Sur ce site, il y a des auteurs très importants qui ont mieux à faire ailleurs !!
Ah, c’est pas chez nous qu’on censurerait un canard parce qu’il est trop libéral !! Quel dommage !
Je dirais que le point commun c’est la peur, la peur enfouie, non avouée ou bien masquée par une attitude de fier-à-bras ! Si on accepte notre peur, on peut la dépasser, ici ou là, et tout s’ouvre. La bêtise n’est que la couche qui cache la peur, à ce que j’en vois !
maintenant c’est OK !! Les moinsseurs l’ont-ils écoutée ???
message obsolète ! il était trop tôt (maintenant on peut !!
Nestor !! non ! quand il a piqué il ( ou elle, je ne sais jamais si c’est la mâle ou la femelle qui pique !) il se gonfle, ne bouge plus et tombe ; en général, je marche dessus et ça fait de belles taches de sang sur le carrelage ! c’est un des plaisirs de vivre avec des bêtes !!
Excellent article Fab, merci !
Ça me fait penser au livre de Pinçon sur les riches : eux savent se tenir les coudes !
À nous d’en tirer leçon. Seulement, nous sommes nombreux et nous n’avons pas tous les mêmes intérêts !! On y arrivera, quelque chose me dit qu’on y arrivera !
Donc ce ne sont pas des propos racistes que l’on m’a tenus ?
Bon, eh bien je n’irai pas me balader dans le Forêt Noire, tant pis !!
Vous voulez dire que l’outil n’est pas mauvais en soi, que ce sont ceux qui le manient qui le sont ? Je suis à peu près sûre de cela ; seulement, quand la gangrène a tout contaminé, on se pose la question de savoir s’il y a une chance d’y remédier !!
Je n’aime pas les empires, et je pense que l’Europe aurait pu devenir cette force internationale qui, malheureusement je trouve, nous est nécessaire de nos jours. Les pays de l’Europe sont tous, sans exception, menés par des politiques pourries ! Alors l’Europe, forcément, étant la dernière construction, un peu artificielle, un peu branlante, c’est bien elle sur laquelle se déversent toutes les colères ou les impuissances. Ce qu’il faut savoir c’est quel est le niveau sur lequel il nous est plus facile d’agir !! Son pays ou cet agglomérat ? Ou les deux ??
L’éther est très bien, qui les ensuquent ! ( du coup on les retire sans les « casser » !) mais c’est vrai que l’éther aujourd’hui, comme c’est de la drogue dure, on n’en trouve pas partout !!
Bonsoir Zeter,
Il y a eu en modération, il y a quelques mois, un excellent article sur cette maladie, mais il n’a pas eu l’heur de plaire ! Malheureusement je n’ai pas eu le réflexe de le copier.
Je me souviens juste qu’en Allemegne, cette maladie est prise très au sérieux et là-bas, les analyses vont beaucoup plus loin que chez nous, où, si je me souviens bien, elles sont d’un tel ordre qu’elles ne servent à rien !
Certains disent que les tiques allemandes sont beaucoup plus féroces en ce domaine !! Si, si !!
Mes chiennes et moi sommes clafies de tiques au printemps, surtout dans les céréales en herbe ! Si on a l’épiderme sensible et qu’on les sent cavaler, on peut les virer avant qu’elles ne piquent !! C’est, apparemment, la seule solution !!
J’ai reçu ça Scual : ( et les autres !!)
Avec le TAFTA, l’UE et les États-Unis sabordent le climat et la transition
lundi 19 mai 2014, par
Amélie Canonne,
Maxime Combes
Un cinquième cycle de négociations entre l’Union européenne et les
États-Unis a débuté ce lundi 19 mai à Arlington (Virginie) et se
poursuivra jusqu’au
23 mai. Selon un document de négociation secret rendu public ce lundi
par le Huffington Post, l’Union européenne propose aux États-Unis de
libéraliser
complètement le marché transatlantique de l’énergie et des matières
premières. Le texte encourage ainsi l’exploitation et le commerce
transatlantiques
des hydrocarbures non conventionnels tout en réduisant considérablement
les capacités des États à soutenir le développement des énergies
renouvelables.
Le document secret rendu public est daté du 20 septembre 2013 et a été
rédigé par les services de la Commission européenne. Il tire son origine
du premier
round de négociations de juillet 2013. Il a été remis aux négociateurs
américains en prélude du deuxième cycle de négociations d’octobre
dernier. C’est
une première ébauche de ce que pourraient être les grandes lignes des
règles de commerce et d’investissement en matière de ressources
naturelles et d’énergie.
Comme nous le craignions (cf. notre note à ce sujet), les négociations
entre les États-Unis et l’UE sont donc en train de sacrifier toute
possibilité de
transition énergétique et toute perspective de politiques efficaces de
lutte contre les dérèglements climatiques. Ce document fait de la
recherche d’une
compétitivité internationale en matière d’énergie et de ressources
naturelles (art. A.2) le principe qui doit guider la suppression des
restrictions au
commerce et faciliter les investissements dans ces secteurs. La clause
du « traitement national », interdisant de donner moins d’avantages aux
multinationales
étrangères qu’aux entreprises nationales, est par exemple clairement
mentionnée (article G1).
