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Accueil du site > Actualités > Technologies > L’épidémie est entrée dans une phase de décélération

L’épidémie est entrée dans une phase de décélération

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 Malgré les annonces alarmistes sur le nombre de cas (qui n’a rien à voir avec la situation épidémique et clinique), nous pouvons observer pour la première fois depuis deux mois une décélération de l’épidémie. Je vous donne les éléments pour juger. C’est une photographie de la situation amenée être confirmée, plus ou moins, sans exclure une infirmation. Les restrictions politiques annoncées ne sont pas justifiées par la situation sanitaire. Vous pouvez diffuser cette analyse, y compris à vos élus, si vous pensez qu’elle peut éclairer et si vous voulez respirer et reprendre une vie normale.

 

 Sapere aude ! Aies l’audace de savoir ! (Kant)

 

 § 1) Bien comprendre les chiffres (ce §1 n’est qu’indicatif, l’essentiel est à lire dans le §2)

 Le suivi de l’épidémie de Covid-19 utilise principalement neuf à dix chiffres, les cinq premiers sont obtenus avec les tests RT-PCR, les cinq autres sont d’origine clinique, avec les remontées transmises par les hôpitaux vers Santé publique France. C’est la première fois qu’une épidémie est suivie en « traquant » le virus avec des tests. Cet outil s’est révélé à double tranchant. Il a faussé la vision de la réalité au lieu de permettre une maîtrise plus efficace. Parce qu’il n’a pas été utilisé à « bon escience »

 Les cas de coronavirus. Les gens se font tester, qu’ils soient malades ou pas. On parle alors de cas sans savoir ce que signifie ce chiffre. Ce ne sont pas des malades puisque la plupart sont asymptomatiques ou peu ou alors cas contact. Les médias lancent au tout venant que ce sont des cas de contamination. Là aussi, c’est faux. Les contaminations peuvent dater de plusieurs jours, voire semaines et de plus, les tests ne permettant pas d’évaluer la réalité de la circulation virale. On en est sans doute à plus de 100 000 contaminations par jour. Les cas ne veulent rien dire.

 Le taux d’incidence. Je ne vais pas revenir dessus. L’augmentation du taux d’incidence repose à la fois sur la variation de positivité de la population testée et du nombre de tests effectués. Par exemple vers le 30 juillet la positivité était de 2% et le nombre de cas entre 1000 et 1500. Vers le 25, le nombre de cas dépassait les 15 000, autrement dit, multiplié par 10 à 15, alors que la positivité frôlait les 8 %, soit un décalage par un facteur 4. Le taux d’incidence est faussé. Le nombre de contaminations par jour est plus près de 100 000 voire plus.

 Le taux de positivité. Il représente le pourcentage de tests positifs à la PCR sur les sujets testés. Il indique la prévalence du virus avec deux biais, l’un statistique, car les gens testés ne représentent pas un panel de la population, l’autre lié à la présence tardive du virus qui parfois, n’est plus opérationnel. Ce taux néanmoins est utile et c’est le seul chiffre virologique que je retiendrai.

 Clusters. Lorsque au moins trois personnes sont testées positives voire suspectes, appartenant à une même communauté ou ayant participé à un rassemblement. Le cluster est un concept nouveau appartenant à la novlangue de la nouvelle épidémiologie inventée pour le Covid. L’épidémiologie conventionnelle utilise plutôt le concept de cas groupés, autrement dit des malades issues d’un regroupement. Les quelque dix malades gravement atteint début janvier présent sur le marché de Wuhan étaient un exemple de cas groupé.

 R0. En épidémiologie classique, le R0 désigne le nombre moyen de personnes contaminées par un patient porteur d’une maladie virale. C’est un indice controversé, surtout dans la nouvelle version Covid où ce chiffre est calculé avec les malades et les cas testés. On ne sait plus si c’est de la science exacte ou de la géomancie.

 Les entrées journalières en hospitalisation. Ce chiffre n’est pas significatif. Il mesure les enregistrements des patients conduits aux urgences par les pompiers ou le SAMU. Une majorité ressort la journée ou le lendemain, après avoir été testé.

