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Accueil du site > Actualités > Santé > Peines correctionnelles systématisées pour les insoumis aux vaccinations (...)

Peines correctionnelles systématisées pour les insoumis aux vaccinations imposées !

Peines privatives de liberté généralisées pour les insoumis aux obligations vaccinales. Le gouvernement a mis au vote un projet de loi qui durcit considérablement la répression de l’insoumission vaccinale en dépit des contestations suscitées par la correctionnalisation du BCG en 2001 et des fortes réticences des professionnels de santé concernant l’obligation de ce vaccin.

En 2001, le gouvernement changea les peines contraventionnelles pour refus de vaccination, pour les transformer en délits, bien que la loi d’habilitation du Parlement autorisât uniquement le gouvernement a réactualiser le code de la santé publique à droit constant.

Plus près de nous, le communiqué de la Société française de santé publique du 21 décembre 2006 a émis un avis favorable à la levée de l’obligation généralisée du vaccin BCG ; cette décision fit suite à celles de l’Académie de médecine et du Conseil national de la pédiatrie. A ce jour il semblerait que seul le Comité d’éthique ait émis des réserves concernant la vaccination ciblée, avis contraire à celui de la Haute autorité de lutte contre les discriminations.

Malgré ces prises de position d’actualité, à la suite de la publication du rapport parlementaire n°3507 sur les sectes paru en décembre 2006, les députés ont ajouté au projet de réforme de la protection de l’enfance plusieurs dispositions inspirées par les propositions de la commission d’enquête qui visent à généraliser les peines privatives de liberté à tous les insoumis.

En effet, à la page 23 du rapport de la commission d’enquête est écrit :

« Le respect des obligations vaccinales demeure un enjeu de santé publique. C’est dans cette perspective que la commission d’enquête souhaite l’unification des régimes de sanctions des refus parentaux de vaccination de leurs enfants, en alignant toutes les pénalités sur celles prévues à l’article L.3116-4 du code de la santé publique, ce dernier pouvant faire l’objet de la nouvelle rédaction suivante : « Le refus de se soumettre ou de soumettre ceux sur lesquels on exerce l’autorité parentale ou dont on assure la tutelle aux obligations de vaccination prévues aux articles L.3111-2, L.3111-3 et L.3112-1 ou d’en entraver l’exécution est puni de six mois d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende ».

Le contexte dans lequel le texte a été mis au vote à l’ Assemblée nationale crée une confusion entre questions de santé publique et problèmes sectaires, amalgames pernicieux pour la santé publique.

Le texte étant maintenant adopté en première lecture par l’Assemblée nationale, seules les personnes désapprouvant les dispositions de ce projet de loi peuvent encore l’infléchir, en faisant appel à la sagesse des sénateurs.


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81 réactions à cet article    


  • Marie Pierre (---.---.40.252) 26 janvier 2007 11:29

    Merci pour cette info. C’est bien grave ça !!! Ainsi, on devrait accepter que tous les enfants soient vaccinés contre l’hépatite ? Avec les risques que l’on soupçonne ?

    A quand le patch obligatoire pour les fumeurs ?

    Et pendant ce temps, l’amiante tue à cause des différents gouvernements, le radon tue car aucune info n’est donnée aux maires, DDE et architectes !


    • Cris Wilkinson Cris Wilkinson 26 janvier 2007 11:59

      Combien de gens meurt de l’hépatite chaque année en France ?

      Combien de gens sont victimes d’effet secondaire du à la vaccination chaque année en France ?

      Un vaccin, ce n’est pas neutre, c’est comme les médicaments, cela peut tuer. Mais le nombre de vie sauvé étant beaucoup plus important, que celui des personnes réagissant mal au traitement, c’est pour cela que l’on permet leur commercialisation.

      Si un jour, on trouve un vaccin contre le sida, mais qu’on vous dit que vous avez 1/1000000 de déclenché une cirrhose, vous allez dire qu’il faut l’interdire ... c’est vrai que le sida ne touche que l’Afrique et qu’on a qu’à couper la bitte des noirs pour enrayer la maladie.


    • bulu (---.---.1.42) 26 janvier 2007 14:35

      @Cris

      Tu inverses la problematique : Personne n’a jamais parle d’interdire les vaccins. Il faut laisser aux gens le choix de decider d’un vaccin, et donc de disposer de leur corps.


    • Petit 26 janvier 2007 16:41

      Sauf que les mineurs n’ont pas le « choix ».


    • (---.---.61.208) 26 janvier 2007 17:12

      Pour de nombreuses maladies, il ne s’agit pas seulement d’une problématique de disposer de son propre corps, mais de ne pas devenir vecteur de la maladie et contaminer d’autres personnes.

      Si ce n’était qu’un choix individuel, sans conséquences pour les autres - je défendrais bec et ongles le libre choix. Mais, pour la plupart des maladies dont les vaccins sont obligatoires, la non-vaccination d’une personne peut avoir des conséquences graves sur la santé d’un groupe beaucoup plus nombreux.


    • christian (---.---.216.5) 26 janvier 2007 19:42

      Comme pour les autres décisions concernant leur vie. C’est d’ailleurs la définition d’un mineur ! J’attends depuis longtemps l’interdiction de l’enseignement d’une religion aux mineurs alors que c’est un danger aussi bien pour l’individu que pour la collecttivité( maladies psychiatriques, guerres et autres joyeusetés...). J’ai bien dit une et non, des religions


    • meta-babar (---.---.70.249) 26 janvier 2007 19:48

      bien envoyé :p


    • christian (---.---.216.5) 26 janvier 2007 19:48

      Sauf que même vaccinés, nous sommes porteurs des germes des dites maladies( la plupart du temps). Votre démonstration signifie que la vaccination ne sert à rien puisque le danger représenté par les non-vaccinés existe toujours pour les autres.


    • christian (---.---.74.77) 26 janvier 2007 21:35

      @ Petit :« Sauf que les mineurs n’ont pas le choix ».

      C’est bien là le problème !

      VACCINATION OBLIGATOIRE !


    • musard (---.---.157.141) 28 janvier 2007 09:23

      Vous ne réalisez pas à quel point vos propos sont incohérents : si vous êtes convaincu de l’efficacité des vaccins, en quoi une personne non vaccinée pourrait-elle présenter une menace, un danger pour un groupe de vaccinés ? Un peu de logique s’il vous plaît !


    • bertin gilles (---.---.156.33) 28 janvier 2007 13:39

      Les mineurs n’ont pas le choix.

      pourquoi dans ce cas là, ne pas les exclure de l’assurance maladie, de dénoncé à la protection à l’enfance toutes les infractions routières au non-port de la ceinture pour les enfants dans les voitures.


    • pascompris (---.---.116.176) 10 février 2007 23:17

      ben je ne comprends pas pourqoui un non vacciné est un danger pour un vacciné qui est donc par définition protégé !

      au contraire, le non vacciné ne serait-il alors la preuve indiscutable pour le vacciné obligatoire de sa prétendue supériorité ?


    • majeur et ... (---.---.212.140) 26 janvier 2007 11:41

      La bonne santé grâce aux vaccins ? Le test d’équilibre biophysique du sérum sanguin ’CEIA’ qui par l’intermédiare de réactions chimiques apprécie la qualité des protéines du sérum, nous donne un bilan de santé. Le résultat de 56 analyses effectués sur un même sérum nous permet de nous positionner en normalité, soit hors normes, hypo ou hyper. Un laboratoire pratiquant ces analyses sur plus de 1 600 000 échantillons constate qu’il y a 25 ans un bilan hors normes représentait 1 sur mille des cas étudiés. Aujourd’hui ces bilans représentent environ 4 à 5 pour cent de la population testée, soit une augmentation vertigineuse de 40 fois en l’espace de seulement un quart de siècle. Cette évolution s’est faite en plusieures étapes, les plus marquantes étant LE PASSAGE AU DELA DE LA 3° GENERATION DE SUJETS P O L Y V A C C I N E S, et plus importante encore 2 à 3 mois après Tchernobyl. A cela s’ajoutent les influences des déséquilibres alimentaires, des causes iatrogènes (128 000 hospitalisé l’an passé selon notre ministre de la santé) et de tous les autres facteurs néfastes. Quelle horreur de persévérer dans cette morbide direction.


      • Gnole (---.---.192.187) 26 janvier 2007 15:51

        Le nom du labo ? Les références de la publication ?

        Parce que 1,6 millions d’échantillions testés 56 fois chacun... y a des labo qui ont des millions d’euros à jeter par les fenêtres je trouve smiley


      • (---.---.108.15) 27 janvier 2007 16:18

        allez voir http.//www.ceia.com


      • Fred (---.---.64.1) 26 janvier 2007 12:04

        Je trouve ca assez hallucinant. J’ai un ami qui par conviction refuse de se faire vacciner et je ne vois pas comment on pourrait lui retirer ce droit. Je ne crois pas que ce genre de comportements pourrait mener à une pandémie dans nos pays de nos jours. Je n’ai moi même pas vraiment d’avis et, quand j’y pense, je fais mes vaccins, mais on trouvera autant de gens pour les soutenir que pour les décrier (c’est déja le cas là en trois commentaires). Pour moi il s’agit donc là uniquement d’un problème de liberté, et de résponsabilité (car elles vont toujours ensemble) individuelles.


        • Jojo2 (---.---.158.64) 26 janvier 2007 13:00

          Un vaccin ne protège pas que l’individu vacciné, il protège toute une collectivité en empêchant la propagation du germe. C’est ainsi que la variole a disparu.

          Mais il n’est pas indispensable que 100% de la collectivité soit vaccinée. Cependant, sans contrainte, on retomberait vite sous le % protecteur.


        • Briseur d’idoles (---.---.168.155) 26 janvier 2007 14:57

          Bien qu’opposé à la vaccination, je serais un farouche partisan de la vaccination contre la connerie !


        • Petit 26 janvier 2007 16:41

          Tu interdis l’humour ! Dictateur morose !


        • christian (---.---.216.5) 26 janvier 2007 19:59

          @ Jojo2 Ce qui est important pour le vacciné, c’est qu’il soit protéger efficacement( ce qui suppose que les vaccins soient efficaces... ?). Pas la position de son voisin par rapport à cette question.


        • Briseur d’idoles (---.---.168.155) 26 janvier 2007 14:55

          Ça me fait penser que mes parents étaient membre de la Ligue Contre la Vaccination"...

          Existe-t-elle toujours ?

          A l’époque (mais c’est peut-être plus vrai maintenant), on trouvait toujours des médecins pour établir des certificats de contre-indication ou pour dire que le vaccin avait été fait !

          C’est un fait que les vaccinations obligatoires, comme tout ce qui est obligatoire, vise à asservir l’homme et à le forcer à tout accepter...

          Nous voyons les résultats aujourd’hui !

          On peut compter ceux qui réagissent encore à la servitude !


          • (---.---.61.208) 26 janvier 2007 17:21

            C’est grâce à des gens comme ça que la tuberculose est en train de repartir de plus belle en France. Le BCG ne protège pas complètement de cette maladie, mais aurait permis d’éradiquer la contagion s’il avait été correctement donné à tous. Certaines personnes ne développent pas d’immunité même une fois vaccinées, et tombent gravement malades à chaque contact avec le bacille. J’en ai une dans la famille, au bout de la douzième attaque à peu près en une dizaine d’années, les antibiotiques agissent de moins en moins. Merci pour elle.


          • christian (---.---.74.77) 26 janvier 2007 20:21

            @ Briseur d’idoles.

            J’étais moi-même adhérent à la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations(LNLV). Mes enfants, qui ont 33ans et 26ans, ne sont pas vaccinés. Il est vrai qu’existaient des médecins qui avaient des doutes et donnaient un certificat de contre indication. De nos jours, ils sont plus nombreux à s’interroger( j’en connais, à titre privé, deux), mais, de là à assumer ses positions face au système, il faut du courage ce qui n’est plus le cas actuellement ; ou plutôt le Système est de plus en plus fort. Je ne sais pas si cette association existe toujours, mais il est possible de trouver de la doc dans certaines revues ou publications. Encore plus à l’étranger ; le lobby vaccinaliste y est peut-être moins puissant.


          • christian (---.---.74.77) 26 janvier 2007 20:41

            La tuberculose repart, mais dans une certaine catégorie de la population seulement. Ce n’est pas une raison de vacciner tout le monde.

            Si les antibiotiques ne fonctionnent plus, c’est certainement qu’il y a eu abus, décriés déjà il y a trente par les mêmes médecins qui faisaient des certificats de contre indication. Eh oui ! La vie est un tout.

            Seuls les cas gravres (et encore, c’est pas simple... !) sont recensés. Il n’est pas tenu compte de toutes les suites dues aux vaccinations (allergies et autres affaiblissements du système immunitaire qui peuvent être très graves plus tard). Je trouve extraordinaire qu’on vaccine les enfants dès 3mois alors que l’immunité naturelle ne s’est pas encore faite.

            Si, je sais, c’est le but recherché... Affaiblissement généralisé et obligatoire de la population= drogués à vie. Les dealers ne sont pas seulement dans la rue !


          • Briseur d’idoles (---.---.168.155) 27 janvier 2007 00:22

            Merci Christian,

            L’entreprise d’asservissement de l’homme n’a aucune limite, et la vaccination obligatoire en fait partie !

            J’en arrive à me demander s’il ne serait pas souhaitable qu’il s’écroule totalement, afin que les survivants puissent le reconstruire sur des bases plus saines, normales et naturelles !


          • amatchi (---.---.234.123) 12 février 2007 11:36

            Oui, cette association existe plus que jamais. Elle a plus de cinquante ans.

            Voici l’adresse de son nouveau site internet : http://www.infovaccin.fr et celle de la page concernant l’info signalée par cet article : http://www.infovaccin.fr/organisation_action.html

            Le projet de loi en question repasse en seconde lecture devant le Sénat cet après-midi (reporté depuis le 8 février).


