Mais savez vous qui est Riwallan ?
Mais savez-vous qui était Etienne Riwallan ?
Merci d’avoir voté pour moi. Deux ou trois amis ont voté aussi pour mes deux ou trois articles. Il atteignaient péniblement un solde positif de 4 (style 8 moins 4 ; 9 moins 5) comme si chaque vote positif était suivi d’un vote contraire.
Je viens de proposer une nouvelle fois ce petit article sur Etienne Riwallan avant que celui proposé il y a une semaine soit une nouvelle fois refusé.
J’y ai mis quelques liens musicaux. Vous reconnaitrez sûrement.
Vous ne savez donc pas vous non plus qui est cet Riwallan qui a donné son nom à ce plinn endiablé ?
Je suis de VANNES . Et vous ?
Les Sonerien Du, oui, mais j’avoue que je garde une préférence pour les Diaouled ar Menez. Vous l’aviez deviné.
Pourriez-vous dire que vous êtes lesbien, comme Arno ?
En découvrant votre outing, j’en découvre un autre : vous êtes Breton.
Savez-vous que depuis plusieurs mois je tente sans succès de publier des articles sur la musique bretonne ?
Mais je suis têtu et je continue.
Le débat sur cet article me met en mémoire une chanson d’un autre Breton :
http://www.youtube.com/watch?v=K45zVusHiK8
http://www.youtube.com/watch?v=K45zVusHiK8
Moi aussi dans mon adolescence, j’ai eu ma période nationaliste, mais je me suis soigné.
Koc’h ki gwen ! Après trois essais et deux refus, cet article sur SUGAR MAN est enfin publié.
Elle a quand même réussi avec Sylvie Joly un très bon numéro dans LES SAISONS DU PLAISIR.
Bien résumé : la bande son et les poursuites.
Avez-vous vu Belushi dans 1941 ?
Trugarez.
Finalement, j’ai réussi à publier l’article sur les BLUES BROTHERS en le réactualisant.
Je vais voir comment donner de l’actualité à mes articles Breizh izel.
Kenavo
Emprunt à Wikipedia
"Thaddeus Stevens, 1792-1868, est un homme politique américain. Élu de la Pennsylvanie, il a été un des membres les plus influents de la chambre des représentants et un des leaders de l’aile radicale du parti républicain, avec Charles Sumner, lors de la guerre de Sécession et au début de la reconstruction. Il est considéré comme un champion de l’égalité qu’elle soit entre les riches et les pauvres, les Noirs et les Blancs, les hommes et les femmes1 pour les uns, un politicien hargneux cherchant à prendre sa revanche sur ses origines plébéiennes pour les autres. C’est une des figures les plus controversées de l’histoire américaine2
Thaddeus Stevens est né le 4 avril 1792 dans le Vermont. Son père disparaît en laissant sa femme et ses quatre jeunes enfants dans la pauvreté. Là, il développe une rancœur solide vis-à-vis de l’aristocratie après avoir vu sa candidature refusée à la fraternité Phi Beta Kappa2. Il étudie ensuite le droit en Pennsylvanie et devient avocat. Il appartient successivement à plusieurs partis (comme le Parti antimaçonnique) avant d’adhérer au parti républicain. Il se consacre avec énergie à combattre le pouvoir des esclavagistes, qu’il considère comme nuisible à la liberté. En 1848, alors qu’il est membre du parti Whig, il est élu à la chambre des représentants. Il se distingue pour son engagement dans la défense des minorités et des opprimés : les Indiens, les Adventistes, les Mormons, les Juifs, les Chinois, les femmes, les esclaves fugitifs. Il aide ces derniers à fuir au Canada. Pendant la guerre de Sécession, il devient un des élus les plus influents de la Chambre des représentants. Dès décembre 1861, il veut utiliser l’affranchissement des esclaves comme une arme pour affaiblir le sud. Il appelle à la guerre totale en janvier 1862. Il tempête contre les profits réalisés par les banquiers pendant la guerre.
Après la défaite sudiste, il est le dirigeant des républicains radicaux qui contrôlent le congrès à la suite des élections de 1866. C’est lui qui le 5 décembre 1866, lors des délibérations du Congrès sur le Quatorzième amendement suggère la formulation suivante : « Toutes les lois promulguées au niveau national ou étatique s’appliqueront également à chaque citoyen, et aucune discrimination ne sera établie entre lesdits citoyens à raison de la race ou de la couleur de peau ». Il demande que l’armée s’engage dans le sud pour forcer ses habitants à reconnaître l’égalité des anciens esclaves. Quand Johnson résiste, c’est lui qui propose l’empeachment et fait voter la mise en route de la procédure en 1868. Il meurt peu de temps après l’échec de la procédure.
Il était un fervent militant antimaçonnique."
@ Alberto
J’ai préféré Django, évidemment.
@ Jules
Il y a plus de « vérité historique » chez Tarentino peut-être parce qu’il y a moins de « prétention historique ». Mais je l’ai en tendu sur France Inter dire qu’il allait arrêter le cinéma et se mettre à l’écriture.
@ Pale Rider
Je pourrai qualifier Django de superbe. Pas ce Lincoln. Comme je l’ai dit en intro : « Je ne suis pas déçu car que je ne me fais aucune illusion quand je vais voir un films de Spielberg ».
Merci pour votre visite et le clin d’oeil.
J’ai commencé par proposer des articles sur les DIAOULED, METIG,
puis les BLUES BROTHERS et OTIS REDING.
Mais aucun n’a été validé.
Oui, il est évident que Spielberg, parlant de Lincoln, de la Guerre Civile, du statut des Noirs, parle aussi de son époque, d’Obama, etc.... Et il le fait à sa façon.
Tout aussi évident que chacun le fasse.
Il faudrait lire quelques livres pour mesurer la véracité historiques. Voir le LINCOLN de Griffith pour comparer les 2 bios.
Je ne l’ai pas encore vu, mais j’ai vu DJANGO.
Merci pour votre recherche.
Mais dites moi si je me trompe. Deux articles étaient déjà notés 5 et 6 avant que vous n’ajoutiez votre vote. Il n’auraient pas dû être publiés.
Par curiosité, si vous avez le temps, pourriez-vous m’indiquer les scores des 4 articles ?
En vous remerciant
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération