



  • FuturHebdo FuturHebdo 14 août 2007 23:58

    Sur www.futurhebdo.com - http://dans50ans.blogspot.com/2006/10/le-30-octobre-2056-leurope_116205657653314729.html

    Le 30 octobre 2056 : L’Europe doit-elle se doter d’une nouvelle constitution ?

    Il y a une cinquantaine d’années, l’Europe, en pleine construction, se déchirait, en coulisse, autour de ce qui allait devenir sa première constitution. Le pugilat constitutionnel qui frôla maintes fois la gabegie dura une décade.

    Aujourd’hui, l’Europe se trouve à marcher à nouveau sur ses propres traces. Avec une communauté de 35 membres, les divergences de politiques nationales s’assemblent en sous-groupes de plus en plus identifiés. Certains restent attachés à leurs identités nationales, d’autres appellent à une plus grande intégration, allant jusqu’à évoquer une nation européenne.

    Identité européenne opposée à identité nationale. Voilà un débat que les pères de l’Europe auraient eu du mal à imaginer à la fin du XXe siècle. Cette réalité toute contemporaine justifie, pour certains, l’ouverture de nouveaux travaux pour la Commission Constitutionnelle Européenne en 2057-58. Et l’on voit ressurgir le vaisseau fantôme de l’Europe à deux vitesses, celles des « enthousiastes » qui veulent accélérer l’intégration européenne avec, aujourd’hui, une composante euro-nationaliste (terme délicat...), et celles des « pragmatiques » qui veulent toujours prendre plus de temps dans leurs choix quitte à « déconstruire » les acquis de l’actuelle constitution.

    Il existe un troisième groupe, non négligeable, qui voudrait bien se passer des disfonctionnements de l’administration européenne qui vont apparaître des déchirements provoqués par les travaux constitutionnels. « 10 ou 15 ans de palabres tous les 50 ans... c’est cher payé pour une constitution ! » disent, avec une pointe d’exaspération, ces derniers.



  • FuturHebdo FuturHebdo 7 août 2007 23:27

    Le 9 juillet 2056

    Allocution de la Présidente de la République.

    Cette année, à l’occasion de la fête nationale, se présente un exercice difficile pour la présidente de la République. Elle va devoir défendre dans un même discours l’identité nationale pour plaire à l’aile la plus nationaliste de son électorat alors que tout au long de l’année, ses actes politiques montrent un attachement de plus en plus marqué au projet latent de nation européenne.

    Depuis l’établissement de la Première Constitution européenne, la France, avec l’Allemagne, a mis toute son énergie dans la construction communautaire. La vieille Europe a su montrer ses capacités d’émulation, après des décennies d’atermoiement. Il n’empêche : une certaine tranche de la population française a du mal à se sentir pleinement européenne, leurs représentants élus « sont là pour défendre leurs intérêts ».

    Les discours officiels sont toujours sujets à interprétation. Cette année, l’exercice sera d’autant plus délicat que chaque bord de l’opinion cherchera à faire dire au discours de la Présidente les paroles qui lui sont les plus favorables. La perspective de l’ouverture d’une nouvelle commission constitutionnelle européenne appelle aux grandes manœuvres : il faut placer ses hommes et ses idées !

    Les politiciens, politologues et autres analystes tenteront également de sentir les prémices de ce qui pourrait être la future direction gouvernementale française au sein de l’Europe. L’engagement de la Présidente pour l’Europe est total, mais certains voudraient bien sentir les nuances qu’elle garde secrètes. Ces précisions concernent la Défense Nationale, l’Education et les Finances. Se refusant à parler de souverainisme, même dans le camp de la Présidente, on défend néanmoins certains domaines.



  • FuturHebdo FuturHebdo 31 juillet 2007 19:02

    C’est une évidence... Mais Raël joue sur l’ambiguité d’un éventuel futur où cela serait possible... d’autant plus que le grand public est friand de ce genre d’imprécisions...



  • FuturHebdo FuturHebdo 22 juillet 2007 10:24

    Qu’il soit sauvage ou civilisé, l’homme n’est bon ou mauvais que par les choix qu’il fait. Ce sont les actes qu’il pose qui détermine son évolution sociale, de civilisation. De même, les outils qu’il développe ne porte aucune charge morale.

    Le silex taillé servait, en son temps, aussi bien à chasser et se nourrir et taner... qu’à tuer, voler, violer... et prendre dans la tribus voisine ce que l’on ne possédait pas. Il en va de même avec nos outils modernes : poudre à canon et TNT qui servent pour les travaux des mines... énergie nucléaire, génie génétique et nanotechnologie. C’est à l’homme de déterminer l’évolution qu’il veut pour sa socièté et sa civilisation.