 Les entrées journalières en réanimation. Ce chiffre mesure le nombre d’hospitalisés transférés en service de réanimation. Comme pour le chiffre des hospitalisations, une fluctuation se produit pour des raisons d’enregistrement si bien qu’il n’y a aucun sens à diffuser ces chiffres comme le font les médias qui visiblement, ne veulent rien apprendre (ils ignorent le Sapere aude de Kant). En revanche, le nombre d’admissions en réanimation est un indicateur fiable de la prévalence des formes critiques du Covid-19, sous réserve d’un lissage, autrement dit un décompte hebdomadaire, comme cela figure dans les bulletins de Santé publique France établis chaque semaine.

 Hospitalisation en cours. Ce chiffre indique le nombre de patients présents dans les hôpitaux et testés positifs au coronavirus. S’y ajoutent semble-t-il quelques cas suspects de Covid. Il reflète l’épidémie en indiquant la prévalence des formes avancées devenues aggravées.

 Réanimation en cours. C’est le chiffre sensible, dont la remontée produit une montée encore plus importante des craintes et inquiétudes. Il donne une photographie assez fidèle de l’épidémie qui galopa en mars mais pour l’instant ressemble à une marée montante à faible coefficient

 Les décès. Ils fluctuent et ne devraient pas être annoncés chaque jour. Ils résultent de l’addition des patients décédés à l’hôpital, ce qui ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid mais mort en ayant le Covid ; et des décès enregistrés dans les maisons de retraites, sur la base de suspicion de Covid.

 

 § 2) Analyse des derniers chiffres

 Les chiffres nationaux et régionaux constituent un véritable labyrinthe. Je vais essayer de trouver un fil d’Ariane et le tisser. Ce n’est pas simple, sauf si l’on part du bon endroit.

 a) Premier constat, la corrélation entre le taux de positivité et les chiffres cliniques. En regardant au bon endroit, on s’aperçoit d’une corrélation entre la montée du taux de positivité, la croissance des hospitalisations en cours et celle des réanimations. Ces deux chiffres offrent une image lissée de l’épidémie. De plus, cette corrélation apparaît à travers un petit détail. Du premier au 10 septembre, la positivité a interrompu sa course et a affiché une sorte de palier, autour de 5.5 %. Observez maintenant la courbe des hospitalisations et des réanimations, on repère la trace de cet infléchissement avec un décalage de deux semaines. Plus généralement, les courbes de positivité et de lits occupés se suivent depuis trois mois. A la mi-août, la positivité s’accélère, franchissant les 4% le 19. Trois semaines plus tard on observe une accélération des réanimations sans que la croissance ne soit exponentielle, tout au plus une légère accélération. Il devrait être possible d’établir une correspondance moyennement éclairante entre le taux de positivité et les chiffres cliniques, plus précisément les réanimations (les « entrées », les « en cours ») ainsi que les décès.

 b) Le tableau suivant indique pour chaque semaine le taux de positivité établi le lundi, le nombre de réanimations en cours en date du jeudi et le nombre de décès sur la semaine.

 

Sx  positivité réa notées le jeudi décès

S 31 - 27 juil ; 1.5  ;  350

S32 - 3 août ; 2.2  ;  360

S33 – 10 août ; 3.1  ; 350  ;  < 100

S34 - 17 août ; 3.8  ; 370  ;  100

S35 - 24 août ; 4.4  ; 380  ;  100

S36 - 31 août ; 5.4  ; 458  ; 130 

S37 - 6 sept ; 5.6  ;  593  ; 175 

S38 - 13 sept ; 6.4  ;  796  ;  250

S39 - 21 sept ; 7.7  ; 1041  ;  340

S40 - 28 sept ; 9.1  ; 1259  ;  400

S41 - 5 oct ;  10  ; 1418

 

 c) Les chiffres donnent un peu le tournis car il n’y a pas de formules mathématiques reliant toutes les données. On note que dans les départements sensibles comme les Bouches-du-Rhône, le Rhône, la Gironde, une augmentation sensible des réanimations a suivi la croissance de la positivité, plus importante qu’à l’échelle nationale où l’on note aussi ce décalage de 2 à 4 semaines, de S36 à S40. A partir de S40, on ne peut plus voir clairement la situation puisque la gestion des tests a été modifiée. Les stands de test n’accueillent plus que les gens munis d’une ordonnance dans certains départements. Cela a le mérite de limiter l’augmentation du taux d’incidence tout en faisant croître la positivité. On note ainsi une montée en flèche de la positivité fin septembre mais de faible amplitude, quelque 2 points. Pour info, le nombre de personnes testées et enregistrées est passé de 1 070 000 en S38, à 925 000 en S39, puis 860 000 en S38.

