@JMBerniolles
@JMBerniolles
Reste que la psychanalyse n’est pas une science, comme la philosophie d’ailleurs, juste un discours, une tentative d’explication du monde. Et quand le sens n’apparaît pas, toute explication est toujours bienvenue au patient, cela rationalise son malaise. Une forme de prestidigitation sans doute, de trompe l’oeil, qui tient avant tout à la personnalité de l’artiste. Un médecin comme on dit est un homme de l’art. Ce n’est pas qu’une expression.
@laertes
Fritz Lang avait plus ou moins entrevu cette hypothèse, dans ’M le maudit« , qui aurait du s’appeler »les assassins sont parmi nous« , et son »docteur Mabuse« le patient mégalomane et pervers parvenant à fasciner son thérapeute, au point de l’envoûter totalement et à le mettre sous sa dépendance, inversant la dynamique du pouvoir.
J’ai signé des deux mains. Le sujet devient des pesticides devient de plus en plus récurent. Voilà justement un article du monde, ce jour ...
@Fabienm
Vous avez raison, il laisse un gout d’inachevé. Mais avait il toutes latitudes, face aux secrets de famille. Le personnage du grand père, qu’elle s’est accusé d’avoir empoisonné, personnage trouble et quelque peu incestueux, nous fait supposer que Charlotte régle des comptes....Lesquels ?...Quand on sait que les tantes se sont suicidées......
Article très long et qui se veut modeste, en quoi par là on voit une contradiction manifeste et signifiante du sujet.
« institution passéiste qui est restée bloquée quelque part dans les années 70 »
@Sozenz
La trigonométrie et les sciences ex actes ne sont qu’une image que j’utilise comme métaphores pour dire que je pense pas qu’elles puissent pénétrer le cadre d’un tableau, avec ces histoires de dissection, de perspectives, et de chiffre d’or, venant souvent de gens qui n’ont jamais fait de la peinture.
@ouragan
@colere48
Il faudra que je vienne prendre un pot un de ces quatre, avec les lettres de Vincent, à son frère Théo, que si notre auteur avait lues, n’aurait pas écrit ainsi son article : « Vincent Van Gogh n’a pas »représenté« une terrasse de café, il a rendu visible un étonnement joyeux, une secrète espérance, la nuit transfigurée. »...
Pas vraiment le témoignage de Vincent devant ce lieu, où il avait l’impression de pouvoir se perdre :
« C’est un endroit où l’on peut se ruiner, devenir fou, commettre des crimes, dans une atmosphère de fournaise infernale, de souffre pâle, exprimer comme la puissance des ténèbres d’un assommoir »...
Rien à voir donc avec les élucubrations étranges de l’auteur, avec Proust invité pour faire chic, et pourquoi pas madame Verdurin prenant le thé avec Swan, Bergotte, et sa petite bande, tant qu’à faire ? L’auteur nous dit :
@ouragan
« A chaque fois que dissuade un éleveur de se pendre. »Vous savez, quand le discours « paysan de la nature », tout à fait démagogique et ne confondant que les imbéciles« , ne passe plus, devant ceux qui sont informés, et refusent de voir le problème par le petit bout de la lorgnette et des intérêts des banques, ne passe plus, en Bretagne par exemple, au sujet des éleveurs porcins, (générateurs de modifications environnementales inouïes) voilà ce qu’on entend : La menace au suicide, parfois d’ailleurs totalement bidonné, comme lors de cette tentative d’intoxication, dont même les médias se sont fait prendre.
@ouragan
C’est bien ce que je dis ; tout le discours d’un parano : Rigidité, délire systématisé, manque d’humour ( n’en parlons pas). Le point de vue que vous développez comme le fait remarquer alinea est égocentrique, ethnocentrique. Vous voyez votre pré carré, vos barbelés. Vos enfants, vos petits enfants ?...
Quand à l’article en lui même, je ne veux pas être cruel, mais il est bien limité, celui d’un prof tentant de voir avec des rapports de trigonométrie, à percer avec les lunettes de l’enseignement et de la bien-pensance, à regarder au delà des apparences.
@Nicole Cheverney
Vous avez raison. On peut faire le parallèle avec le monde de l’art en général, qui s’est embourgeoisé, à mesure que les exclus du salon d’automne étaient non plus les impressionnistes, mais le petit peuple, ceux qui ne sortaient pas des beaux arts. Van Gogh, sans son bac, ne pourrait pas rentrer aux beaux arts.....C’est devenu un pré carré jaloux des prérogatives de ses droits, d’intermitences réglées par un système généreux dans le domaine du cinéma, par exemple, mais qui est loin d’être autonome, alors qu’il le pourrait, les Depardieu, Birkin, Deneuve et consort, bénéficiant du chômage entre deux tournages.....
@Fabienm
Attention aux écharpes, même en soie, et pour soi : Elles sont bien pour la pose, mais peuvent se prendre dans les rayons, et alors c’est le drame !
@Fabienm
@Agafia
Bonjour, content de vous trouver à cette page. Je vous rejoint 5 sur 5 ; le vrai écrivain, c’est pas forcément celui qui publie, mais celui avant tout qui écrit, qui vit cela comme une nécessité, et se fout s’il sera publié, une fois qu’il a compris très jeune que cette affaire ne sera jamais de son ressort, ou alors qu’il lui faudra un réseau, développer une énergie aussi énorme que celle d’un politique tentant de se faire élire...
Une autre personnage trouble se tient dans l’ombre de l’écrivain, à coté du nègre, lui très estimable, c’est le plagiaire.
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