          • gem gem 26 janvier 2007 15:14

            Le complexe sanitaro-industriel a encore frappé.

            En réalité, on s’en fout : la loi réprime les insoumis militants, elle ne dit rien contre les négligents. Suffit de ne pas proclamer d’opposition de principe, et « d’oublier » de faire le nécessaire à la vaccination, pour passer entre les gouttes, si on veut.

            Il n’y a pas de contrôleurs pour cette loi. Le seul à pouvoir détecter une non vaccination, c’est le « médecin traitant », et ce n’est pas lui qui va imposer la vaccination !

            Après, c’est + 1 pour jojo2 : le vaccin protège tout le monde en bloquant la transmission du germe. Ceux qui refusent la vaccination sont des « passagers clandestins » de la santé publique, et même parfoit des breches dans le front contre la maladie, et il est bien normal que la collectivité fasse le nécessaire pour en limiter le nombre.


            • Plume (---.---.77.16) 28 janvier 2007 20:04

              C’est inexact. L’admistration, l’éducation nationale se charge de surveiller la bonne application de la loi en ce qui concerne les obligations générales. Pour ce qui est des obligations spéciales,professionnelles notamment, le postulant n’a d’autre choix que de « se soumettre ou se démettre ».

              Par ailleurs, la France est régulièrement le premier pays touristique de la planète. C’est un pays d’accueil, c’est aussi un pays de l’espace européen, de libre circulation des personnes. L’argumentaire qui consiste à faire des non vaccinés une menace est donc un non sens, qui plus est quand nous sommes l’un des rares pays occidentaux à imposer autant de vaccins à l’ensemble d’une population.

              La menace institutionnelle de sanction délictuelle est d’autant plus inepte q’aucune pandémie de masse ne peut éventuellement servir de jusitification à cette privation de liberté subite, même pour une personne raisonnable convaincue par les bienfaits du dogme vaccinal.


            • catherine garcia (---.---.195.183) 26 janvier 2007 16:01

              Je crois bien que la France est le seul pays européen où le BCG soit encore obligatoire ! Comme chacun le sait les premiers concernés par ce vaccin sont les bébés de moins de 3 mois, qui n’ont pas leur mot à dire. Mais ils ont des parents n’est-ce-pas ?


              • christian (---.---.74.77) 26 janvier 2007 21:30

                @ Catherine

                Vous n’avez pas fini votre phrase, je crois ?

                ...qui feront six mois de prison pour avoir essayer de protéger leurs enfants de l’obligation vaccinale.


              • alberto alberto 27 janvier 2007 14:41

                Le BCG qui de plus, madâme, est une invention françouaise !


              • (---.---.241.52) 26 janvier 2007 19:22

                la sagesse est dépassée quand la fric l’emporte sur le Bien de la population et contre la recherche médicale.


                • Pasteur ! ils sont devenus fous ! (---.---.30.80) 26 janvier 2007 20:58

                  Si mon arrière grand-mère état encore en vie, je lui aurais volontiers fait lire toutes vos réactions. Elle qui a perdu 2 enfants de la dyphterie à la fin du XIXe siécle, après les avoir soignés nuit et jour, impuissante face à la maladie, eux qui étouffaient inexorablement et qu’elle leur infligeait un traitement qui les faisait souffrir encore un peu plus... Je pense à elle chaque fois que je fais les rappels de mes 3 enfants...


                  • christian (---.---.74.77) 26 janvier 2007 21:11

                    @ Pasteur...

                    Sauf que la dyphtérie (ainsi que les autres maladies soi-disant disparues grace aux vaccins) a évolué de la même façon dans les pays comme le notre, et pourtant, aucun n’a eu autant d’obligations vaccinales. Il faudrait, peut-être chercher ailleurs : évolution du niveau de vie, hygiène, conditions de travail,...


                  • Pasteur ! ils sont devenus fous ! (---.---.30.80) 26 janvier 2007 21:28

                    c’est à débattre, mais tu ne peux pas nier que s’ils avaient été vaccinés ils ne seraient pas morts.


                  • Briseur d’idoles (---.---.168.155) 27 janvier 2007 00:28

                    Ça personne n’en sait rien !

                    Et les vaccinations tuent encore !

                    Pour ma part, j’ai été paralysé d’une jambe, plusieurs semaines, après avoir été vacciné...

                    J’avais 7 ans !

                    Ma jambe infectée a été guérie au moyen de cataplasmes d’argile !


                  • Alain1 (---.---.64.171) 27 janvier 2007 11:07

                    « et qu’elle leur infligeait un traitement qui les faisait souffrir encore un peu plus... »

                    Ben voilà, je crois qu’il n’y a pas à aller chercher plus loin la cause de leur mort. Ce sont les médicaments qui ont tué les enfants de votre arrière grand-mère.


                  • Laborit 18 septembre 2007 18:34

                    Ne le prenez pas mal mais de grâce, ne confondez pas le 19ème siècle et ses conditions sanitaires précaires et notre société actuelle. Renseignez-vous sur les maladies contre lesquelles vous vaccinez vos enfants (ce qui ne vous assure en rien qu’ils soient immunisés) et vous serez surpris de ce que vous découvrirez. Cordialement.

                    Laborit


                  • lucienne1 (---.---.78.131) 27 janvier 2007 12:37

                    Mettre en cause, en France, un vaccin quel qu’il soit, est quasiment impossible. Sauf quelques médecins dissidents —les homéopathes en général (c’est pourquoi sans doute ils sont si mal vus des autres)— la vaccination est toujours présentée comme le sésame qui assure la santé. Si seulement c’était vrai ! C’est en tout cas un sésame merveilleux pour l’industrie pharmaceutique, toujours assurée, de génération en génération, d’un « marché » juteux, beaucoup moins risqué que celui des médicaments (Vioxx ou autres Distilbène) dans la mesure où les effets iatrogènes ne pourront jamais être prouvés par la victime. Seuls les fabricants peuvent le faire, mais vont-ils scier la branche sur laquelle ils fructifient ? Interrogés dans le cadre des procédures judiciaires, ils refusent toujours de donner les pièces compromettantes, et nos organismes de santé publique ne font pas mieux. L’exemple du vaccin Hépatite B qui a fait plusieurs dizaines de milliers de victimes en France (le records de l’Europe)— dont beaucoup de morts, chez les enfants comme chez les adultes — devrait amener nos gouvernants à la prudence. Malheureusement, ils mènent les politiques de santé publique en fonction des intérêts économiques et non pas dans le respect de la santé des citoyens. On le constate aujourd’hui où ils relancent la vaccination contre l’hépatite B, avec les mêmes mensonges qu’autrefois pour faire peur (la salive)alors que toutes les études qui ont été faites concluent à un risque minoritaire certes mais très grave. Si nous étions un pays de forte endémie, cela pourrait se justifier, mais chacun d’entre nous, sauf populations déshéritées, toxicomanes etc ne risque strictement rien. Dans ma famille, il y a eu un mort (tétraplégique après vaccination hépatite B et un enfant hospitalisé). J’en connais aussi un autre, un tout petit, tétraplégique désormais à vie, trachéotomie + gastrotomie pour le maintenir dans une survie insupportable.Le fabricant a été condamné, mais à l’étranger. En France les victimes perdent toutes leurs procès... Inévitable : nous avons sur notre sol la première industrie des vaccins au monde. La justice est loin d’être indépendante. Beaucoup de fric...L’expérience des uns devrait au moins servir aux autres. Je conseille à qui me lira d’aller sur le site web suivant : www.revahb.org


                    • georget (---.---.200.58) 27 janvier 2007 15:30

                      Etablir des sanctions pour refus de vaccination est inadmissible. Pour que cela soit envisageable, il faudrait que les vaccinations aient toutes les qualités et soient dépourvues de tout défaut, ce qui n’est à l’évidence pas le cas. Deux rapports doivent être considérés : bénéfices/risques et coût/bénéfice.

                      Le premier de ces rapports ne peut pas être calculé « honnêtement » car d’une part les risques sont fortement minimisés (il est admis par tous que la pharmacovigilance ne recense qu’entre 1 et 10% des accidents post-vaccinaux ou médicamenteux) alors que, d’autre part, les bénéfices sont exagérés en mettant au crédit des vaccinations des succès obtenus par l’augmentation du niveau de vie et de l’hygiène (comme l’écrit l’OMS). Un seul exemple, en voie de devenir une légende : l’éradication de la variole par les campagnes massives de vaccination. Dans son rapport final sur l’éradication, l’OMS écrit que ces campagnes ont été un échec, le succès ayant été obtenu par la stratégie de surveillance-endiguement (recherche et isolement des malades, surveillance des contacts).

                      Quant au rapport coût/bénéfice il n’a jamais été calculé sauf...pour la vaccination contre l’hépatite B. Quand elle fut lancée (1994-95) une étude venait d’être publiée, mettant en parallèle le coût de la vaccination (à partir de données très favorables : incidence de la maladie surévaluée, acceptation parfaite de la vaccination, efficacité de 95%, non prise en compte du traitement des effets secondaires) avec le coût du traitement des hépatites évitées par la vaccination. Le résultat est sans appel : la vaccination de la population générale, très peu exposée dans notre pays, coûte 20 (vingt) fois plus cher que le traitement des hépatites évitées. La vaccination n’est rentable que pour les toximanes par voie intraveineuse !!

                      Ce sont là quelques unes des vérités indésirables que je relate dans mon livre (« vaccinations, les vérités indésirables », ed. Dangles, préfacé par le Pr Cornillot, doyen-fondateur de la Faculté de médecine de Bobigny, avec 700 références)

                      A l’intention des « filtreurs » : si vous jugez que ces dernières lignes ont un caractère commercial, supprimez les, mais il serait dommage que les lecteurs ne puissent pas accéder à ces informations.


                      • Internaute (---.---.140.67) 27 janvier 2007 19:04

                        On est en plein deux poids, deux mesures comme d’habitude.

                        Il devient un délit de ne pas se faire vacciner et cela nous est infligé par les mêmes personnes qui depuis 30 ans font tout pour le développement du Sida. Avec l’anti-morale qui habite nos dirigeants, c’est toujours la faute de la victime.

                        Ce n’est pas aux personnes saines de subir des contraintes lorsqu’en même temps on force l’intégration de sidaïques dans les écoles et les entreprises. Même si le sida ne se transmet pas aussi facilement qu’on pourrait le croire, cette maladie fait des sidaïques des vecteurs d’autres maladies fort contagieuses comme la tuberculose.

                        Commençons par lutter contre les foyers d’infection au lieu d’obliger tout le monde à se vacciner.


                        • Ben Ouar y Villón 27 janvier 2007 21:14

                          Le Thiamersol, un dérivé mercuré (neuro-toxique) est utilisé dans le monovax. Le ministère de la santé fit passer une circulaire pour demander aux labos, s’il était possible, éventuellement, de retirer le Thiamersol dit « adjuvant immunitaire » de ce vaccin.

                          Mais nous sommes au pays de Pasteur et de son Institut. Tous les pays ont levé l’obligation de ce vaccin ; mais comme chacun sait, l’Europe croule sous la tuberculoe n’est-ce pas ? Aux USA, la FDA interdit l’utilisation de dérivés mercurés dans les vaccins : mais en France, on se fout de savoir si les QI de nos enfants et leur caractère seront altérés par les dangers de ce vaccin efficace à 30 %. Où sont implantés en Europe les grands laboratoires pharmaceutiques ?

                          Les cas de tuberculose détectés en France sont peut-être dûs à l’inoculation du germe vivant dans le vaccin, et non dû, comme le disait en toute ignorance un commentateur ci-dessus, à ceux qui n’ont pas fait vacciner correctement leurs enfants.

                          Dans le Pentacocq, c’est de l’hydroxyde d’aluminium qui est ajouté aux vaccins acellulaires. Le gros problème est de vérifier l’immunité aux toxines injectées. La fièvre ? Le corps réagit peut-être non aux germes, mais simplement au métal injetcé !

                          Quand on vous dit qu’ils insistent.


                          • seb (---.---.239.214) 27 janvier 2007 22:56

                            A Pasteur...

                            Et voici mes commentaires sur le sujet : http://debatsanteseb.blog4ever.com/blog/lirarticle-51810-126676.html

                            Je pense qu’avec ça, on peut qd même se poser quelques questions sur le réel but de ces vaccins... !!


                            • seb (---.---.239.214) 27 janvier 2007 23:01

                              A IP... Et voici mes commentaires sur le sujet : http://debatsanteseb.blog4ever.com/blog/lirarticle-51810-126676.html

                              Je pense qu’avec ça, on peut qd même se poser quelques questions sur le réel but de ces vaccins...et leurs efficacités... !!


                              • Francemeilleure (---.---.238.68) 28 janvier 2007 14:12

                                Bonjour,

                                La Hollande a depuis 66 ans abandonné la vaccination contre la tuberculose et elle recense nettement moins de cas que la France. Seulement la Hollande a intelligemment trouvé qu’une bonne alimentation et des conditions de logement correctes suffisaient à enrayer la tuberculose. Ils ont obtenu gain de cause ! L’Allemagne aussi enregistre énormément moins de tuberculose que la France ! En France, nous sommes victimes d’un dogmatisme médical ignoble et il ne faut pas oublier que la France est number one des pays producteurs de vaccins ! Le ROR provoque l’autisme (500 % d’augmentation des cas d’autisme aux USA) Certains vaccins contiennent 20 fois la dose au-delà de laquelle l’hydroxyde d’aluminium est toxique ! http://www.e-monsite.com/aluminiumetvaccins/ site très difficle d’accès car trop dérangeant !

