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Les commentaires de Christian Delarue



  • Christian Delarue Christian Delarue 15 février 2010 18:06

    Il me semble qu’il y préjugé sur le féminisme. Ce serait plus à une femme qu’à un homme d’en parler. Disons que le féminisme ne connait pas la féminité qui sent bon l’essentialisme, la nature humaine bien fixée une fois pour toute. Une exception : le courant d’A Fouque.

    Le féminisme milite pour la liberté de choix, l’égalité, la réciprocité. Il n’est pas contre le désir pour peu qu’il se combine au respect. Il est vrai qu’il y a sans doute des féministes autères mais en faire une généralité serait une marque de sexisme.

    Il faut savoir voir la femme et l’être humain, l’objet (sexuel) et le sujet (de droit et de désirs propres), la reconnaissance de l’attraction sexuelle et de l’admiration de la personne. Toutes les éducations ne favorisent pas cette disposition.

    Pour en revenir au voile islamique, j’ai souvent entendu des femmes dirent que le voile dérangeraient bcp moins s’il pouvait être mis ou enlevé comme la plupart des femmes peuvent mettre ou non des artifices féminins de séduction.



  • Christian Delarue Christian Delarue 15 février 2010 17:42

    Chantecler,

    Il y a des jolis nez qui inspirent de la tendresse et des jolis fessiers qui empêchent l’endormissement. Surtout avec un string en coton écolo ! Les stimulis sont différents. Aucun n’est en soi mauvais.



  • Christian Delarue Christian Delarue 15 février 2010 01:55

    Le réformisme radical pour le travail.

    Cette orientation dite réformiste radicale vaut pour les très grandes entreprises qui mettent en place une forte division technique et socio-professionnelle des postes et des fonctions. Cette orientation s’oppose à la fois aux anarchistes qui plébiscitent l’organisation horizontale du travail (positive mais qui n’est applicable que dans les petites unités de production) et le management moderne qui lui milite pour le mérite et la compétence appréciée par le patron en interne, dans l’entreprise, selon des critères variables qui échappent assez peu à l’arbitraire et donc qui délégitime l’autorité.

    *Une nouvelle configuration productive.


    Elle suppose de nouvelles normes pour démarchandiser le travail, pour desserrer l’emprise de l’exploitation de la force de travail.

    Ce management s’appuie en plus sur les logiques marchandes et financières pour élargir considérablement les écarts de revenus ce qui abouti à avoir en-haut des très riches mais aussi en-bas des très pauvres. Un écart de revenus moindre fondé sur la distribution méritocratique républicaine donne des moins pauvres et des moins riches et donc une société plus en cohésion. Lorsque l’on ne prend pas pour base le système méritocratique républicain fondé sur la légitimité rationnelle-légale pour l’attribution des individus qualifiés sur les postes de la division technico-sociale du travail on en vient à défendre le mérite arbitraire et la compétence arbitraire. La question des revenus étant laissée aux marchés.

    Les bases du réformisme radical du travail sont la norme selon laquelle nul n’est exempt - sauf jeunes à scolariser et les handicapés - de *participer à la production de l’existence sociale.* Tous et toutes, hommes et femmes doivent y participer. Cela signifie engager une campagne nationale et européenne de RTT pour donner du travail à chacun et à tous. Cela va évidemment à l’encontre de la dualité capitaliste du travail qui met d’un côté des chômeurs et de l’autre des travailleurs en surcharge de travail. Parler de dualité simplifie la réalité du travail aujourd’hui qui montre l’existence d’un troisième catégorie avec le précariat sous toutes ses formes. Le système capitaliste pousse en même temps vers le chômage et vers les bas salaires généralisés.

    Il faut sans doute rompre avec l’institution de la *polyvalence généralisée *qui a visé à faire des économies d’embauche plus qu’à enrichir le travail. Il s’agit alors de faire en sorte que des postes soient dégagés dans chaque unité pour recevoir les travailleurs les moins qualifiés. En ce sens l’abandon de la catégorie D et celle programmée de la C dans les administrations n’est pas une bonne idée. Il faut aussi revaloriser le SMIC et l’indexer sur l’évolution des prix . Une grille de carrière devrait être négociée dans chaque branche pour permettre aux travailleur(se)s de décoller du SMIC. Par ailleurs la RTT doit etre plus forte vers les 28 heures au lieu des 32 heures là ou le travail est intensif ou pénible (travail de nuit, travail dehors, travail monotone et répétitif).