Dans le domaine de l’énergie, l’article C2 prévoit la levée de toutes
les restrictions aux exportations des biens énergétiques (comprenant le
charbon,
le pétrole brut, les produits pétroliers, le gaz naturel liquéfié ou
non, et l’électricité – article B) afin de faciliter leur exportation.
Ce alors que
les États-Unis ont interdit en 1975 – sauf exception – les exportations
de pétrole brut et imposent une série de restrictions à l’exportation de
gaz naturel.
Une série de dispositions (article H) prévoit également de faciliter et
d’encourager l’accès et l’octroi de licences aux multinationales
étrangères en
matière de prospection, d’exploration et de production d’hydrocarbures
des deux côtés de l’Atlantique.
Concernant le secteur des énergies renouvelables, l’article O indique
que les pays « ne doivent pas adopter ni maintenir des mesures prévoyant
des exigences
de localité », ni « exiger la création de partenariats avec les
entreprises locales » ou imposer des « transferts de droits de propriété
intellectuelle »,
soit autant de politiques pourtant nécessaires pour développer un
secteur d’énergies renouvelables qui s’appuie sur des produits,des
compétences locales
et les meilleures technologies disponibles.
Ce document ne mentionne pas les enjeux climatiques ou les défis de la
raréfaction des ressources. En encourageant une extension du commerce
transatlantique
des combustibles fossiles, c’est une exploitation accrue et une
consommation insoutenable d’hydrocarbures qui sont promus, renforçant
notre dépendance
aux énergies fossiles. Le tout au détriment du climat et d’une véritable
transition énergétique, subordonné à un fondamentalisme libre-échangiste
suranné.
Le document de négociation en anglais :
http://france.attac.org/IMG/pdf/ttipenergyrm_nonpaper.pdf
En vous souhaitant bonne réception.
Maxime Combes
effectivement, l’adresse est muette !! à essayer plus tard !! mille excuses !
désolée !! je n’arrive pas à réécouter l’émission avec cette adresse ; peut être plus tard ?
si vous avez le temps, écoutez cette émission ; elle parle des élections européennes, avec des européens. (et ne contredit pas cet article !!)
Ça m’étonne ça !! d’ailleurs je ne crois pas les sondages !! cela ne semble pas faire partie de l’ADN des frontistes ! sauf ceux qui savent que de toutes façons ça ne sert à rien et les rares qui savent qu’il s’agit d’une élection européenne et pas d’une tambouille nationale !
Merci pour cet exposé, très clair et très juste, à ce que j’en sais ! L’émission que je propose plus bas,développe un peu tout ça, et le point de vue portugais n’est pas à négliger !
J’ai trouvé cette émission extrêmement intéressante,je vous la conseille :
Un cinquième cycle de négociations entre l’Union européenne et les
États-Unis a débuté ce lundi 19 mai à Arlington (Virginie) et se
poursuivra jusqu’au
23 mai. Selon un document de négociation secret rendu public ce lundi
par le Huffington Post, l’Union européenne propose aux États-Unis de
libéraliser
complètement le marché transatlantique de l’énergie et des matières
premières. Le texte encourage ainsi l’exploitation et le commerce
transatlantiques
des hydrocarbures non conventionnels tout en réduisant considérablement
les capacités des États à soutenir le développement des énergies
renouvelables.
Le document secret rendu public est daté du 20 septembre 2013 et a été
rédigé par les services de la Commission européenne. Il tire son origine
du premier
round de négociations de juillet 2013. Il a été remis aux négociateurs
américains en prélude du deuxième cycle de négociations d’octobre
dernier. C’est
une première ébauche de ce que pourraient être les grandes lignes des
règles de commerce et d’investissement en matière de ressources
naturelles et d’énergie.
Comme nous le craignions (cf. notre note à ce sujet), les négociations
entre les États-Unis et l’UE sont donc en train de sacrifier toute
possibilité de
transition énergétique et toute perspective de politiques efficaces de
lutte contre les dérèglements climatiques. Ce document fait de la
recherche d’une
compétitivité internationale en matière d’énergie et de ressources
naturelles (art. A.2) le principe qui doit guider la suppression des
restrictions au
commerce et faciliter les investissements dans ces secteurs. La clause
du « traitement national », interdisant de donner moins d’avantages aux
multinationales
étrangères qu’aux entreprises nationales, est par exemple clairement
mentionnée (article G1).
Dans le domaine de l’énergie, l’article C2 prévoit la levée de toutes
les restrictions aux exportations des biens énergétiques (comprenant le
charbon,
le pétrole brut, les produits pétroliers, le gaz naturel liquéfié ou
non, et l’électricité – article B) afin de faciliter leur exportation.