                                Faites comme moi, surfez sur internet, vous obtiendrez les informations que l’on vous cache pour des intérêts mercantiles et non médicaux


                                • Alain1 (---.---.64.171) 28 janvier 2007 22:22

                                  Pour le fameux rapport bénéfice/risque de la vaccination, sorti à chaque fois par les vaccinalistes pour faire les finauds, ceux-ci oublient complètement que l’estimation du bénéfice de la vaccination ne peut être faite qu’avec un échantillon de controle non vacciné (qui a un niveau de vie identique bien sur). C’est à dire qu’il faut voir également ce qui se passerait si on ne vaccinait pas.

                                  Or qu’est-ce qu’on voit quand on a les chiffres en question ? Ben que quand il n’y a pas de vaccin, à niveau de vie égal, la prévalence de la maladie diminue de la même façon. Donc, le vaccin ne sert à rien. Son efficacité est nulle. Et donc, le rapport bénéfice/risque est de zéro. Il ne reste que le risque.

                                  Et pour les maladies pour lesquelles on n’a pas les chiffres, ben, les vaccinalistes ne peuvent absolument pas mettre en avant le rapport bénéfice/risque, puisqu’ils ne disposent pas d’un échantillon de controle non vacciné.

                                  Et quand les chiffres existent, on constate que les vaccinalistes ne les analysent pas, alors qu’ils devraient les étudier en long en large et en travers. Ce qui en dit long sur leur sérieux et sur leur parti pris. C’est sur que se rendre compte que quand il n’y a pas de vaccination, la prévalence de la maladie diminue de la même façon, ça la fout mal pour les vaccinalistes.


                                  • Internaute (---.---.112.137) 29 janvier 2007 20:00

                                    C’est un peu fallacieux comme argumentaire. Il est évident que lorsqu’une épidémie se produit dans une population non vaccinée et provoque des ravages alors l’effet de la vaccination est d’arrêter l’épidémie et le facteur bénéfice /risque est du bon côté. Une fois l’épidémie passée il n’y a plus de bénéfice mesurable mais par contre la propulation reste protégée en cas d’arrivée d’une nouvelle vague d’infection.

                                    Avec le même argumentaire je pourrait dire que les pompiers ne présentent qu’un coût sans bénéfice puisque ma maison ne brûle pas.


                                  • Alain1 (---.---.64.171) 30 janvier 2007 11:33

                                    N’importe quoi. Comme si les maladies « traitées » par les vaccins étaient du type « explosion de cas lors d’une épidémie, puis plus de cas du tout après ».

                                    Jusqu’à nouvel ordre, quand les vaccinalistes parlent des maladies qui font l’objet d’un vaccin, ils disent que la maladie en question faisait des milliers, voir des dizaines de milliers de morts par an. Et de la même façon, quand on regarde les courbes de mort par ces maladies, il s’agit souvent de courbes régulières. Et quand, pour certaines, il y a de fortes variations en quelques années, avec une augmentation soudaine, ça ne signifie pas qu’après, il n’y a plus aucun cas. Il continue à y avoir des milliers de cas par an.

                                    Mais ça, tout d’un coup, vous l’avez oublié. Je suis sur que vous ne l’auriez pas oublié si quelqu’un avait commencé une intervention par « la vaccination ne sert à rien ». Là, vous auriez sorti « quoi, mais avant la vaccination, il y avait des milliers de morts... par an ». C’est la mémoire à géométrie variable.

                                    Mais de toute façon, même si ça fonctionnait sur le mode épidémique particulier dont vous parlez, la comparaison resterait valable. Ben oui, on pourrait voir s’il n’y a plus d’épidémie dans les deux cas. Ou alors, ça voudrait dire que, d’un seul coup, puisqu’on fait une comparaison, la maladie arrêterait de déclencher des épidémies. La maladie jouerait sa timide. Ou sa caractérielle... S’il y a un échantillon de controle, je boude. Mais bon, quoiqu’il en soit, il ne s’agit pas du mode de fonctionnement des maladies en question.


                                  • morose (---.---.198.56) 4 février 2007 00:09

                                    "par Internaute (IP:xxx.x4.112.137) le 29 janvier 2007 à 20H00 C’est un peu fallacieux comme argumentaire. Il est évident que lorsqu’une épidémie se produit dans une population non vaccinée et provoque des ravages alors l’effet de la vaccination est d’arrêter l’épidémie et le facteur bénéfice /risque est du bon côté. Une fois l’épidémie passée il n’y a plus de bénéfice mesurable mais par contre la propulation reste protégée en cas d’arrivée d’une nouvelle vague d’infection. Avec le même argumentaire je pourrait dire que les pompiers ne présentent qu’un coût sans bénéfice puisque ma maison ne brûle pas".

                                    Voulez-vous dire par là que l’idéal est de laisser les pompiers arroser votre maison, de peur que le feu ne revienne un jour ? L’évaluation du risque/bénéfice est le même. C’est un choix qui ne peut que rester personnel ; pour ma part, je préfère prendre le risque du feu, plutôt que celui de noyer ma maison sous le jet ininterompu. Le 1er ne surviendra peut-être jamais, par contre, le 2ème risque est garanti. La vaccination n’a jamais conféré une protection individuelle, elle confère une protection collective qui n’a de sens qu’en cas d’épidémie réelle (pas pour les endémies). Le rêve gauchiste de la santé pour tous - gratuite, en plus - est un rêve dont on évalue le prix : efficacité minimale, pour un coût terrifiant, financier et iatrogène. Surtout quand elle déresponsabilise le citoyen, encore plus quand elle diabolise une partie de la population. Un autre point dans les textes qui vont passer le 8 février au sénat, et pour lequel il est juste d’écrire à son sénateur pour le rendre vigilant : ce texte s’inscrit dans les textes soi-disant de protection des enfants vis-à-vis des dérives sectaires. Or, les dites dérives n’ont pas été démontrées, appuyées et prouvées (http://www.coordiap.com/cep2006.htm). Nous souhaitons tous que les actes délictueux soient punis. Que les individus sectaires dangereux soient poursuivis. Là, on se proprose de punir des individus qui par le fait qu’ils n’ont pas fait subir ces vaccinations à leurs enfants (typhoïde, diphtérie, tétanos...) deviendront de plus suspects d’être des membres d’organisation sectaire. Une bonne façon de faire coup double : sanction vaccinale, et suspicion d’être membre de secte. C’est donc un empiètement grave de nos choix de liberté de choix thérapeutique, de pensée, de conviction. Au même titre aujourd’hui, les médecins auxquels Lucienne fait allusion, sont suspectés actuellement d’être manipulés par des sectes, et pour un nombre de plus en plus grand poursuivis par leurs Conseils de l’ordre des Médecins comme tels. Nous sommes donc tous des individus dangereux...faisant de la secte sans le savoir. Mais dorénavant on ne restera plus longtemps sans en entendre parler.


                                  • Yannick Comenge (---.---.102.41) 30 janvier 2007 19:31

                                    Je suis sidéré par une politique aussi stupide en matiere de santé. En tant que chercheur en virologie, je suis écoeuré par une telle méconnaissance des problemes liés à la vaccination. Les hommes qui pousseront à la vaccinantion et obligeront à la vaccination notamment de contre l’Hepatite B n’ont pas conscience des dégats sanitaires qu’ils préparent. Il est formellement stupide, inconscient notamment de pousser à la vaccination contre l’Hepatite B de Nourrisson etant donné les doutes qu’on a sur le vaccin chez l’adulte.

                                    Je m’appuie notamment sur l’expérience de Marc Girard (expert scientifique et spécialiste des effets indesirables des médicaments). Je trouve que ceux qui considereront un homme comme inféodé à une secte parce qu’il n’aura pas une foie aveugle en une technique ne sont pas digne de parler de santé publique.

                                    Je rappelle que les études concernant les effets indésirables de la vaccination hépatite B sont peu financées et peu médiatisées mais l’honneur de quelques chercheurs depuis 1988 est de montrer qu’au niveau immunologique la protéine S2 servant à la vaccination est proche de la protéine de Myeline. D’autre hypothese de nocivité de ce vaccin souligne que certains patient ont au tirage le mauvais allele HLA et peuvent developper une sclerose.

                                    J’accuse ceux qui mettront en correctionnelles ces insoumis d’etre les fossoyeurs d’une idée de médecine pour tous et d’une gestion humaniste de la santé !

                                    Dr Yannick Comenge Phd in Microbiology Ancient étudiant en Hepato-virologie (H Necker) Ancient étudiant du cours de virologie fondamentale de l’Institut Pasteur. Cosignataire d’un article sur l’Hepatite B avec Marc Girard

                                    Comenge Y, Girard M. Multiple sclerosis and hepatitis B vaccination : adding the credibility of molecular biology to an unusual level of clinical and epidemiological evidence.Med Hypotheses. 2006 ;66(1):84-6.


                                    • lucienne1 (---.---.164.135) 1er février 2007 17:46

                                      Je réagis à l’article de Yannick Comenge que j’approuve entièrement. Ce qu’il dit du sort réservé à quiconque (médecin, expert , chercheur) ose s’interroger sur la qualité d’un vaccin, je pourrais donner de multiples exemples. On a le droit de s’interroger sur les risques d’un médicament, jamais sur ceux d’un vaccin. L’expert que cite Yannick Comenge et que je connais a été littéralement persécuté pour avoir signalé les accidents qu’il avait constatés parmi les vaccinés contre l’hépatite B. L’objectif était de le faire taire et s’il ne se taisait pas d’attaquer l’homme pour tenter de discréditer ses idées. Il était aussi de faire comprendre aux autres qu’ils subiraient le même sort, s’ils se risquaient à dire la vérité. Cela s’appelle la dissuasion par la menace et par la peur ou, si l’on préfère, une forme indiscutable de terrorisme intellectuel.Il y aura toujours, vu l’importance des enjeux financiers dans le domaine de la santé, des gens pour le pratiquer. Qu’au moins ils se rappellent qu’on peut tuer un homme, mais pas ses idées, et que la vérité finit toujours par s’imposer. Elle s’est déjà en partie imposée à L’Etat qui a dû indemniser une centaine d’infirmières, et elle s’imposera nécessairement un jour pour les milliers de victimes que ce vaccin a faites en France — le record de l’Europe ! L’ennui, c’est que beaucoup d’entre elles ne verront pas ce jour, qu’on les aura lâchement laissées dans un abandon total, avec un coût matériel et humain pour elles et leurs familles inadmissible dans un pays dit évolué, et que ce refus de voir les réalités empêche qu’on les analyse, fige le débat, et nuit à la recherche. Que vaut en effet une science livrée au dogmatisme d’un clan et qui ne considère plus le doute comme un moteur du progrès ? Le mot « vaccin », en France est sacralisé. Nous en sommes encore à l’âge des guerres de religion, avec excommunication à la clé. Je dénonce ce terrorisme intellectuel et les connivences qui lui permettent de subsister. Peut-on me citer un seul exemple, en France, dans le domaine de la santé publique, de procès gagnés par les victimes ? En Italie, oui, au temps des juges aux « mains propres » qui ont lourdement condamné un ministre de la santé et une soixantaine de ses collaborateurs pour corruption liée à la vaccination hépatite B. Au Maroc aussi, récemment, où Glaxo a été condamné pour avoir rendu un tout petit enfant tétraplégique à vie. En France, les victimes ont compris : les tribunaux les condamnent toujours et même, alors qu’elles sont ruinées, à payer les frais de justice ! Nos juges n’auraient-ils pas les mains libres ? Ou se laissent-ils impressionner par des gens qui pourtant leur refusent les pièces qu’ils demandent ? Il y a toujours, au tournant d’une procédure, quelque chose qui rate. Le sang contaminé aura été un modèle du genre. Et l’hormone de croissance ! Première plainte déposée en i991. Nous sommes en 2007. Toujours rien ! Bizarre tout de même...

                                      Lucienne Foucras, auteur du « Dossier Noir du vaccin contre l’hépatite B », éd. du Rocher 2004 Professeur agrégée, actuellement retraitée Sur trois personnes vaccinées en 1996 dans ma famille, deux ont été malades : mon mari est mort d’une très grave maladie auto-immune déclarée après le vaccin, et mon petit-fils, trois ans à peine, a dû être hospitalisé (bien qu’il n’ait reçu qu’une injection !). Groupe HLA défavorable. Maladies différentes : paralysie évolutive dans un cas, et maladie du sang dans l’autre. Deux sur trois, de quoi vraiment s’interroger sur ce vaccin-là... S’il vous plaît, épargnez les enfants !


                                      • MOM (---.---.88.148) 4 février 2007 11:26

                                        J’ai 41 ans,je menais une vie tout à fait normale jusqu’en 2001, très active professionnellement et associativement. On m’a imposé le vaccin contre l’HB, résultat à ce jour : Je souffre d’une myopathie inflammatoire (myofasciite à macrophages), il n’y a aucun traitement, j’ai perdu ma santé, mon boulot et je touche une invalidité dérisoire. ALORS, COMMENT APRES CELA ACCEPTER DE REFAIRE UN VACCIN ????????? Je ne suis pas assez punie, si je refuse, on m’emprisonne ???????????

                                        ET MON ENFANT a toutes les chances de déclarer la même maladie, pour l’éviter je ferais donc de la prison ! BRAVO !

                                        Où est la justice dans tout cela ?

                                        LES VACCINS AUJOURD’HUI SONT FABRIQUES à partir d’OGM, d’aluminium et de mercure ! Il ne faut pas être scientifique pour comprendre que tous ces composants ne sont pas sans conséquences sur le système immunitaire !!!!