    Cette ensemble de mesures vise à abattre *la « théorie » du travailleur « fainéant »* trop bien présente chez les managers et les petits patrons. Les hypothèses implicites sur la nature humaine par les dirigeants sont selon Douglas Mc Grégor :
    - L’individu moyen éprouve une aversion innée pour le travail, qu’il fera tout pour éviter.
    - A cause de cette aversion caractéristique à l’égard du travail, les individus doivent être contraints, contrôlés, dirigés, menacés de sanction, si l’on veut qu’ils fournissent les efforts nécessaires à la réalisation des objectifs organisationnels.
    - L’individu moyen préfère être dirigé, désire éviter les responsabilités, a relativement peu d’ambition, recherche la sécurité avant tout.
    Ces lignes sont rapportées par Philippe Bernoux in La sociologie des organisations qui signale que cette théorie justifie l’autoritarisme patronal qui sévit encore dans les entreprises privées orientées vers la recherche maximale du profit mais aussi sous l’influence du néolibéralisme dans les entreprises publiques et les administrations privées.

    La politique réformiste radicale du travail ci-dessus dessinée n’est pas soutenue par les syndicats qui parlent peu de la RTT car ils la voit comme contraire à l’augmentation des salaires. Pour cela il faut défendre massivement la baisse des revenus des hauts revenus et l’augmentation des revenus des moins de 3000 euros par mois.

    * Au-dela de cette politique.

    Contre le néolibéralisme un rééquilibrage vers plus de service public et moins de secteur privé marchand est à promouvoir. Cela signifie valoriser le *travail pour la production de valeur d’usage* face au travail producteur de valeur d’échange. Il s’agit donc via l’impôt de construire une économie non marchande. Les besoins sont réels pour satisfaire sans passer par le prisme de la rentabilité et de la solvabilité les besoins sociaux en matière de logement, de scolarité, de santé, d’énergie, de transport, d’eau, de communication,etc.

    Toute cette poltique est fondée sur le partage des richesses et donc sur la ponction par l’impôts des riches à commencer par les financiers qui sont les plus gros prédateurs. On ne saurait parler de cohésion sociale avec de tels écarts de revenus et des travailleurs aussi fragilisés aux fins d’accroissement des profits. Profit qui partent vers la bulle financière et l’oligarchie financière mais pas vers les investissements productifs utiles ni vers les salaires qui ne cessent de baisser depuis 20 ans dans quasiment tous les pays (lire ici Michel Husson site hussonnet).

    CD



  • Christian Delarue Christian Delarue 15 février 2010 01:10

    Le réformisme radical pour le travail.

    Cette orientation dite réformiste radicale vaut pour les très grandes entreprises qui mettent en place une forte division technique et socio-professionnelle des postes et des fonctions. Cette orientation s’oppose à la fois aux anarchistes qui plébiscitent l’organisation horizontale du travail (positive mais qui n’est applicable que dans les petites unités de production) et le management moderne qui lui milite pour le mérite et la compétence appréciée par le patron en interne, dans l’entreprise, selon des critères variables qui échappent assez peu à l’arbitraire et donc qui délégitime l’autorité. Ce qui crée autoritarisme et résistance accrue.


    *Une nouvelle configuration productive.

    Elle suppose de nouvelles normes pour démarchandiser le travail, pour desserrer l’emprise de l’exploitation de la force de travail.

    Ce management s’appuie en plus sur les logiques marchandes et financières pour élargir considérablement les écarts de revenus ce qui abouti à avoir en-haut des très riches mais aussi en-bas des très pauvres. Un écart de revenus moindre fondé sur la distribution méritocratique républicaine donne des moins pauvres et des moins riches et donc une société plus en cohésion. Lorsque l’on ne prend pas pour base le système méritocratique républicain fondé sur la légitimité rationnelle-légale pour l’attribution des individus qualifiés sur les postes de la division technico-sociale du travail on en vient à défendre le mérite arbitraire et la compétence arbitraire. La question des revenus étant laissée aux marchés.