    A ce jour, c’est un ordre marchand (merci à m. Attali pour cette terminologie : Une brève histoire de l’avenir) qui tend à piloter nombres des décisions technologiques et éthiques. C’est un ordre marchand qui semble avoir pris le comtrôle de l’évolution contemporaine.

    Sommes nous d’accord avec cela ?

    Dans toutes ces questions, on parle bien d’évolution, qu’elle soit « naturelle » (évolution universelle, planétaire, ou du vivant...) ou des civilisations humaines. Je n’y voit pas la moindre once de dérive créationiste...



  • FuturHebdo FuturHebdo 22 juillet 2007 10:09

    Le 5 février 2057 : L’Arche de Noé mise en danger sur www.futurturhebdo.com : http://dans50ans.blogspot.com/2007/02/le-5-fvrier-2057-larche-de-no-mise-en.html

    Le site avait été choisi pour ses qualités : Stabilité géologique et climatique, faiblesse de la pollution et des rayonnements cosmiques sous la couche rocheuse... Quand le Spitzberg fut choisi, tout faisait de ce site le lieu idéal pour l’implantation de la réserve mondiale de semences végétales.

    Depuis trois décades, les gamètes de toutes les formes de vie animale de la planète ont commencé à être collectées et congelées. Dernière évolution en date de ce qui est devenue l’Arche Planétaire, le stockage informatique des patrimoines génétiques de toutes les formes de vie de notre planète. Cette troisième évolution demandera des décennies et des moyens considérables. Rien que le stockage informatique des gènes de la levure de bière prend environ 4 gigaoctets... imaginez : Sur Terre, le nombre d’espèces se compte en millions ! Les impératifs de la biodiversité incitent à « sauvegarder » toujours plusieurs spécimens de chaque espèce. Plus le génome concerne une espèce élevée dans l’évolution, plus on augmente le nombre de « sauvegardes » et donc la taille de la sauvegarde.

    C’est le risque d’une grève du personnel qui fait aujourd’hui parler de l’Arche du Spitzberg. Les revendications des salariés concernent les conditions de vie du personnel de l’ONU au Spitzberg. Bien qu’il soit étonnant que l’organisation mondiale, qui à la charge de ce patrimoine depuis 2033, tombe sous le coup de telles accusations... les revendications des syndicats sont claires : ils veulent obtenir les mêmes avantages que le personnel spatial. « Avec une moyenne de -40° C, à 2000 km du premier village soit 7 jours de voyage en cas de tempête, tout cela équivaut à l’isolement d’une station orbitale » nous a déclaré un représentant du personnel.



  • FuturHebdo FuturHebdo 22 juillet 2007 10:06

    Le 4 décembre 2056 : L’Humanité doit-elle respirer mieux ou partir plus loin ? sur www.futurhebdo.com : http://dans50ans.blogspot.com/2006/12/le-pass-est-fig-mme-si-on-cesse-de-le.html

    Vif débat à la commission spatiale de l’ONU, au siège de Nairobi. : Faut-il construire les « aspirateurs de gaz à effet de serre » et ainsi diviser par deux, en 20 ou 25 ans, les taux de ces gaz nocifs, dans l’atmosphère terrestre, ou bien doit-on se lancer dans l’aventure industrielle de la construction de l’ascenseur orbital (appelé également ascenseur spatial), ce long câble nanotech qui permettrait une accélération de l’exploitation spatiale « hors Terre ».

    Certains avancent qu’une réduction trop rapide des gaz à effet de serre pourrait entraîner de nouveaux désagréments météorologiques. « Continuons à faire baisser la production de ces gaz et laissons la nature absorber nos erreurs à son rythme ! » disent-ils. D’autres continuent à mettre en doute la relation de cause à effet entre les gaz à effet de serre et les troubles climatiques de ces dernières décades. Les défenseurs de l’ascenseur orbital ne veulent pas voir cette porte ouverte sur les étoiles rester close. Ce sont les ressources minières de la Lune et, plus loin encore, celles de la ceinture d’astéroïdes qui sont en jeu, alors que les ressources naturelles de la planète s’épuisent d’autant plus vite que la croissance de la population mondiale ne cesse de croître.