                                        • (---.---.65.247) 12 février 2007 07:51

                                          A « MOM » , mais tu n’es pas tout seul .Je ne comprends pas ces conneries .Je me crois revenu à l’interdiction de publicité sur le purin d’orties de cet été ...il y a des médecins qui soignent les conséquences des vaccins dues au mercure, d’autres au vaccin lui-même ...je sais que des personnes s’en sortent . Pour le mercure avec de l’argile ,un peu comme dans l’ulcère de Buruli cf « www.BuruliBuster.com et www.ActionBuruli.com ». Ils sont « trouvables »,mais uniquement par le bouche à oreille ..ils se cachent plus efficacement que pdt la guerre ,mais tu vas trouver le bon. Il faut faire attention, seul le bouche à oreille compte car d’autres gros nuls en profitent pour se faire du fric sur le dos des malades.Cette façon de faire , nous oblige au moins à nous rapprocher les uns les autres car la fortune personnelle ne compte pas dans ces cas .Seulement les recoupements comptent.Alors, on va de masures en chateaux et l’on est très bien reçu quand on nous a scuté, soupesé ...jugé. Une expérience a faire les gens ne sont pas si distants quand ils ont confiance .Seulement, ils sont méfiants !


                                        • os à moelle (---.---.64.10) 10 février 2007 19:07

                                          Question : à qui profite le « crime » de la vaccination ??


                                          • elo (---.---.73.103) 13 février 2007 00:10

                                            si la vaccination protege tannnnt contre les maladies, ceux qui sont vaccines non pas a avoir peur des non vaccines.LIBERTE LIBERTE HORS DE QUESTION QUE JE ME METTE LEUR SALOPERIES DE VIRUS DANS LE SANG,QU ILS AILLENT SE FAIRE FOUTRE


                                            • psychik (---.---.67.201) 26 février 2007 14:47

                                              c’est surtout que c’est completement illegal de rendre la vaccination obligatoire , le debat devrait plutot se porter la .

                                              petit rappel des lois et textes >

                                              Toute obligation serait anticonstitutionnelle :

                                              Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».

                                              Toute obligation serait contredite par le nouveau Code civil qui reconnaît le :

                                              « principe du respect de l’intégrité du corps humain ».

                                              Toute obligation serait en contradiction avec :

                                              L’article 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise que : « Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

                                              Toute obligation serait contraire aux :

                                              Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant :
                                              - Information des Patients - « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

                                              Toute obligation serait annulée d’office par la :

                                              Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».

                                              une entrave de plus faites a nos droits elementaires smiley


                                              • Gachounet (---.---.53.157) 14 mars 2007 23:49

                                                Pour notre aîné, nous avions un super médecin qui piquait la boîte et non pas le bras. Merci à lui et notre fils se porte bien. Ma fille lors de sa 2éme injection de pentacoq a déclenché une merde avec pour résultat un séjour à l’hopital et un an de problèmes respiratoires. C’est de notre faute à nous ses parents !

                                                Que les parents qui veulent vacciner leurs enfants le fasse et nous fiche la paix. Je ne dis rien contre les parents qui traînent leurs enfants à la messe du dimanche matin alors que l’on sait que l’Eglise catholique romaine est une des premières sectes au monde.

                                                Donc puisque le gouvernement veut déclarer la guerre aux gens libres de penser et de choisir, il l’aura, ma fille n’aura aucun rappel et le médecin de la PMI devra le comprendre et l’admettre.

                                                Je fais parti de la secte des gens qui sur 60 heures de boulot par semaine travaille en fait presque 20 heures pour l’Etat, qui l’accepte mais à condition d’avoir la paix. smiley

                                                Je fais aussi parti de ces sectes qui se soignent par homéo, médecine énergétique... (cela marche tellement « mal » que j’ai un carcinome en rémission alors qu’il y a quelque années pour le même mal, je suis passé par la table d’opération smiley), qui donne plein de sous à la sécu sans rien demander en contre-partie, si ce n’est le choix des médocs que j’avale. smiley

                                                Mais je suis surtout conscient qu’en tant qu’ancien militaire ayant fait des merdes pour eux pendant 5ans, je veux la paix maintenant chez moi. A la différence du Déserteur de Vian, je serais armé. Ce qui me fait ch..., c’est que quand il m’auront mis en tôle ou plus si non-affinité, ils enlèveront mes enfants pour les farcir de piquouzes. smiley


                                                • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 08:01

                                                  Maître Frédéric HOFFET, Avocat au Barreau de Strasbourg, et qui avait perdu un enfant à la suite d’une vaccination écrit :

                                                  « Il y eut aussi, chez Petit Pierre, cette étrange connaissance, qui fait que les tout petits en savent souvent davantage que les hommes de science sur les problèmes les plus angoissants de la vie. Il en savait en tout cas plus que nous sur les dangers de cette drogue par laquelle nous lui donnâmes la mort pour le protéger d’un mal hypothétique. Plongés par tout leur être dans l’universel, les tout petits sentent ce que nous ne sentons plus. Ils sont plus près de Dieu qui voit et connaît tout, affirme le croyant...

                                                  Ce qui est intéressant dans le cas de mon fils, c’est la lumière qu’il jette sur les méthodes de l’Institut... et de nos autorités médicales et sur les vices de raisonnement qui heurteraient d’emblée le moindre professeur de logique, le moindre juge d’instruction. Au lieu de savants froids et pondérés que j’avais cru trouver, je découvris des pontifes remplis de leur importance, n’acceptant pas la moindre contradiction et élevant au niveau d’à priori indiscutables les doctrines peut-être intéressantes, peut-être même fécondes, mais nécessairement relatives, dont ils font leur affaire...

                                                  On reste pantois devant la simplicité et la crédulité de nos professeurs. Nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants, l’élément essentiel du raisonnement scientifique, qui est le doute, leur fait défaut....Les théories de nos savants ne sont plus des hypothèses, mais des dogmes, que l’on impose aux Facultés, aux ministères, aux étudiants et aux praticiens, qui doivent s’y soumettre sous peine d’excommunication majeure. Les vérités d’Etat deviennent par surcroît lois d’Etat, et le bras séculier les sanctionne. Le peuple ignorant accepte et suit : on lui cache ce qui pourrait aller contre les thèses officielles...

                                                  Ce qu’il y a de plus grave, et ce que nous enseigne l’affaire de mon fils, c’est que l’on ne peut avoir aucune confiance dans les raisonnements de nos maîtres, dans les déclarations de nos autorités médicales et dans les statistiques dont celles-ci s’enorgueillissent...Malhonnêteté ? Dans les cas plus rares. Aveuglement ? Peut-être, et certainement mystique ! Je suis persuadé que beaucoup de nos tyrans sont entièrement sincères. Ils ne voient plus, ils ne pensent plus que dans les termes des doctrines obligatoires. Je ne peux même pas leur en vouloir. Ils sont, eux aussi, des victimes.

                                                  Ce que pourtant je n’accepte pas, c’est que l’on impose aux citoyens d’une démocratie, des opérations médicales discutables ; c’est qu’on force les consciences, qu’on contraigne les corps, et qu’on se moque de l’angoisse des mères.

                                                  Quand on raconte à un anglais, à un Américain, voire à un allemand, la façon dont on chasse de nos écoles des enfants auxquels leurs parents ont refusé d’administrer un vaccin qu’on rejette chez eux, on a honte d’être français ? Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme.

                                                  Il est nécessaire que les Français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire, inconsciente. Il est temps qu’une médecine vraiment scientifique et humaine, une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères. » Me. F.HOFFET


                                                  • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 08:47

                                                    Maître Frédéric HOFFET, Avocat au Barreau de Strasbourg, et qui avait perdu un enfant à la suite d’une vaccination écrit :

                                                    « Il y eut aussi, chez Petit Pierre, cette étrange connaissance, qui fait que les tout petits en savent souvent davantage que les hommes de science sur les problèmes les plus angoissants de la vie. Il en savait en tout cas plus que nous sur les dangers de cette drogue par laquelle nous lui donnâmes la mort pour le protéger d’un mal hypothétique. Plongés par tout leur être dans l’universel, les tout petits sentent ce que nous ne sentons plus. Ils sont plus près de Dieu qui voit et connaît tout, affirme le croyant...

                                                    Ce qui est intéressant dans le cas de mon fils, c’est la lumière qu’il jette sur les méthodes de l’Institut... et de nos autorités médicales et sur les vices de raisonnement qui heurteraient d’emblée le moindre professeur de logique, le moindre juge d’instruction. Au lieu de savants froids et pondérés que j’avais cru trouver, je découvris des pontifes remplis de leur importance, n’acceptant pas la moindre contradiction et élevant au niveau d’à priori indiscutables les doctrines peut-être intéressantes, peut-être même fécondes, mais nécessairement relatives, dont ils font leur affaire...

                                                    On reste pantois devant la simplicité et la crédulité de nos professeurs. Nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants, l’élément essentiel du raisonnement scientifique, qui est le doute, leur fait défaut....Les théories de nos savants ne sont plus des hypothèses, mais des dogmes, que l’on impose aux Facultés, aux ministères, aux étudiants et aux praticiens, qui doivent s’y soumettre sous peine d’excommunication majeure. Les vérités d’Etat deviennent par surcroît lois d’Etat, et le bras séculier les sanctionne. Le peuple ignorant accepte et suit : on lui cache ce qui pourrait aller contre les thèses officielles...

                                                    Ce qu’il y a de plus grave, et ce que nous enseigne l’affaire de mon fils, c’est que l’on ne peut avoir aucune confiance dans les raisonnements de nos maîtres, dans les déclarations de nos autorités médicales et dans les statistiques dont celles-ci s’enorgueillissent...Malhonnêteté ? Dans les cas plus rares. Aveuglement ? Peut-être, et certainement mystique ! Je suis persuadé que beaucoup de nos tyrans sont entièrement sincères. Ils ne voient plus, ils ne pensent plus que dans les termes des doctrines obligatoires. Je ne peux même pas leur en vouloir. Ils sont, eux aussi, des victimes.

                                                    Ce que pourtant je n’accepte pas, c’est que l’on impose aux citoyens d’une démocratie, des opérations médicales discutables ; c’est qu’on force les consciences, qu’on contraigne les corps, et qu’on se moque de l’angoisse des mères.

                                                    Quand on raconte à un anglais, à un Américain, voire à un allemand, la façon dont on chasse de nos écoles des enfants auxquels leurs parents ont refusé d’administrer un vaccin qu’on rejette chez eux, on a honte d’être français ? Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme.

                                                    Il est nécessaire que les Français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire, inconsciente. Il est temps qu’une médecine vraiment scientifique et humaine, une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères. » Me. F.HOFFET


                                                    • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 10:59

                                                      VACCINS ET CROYANCE La peur se vend bien

                                                      Dr Sherri Tenpenny

                                                      Il est intéressant de constater comment une discussion sur les vaccinations peut rapidement devenir animée et parfois même agressive. Pareille animosité se manifesterait-elle au sujet d’un antibiotique ou d’un médicament contre la tension s’il était démontré que le médicament pouvait être dangereux ? Il y a peu de chances. Le médicament serait retiré du marché s’il était prouvé qu’il entraîne des décès. Même s’il ne s’agissait que de soupçons, sa commercialisation serait interdite jusqu’à ce que son innocuité puisse être démontrée.

                                                      Il n’en va pas de même pour les vaccins. Leur promotion est souvent assurée avec grand renfort de publicité jusqu’à ce que les statistiques démontrent qu’ils provoquent des dommages chez un grand nombre des personnes. Mais les milliers de personnes qui souffrent des effets secondaires des vaccins comparées aux millions d’individus vaccinés ne sont pas considérées comme mathématiquement et statistiquement significatives. Le fait cependant que plus d’un billion de dollars ait été consacré (aux U.S.A.) à payer des indemnités aux victimes des vaccinations, démontre clairement que la sécurité des vaccins n’est pas l’objectif essentiel qui ait été favorisé. Pourquoi ce double critère ?

                                                      Ce double langage existe parce que la vaccination est fondée sur un « système de croyances » et que le fait de remettre en cause la validité des vaccins remet en question de vieilles croyances bien ancrées. Nous CROYONS que les vaccins sont sans dangers ; nous CROYONS que les vaccins sont importants pour notre santé ; nous CROYONS que les vaccins nous protégeront des infections ; nous CROYONS que ce sont les vaccins qui ont fait décroître les maladies infectieuses dans le monde et nous voulons vraiment CROIRE que notre médecin a lu toute l’information disponible des « pour » et des « contre » et qu’il nous délivre la vérité ultime sur les vaccinations...

                                                      Cette croyance est en fait basée sur la foi et pas nécessairement sur les faits. L’étude de la littérature émanant du CDC (Center for Disease Control : l’ultime référence en matière d’information santé aux USA) montre cependant clairement que :

                                                      1. Les études sur la sécurité des vaccins sont limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en parfaite santé. Il n’a jamais été démontré qu’un vaccin était totalement sans danger. Les études sont parcellaires, limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en « parfaite santé » ; il n’empêche que ces vaccins sont administrés à TOUS les enfants sans tenir compte de leurs véritables conditions de santé ou de leur prédispositions génétiques. Nous avons une politique vaccinale « passe-partout » qui ne tient aucun compte des choix individuels ou des options personnelles, une politique qui a engendré une quantité énorme de problèmes pour tellement de personnes.

                                                      2. Les études sur la sécurité des vaccins sont insuffisantes et incomplètes En ce qui concerne les études cliniques concernant la « sécurité », le suivi (des effets secondaires) se limite à une durée dérisoire de 14 à 21 jours, parfois 5 jours, alors que les problèmes complexes liés au système immunitaire peuvent prendre des semaines et même des mois avant de se manifester. Les délais arbitraires fixés par la FDA et l’industrie pharmaceutique mettent un terme au suivi bien avant que nombre de complications soient susceptibles de se manifester. Telle est la base même du mantra habituel « les vaccins sont sans danger », alors que les complications long terme peu connues sont ignorées.