    Les bases du réformisme radical du travail sont la norme selon laquelle nul n’est exempt - sauf jeunes à scolariser et les handicapés - de *participer à la production de l’existence sociale.* Tous et toutes, hommes et femmes doivent y participer. Cela signifie engager une campagne nationale et européenne de RTT pour donner du travail à chacun et à tous. Cela va évidemment à l’encontre de la dualité capitaliste du travail qui met d’un côté des chômeurs et de l’autre des travailleurs en surcharge de travail. Parler de dualité simplifie la réalité du travail aujourd’hui qui montre l’existence d’un troisième catégorie avec le précariat sous toutes ses formes. Le système capitaliste pousse en même temps vers le chômage et vers les bas salaires généralisés.

    Il faut sans doute rompre avec l’institution de la *polyvalence généralisée *qui a visé à faire des économies d’embauche plus qu’à enrichir le travail. Il s’agit alors de faire en sorte que des postes soient dégagés dans chaque unité pour recevoir les travailleurs les moins qualifiés. En ce sens l’abandon de la catégorie D et celle programmée de la C dans les administrations n’est pas une bonne idée. Il faut aussi revaloriser le SMIC et l’indexer sur l’évolution des prix . Une grille de carrière devrait être négociée dans chaque branche pour permettre aux travailleur(se)s de décoller du SMIC. Par ailleurs la RTT doit etre plus forte vers les 28 heures au lieu des 32 heures là ou le travail est intensif ou pénible (travail de nuit, travail dehors, travail monotone et répétitif).

    Cette ensemble de mesures vise à abattre *la « théorie » du travailleur « fainéant »* trop bien présente chez les managers et les petits patrons. Les hypothèses implicites sur la nature humaine par les dirigeants sont selon Douglas Mc Grégor :

    - L’individu moyen éprouve une aversion innée pour le travail, qu’il fera tout pour éviter.

    - A cause de cette aversion caractéristique à l’égard du travail, les individus doivent être contraints, contrôlés, dirigés, menacés de sanction, si l’on veut qu’ils fournissent les efforts nécessaires à la réalisation des objectifs organisationnels.

    - L’individu moyen préfère être dirigé, désire éviter les responsabilités, a relativement peu d’ambition, recherche la sécurité avant tout.
    Ces lignes sont rapportées par Philippe Bernoux in La sociologie des organisations qui signale que cette théorie justifie l’autoritarisme patronal qui sévit encore dans les entreprises privées orientées vers la recherche maximale du profit mais aussi sous l’influence du néolibéralisme dans les entreprises publiques et les administrations privées.

    La politique réformiste radicale du travail ci-dessus dessinée n’est pas soutenue par les syndicats qui parlent peu de la RTT car ils la voit comme contraire à l’augmentation des salaires. Pour cela il faut défendre massivement la baisse des revenus des hauts revenus et l’augmentation des revenus des moins de 3000 euros par mois.

    * Au-dela de cette politique.

    Contre le néolibéralisme un rééquilibrage vers plus de service public et moins de secteur privé marchand est à promouvoir. Cela signifie valoriser le *travail pour la production de valeur d’usage* face au travail producteur de valeur d’échange. Il s’agit donc via l’impôt de construire une économie non marchande. Les besoins sont réels pour satisfaire sans passer par le prisme de la rentabilité et de la solvabilité les besoins sociaux en matière de logement, de scolarité, de santé, d’énergie, de transport, d’eau, de communication,etc.

    Toute cette politique est fondée sur le partage des richesses et donc sur la ponction par l’impôts des riches à commencer par les financiers qui sont les plus gros prédateurs. On ne saurait parler de cohésion sociale avec de tels écarts de revenus et des travailleurs aussi fragilisés aux fins d’accroissement des profits. Profit qui partent vers la bulle financière et l’oligarchie financière mais pas vers les investissements productifs utiles ni vers les salaires qui ne cessent de baisser depuis 20 ans dans quasiment tous les pays (lire ici Michel Husson site hussonnet).

    CD



  • Christian Delarue Christian Delarue 14 février 2010 22:07

    La délégation de l’eau au privé est précisément une catastrophe au point que les communes voudraient bien reprendre la main et sortir la distribution de l’eau de la logique du marché et du profit. Cette logique aboutissant à l’opacité et au prix excessifs. Le service public est là pour satisfaire les besoins sociaux hors question de solvabilité. Evidemment cela ne fait pas l’affaire des grippe-sous comme Véolia une des plus grosse firme multinationale prédatrice du secteur.