    « Il faut lancer l’exploitation minière de la ceinture d’astéroïdes au plus tôt ! A la vitesse à laquelle la planète s’appauvrit... les cargos spatiaux, leurs soutes pleines de minerais, auront à peine le temps d’arriver de la ceinture ! ».

    Pour ces deux projets, le réel problème, c’est le coût ! Ce sont des travaux à l’échelle de l’ensemble de l’humanité qu’il faut envisager : on parle de milliers de milliards d’euros... Seul un effort planétaire permettra de mener à terme de tels projets , l’un comme l’autre, indispensables à l’avenir de l’humanité.



  • FuturHebdo FuturHebdo 20 juillet 2007 18:41

    Merci pour les encouragements !



  • FuturHebdo FuturHebdo 20 juillet 2007 18:06

    Le 11 décembre 2056 : On empile à Paris ! : http://dans50ans.blogspot.com/2006/12/le-11-dcembre-2056-on-empile-paris.html

    Après Londres et Berlin, Paris applique des directives européennes dites « verticales ». Elles autorisent le morcellement des surfaces des deux premiers étages des immeubles d’habitations en « cellules de vie ».

    19 millions de personnes vivent en Ile de France. Les plans de décentralisation des gouvernements successifs n’ont jamais pu enrailler la concentration des activités professionnelles en croissance permanente autour de Paris.

    Ces directives, très controversées, provoquent des réactions contrastées : pour certains, de droite comme de gauche, les cellules de vie permettent une sédentarisation facilité pour diverses populations. Des noctambules, vivant de l’Entertainment avec des revenus aisés et affichant des goûts très mobiles, aux milieux les plus pauvres (on les appelaient SDF), tous s’accommodent très bien de ces solutions de vie, temporaires, selon leurs propres paroles. A l’opposé, d’autres ne voient dans les cellules de vie qu’une institutionnalisation de la précarité. « On troque les libertés contre des leurres technologiques ! »

    Le principe est simple : installées dans d’anciens appartements, les cellules standardisées s’empilent comme les rayons d’une ruche. D’une surface variable (le minimum est 6 m2) la qualité de service y est exceptionnelle. Beaucoup de célibataires préfèrent ce mode de vie aux vieux appartements parisiens. Les plus pauvres y trouvent aussi leur compte : le prix des plus petites cellules est très abordable.

    Les propriétaires qui n’arrivaient plus à louer leurs appartements, trop sombres, insalubres et trop bruyants sont, eux aussi, satisfaits. L’installation de cellules de vie ne les engage qu’à fournir une pièce commune, un grand hall d’entrée dans la plupart des cas.



  • FuturHebdo FuturHebdo 20 juillet 2007 16:52

    le 13 novembre 2056 : Ouverture d’un procès improbable à La Haye : http://dans50ans.blogspot.com/2006/11/prochain-message-le-13-novembre-2056.html

    Au Tribunal Pénal International de La Haye s’ouvre un procès, il y a peu, encore improbable. Il oppose les technologies les plus avancées aux libertés fondamentales dont l’homme doit disposer pour vivre.

    Petit rappel : après un moratoire d’une vingtaine d’années, les semenciers obtinrent, dans les années vingt, l’autorisation d’inclure dans leurs semences génétiquement modifiées un gène dit « Terminator ». Ce gène empêchait qu’une graine issue d’une moisson puisse être replantée : la graine-fille était stérile. Ce dispositif génétique protégeait la propriété intellectuelle des laboratoires de génie génétique et des semenciers.

    Parmi les arguments qui ont justifié la mise en place de ce moratoire, certains experts citèrent le chiffre de 1,6 milliards. C’était le nombre de personnes, de par le monde, dépendantes des semences issues de leurs récoltes pour assurer leur subsistance. Le moratoire avait été voté afin de donner le temps à ces populations, avec l’aide internationale, de sortir de cette pauvreté et ainsi d’être capables d’acheter leurs semences. Ils devaient, eux aussi, pouvoir « bénéficier des avancées du génie génétique ». Le moratoire tint vingt ans. Il fut levé sous la pression des lobbies agro-alimentaires.

    En à peine sept ans, on vit alors s’abattre des famines à répétition sur les pays les plus pauvres et les plus dépendants de leur agriculture. La communauté Internationale dû intervenir d’urgence, auprès de ces populations. Les opinions publiques occidentales ayant été fortement choquées par des images telles qu’on pensait ne plus jamais en voir.

    Aujourd’hui, ces pays, las de faire les frais du droit international, attaquent en justice les grands groupes industriels et les laboratoires pour voir enfin leurs droits fondamentaux reconnus.