                                                      3. Les études ne font pas appel à de véritables placebos. On pourrait d’emblée croire qu’une étude sur la sécurité des vaccins consiste à comparer un nouveau vaccin avec un « placebo ». Quand on examine cependant ces études d’un peu plus près, on découvre que le « placebo » n’est PAS une substance neutre, inerte comme une solution saline ou simplement de l’eau. Le « placebo » est en fait un autre vaccin dont le « profile de sécurité est connu ». Il s’ensuit que si le nouveau vaccin révèle les mêmes effets secondaires que le « placebo », il sera considéré comme « sans danger ».

                                                      4. Les anticorps engendrés par le vaccin ne sont pas synonymes de protection. L’on considère que les vaccins assurent la protection grâce au développement d’ anti- corps. Il existe cependant de nombreuses références dans la documentation du CDC ( la plus Haute Autorité du pays en ce qui concerne les vaccins) qui montrent que les anticorps ne protègent pas nécessairement de l’infection. Ci-dessous quelques exemples repris de la presse médicale et des documents du CDC :

                                                      Coqueluche : les recherches sur l’efficacité des vaccins n’ont pu montrer une corrélation directe entre la réponse des anticorps et la protection contre la coqueluche.

                                                      « The findings of efficacy studies have not demonstrated a direct correlation between antibody response and protection against pertussis disease.” MMWR, March 28, 1997/Vol.46/N).RR-7,p.4.

                                                      Variole : Bien que l’on considère que les anticorps neutralisant reflètent les niveaux de protection, ce fait n’a pu être démontré sur le terrain.

                                                      Smallpox : « Neutralizing antibodies are reported to reflect levels of protection, although this has not been validated in the field.” JAMA, June 9, 1999, Vol. 281,N°22,p.3132.

                                                      Hemophilus influenzae B (HIB) : Le rôle des anticorps pour assurer une protection clinique n’est pas connu .

                                                      H.Flu (HIB) : « The antibody contribution to clinical protection is unknown.” HibTITER package insert : “ The precise level of antibody required for protection against HiB invasive disease is not clearly established .” http://www.cdc.gov/nip/publications/pink/hib.pdf Le niveau précis d’anticorps nécessaires à une protection contre le HIB n’a pas clairement été établi.

                                                      5. Nous voulons CROIRE que le vaccin nous protégera de l’infection. Plusieurs articles publiés dans des journaux médicaux montrent que ce n’est pas nécessairement le cas.

                                                      Quelques exemples :

                                                      Coqueluche chez des enfants parfaitement vaccinés dans des Centres de soins, Israël Pertussis Infection in Fully Vaccinated Children in Day-Care Centers, Israël ( Emerging Infectious Diseases Vol.6,N°5 ; sept.-oct 2000)

                                                      Coqueluche dans une population fortement vaccinée. Pays-Bas Pertussis in the Highly Vaccinated Population, the Netherlands ( Emerging Infectious Diseases, Vol.6,N° 4, July-aug. 2000)

                                                      Coqueluche en 1999 dans le Nord Ouest de l’Australie ; tous vaccinés. Pertussis in North-West Australia in 1999 ; all vaccinated. ( Communicable Diseases Intelligence 2000, Vol.2 4 n°12 )

                                                      Le débat sur les vaccins se poursuit ainsi avec des « études », des « données » qui servent à soutenir les thèses des deux camps. Mais le fond du problème est le suivant :

                                                      La vaccination a été « acceptée » comme efficace, protectrice et sans danger depuis environ 200 ans. Il s’agit en fait d’une « vache sacrée ». Toutes les « vaches sacrées » font réagir les hommes avec leurs tripes quand quelqu’un se permet de suggérer que la « vache » doit être « sacrifiée ». Les exemples ne manquèrent pas au cours des siècles : quand Copernic a voulu montrer que c’était le soleil et non la terre qui était le centre du système solaire, il allait à l’encontre des croyances philosophiques et religieuses du Moyen-Âge. Quand deux scientifiques italiens Galilée et Bruno ont embrassé la théorie Copernicienne, leurs commentaires furent jugés blasphématoires. Bruno fut jugé par l’Inquisition et condamné au bûcher en 1600. Trente ans plus tard, Galilée fut traîné devant ses « supérieurs » et forcé de renoncer à ses croyances sous menace de torture et de mort. Même après sa confession, il fut condamné à la prison pour le restant de ses jours. Semmelweiss qui avait démontré que les médecins qui se lavaient les mains sauvaient la vie des femmes (qu’ils accouchaient) fut aussi ridiculisé de son temps. C’est en fait une hérésie de mettre en cause le « statu quo ».

                                                      Les statistiques ont montré que confrontés à une idée nouvelle, quelque peu provocatrice, 96% des personnes appliqueront leur temps et leur énergie à défendre les croyances généralement admises, et seulement 4% pourront accepter que la nouvelle idée mérite d’être sérieusement envisagée.

                                                      Effectuer des recherches sur les vaccinations, ainsi que sur l’industrie des vaccinations, ne pourra qu’ébranler vos « croyances » sur les vaccins. Quand vous étudierez les effets secondaires- réels et théoriques- que les vaccins peuvent avoir sur le système immunitaire, vous ferez vraisemblablement partie des 4% qui comprennent que la « vérité » sur les vaccins n’est pas véritablement « La Vérité », et que les politiques vaccinales passe-partout qui nous sont imposées doivent changer.

                                                      Au plus on effectue des recherches sur les vaccins et leurs effets secondaires au plus on devient l’hérétique Copernicien qui ne peut que dénoncer un « statu quo » pouvant avoir des conséquences mortelles. J’ai personnellement investi 8.000 heures de travail pour pouvoir révéler la vérité sur les vaccins ! Si les résultats de cette enquête et de cette révélation doivent être qualifiés d’hérétiques, je puis alors dire que je me trouve en excellente et merveilleuse compagnie.

                                                      Dr Sherri Tenpenny New Medical Awareness Seminars www.nmaseminars.com http://www.thenhf.com/vaccinations/vaccinations_129.htm

                                                      A la suite d’un travail intense de recherche, tant dans la presse médicale, qu’au CDC (Agence Gouvernementale Américaine ; la plus Haute Autorité Médicale des E.U. en matière de vaccinations), le Dr Sherri Tenpenny conclut que les vaccins ne sont ni efficaces, ni dépourvus de risques. Le Dr Sh.Tenpenny est l’auteur de 2 DVD (Vidéos) :

                                                      -  VACCINES : What CDC documents and Science Reveal
                                                      -  VACCINES : the risks, the benefits, the choices

                                                      « La souffrance engendrée par une idée nouvelle est l’une des plus grandes peurs que peut connaître l’homme. Ses plus chères idées pourraient être fausses ; sa nourriture préférée, la cause de ses plus grandes souffrances ! C’est un fait avéré que l’homme trouve plus facile de croire le mensonge mille fois répété que de s’incliner devant des évidences dont il n’a jamais entendu parler. » Daniel P.REID Si vous pensez qu’une chose est vraie parce que tout le monde y croit, alors tout simplement vous ne pensez pas. Vievienne Westwood

                                                      Le texte ci-dessus exclusivement destiné à l’information ne peut en aucune manière être envisagés comme conseil, vérité absolue ou orientation sur le plan médical. Il incombe à tout un chacun de les utiliser comme il lui paraît le plus raisonnable et le plus utile. Il est important que cette information soit soumise au médecin qui a la confiance du lecteur pour une évaluation ou adaptation éventuelle à chaque cas. L’entière responsabilité de ces extraits appartient à leur seul auteur.


                                                      • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 11:05

                                                        « Je croyais les vaccins totalement sûrs et efficaces... Ce qui me rend folle, c’est que tout cela aurait pu être évité... Il est impossible de se trouver en présence d’un enfant profondément handicapé par les vaccinations et ne pas réaliser que cet enfant pourrait être le vôtre. Il est impossible de vouloir réconforter une mère qui vient d’inhumer le bébé plein de santé qu’elle a à peine pu serrer dans ses bras avant qu’un vaccin ne détruise son cerveau et son corps, et ne pas réaliser que c’est vous-même qui pourriez être là penché sur la petite tombe. Quand cela arrive à votre propre enfant, le risque est de 100%. » Barbara Loe Fisher


                                                        • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 11:15

                                                          - Dans un important ouvrage (445 références bibliographiques), l’historien de la médecine, Harry L. Coulter, s’est penché sur une hécatombe annuelle des plus dramatiques, faisant suite aux vaccinations - Les antigènes vaccinaux présentent souvent un tropisme neuro-cérébral. Les sollicitations intenses du système immunitaire agissent sur l’équilibre neuro-hormonal et peuvent être à l’origine de l’augmentation de la violence et de la criminalité. Dans son ouvrage « Vaccination, Social Violence and Criminality- The Medical Assault on the American Brain » ( 1990 ) , Harry L. Coulter écrit :

                                                          « Nous estimons que 1000 bébés au minimum meurent chaque année de ce vaccin (DPT), alors que 12.000 enfants deviennent des handicapés à vie. H. Coulter ajoute : nos chiffres n’ont jamais été contestés par l’establishment médical...Ce programme se poursuit tous les jours, des centaines de bébés en parfaite santé sont ainsi transformés en êtres déficients : retardés mentaux, aveugles, sourds, épileptiques, infirmes, instables, futurs délinquants, criminels avérés. Tout ceci peut paraître terriblement exagéré ; il s’agit cependant de conclusions tout à fait sérieuses et modérées essentiellement basées sur les preuves accumulées dans les pages qui suivent... Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave... ...Si quelqu’ ennemi étranger avait infligé pareils dégâts au pays, une déclaration de guerre s’en serait immédiatement suivie... » (445 références bibliographiques ) L’historien poursuit : « Qu’est-ce là pour une « science » qui inflige des dégâts neurologiques à des centaines de milliers d’enfants chaque année ? » Il précise : Aujourd’hui, la société paye un lourd tribut en maladies et décès pour le monopole qui fut accordé à la profession médicale dans les années 1920. En fait, la situation ressemble singulièrement à celle de 1830, époque à laquelle les médecins avaient recours à la saignée, aux médicaments mercuriels et à la quinine, bien qu’ils en connaissaient le caractère intrinsèquement nocif. Ce sont précisément les mêmes arguments qui furent employés pour défendre ces thérapeutiques qui sont repris aujourd’hui : les bénéfices l’emportent sur les risques." H. Coulter

                                                          « Mon peuple se meurt par manque de connaissance » Osée:4:6


                                                          • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 11:19

                                                            « C’est parce que nous sommes immergés dans un océan d’informations et que nous vivons dans une technocratie MONEY-THEISTE que la propagande et la désinformation constituent les bases mêmes de la vie. Ce fait n’est nulle part mieux illustré que dans le domaine des vaccinations. » Walene JAMES


                                                            • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 11:34

                                                              Le caractère sacré du sang humain

                                                              « Tel le sang, tel l’homme - tout juste aussi faible, tout juste aussi fort » Hippocrate

                                                              "Tout au cours de l’histoire on a assisté à un phénomène périodique : des fortunes colossales se sont créées grâce à des infrastructures politiques et économiques qui ont permis de profaner et de violer le sang humain au moyen de drogues ou de stimulants. L’opium, le sucre, l’alcool, le café, le thé, le hachisch, le tabac, la cocaïne, les vaccins, les hormones synthétiques, l’excès d’antibiotiques, les médicaments inutiles, tous ces produits ont eu leur tour . La conséquence la plus dramatique de ce qui précède est que nous avons presque tous perdu confiance dans les pouvoirs restaurateurs et guérisseurs de la Nature- cette grande sagesse du corps qui nous est innée. Rien n’est plus sacré au monde que le sang de nos enfants. Ce n’est nullement une métaphore que de dire que le sang de nos enfants constitue l’avenir même de la civilisation ; c’est en lui que le génome humain doit être préservé pour être transmis de génération à génération." Dr T.O’Shea

                                                              « Je demanderai compte du sang de chacun de vous" Genèse 9:4

                                                              « La seule action de la présence du corps étranger (microbes ou toxines) dans les humeurs de l’organisme, entraîne des modifications de la tension superficielle, de la charge électrique des colloïdes, de l’alcalinité du liquide intermicellaire, etc., bref des changements d’ordre physico-chimique créant un nouvel équilibre humoral...C’est réellement la pire des insanités imaginables de prétendre contribuer à la perpétuation de la santé en faisant de l’organisme, par des inoculations subintrantes, un réceptacle de miasmes innombrables. » (Dr J. Kalmar)

                                                              « Nur Reinlichkeit heilt » ( Seule la pureté guérit) LOUIS KUHNE

                                                              « Vacciner, c’est donc déclarer forfait aux lois de la biologie et de l’hygiène, et l’excuse de cet attentat repose sur la peur de contracter un mal plus grave. Messieurs, admettrez-vous que la peur soit un sentiment avouable, digne de servir de mobile à la promulgation d’une loi attentatoire à la biologie, à l’hygiène et à la liberté des citoyens... (Discours du Ministre belge de la santé à la chambre, 1903) ,

                                                              « Jamais, on n’entend parler de la pollution vaccinale, pollution directe, s’il en est. Cela ne vient à l’esprit de personne. » Dr Louis De Brouwer

                                                              « Au tout premier rang vient la pollution du sang ! » F., S. Delarue

                                                              « Toutes les substances qui, en raison de leur constitution physique et chimique ne peuvent entrer dans la composition de notre sang, ne sauraient pénétrer dans notre organisme où elles ne doivent pas rester, sans y causer des désordres passagers ou durables. » Claude BERNARD

                                                              - Au Parlement Européen, le Dr K.Gaublomme s’adresse aux politiques - Au cours du Colloque International sur les Vaccinations qui s’est tenu au Parlement Européen, le 5 avril 2002, le Dr Gaublomme déclarait :