 On ne peut pas établir une proportionnalité entre le taux de positivité et les autres chiffres. Juste un décalage temporel et une augmentation des réanimations qui n’explose pas et semble suivre la positivité avec une règle approximative. Un calcul sommaire permettrait de prévoir un seuil rapidement atteint (un à deux mois) dans les réanimations en cours. Disons 2500 avec une répartition sur les régions plus importante que pendant la vague de mars. On est loin du pic de 7000 enregistré début avril et concentré sur quelques régions.

 d) Il reste maintenant le « plat de résistance », autrement dit l’analyse des données enregistrées en hospitalisation puis les décès. Le chiffre des lits occupés est déterminant pour la gestion de crise. Après une très légère accélération pendant tout le mois de septembre, une très légère décélération est notée. Du 01/10 au 08/10 on note 153 réanimations de plus. Voici l’augmentation des réanimations relevée d’un jeudi à l’autre :

 145 ; 203 ; 245 ; 218 ; 153

 Après une phase de légère accélération nous entrons dans une légère décélération qui reste à confirmer. Les chiffres des dix derniers jours n’indiquent pas une aggravation mais une tendance à la stabilisation. D’ailleurs le dernier bulletin émis par Santé publique France confirme cette tendance. Les entrées en hospitalisations sont pratiquement au même niveau en S39 et S40 avec une décélération observée dès la S38. Pour les entrées en réanimation, on note une augmentation de presque 200 entre S38 et S39, la semaine suivante, cette augmentation dépasse de peu les 100. Quant à la mortalité, la décélération se confirme avec 400 nouveaux décès dans les hôpitaux en S40. Pour info, une grippe dure trois à quatre mois et le chiffre de 1000 décès par semaine est souvent atteint.

 e) Il ne reste plus qu’à conclure. Les chiffres indiquent une décélération de l’épidémie. Pourtant, il y a un décalage entre le nombre de test positifs et les données cliniques. C’est tout simplement parce que les deux paramètres ne mesurent pas la même chose. La clinique mesure l’épidémie réelle, celle qui cause des pathologies sévères, alors que les tests mesurent la prévalence d’un virus qui s’est considérablement atténué et produit essentiellement un rhume. Pourtant, la confusion est entretenue par la « secte scientifique » conseillant Macron et affolant les Français. Cette « secte » ne peut-elle ou ne veut-elle entendre ? La réponse ne sera pas explicitée dans ce papier.

 Le dernier chiffre dont je dispose en date du 9 octobre indique 21 réanimations de plus, ce qui est consistant avec un rythme de 150 par semaine. En IdF, il y a 3 réa en plus, soit moins d’un pour cent ; à Paris une de plus et l’on nous fait croire à une marée de grande intensité. En Gironde, placée en écarlate, seulement 26 lits sont occupés en réanimation pour le Covid (- 3), 26 c’est le chiffre pour le 11 septembre. En Gironde, les réanimations sont pratiquement stabilisées depuis un mois. La marée girondine a atteint un seuil de 35 le 22 septembre. La décélération laisse espérer un plateau d’ici quelques semaines, sans vague. Si cette tendance est durable, elle sera confirmée dans une à deux semaines. Les plateaux ne seront pas d’une grande ampleur et seront atteints avec quelques décalages selon les départements. Rien ne justifie un accroissement des mesures de restriction. Le décalage entre la situation réelle et les restrictions politiques incline à développer une explication. Je ne le ferai pas ici.

 f) L’explication de la situation épidémique tient au fait que le virus circule de plus en plus mais que la réaction des infectés prend l’ascendant et donc, que le virus s’atténue en agressivité. C’est ce qui explique la faible intensité de l’épidémie depuis deux mois alors que la circulation du virus n’a cessé d’augmenter. La virologie transversale a les possibilités d’expliquer ce phénomène (voir lien plus bas). L’immunité collective devient possible et plausible. Il n’y aura pas besoin de vaccin.