Ce alors que
les États-Unis ont interdit en 1975 – sauf exception – les exportations
de pétrole brut et imposent une série de restrictions à l’exportation de
gaz naturel.
Une série de dispositions (article H) prévoit également de faciliter et
d’encourager l’accès et l’octroi de licences aux multinationales
étrangères en
matière de prospection, d’exploration et de production d’hydrocarbures
des deux côtés de l’Atlantique.
Concernant le secteur des énergies renouvelables, l’article O indique
que les pays « ne doivent pas adopter ni maintenir des mesures prévoyant
des exigences
de localité », ni « exiger la création de partenariats avec les
entreprises locales » ou imposer des « transferts de droits de propriété
intellectuelle »,
soit autant de politiques pourtant nécessaires pour développer un
secteur d’énergies renouvelables qui s’appuie sur des produits,des
compétences locales
et les meilleures technologies disponibles.
Ce document ne mentionne pas les enjeux climatiques ou les défis de la
raréfaction des ressources. En encourageant une extension du commerce
transatlantique
des combustibles fossiles, c’est une exploitation accrue et une
consommation insoutenable d’hydrocarbures qui sont promus, renforçant
notre dépendance
aux énergies fossiles. Le tout au détriment du climat et d’une véritable
transition énergétique, subordonné à un fondamentalisme libre-échangiste
suranné.
Le document de négociation en anglais :
http://france.attac.org/IMG/pdf/ttipenergyrm_nonpaper.pdf
En vous souhaitant bonne réception.
Voici ce que je viens de recevoir :
Un cinquième cycle de négociations entre l’Union européenne et les
États-Unis a débuté ce lundi 19 mai à Arlington (Virginie) et se
poursuivra jusqu’au
23 mai. Selon un document de négociation secret rendu public ce lundi
par le Huffington Post, l’Union européenne propose aux États-Unis de
libéraliser
complètement le marché transatlantique de l’énergie et des matières
premières. Le texte encourage ainsi l’exploitation et le commerce
transatlantiques
des hydrocarbures non conventionnels tout en réduisant considérablement
les capacités des États à soutenir le développement des énergies
renouvelables.
Le document secret rendu public est daté du 20 septembre 2013 et a été
rédigé par les services de la Commission européenne. Il tire son origine
du premier
round de négociations de juillet 2013. Il a été remis aux négociateurs
américains en prélude du deuxième cycle de négociations d’octobre
dernier. C’est
une première ébauche de ce que pourraient être les grandes lignes des
règles de commerce et d’investissement en matière de ressources
naturelles et d’énergie.
Comme nous le craignions (cf. notre note à ce sujet), les négociations
entre les États-Unis et l’UE sont donc en train de sacrifier toute
possibilité de
transition énergétique et toute perspective de politiques efficaces de
lutte contre les dérèglements climatiques. Ce document fait de la
recherche d’une
compétitivité internationale en matière d’énergie et de ressources
naturelles (art. A.2) le principe qui doit guider la suppression des
restrictions au
commerce et faciliter les investissements dans ces secteurs. La clause
du « traitement national », interdisant de donner moins d’avantages aux
multinationales
étrangères qu’aux entreprises nationales, est par exemple clairement
mentionnée (article G1).
Dans le domaine de l’énergie, l’article C2 prévoit la levée de toutes
les restrictions aux exportations des biens énergétiques (comprenant le
charbon,
le pétrole brut, les produits pétroliers, le gaz naturel liquéfié ou
non, et l’électricité – article B) afin de faciliter leur exportation.
Ce alors que
les États-Unis ont interdit en 1975 – sauf exception – les exportations
de pétrole brut et imposent une série de restrictions à l’exportation de
gaz naturel.
Une série de dispositions (article H) prévoit également de faciliter et
d’encourager l’accès et l’octroi de licences aux multinationales
étrangères en
matière de prospection, d’exploration et de production d’hydrocarbures
des deux côtés de l’Atlantique.
Concernant le secteur des énergies renouvelables, l’article O indique
que les pays « ne doivent pas adopter ni maintenir des mesures prévoyant
des exigences
de localité », ni « exiger la création de partenariats avec les
entreprises locales » ou imposer des « transferts de droits de propriété
intellectuelle »,
soit autant de politiques pourtant nécessaires pour développer un
secteur d’énergies renouvelables qui s’appuie sur des produits,des
compétences locales
et les meilleures technologies disponibles.
Ce document ne mentionne pas les enjeux climatiques ou les défis de la
raréfaction des ressources. En encourageant une extension du commerce
transatlantique
des combustibles fossiles, c’est une exploitation accrue et une
consommation insoutenable d’hydrocarbures qui sont promus, renforçant
notre dépendance
aux énergies fossiles. Le tout au détriment du climat et d’une véritable
transition énergétique, subordonné à un fondamentalisme libre-échangiste
suranné.
Le document de négociation en anglais :
http://france.attac.org/IMG/pdf/ttipenergyrm_nonpaper.pdf
En vous souhaitant bonne réception.
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