                                                              « Les vaccins sont donc à l’origine de toute une série de maladies auto-immunes. Les conséquences de ces dernières sont lourdes... Je suis terrifié à l’idée que l’on continue à organiser des campagnes de vaccinations massives et qu’on les élargisse d’année en année, sans identifier les causes de ce phénomène. Il est scandaleux qu’aucun gouvernement ne se donne la peine d’évaluer l’impact réel de ces procédures destructrices. Chers responsables politiques, je m’exprime au nom de nombreux médecins européens lorsque j’affirme que nous ne tolérerons plus que la santé de nos patients, et de la population européenne en général, soit sciemment compromise pour garantir les cotations en bourse d’entreprises pharmaceutiques... Nous ne supporterons plus que « le bien-être général » serve d’excuse gratuite ! »


                                                              • R.Hauglustaine 8 décembre 2007 11:45

                                                                - Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « ... Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations postvaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter... En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. »


                                                                • R.Hauglustaine 9 décembre 2007 08:43

                                                                  « Nous sommes au cœur d’une épidémie à échelle internationale. Ceux qui avaient la charge d’en trouver les causes et d’y apporter les remèdes ont échoué. Parmi les raisons de cet échec , il y a le fait que ces gens sont confrontés à la perspective qu’ils pourraient, eux-mêmes, être les responsables de cette épidémie. Dès lors, tout ce qu’ils entreprennent pour pouvoir se disculper ne peut, en fait, que retarder le progrès. Je crois vraiment que les responsables de la santé savent pertinemment qu’il y a un problème ; ils veulent cependant le nier, et acceptent la perte d’un nombre indéterminé d’enfants, parce qu’ils pensent que le succès de leur politique de santé publique - la vaccination obligatoire - entraîne inéluctablement des sacrifices.- Ni moi, ni mes collègues ne pouvons accepter la croyance qu’un seul enfant soit « sacrifiable ». On a déjà eu affaire à pareilles croyances au cours de l’histoire ! - Ce sont vous, les parents et vous les enfants,qui êtes la source même de notre inspiration et de notre force dans cette recherche de vérité que nous avons entreprise au travers de la science - science remplie de compassion, science intransigeante et non corrompue. Je ne veux nullement vous inciter à la révolte ; vous devez cependant être assurés qu’armés de la science, il est en votre pouvoir d’imposer ces vérités auprès des pédiatres, du Congrès et des tribunaux. Continuez à faire confiance à votre intuition- elle vous a déjà bien servi. » Dr Andy Wakefield, (April 22, 2002 « Power of one-idea » Rally, Washington DC) *********************************************************************************************************************************************************************************

                                                                  Essayez d’imaginer que vous êtes en train de créer les structures de la destinée humaine avec comme objectif de rendre les hommes heureux et de finalement leur accorder paix et repos. Mais, si pour réaliser cet objectif il était essentiel et inévitable de torturer à mort un seul petit être ... et de fonder tout l’ édifice sur ses larmes innocentes, consentiriez-vous à en être l’architecte ? Répondez et dites la vérité ! F. Dostoyevski

                                                                  “ Imagine that you are creating a fabric of human destiny with the object of making men happy in the end, giving them peace and rest at last but it was essential and inevitable to torture to death only one tiny creature... and to found that edifice on its un-avenged tears, would you consent to be the architect on those conditions ? Tell me, and tell the truth.” Fyodor Dostoyevski


                                                                  • Antidote Europe 9 décembre 2007 21:43

                                                                    Cette dépêche AFP parle d’elle même et en dit long sur la puissance de l’industrie pharmaceutique en tant que groupe de pression :

                                                                    Les vaccins, un marché juteux pour les grands laboratoires 27 nov. 07

                                                                    PÉKIN (AFP) - Les laboratoires pharmaceutiques affichent un regain d’intérêt pour les vaccins, marché de la prévention de la maladie aux perspectives solides, dopé par la gestion du risque de pandémie et la chasse aux coûts de santé menée par les gouvernements.

                                                                    « Loin d’être un sous-segment de la pharmacie, le marché mondial de la vaccination est en expansion : de tous les produits pharmaceutiques, les vaccins sont aujourd’hui les plus dynamiques », explique le cabinet Alcimed dans une étude.

                                                                    « La croissance est à deux chiffres et va rester soutenue dans les années à venir », se félicitait lundi Jacques Cholat, président du numéro un mondial du secteur, Sanofi Pasteur, lors de l’annonce de la construction d’une usine de vaccins antigrippaux dans le sud de la Chine, près de Hong Kong.

                                                                    Selon le groupe français, le marché, qui croît deux fois plus vite que celui du médicament, va doubler d’ici à 2016, pour dépasser les 22 milliards de dollars.

                                                                    lire la suite sur http://afp.google.com/article/ALeqM5iJzJLV44IR96URdtokjJQ8UaK7oQ


                                                                    • Nicole 10 décembre 2007 10:32

                                                                      LES VACCINATIONS EN QUESTION

                                                                      Extrait de l’intervention du Député Européen Paul Lannoye au Colloque organisé le 05 avril 2002 au Parlement Européen à Bruxelles :

                                                                      La Commission Européenne a initié le projet EUVAX chargé d’établir un état des lieux comparatif des politiques d’immunisation au sein de l’Union Européenne... L’étude EUVAX constate notamment que les Etats membres n’ont pas défini formellement leurs programmes d’immunisation et que la promotion de l’immunisation vaccinale n’est pas basée sur une approche scientifique dans l’Union Européenne, sauf au Royaume-Uni. En outre , les schémas d’immunisation diffèrent largement d’un pays à l’autre, l’exemple de la vaccination anti-polio étant très révélateur à cet égard. Les contre-indications générales varient elles aussi d’un pays à l’autre, sans aucune base scientifique pour les justifier. En ce qui concerne la sécurité des vaccins (vaccine safety), la situation est particulièrement préoccupante.

                                                                      (Les vaccinations en question Ed. Frison-Roche, 2003.)

                                                                      BENEFICES/RISQUES

                                                                      « Les accidents causés par les vaccinations, écrit le Pr M.Georget ont été volontairement laissés dans l’ombre et quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure » n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport BENEFICES/RISQUES sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport COUT/BENEFICE . » Ce constat terrifiant semble bien confirmé la le Dr Thomas Jefferson, Membre de la Commission chargée du Programme Européen pour la Sécurité et la Surveillance Vaccinale, mandaté par la Commission Européenne pour évaluer la sécurité des vaccins, qui, dans un discours sans précédent (Sunday Telegraph, 27/10/2002 ; The Informed Parent n°4 ) , reconnaissant que ce problème constitue le « Cendrillon » de la recherche en santé publique , souligne le manque flagrant d’études sérieuses sur la relation BENEFICES/RISQUES et le caractère « simplement inadéquat » (« simply inadequate ») de l’information disponible sur la sécurité des vaccins administrés de routine aux enfants !


                                                                      • Nicole 10 décembre 2007 10:40

                                                                        « L’OBLIGATION, UNE VERITABLE DICTATURE »

                                                                        « Déjà en 1892, Yves Guyot, Ministre des Travaux Publics, écrivait : « Je suis un adversaire résolu de la vaccination obligatoire, je ne reconnais pas le droit à l’Etat de pénétrer dans les individus sous forme de virus. C’est une violation de domicile. »

                                                                        Lorsqu’on commença à vouloir introduire dans notre législation les obligations vaccinales, certains hommes politiques réagirent. Ainsi, constatant la fréquence des complications dues au BCG, René Gillouin s’expliqua devant le conseil Général de la Seine en 1938 : « Peut-on imposer par la force une méthode qui a déjà à son actif, ou à son passif, tant d’échecs éclatants ? N’oublions jamais la lamentable histoire du vaccin BCG inventé par le Dr Calmette, patronné par d’éminentes autorités médicales et qui faillit, lui aussi, être imposé par l’autorité publique alors que sa nocivité n’est que trop évidente. Il a aujourd’hui à peu près disparu, après avoir causé tant de désastres. »

                                                                        De son côté, dans DROIT CIVIL, Nicole Heudebert signale : « Chacun a droit au respect et à l’intégrité de son corps pendant sa propre vie (...) Mais des atteintes de plus en plus nombreuses sont portées à ce principe : vaccination obligatoires (...) On sait, en outre, que les décrets d’obligations vaccinales, pour la plupart, ont été soumis au parlement de préférence lorsque les bancs étaient clairsemés, à ces heures où la fatigue gagne les mieux intentionnés, glissés dans un ordre du jour pléthorique qui ne facilite guère les amendements. Si ceux qui font voter les lois avaient vraiment le sentiment qu’ils apportent à l’humanité la délivrance de la maladie, est-ce de manière furtive qu’ils procéderaient ? Si les vaccins sont inoffensifs et efficaces, auraient-ils besoin de lois pour les imposer ?

                                                                        Au vu de ces considérations la Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations pose la question : « La constitution française reconnaît aux citoyens le droit au respect de leurs convictions philosophiques, politiques ou religieuses. Un malade peut refuser un traitement médical ou chirurgical, mais le citoyen français bien portant doit subir le fait du principe et se soumettre à des vaccinations que non seulement il est en droit de réprouver en son âme et conscience, mais qui peuvent avoir des conséquences catastrophiques sur son état de santé, voire entraîner la mort. Y aurait-il des totalitarismes de bon ton, et le totalitarisme médical et pharmaceutique serait-il de ceux-là ? » (SLV, n°81, mars 1884)

                                                                        Extraits de Sylvie SIMON : « Vaccination l’Overdose », Ed. Déjà, 1999.

                                                                        A moins d’insérer le principe de liberté médicale dans la Constitution, viendra un temps où la médicine finira par s’organiser en dictature secrète... restreindre l’art de guérir à une seule classe d’individus et refuser les mêmes privilèges à d’autres constituera la Bastille de la science médicale. Pareilles lois sont anti-américaines et despotiques ; elles n’ont aucune place dans la république... La Constitution de cette république doit accorder les mêmes privilèges pour la liberté médicale que pour la liberté religieuse.

                                                                        Dr Benjamin Rush, signataire de la Déclaration d’Indépendance des USA.


                                                                        • Aline 11 décembre 2007 09:21

                                                                          LA MEDECINE A CESSE D’ETRE CELLE QUI PROTEGE POUR DEVENIR CELLE DONT ON DOIT ETRE PROTEGE . M Vacquin

                                                                          « A la lumière des scandales récents, un grand nombre d’hommes et de femmes ne croient plus à la sincérité des discours et des programmes politiques, derrière lesquels ils perçoivent les stratégies des sponsors. Beaucoup de citoyens n’ignorent plus que la plupart des hommes politiques ou les partis sont volontairement ou involontairement les otages des firmes industrielles qui financent leurs campagnes de propagande et peuvent aussi influencer à leur guise les carrières politiques par leur impact économique. Il apparaît en tout cas évident que les appareils politiques, scientifiques ou socioprofessionnels vont avoir bien du mal à faire admettre leur autorité et leur légitimité s’ils ne réforment pas d’urgence leurs comportements. » Philippe Desbrosses

                                                                          « Pouvons-nous continuer à laisser faire n’importe quoi au nom d’une science qui est à vendre » et même, bien souvent vendue. » S.Simon « Notre système vaccinal fonctionne sans preuve scientifique » Dr Philippe Sturer

                                                                          « L’industrie pharmaceutique devrait fabriquer des médicaments pour guérir les maladies, mais elle fabrique des malades pour vendre ses produits, constatait, le 16 novembre 2002, leBritish Medical Journal qui titrait : « L’industrie pharmaceutique a fait main basse sur les autorités sanitaires ». Et le Dr Marcia Angell, ancien éditeur du New England Journal of Medicine faisait chorus : « L’industrie a la main mise sur l’Agence qui est supposée la contrôler. » S.Simon

                                                                          « Les vaccinations se situent au-dessus des lois, dans une zone de non-droit, où tous les paradoxes, toutes les aberrations peuvent exister. J’illustrerai cela par trois constatations :
                                                                          -  Il n’y a pas de reconnaissance des effets secondaires.
                                                                          - Il n’y a pas de recensement des accidents post-vaccinaux.
                                                                          -  Il n’y a pas d’indemnisation des victimes en dépit des lois. Françoise JOET

                                                                          « Intellectuellement et intuitivement je suis choqué par l’introduction arbitraire, brutale et coercitive de matériaux biologiques étrangers dans l’organisme...aucune vaccination n’est anodine... le vaccin est toujours perturbant pour l’organisme » Dr André Banos

                                                                          ...La peur est l’une des armes favorites des régimes autoritaires en général, et des vaccinateurs en particulier... certains continuent de promouvoir le forcing vaccinal en générant l’angoisse, en utilisant la coercition, la désinformation, la délation, l’exclusion, l’humiliation sociale... Dr Eric Ancelet Le 30 septembre 1954, le Pape Pie XII déclarait : « L’autorité publique ne peut en aucun cas disposer directement de l’être physique. Toute atteinte directe à son essence constitue un abus de compétence de l’autorité. »

                                                                          Conscient que « les hommes s’aveuglent sur les conséquences de leur compulsion à empoisonner le vivant sous prétexte de le protéger », Maître Frédéric Hoffet, du Barreau de Strasbourg, qui a perdu un enfant à la suite d’une vaccination, s’est engagé dans la lutte contre ce qu’il appelle « UNE TYRANNIE DONT LE PUBLIC IGNORE JUSQU’A L’EXISTENCE ET QUI CEPENDANT EST PLUS CRUELLE QUE TOUTES CELLES QUE L’ON SE PLAIT A FUSTIGER CHAQUE JOUR »


                                                                          • Aline 11 décembre 2007 09:22

                                                                            Royaume- Uni : LIBERTE VACCINALE DEPUIS... 1949 !