 

 

Les chiffres de l’épidémie en temps réel ici

https://www.cascoronavirus.fr/

 

Pour suivre l’épidémie avec des courbes

https://www.linternaute.com/actualite/guide-vie-quotidienne/2489651-covid-19-en-france-derniers-chiffres-courbes-cartes-toute-l-evolution-du-coronavirus/

 

Santé publique France

https://www.santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19

 

La thèse du Covirhume et du Covid qui explique une fin prochaine de l’épidémie

https://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/covid-19-et-covirhume-la-virologie-227456

 


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48 réactions à cet article    


  • Jean Keim Jean Keim 10 octobre 2020 09:17

    Donc pour conclure, plus on dépiste et plus il y a de covidés, ce qui en soit ne signifie pas grand chose...


    • rogal 10 octobre 2020 09:53

      Une bonne mise au point méthodologique en §1, pour laquelle je souhaiterais deux compléments.

      Quelle définition pour « malade » ? Contaminé ou symptomatique, ou autre ?

      Concernant les tests PCR, y a-t-il lieu de craindre un biais lié à leur sensibilité (nombre de cycles, etc.) ?


      • Bernard Dugué Bernard Dugué 10 octobre 2020 09:57

        @rogal Pendant une épidémie de grippe, les 3/4 des contaminés par le virus sont asymptomatiques. Un malade est par définition atteint par une affection accompagnée de symptômes. 
        Le système de santé marche sur la tête. On ne diagnostique pas une maladie avec un test, mais un test sert à confirmer qu’une maladie est liée à une infection virale au SARS-CoV-2
        Il n’y a pas de biais dans les tests mais une marge d’erreur avec des faux positifs et des faux négatifs


      • Jean Keim Jean Keim 11 octobre 2020 09:31

        @Bernard Dugué

        << Le système de santé marche sur la tête. On ne diagnostique pas une maladie avec un test, mais un test sert à confirmer qu’une maladie est liée à une infection virale au SARS-CoV-2 >>

        Alors est-ce que ce sont les tests révélés positifs – qui si j’ai bien compris détectent la présence du (d’un) virus dans l’organisme du testé – qui en fait servent principalement à déclencher une alerte et fixer les mesures « barrières » à mettre en œuvre ?


      • Bernard Dugué Bernard Dugué 10 octobre 2020 10:03

        Pour info, Lille qui vient de passer en zone écarlate est en phase de décélération et presque stabilisation depuis 10 jours

        premier octobre, 75 réa

        9 octobre, 80 réa, soit 5 réa de plus en 8 jours. 

        Le Nord est de plus le département le plus peuplé de France

        Les chiffres ici, vous pouvez rechercher sur votre département. Je ne comprend pas qu’il n’y ait aucun conseiller scientifique après de Mme Aubry qui semble obéir docilement aux ordres du régime

        https://www.cascoronavirus.fr/stats/france/departement/nord


        • Bernard Dugué Bernard Dugué 10 octobre 2020 11:04

          @The White Rabbit Le Point est comme Libé, le Monde, et d’autres médias une presse de régime qui affole les gens et les maintient dans une servile obéissance. Les gens ne veulent plus utiliser le sapere aude, ne veulent pas regarder les chiffres. On n’a jamais vu en France une presse de régime se développer aussi rapidement


        • mac 10 octobre 2020 11:53

          @The White Rabbit
          1 On admet visiblement, en réa, des gens que l’on n’y aurait jamais mis auparavant
          2 La Saturation n’a pas eu lieu que cette année mais depuis des années, étant donné que l’on en réduit le nombre de lits.
          3— Nos chiffres sont plus mauvais que bien des pays d’Europe, y compris l’Italie qui était au départ plus touchée que nous. Il faudrait peut-être en tirer les conclusions sur les personnes à virer, personnes que vous semblez soutenir plus ou moins indirectement à la lecture de vos commentaires.


        • mac 10 octobre 2020 11:58

          @Bernard Dugué
          Je crois effectivement que l’expression presse de régime n’est plus du tout usurpée...