  • Christian Delarue Christian Delarue 14 février 2010 21:57

    1977 il devient « nouveau philosophe » mais il épuise son talent et ne cesse de dégénérer. Comment ? Le fait qu’il devienne un "philosophe d’estrade et de plateaux", ( Bensaïd ) n’y est pas pour rien. Il faut ajouter qu’il est rester un stalinien reversé autrement dit un suppot qui a juste changer de camp. Cela est apparue quand il s’est mis à soutenir les pires atrocités perpétrées par les USA. Cet intellectuel déférent " ne perd pas une occasion depuis des années de manifester son respect pour toutes les formes de pouvoir, économiques, politiques et médiatiques, les autorités morales et religieuses, les croyances populaires et même, le cas échéant, les idées reçues. Un chien de garde à chemise blanche ouverte et poitrail velu.



  • Christian Delarue Christian Delarue 14 février 2010 21:55

    J’aurais plus de respect pour sa compagne pour ma part...



  • Christian Delarue Christian Delarue 14 février 2010 21:53

    Olorin merci.



  • Christian Delarue Christian Delarue 14 février 2010 14:46

    Merci pour cet article

    http://www.legrandsoir.info/Refondation-neo-solidariste-verte-un-centrisme-utopique.html


    ** une brève à la suite de Refus d’une refondation néo-solidariste verte. Sortir de la crise globale vers un éco-socialisme d’émancipation humaine.*

    *******

    L’extrême-droite revendique un de ses courants sous le nom de néosolidarisme aussi est-il utile de préciser de quel du néo-solidarisme on parle. D’ou le qualificatif de « centriste ». Les auteurs appelés au fondement théorique de cee néo-solidarisme évoque assez clairement le profil historique. Keynes (économiste non marxiste critique de l’économie classique ) est la pièce rapportée des grandes figures du solidarisme classique que sont, sans être ici exhaustif, Emile Durkheim (1858-1917) sociologue de la solidarité et de l’intégration sociale, Léon Bourgeois (1851-1925) homme politique radical fondateur du solidarisme comme étant clairement situé entre libéralisme individualiste et socialisme collectiviste d’où le positionnement centriste dans le spectre idéologico-politique français, enfin Célestin Bouglé qui a inséré cette doctrine sociale dans le cadre républicain, une république ni libérale ni socialiste. Serge Audier a récemment redéplyé la pensée de Bouglé dans toute sa complexité.

    Le jeu des références théoriques fondamentales participe bien de l’entretien idéologique d’un parcours historique que l’on peut qualifier de troisième voie centriste entre néolibéralisme et éco-socialisme. Un parcours complété par l’apport de l’économie sociale et solidaire (ESS). Mais ainsi que le fait remarquer François Sabado dans Contretemps n°2, "Keynes revient à la mode, tout au moins dans les discours. Dans les actes, c’est une autre affaire. Le modèle néolibéral est en crise ouverte, mais les classes dominantes refusent de s’engager dans un changement de cap. Leur politique consiste à faire payer la crise aux travailleurs et aux peuples, et à aménager des dispositifs de sauvetage des banques et d’aides sociales en espérant que la crise s’arrêtera et que les affaires reprendront". Le néo-solidarisme centriste n’a pas vocation à s’appliquer sans rapport de force. Le même F Sabado précise plus loin, après un parcours sur les années 1930, uqe "l’option keynésienne n’a pas résulté à l’époque, d’un choix de développement socio-économique qu’auraient librement adopté les classes dominantes. Quand à l’économie sociale et solidaire elle présente plus un profil de « supplément d’âme » du capitalisme que d’une réelle alternative en capacité de bousculer le coeur capitaliste et transformer radicalement les rapports sociaux qui le constitue. On en vient à dire, ici, que la perspective de la République sociale ne va pas aussi loin que la République socialiste. Eu égard aux enjeux écologiques contempos nommons ce néo-socialisme un éco-socialisme.

    *Que vive un éco-socialisme arc-en-ciel !

    L’altermondialisme entend réaliser en quelque sorte le vœu du théoricien marxiste français Henri Lefebvre qui a développé l’idée d’une libération « arc-en-ciel », en appelant à une vaste coalition regroupant le rouge du socialisme marxiste, le mauve du féminisme, le vert de l’écologie et le noir libertaire, alliance basée non pas sur de simples échéances électorales mais sur une compréhension claire de l’interdépendance des diverses problématiques et de leurs solutions.