                                                                            « Depuis 1949, date à laquelle aucune obligation vaccinale ne fut plus imposée aux citoyens britanniques, le Royaume-Uni a brillamment démontré que la suppression des obligations vaccinales n’a pas entraîné un quelconque retour des épidémies, argument toujours invoqué par les vaccinalistes pour continuer à imposer les vaccinations. » S.Simon

                                                                            Alors qu’aux Etats-Unis, les dommages payés par l’Etat en compensation de complications vaccinales ou de décès atteignent des sommes astronomiques, que le nombre des complications vaccinales déclarées fait froid dans le dos, la France, pays des Droits de l’Homme et des Libertés veut, en matière de vaccination, adopter une politique qu’il est, pour le moins, très difficile de comprendre !

                                                                            - « Aux Etats-Unis, l’Agence Gouvernementale VAERS ( Vaccine Adverse Event Reporting System) nous informe qu’entre 1990 et 1999, 1,048 milliards de dollars ont été payés en dédommagement d’accidents vaccinaux. » (1), (2). « Le fait que plus d’un billion de dollars ait été consacré (aux U.S.A.) à payer des indemnités aux victimes des vaccinations, démontre clairement que la sécurité des vaccins n’est pas l’objectif essentiel qui ait été favorisé. » Dr Sherri Tenpenny (3), (4).

                                                                            Il n’y a plus une seule compagnie d’assurances aux Etats-Unis qui accepte désormais d’ assurer les risques vaccinaux. (5) - Bien qu’il soit connu que seuls 1 à 10% des complications vaccinales soient rapportées à l’Agence gouvernementale VAERS, rien que pour la vaccination anti-hépatite B, « entre le 1er juillet 1990 et le 31 octobre 1998, le VAERS a dénombré 24.775 effets secondaires du vaccin, dont 9673 cas très graves et 439 décès, dont 180 classés « Mort subite et inexpliquée du nourrisson » (6)

                                                                            « En ce qui concerne les enfants de moins de six ans, les chiffres officiels des accidents de vaccination advenus aux Etats-Unis entre 1999 et 2002 dans cette tranche d’âge, sont les suivants :

                                                                            Vaccin DTaP (diphtérie-polio-coqueluche) : 16.544 accidents, dont 631 hospitalisations et 394 décès.

                                                                            Grippe : 419 accidents, dont 41 hospitalisations et 11 décès.

                                                                            Hépatite B : 13.363 accidents, dont 1840 hospitalisations et 642 décès.

                                                                            Hib : 22.463 accidents, dont 3224 hospitalisations et 843 décès. »

                                                                            ROR : 18.680 accidents, dont 1736 hospitalisations et 110 décès. (7)

                                                                            - Le Dr Harris ancien Ministre australien de la Santé Publique déclarait : « A aucun prix je ne risquerais la vie de mes enfants en les faisant vacciner ! » (AVN) (8)

                                                                            - Georges WASHINGTON qui fut un Président courageux, en savait déjà plus sur les effets négatifs de la vaccination en 1775 que n’en connaissent la plupart des médecins aujourd’hui. Il publia une ordonnance interdisant l’inoculation des hommes de l’armée continentale. Tout soldat ou officier se soumettant à cette contamination du sang devait être renvoyé à la vie civile pour manquement à l’honneur. Georges WASHINGTON avait été témoin des désastres de la variole provoqués par la vaccination (de bras à bras) qui avait été importée d’Europe...Georges WASHINGTON avait assez de problèmes sans tous ceux qui devaient résulter des maladies provoquées par la vaccination. Dr E.McBean, PhD, N.D., citée par le Dr Day, chirurgien, professeur en Faculté de Médecine. - www.drday.com

                                                                            (1) Dr M. Vercoutere, S. Simon : Vaccin hépatite B- Les coulisses d’un scandale, 2001. (2) Sylvie Simon : les 10 plus gros mensonges sur les vaccins, 2005. (3) « Dr Sherri Tenpenny, DO : Vaccines : why fear sells, www.NewswithViews.com, June 2007 http://www.thenhf.com/vaccinations/vaccinations_129.htm (4) Dr Sherri Tenpenny, DO : www.nmaseminars.com (5) Mark Sircus, Ac.,OMD : Cry of the heart - Stop hurting the children - The medical terror of vaccinations 2003. (6) Dr M. Vercoutere, S. Simon : Vaccin hépatite B- Les coulisses d’un scandale, 2001 (7) Sylvie Simon : les 10 plus gros mensonges sur les vaccins, 2005 (8) AVN - The Australian Vaccination Network : Vaccination Roulette : Experiences, risks and alternatives, 1998


                                                                          • Delphes 12 décembre 2007 09:13

                                                                            Aurions-nous oublié l’essentiel : on n’a pas le droit d’infliger un traitement médical quel qu’il soit sans le consentement éclairé de la personne. La loi qui vient d’être votée est en conflit flagrant avec les Droits de l’Homme, donc avec la constitution française. En plus, c’est assimilable à de la torture. Personne ne relève cela. On ne sait plus ce qu’est la démocratie dans ce pays, et c’est ça le grand danger.


                                                                          • Aline 12 décembre 2007 11:36

                                                                            AU NOM DU DROIT A LA SANTE Dr J. M. Kalmar

                                                                            « Au nom du droit à la santé. C’est en se fondant sur un Droit qui n’existe pas que l’on a parqué les foules dans le corral vaccinaliste. On peut parler de droit aux soins, ouvert à tous. Mais la santé n’est en aucune façon un droit. Chacun a le devoir d’assurer la sienne propre. C’est une responsabilité de la personne, et un élément essentiel de sa maturité, qu’elle sache définir les facteurs qui doivent être respectés pour établir et conserver la santé.

                                                                            Or, les problèmes qui concernent l’immunité sont étroitement tributaires de l’équilibre biologique général. La prétention de les résoudre par les vaccinations est absolument contraire à la réalité. Et c’est tromper délibérément le public de lui faire croire que la santé peut être inoculée à tous indistinctement, alors qu’elle doit être construite à chaque instant par le style d’existence de la personne concernée. La santé ne résulte pas d’un acte standardisé. Elle est l’aboutissement, à tout moment, d’un faisceau convergent de respects multiples : respect des règles de l’hygiène, respect des principes fondamentaux de la diététique, respect des lois qui président à l’équilibre mental, respect de l’appel venu de la transcendance en l’être... C’est réellement la pire des insanités imaginables de prétendre contribuer à la perpétuation de la santé en faisant de l’organisme, par des inoculations subintrantes, un réceptacle de miasmes innombrables... Ce n’est pas sur l’immunologie que sont fondées les vaccinations, mais sur des légendes, sur des contes que l’on se transmet, non plus à la veillée des chaumières, mais à la veillée télévisée des grands ensembles.... Nous avons écrit ce livre LE PROCES DES VACCINATIONS OBLIGATOIRES parce qu’il nous déplait de voir le statut humoral de toute la jeunesse de France bouleversé dans ses équilibres les plus essentiels par des inoculations incessantes au nom du « progrès »... Dès l’instant que l’accident et la mort sont possibles à la suite d’une vaccination quelconque, il est injuste et immoral que la loi ait rendu obligatoire un acte médical qui aurait dû rester, comme tout acte médical, du domaine de l’individu, des circonstances et de la liberté de prescription du praticien... » Dr Jacques KALMAR, Maître Jean EYNARD

                                                                            C’est le célèbre historien de la médecine, Harris COULTER qui écrit :

                                                                            L’une des raisons principales du déclin de l’Empire romain, après six siècles de domination mondiale, fut liée au remplacement, pour le transport de l’eau potable, des aqueducs en pierre par des tuyaux de plomb. Les ingénieurs romains, qui étaient les meilleurs du monde, firent de leurs concitoyens des handicapés neurologiques, victimes du saturnisme. De nos jours, nos scientifiques de pointe, mus par les meilleures intentions du monde, sont en train d’obtenir le même résultat par des programmes de vaccinations infantiles qui débouchent sur les fléaux modernes de l’hyperactivité, de l’autisme, de désordres neurologiques et de troubles du comportement marqués par le sceau de la violence.

                                                                            Harris Coulter : VACCINATION, SOCIAL VIOLENCE AND CRIMINALITY (445 réf. Bibl.)

                                                                            « All medicines which enter the circulation POISON THE BLOOD in the same manner as do the poisons that produce disease. » Professor Joseph M. Smith, M.D. Tous les médicaments qui entrent dans le flux sanguin EMPOISONNENT LE SANG de la même manière que les poisons qui provoquent les maladies.


                                                                            • Delphes 12 décembre 2007 13:58

                                                                              Merci Aline !

                                                                              Aux Etats-Unis les associations de patients ont réussi à obtenir une indemnisation, qu’attendons-nous pour faire de même en France et en Europe où nous tombons de plus en plus nombreux sous l’emprise de troubles neurologiques irréversibles en raison des vaccins imposés ?

                                                                              A qui doivent être appliquées les peines ???


                                                                            • Delphes 12 décembre 2007 14:09

                                                                              COMPOSITION DES VACCINS

                                                                              Il s’agit d’inoculer :

                                                                              * soit le micro-organisme soi-disant responsable de la maladie dont on voudrait protéger le patient, après l’avoir plus ou moins tué ou atténué, * soit divers poisons fabriqués par ces mêmes micro-organismes.

                                                                              Le produit final est toujours complété par une substance toxique et souvent hautement anergisante baptisée adjuvant de l’immunité genre mercure, aluminium, ou autre poison violent, faute de quoi il apparaît totalement inefficace. Cette inoculation se fait au mépris de toutes les règles de prudence habituelles préconisées pour les traitements médicaux.

                                                                              Elle est réputée inoffensive et toujours efficace par principe, sans que jamais la moindre étude épidémiologique sérieuse n’ait été effectuée... (curieusement, les diverses moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles, moins dangereuses et réputées plus efficaces).

                                                                              Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes : il faut être initié ou chercher avec opiniâtreté pour soulever un petit coin du voile ! Même les grands professeurs et les médecins ne savent pas... Lorsqu’un professionnel réclame des éclaircissements ? l’Institut Pasteur-Mérieux, on lui répond, sans rire : « Secret-défense ! »

                                                                              Les premiers vaccins mis au point par Louis Pasteur lui-même, comme celui de la rage, étaient en fait des organes d’animaux malades broyés et inoculés directement (moelles épinières de lapins enragés dans ce cas précis).

                                                                              L’usage de cellules cancérisées.

                                                                              Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés le plus souvent sur des cultures de cellules animales ou humaines (I.V.G.), cancérisées artificiellement (on les baptise alors gentiment immortelles, quand il ne s’agit pas de cellules d’emblée cancéreuse (lymphomes). C’est-à-dire qu’on fait pousser les virus vaccinaux sur ces milieux. C’est, dans tous les cas, le jus de culture de ces cellules cancérisée qui est inoculé aux patients, après filtration et traitements éventuels pour atténuer ou tuer les virus.

                                                                              Ces cellules cancérisées qui servent ? fabriquer les vaccins doivent être en très grand nombre : en effet, chaque dose vaccinale renferme des quantités invraisemblables de virus ! 700 000 au moins pour une dose de vaccin antipoliomyélitique par exemple. Or, les fabriquants de vaccins produisent des milliards de doses ! Pour augmenter le rendement, on nourrit donc les cellules immortelles qui servent à la culture des virus avec du sérum de veau, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. Or, ce sérum de veau comme tous les produits bovins est susceptible d’être contaminé par des Prions, qui sont des micro-organismes encore plus frustes que les Virus. Ils seraient responsables de maladies effroyables comme l’Encéphalite de la Vache Folle, ou la maladie de Creutzfeld-Jacob (démence amyotrophique) : en fait, il est probable que c’est plutôt l’aluminium utilisé comme adjuvant de l’immunité qui soit responsable de ces dégénérescences nerveuses. Ces maladies évoluent après de longues incubations (trois à cinq ans en moyenne) et ne peuvent être diagnostiquées qu’à l’autopsie, ce qui permet d’éviter tout rapprochement malheureux entre ces pathologies (ou avec d’autres maladies neurologiques comme la maladie d’ Alzheimer ou le syndrome de Parkinson par exemple) et les vaccins. D’autant plus que les veaux donneurs sont tués avant l’âge adulte, donc avant que l’on puisse poser le diagnostic de maladie à prions. Ce risque est tellement évident qu’il est INTERDIT par la législation française d’utiliser le moindre produit d’origine bovine pour la fabrication de médicaments injectables !

                                                                              Le Jus de culture.

                                                                              Le Jus de culture obtenu est manipulé quelque peu avant l’inoculation. On le filtre, puis on atténue ou on tue (soit-disant) le virus selon le type de vaccin, avec des produits très toxiques, comme le méthotrexate (chimiothérapie lourde) ou le formol. Il faut savoir qu’il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’ Institut Pasteur Mérieux parle d’une pureté de 99 %, et l’OMS de 90 ? 95 % (Rapport Technique 760 - 1987). De toutes façons, personne n’ira jamais contrôler les affirmations gratuites de nos sacro-saintes institutions vaccinales.

                                                                              Enfin, une nouvelle technique réputée plus économique vient tout juste d’être mise au point : le Génie génétique. Des enzymes et des fragments de gènes issus de virus effroyablement cancérigènes (virus SV 40 qui pourrait être responsable de cancers chez les animaux - ou virus du papillome bovin en particulier - obtenus là encore en quantités industrielles grâce à des contaminations de cellules cancérisées et nourrie avec du sérum de veau) sont - par tâtonnements - mélangés au jus des cultures cellulaires (toujours cancérisées la plupart du temps - à l’exception de l’Engerix B ou du petit dernier hb-vax dna qui sont préparés sur des cultures de levures végétales), pour lobotomiser ces cellules et en faire des cellules-usines et esclaves. Elles pourront ainsi fabriquer des protéines capables de déclencher la fabrication des fameux anticorps...

                                                                              Des ramassis d’horreurs.

                                                                              Tous ces vaccins sont donc de véritables ramassis d’horreurs.