    Question : quelle est la couleur de l’antiracisme ? Quelle est celle de la laïcité ? Toujours les mêmes oublis. Pour éviter la répétition stalinienne il est des questions qu’on ne saurait omettre. Elles sont moins secondaires qu’il n’y paraît. Reconnaissons néanmoins que l’alliance du rouge et du vert soit première et d’urgence pour les humains mais n’oublions pas ensuite les autres couleurs du spectre de l’émancipation humaine - anti-sexisme, antiracisme, laïcité, anti-impérialisme - on a alors la perspective d’ un éco-socialisme arc-en-ciel.

    Christian Delarue

    Lire de Christian Brouillard : "Quand le rouge s’allie au vert /www.ababord.org/spip.php ?article425&gt ;"

    Misère du solidarisme et du néosolidarisme
    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php?article320



  • Christian Delarue Christian Delarue 13 février 2010 19:13

    Effectivement il y a plusieurs féminismes. L’arrivée en force du voile a monter un féminisme pro-voile qui renforce la tendance pudibonde du moment.

    Qlq contributions gratuites

    La transcendance amoureuse ou le sacré des agnostiques, la montée au paradis des athées.
    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php ?article1000

    Quand Tariq Ramadan défend le sexo-séparatisme en piscine
    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php ?article998

    Sexo-séparatisme : La mixité dans les conseils d’administration en chiffres
    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php ?article994

    Costard et burqa deux sexo-séparatismes : pour une mixité sans mur
    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php ?article989



  • Christian Delarue Christian Delarue 13 février 2010 13:08

    PSY à deux balles ! Cessez votre délire, vos affirmations gratuites. Vous ne me connaissez pas donc pas d’attributions gratuites



  • Christian Delarue Christian Delarue 13 février 2010 12:54


    1) La peur doit changer de camp.
    Pour l’instant ce sont la classe dominante et la classe politique dirigeante (UMP et PS) qui plongent une fraction large du peuple dans l’insécurité économique donc la fragilisation de ceux d’en-bas. Ce sont eux qui sème peur, harcèlement, oppression et domination. Venant d’en-bas il y a plus de suicides et de voitures brûlées que de meutres. Arrêtez de vous faire peur avant que cela arrive. Car cela peut arriver ! Il suffit de continuer la politique qui enrichie les riches et appauvrie tous les autres.

    2) Il y a les partenaires et les ennemis c’est ainsi.
    Le partenaire ce peut être le supérieur hiérarchique qui a obtenu son poste en fonction d’une qualification via un système méritocratique républicain L’ennemi participe consciemment de la baisse des salaires, de l’augmentation de l’intesité du travail, de sa durée, de sa non répartition avec ceux qui n’en n’ont pas ou trop. L’ennemi c’est celui qui voit la crise monter en charge destructrice des protections sociales se propose de taper encore plus fort contre les travailleurs, les précaires et les chômeurs. Refuser le masochismùe est salutaire. Le comble ici, c’est que ce dominant cherche encore à obtenir un sourir, un consentement. Mon rôle consiste à dire stop à cette aliénation. Il faut se lever, refuser la domination, eclencher la force d’émancipation qui est en nous et avec d’autres.



  • Christian Delarue Christian Delarue 13 février 2010 01:41
    Pour une critique bienveillante contre les écoles confessionnelles musulmanes en France.
     
    Le lycée Averroès de Lille ouvert en septembre 2003 est en effet le premier lycée privé musulman sous contrat avec l’Etat. Ce lycée serait le second établissement privé musulman car une école primaire de Saint Denis de la Réunion, la Medersa Taalim oul Islam a été la première à s’engager dans cette voie en 1994.
     
    Partant d’une perspective égalitaire, laïque porteuse de principes universalisables, la réflexion ne saurait s’en tenir à l’examen des seules écoles musulmanes au plus grand bénéfice du système organisé d’écoles confessionnelles chrétiennes de tout type.
     
    Le fond de la démarche est global puisqu’elle part de la critique de tous les établissements confessionnels à partir de la revendication d’une seule école pour tous et toutes (qui n’est pas avancée par l’auteur ni par la gauche a qlq exceptions près).

    Il s’agit cependant d’une critique bienveillante qui tient compte de la spécificité de la situation. Pour dire les choses d’emblée, alors que d’autres sont enclin à critiquer les seules écoles musulmanes - j’allais dire islamique mais on y enseigne pas l’islam - ma démarche tient compte du fait de la domination du christianisme dans ce domaine comme dans d’autres . L’intention bienveillante tient compte de cette inégalité.

     
    Mon propos se comprend aussi du fait que je défends la loi de mars 2004 autorisant les signes religieux discrets et interdisant les signes religieux ostensibles - kippa juive, voile islamique, etc. - à l’école et au lycée. Je tiens comme revendication communautariste la volonté d’abroger cette loi laïque de pacification scolaire.
     
    Le lycée Averroès occupe (sauf déménagement) le deuxième étage de la mosquée de Lille Sud. Ses enseignants seront désormais payés par l’Etat. D’après un article ancien (1), il accueillait alors 90 élèves, 60 filles qui ne portent pas toutes le voile, et 30 garçons, répartis en six classes, deux par niveaux, dans les filières Scientifique (S) et Économique et Social (ES). L’article ne précise pas si les classes sont mixtes.
    Le cours d’initiation à la spiritualité et à la culture musulmane, appelé « éthique religieuse » est facultatif. L’équipe enseignante, constituée d’une vingtaine de professeurs dont cinq titulaires, est recrutée sur des critères de qualité professionnelle, indépendamment de leurs convictions religieuses ou philosophiques. Sont-ils titulaires du CAPES ? Quant au projet éducatif, il se distingue par sa référence aux valeurs musulmanes qui, selon Makhlouf Mamèche, directeur adjoint chargé de la vie scolaire et du suivi des élèves, « englobent la recherche de la perfection, le goût de l’effort, l’amour du savoir, le sens de l’engagement et du partage, mais aussi l’esprit d’ouverture et le respect des autres ». On ne sait si l’amour du savoir débouche sur l’esprit critique.
     
    Christian DELARUE
     
    1)


  • Christian Delarue Christian Delarue 13 février 2010 01:31

    Les pin’s associatifs et syndicaux sont autorisés dans la fonction publique mais pas les signes religieux, mêmes discrets. C’est là la différence avec les jeunes usagers de l’école qui peuvent porter des signes religieux discrets mais pas des signes religieux ostensibles.



  • Christian Delarue Christian Delarue 13 février 2010 01:20

    Larrouche, c’est le fasciste qui fait des procès quand on lui dit qu’il est fasciste ? Non ?



  • Christian Delarue Christian Delarue 12 février 2010 22:34

    Les slogans pro-Hamas sont scandés par les Indigènes de la République, Dieudonné et CAPJIPO mais pas par le MRAP et la LDH. Il n’y a pas eu de slogans antisémites dans cette manifestation à ma connaissance. Mais je ne m’en suis pas occupé particulièrement.

    Le Hamas est un interlocuteur officiel élu par le peuple palestinien en mesure de négocier que cela plaise ou non avec l’Etat d’Israel. Si le sionisme n’avait discrédité et favorisé l’islam politique contre les représentants politiques palestinien cela ne serait pas arrivé.

    Vive le peuple palestinien ! Pas de paix possible avec l’apartheid et le colonialisme israélien.



  • Christian Delarue Christian Delarue 12 février 2010 22:18

    Si elle est élue elle se dévoilera m’a confirmé un ami... 



  • Christian Delarue Christian Delarue 12 février 2010 22:15

    Au-dela de l’oxymore il faut voir une tension qui peut déboucher sue du positif comme sur du négatif. Mon papier ne visait qu’à expliciter ces contradictions. On verra plus tard. Soit un évènement sans conséquence, juste un peu de bruit dans les médias, soit des effets sociaux en formation.

    Petit secret : je préfère que les les musulman(e)s aillent vers le NPA que vers les Indigènes de la République ou à l’UMP.



  • Christian Delarue Christian Delarue 12 février 2010 08:28

    Sylvain, les petits fasciste comme vous sont les premiers a bénéficier des lois sociales et à pleurer quand elles disparaissent. Mais ils se trompent de colère. Ils ne voient que le voisin et pas les dispositifs de domination. C’est con n’est-ce pas !



  • Christian Delarue Christian Delarue 12 février 2010 08:18

    Big Mac, les cris de ’mort aux juifs’, n’ont rien à voir avec Mouloud Aounit et le MRAP. Le MRAP milite contre toutes les formes de racisme. Ces propos racistes et odieux ne peuvent qu’être condamnés par le MRAP. Il est bien triste que Malek Boutih ait jugé bon de relayer cette diffamation. Il a été condamné en 2006.(wikipédia)