                                                                              1. Ils contiennent indubitablement des substances cancérigènes - et des outils de manipulation génétique eux-mêmes cancérigènes et tératogènes pour les derniers vaccins obtenus par génie génétique.

                                                                              2. Ils peuvent être contaminés à tous moments (lors de la conception de départ ou lors des manipulations nécessaires à la fabrication du produit fini),

                                                                              * soit par des prions si le Sérum de Veau a été utilisé pour la fabrication du vaccin (ou si l’on a utilisé d’autres milieux de culture bovin, comme le BCG qui est cultivé sur de la bile de boeuf), * soit par des virus connus ou inconnus encore, plus ou moins effroyables.

                                                                              3. De par les additifs, les vaccins modifient profondément le terrain bioélectronique, ouvrant la porte à toutes sortes de maladies allergies, artériosclérose (métaux lourds), autisme, folie etc.,

                                                                              4. Par inoculation de micro-organismes plus ou moins mal connus encore, ils vont pouvoir déclencher de nouvelles maladies infectieuses (genre Ebola), réveiller des cancers latents, ou générer des maladies effroyables dites auto-immunes (sclérose en plaques par exemple).

                                                                              5. Ils risquent de venir modifier le capital génétique des ovules ou spermatozoïdes, et donc de déclencher la naissance d’enfants monstrueux dans la descendance immédiate.

                                                                              6. Ils spécialisent par ailleurs le système immunitaire de l’organisme à la fabrication d’anticorps, au détriment des autres mécanismes immunitaires comme les CD4, et engendrent de ce fait à la longue un véritable effondrement immunitaire ou SIDA.

                                                                              Dr Scohy Alain,

                                                                              Source : http://magiedumoment.centerblog.net/rub-VACCINATIONS.html


                                                                              • Delphes 12 décembre 2007 15:10

                                                                                BIBLIOGRAPHIE CONCERNANT LES VACCINS (Non exhaustive)

                                                                                La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,

                                                                                La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,

                                                                                Vaccins : l’avis d’un avocat - On nous aurait menti ? (Maître J.-P. JOSEPH) Testez Editions

                                                                                Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,

                                                                                Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,

                                                                                Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,

                                                                                La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,

                                                                                Au coeur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,

                                                                                Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,

                                                                                Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,

                                                                                Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,

                                                                                Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,

                                                                                Pour en finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,

                                                                                La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,

                                                                                La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,

                                                                                Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,

                                                                                On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,

                                                                                Vaccination, Social Violence and Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,

                                                                                A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,

                                                                                Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,

                                                                                L’intoxication vaccinale, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,

                                                                                La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,

                                                                                Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,

                                                                                L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,

                                                                                Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991, Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,

                                                                                La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,

                                                                                Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,

                                                                                Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,

                                                                                Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,

                                                                                La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,

                                                                                La catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,

                                                                                Les dessous des vaccinations, dossier vérité (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,

                                                                                Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),

                                                                                Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),

                                                                                Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ?, (Dr A. BANOIS - Sylvie SIMON),

                                                                                Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,

                                                                                12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,

                                                                                Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,

                                                                                Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,

                                                                                Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,

                                                                                La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,

                                                                                La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,

                                                                                Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

                                                                                Le Procès des Vaccinations obligatoires, (Dr Jacques Kalmar), Ed. Chez Les Auteurs.

                                                                                Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu’à l’étranger, n’a fait l’objet du moindre procès, ni même du moindre démenti.


                                                                              • Delphes 12 décembre 2007 15:18

                                                                                LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE

                                                                                Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l’état latent ou défectif, c’est-à-dire en ne s’exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d’un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l’organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s’était établi un état d’équilibre, de symbiose biologique. Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l’Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c’est-à -dire léthaux [meurtriers ; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo dans un organisme vivant. Toutefois, point n’est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.

                                                                                L’expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l’homme. On savait que l’infection d’un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n’avait jamais démontré in vivo que l’inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison. En 1986, une équipe de recherche américaine [étatsunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l’injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d’entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels. De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d’herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux [mortels].

                                                                                [Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu’on inocule aux enfants et aux adultes ???]

                                                                                **********************

                                                                                Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 144 à 145Extrait 4

                                                                                La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d’un virus d’une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c’est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais léthale. Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l’organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l’on veut qu’il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d’homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver : il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c’est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l’organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente : depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l’est certainement pas.

                                                                                Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C’est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l’intestin et qui contribue ainsi à contaminer l’entourage. Une étude menée par l’OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu’aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l’homme. Ce qui expliquerait l’explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l’homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.

                                                                                ***********

                                                                                Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 5


                                                                                • Delphes 12 décembre 2007 17:36

                                                                                  COMPOSITION DETAILLEE DE DIVERS VACCINS

                                                                                  Désolée, il s’agit d’un tableau, je ne suis pas arrivée à tout rendre en l’état ; mais on peut se faire une idée...

                                                                                  Cette liste se veut représentative, mais non exhaustive, des divers types de vaccins (les noms des vaccins sont, pour la plupart, ceux utilisés aux Etats-Unis)

                                                                                  NOM DESCRIPTION FABRICANT ELABORATION Acte Hib Combinaison de Haemophilus influenzae du Type B (Hib) et de tétanos Laboratoires Connaught 1-800-822-2463 produit en utilisant le sulfate d’ammonium, formaline, saccharose, thiomersal (dérivé mercuriel) : semi-synthétique Attenuvax Vaccin de la rougeole Merck & Co, Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant de la néomycine, sorbitol, gélatine hydrolysée : embryon de poussin Biavax Vaccin de la rubéole Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant la néomycine, sorbitol, support hydrolysé de gélatine : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) DTP Diphtérie, tétanos et vaccin Pertussis (coqueluche) SmithKline Beecham Pharmaceuticals 1-800-366-8900 produit en utilisant du phosphate d’aluminium, formaldéhyde, sulfate d’ammonium, globules rouges purifiés de mouton, glycérol, chlorure de sodium, support thiomersal : hydrolysat pancréatique porcin (porc) de caséine DTP Acel-Immunisé Combinaison de diphtérie, tétanos et du vaccin acellulaire Pertussis (coqueluche) Laboratoires Lederle 1-800-934-5556 produit en utilisant le formaldéhyde, thiomersal, hydroxyde d’aluminium, phosphate d’aluminium, polysorbate 80, gélatine Energix-B Hépatite B SmithKline Beecham Pharmaceuticals 1-800-633-8900 produit en utilisant l’hydroxyde d’aluminium, support thiomersal : levure (probablement un résidu de 5%) Fluvirin Vaccin du virus de la grippe Medeva Pharmaceuticals 1-888-medeva, (716)274-5300 produit en utilisant du fluide embryonnaire (oeuf de poulet), néomycine, polymyxin, thiomersal, betapropiolactone:fluide embryonnaire (oeuf de poulet) FluShield Vaccin du virus de la grippe, Trivalent, Types A & B Wyeth-Ayerst 1-800-934-5556 produit en utilisant le sulfate de gentamicine, formaldéhyde, polysorbate 80, tri(n)butylphosphate, thiomersal : embryons de poussin Havrix Hépatite A SmithKline Beecham Pharmaceuticals 1-800-633-8900 produit en utilisant la formaline, hydroxyde d’aluminium, phenoxyethanol, polysorbate 20, support résiduel des protéines MRC5 : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) HibTiter Hemophilus influenzae Type B (Hib) Laboratoires Lederle 1-800-934-5556 produit en utilisant le polyribosylribitol, sulfate d’ammonium, support thiomersal : à base de levure Imovax Vaccin de la rage Laboratoires Connaught 1-800-822-2463 produit en utilisant de l’albumine humaine, sulfate de néomycine, phénol : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) Vaccin de la rage SmithKline Beecham 1-800-366-8900 produit en utilisant le betapropiolactone, phosphate d’aluminium, ethylmercurithiosalicylate de sodium (thiomersal), phénol : cellules foetales de poumon de singe rhésus IPOL Vaccin inactivé de la poliomyélite Laboratoires Connaught 1-800-822-2463 produit en utilisant 3 types de virus de poliomyélite, formaldéhyde, phenoxyethanol, néomycine, streptomycine, polymyxin B : cellules de VERO (cellules de rein de singe) Menomune Vaccin méningococcique Laboratoires Connaught 1-800-822-2463 composants : thiomersal, lactose : antigènes polysaccharides lyophilisés de Neisseria Meningitidis Meruvax I Mumpsvax Vaccin des oreillons Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant la néomycine, sorbitol, support hydrolysé de gélatine : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) MMR (ROR) Vaccin du virus de la rubéole, des oreillons et de la rougeole Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant le sorbitol, néomycine, supports hydrolysés de gélatine : M & M (rubéole d’embryon de poussin), cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) M-R-Vax Rougeole et rubéole Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant la néomycine, sorbitol, supports hydrolysés de gélatine : M - embryon de poussin R - cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements) Orimune Vaccin polio oral, trivalent Laboratoires Lederle 1-800-934-5556 produit en utilisant 3 types de virus atténués de la poliomyélite, streptomycine, néomycine, sérum de veau, sorbitol : culture de cellules de rein de singe Pneumovax Vaccin pneumocoque, polyvalent Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant du phénol et des polysaccharides capsulaires à partir des 23 types de pneumocoques les plus répandus Recombivax Vaccin hépatite B Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant le thiomersal, support d’hydroxyde d’aluminium : levure (résidu < 1% protéine de levure) RotaShield Rotavirus, activé, oral, quadrivalent Laboratoires Wyeth-Ayerst 1-800-934-5556 produit en utilisant 1 rotavirus de singe rhésus, 3 virus rhésus humains, saccharose, glutamate monosodique (MSG), monophosphate de potassium, diphosphate de potassium, sérum foetal de boeuf , sulfate de néomycine, amphotéricine B : ligne de cellules diploïdes de rhésus foetal Varivax Vaccin de la varicelle Merck & Co., Inc. 1-800-672-6372 produit en utilisant le saccharose, phosphate, glutamate monosodique, gélatine : cellules diploïdes humaines (provenant du tissu foetal humain d’avortements)


                                                                                  • Delphes 15 décembre 2007 00:32

                                                                                    Un blog à visiter, surprises assurées :

                                                                                    http://questionvaccins.canalblog.com/


                                                                                    • jacques 18 novembre 2008 11:24

                                                                                      De toute façon les vaccins c’est un crime contre l’humanité


                                                                                      l’utilité des vaccins n’est pas prouvée scientifiquement

                                                                                      http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article4485

                                                                                      des gens osent affirmer que les vaccins sont utiles alors que ya pas la moindre preuve et que y’en aura jamais, un produit toxique benefique pour la santé, on aura tout vue...........

                                                                                      Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population" Medical Journal of Australia (1978) 
                                                                                       
                                                                                      La peste, qui faisait des millions de morts autrefois n’existe presque plus et ce, sans qu’un vaccin n’y soit pour quelque chose. 
                                                                                       
                                                                                      La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse. Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse
                                                                                       
                                                                                      L’étude attentive de la physiopathologie du tétanos montre que :
                                                                                       
                                                                                      Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse, et elle ne confère aucune immunité. On peut attraper la maladie plusieurs fois. La maladie fait peur à juste titre. Elle est mortelle dans une proportion de 12 à 36 % des cas selon l’âge du malade, la localisation de la plaie et son état général au moment du contage. Ces chiffres étant ceux de la médecine officielle, et des traitements qu’elle propose. 
                                                                                      La maladie tétanos est une toxi-infection. C’est-à-dire qu’il s’agit d’une maladie évoluant en deux temps, deux lieux... Une infection locale, une imprégnation toxinique ensuite. 
                                                                                      Le bacille tétanique lui-même est totalement anaérobie, et ne peut se développer et survivre en présence de sang normalement oxygéné. D’où la nécessité d’une plaie contuse atteignant préférentiellement le muscle pour qu’il puisse générer la maladie. Les anticorps n’ont donc pas accès à lui, et de toute façon, ils ne sont pas spécifiques du bacille mais seulement de la toxine. 
                                                                                      La toxine tétanique (seule cible présumée des anticorps magiques soi-disant neutralisants générés par la vaccination), migre depuis la plaie contuse jusqu’au système nerveux central, par imbibition progressive des filets nerveux présents auprès du foyer infecté. Elle ne passe jamais par le milieu sanguin, et reste donc en permanence dans le milieu INTRACELLULAIRE, à l’abri des anticorps magiques qui restent sagement dans le sang et la lymphe. 
                                                                                      Tout ceci explique que la maladie tétanos ne confère aucune immunité, et que les gammaglobulines spécifiques antitétaniques, d’origine humaine ou tirées ou cheval sont parfaitement inutiles dans le traitement de cette maladie une fois déclarée. 
                                                                                      Ce qui explique de façon caricaturale que la vaccination antitétanique comme la sérothérapie sont totalement inefficaces, toujours ! 

                                                                                      Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

                                                                                      http://actionsantelibertes.blogspirit.com/archive/2006/10/04/les-dix-plus-gros-mensonges-sur-la-vaccination.html


                                                                                      • jacques jacques 7 février 2009 11:41

                                                                                        La poliomyélite n’a pas disparu dans les années 40/50 j’ai moi même fait une primo infection en 1963 et je me rappelle d’un camarade avec une jambe plus fine que l’autre dans les années 70.Par contre l’amélioration des connaissances sur les épidémies avec des mesures dès 1720(peste de marseille), les découvertes de Pasteur puis aussi la sélection naturelle peuvent expliquer la disparition de certaines maladies .Aujourd’hui ,si le sida n’était pas contrôlé la sélection naturelle ne laisserait que les 5% de la population naturellement auto-immunes .Personnellement je crois aux anti-corps donc à l’éfficacité théorique des vaccins mais je pense que l’on ne connait pas tout le fonctionnement du corps humain.
                                                                                        Par contre ,j’ai souvent rencontré des gens hostiles aux vaccins et favorable à l’homéopathie qui me semble beaucoup plus contestable.

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