        • confiture 10 octobre 2020 10:20

          Bonjour, hier j’ai dû consulter pour une vilaine blessure à la main, avant toutes choses le médecin a fait un prélévement avec un coton-tige qu’il a placé dans une éprouvette. Il m’explique que c’est pour identifier la bactérie et prescrire l’antibiotique adéquate cela m’a surprise. Peux t’on faire un test covid sur une blessure ?


          • leypanou 10 octobre 2020 12:21

            Les cas de coronavirus. Les gens se font tester, qu’ils soient malades ou pas  : dans un hôpital, avant une intervention chirurgicale, pas de symptôme, pas de température, on vous teste sans vous demander votre avis.

            Voilà comment ils gonflent artificiellement le nombre de cas bidon avec le RT-PCR.

            Pire, « ils » sont en train de mettre en place le certification de vaccination : pas de certification de vaccination, pas de voyage en avion.


            • xana 10 octobre 2020 14:23

              @leypanou
              Ca tombe bien. Moi je ne veux plus voyager en avion. Les consignes ridicules dans les aéroports, le port du masque quand l’épidémie est terminée, non merci.
              Donc pour moi, pas de certificat de vaccination, pas d’avion.
              Je cherchais un prétexte, je l’ai.
              Merci !


            • xana 10 octobre 2020 14:26

              @leypanou

              Ca tombe bien.
              Je ne veux plus circuler en avion. Les consignes stupides dans les aéroports, les contrôles policiers, le port du masque tout le temps, non merci.
              Je cherchais un prétexte. Je l’ai !
              Merci !


            • mac 10 octobre 2020 17:57

              Pas grave, ça nous fera plus de place.

              Je compte me rendre en Suède prochainement, un des rare pays à ne pas être tombé dans la dictature sanitaire, c’est à dire dans la dictature tout court...

              Mais visiblement la majorité des gens redemandent, il suffit pour cela de les transformer en moutons apeurés.


            • xana 10 octobre 2020 19:13

              @mac
              La Suède, c’est bien pour y vivre loin des apprentis dictateurs.
              La Roumanie c’est bien aussi. Au moins les gens ne croient pas ce que raconte la télé. Il faut dire que Ceaucescu leur tenait la jambe deux ou trois heures tous les soirs, donc la propagande ils savent à quoi ça ressemble. Les politiciens et les médias sont aussi vendus qu’en France, mais les gens ont l’habitude de la corruption. Et à la campagne, si on a un peu d’argent ça va très bien. Je ne mets jamais de masque.
              A propos, je viens de distiller mon eau-de-vie : 20 litres de mirabelle, 15 litres de poire. J’attends encore trois semaines pour faire ma prune.
              Et tout ça sans formalités idiotes, pour le prix du bois de chauffe.


            • Patrick Samba Patrick Samba 10 octobre 2020 15:58

              @Bernard Dugué

              tu es vraiment un curieux bonhomme. Tu signes des tribunes où il est dit qu’il n’y a pas de deuxième vague, sauf sociale et économique, tu affirmes dans le collectif (marseillais mais ouvert à tous) que tu es convaincu d’un délire collectif en cours, et toi ici tu parles de décélération de l’épidémie, qui donc continue à exister.

              Tu fais comment pour faire coïncider tout ça dans ton esprit ?

              Tout ça manque de bon sens !


              • Bernard Dugué Bernard Dugué 10 octobre 2020 16:10

                @Patrick Samba
                Je persiste, il n’y a pas de deuxième vague, ni de forte marée
                Juste une petite marée qui maintenant semble décélérer
                L’épidémie est là mais elle ne ressemble plus du tout à celle de mars avril


              • Jean Keim Jean Keim 11 octobre 2020 09:34

                @Bernard Dugué

                << ...elle ne ressemble plus du tout à celle de mars avril >>

                Et qui de plus a été artificiellement grossie... CQFD


              • xana 11 octobre 2020 16:52

                @Jean Keim
                Artificiellement, oui. On a voulu effrayer les gens, et on a réussi.
                Le nombre de gens qui portent le masque est édifiant sur leur crédulité.
                Rares sont ceux qui (par simple bon sens) ne croient pas à cette « effrayante pandémie ».
                Croire au virus, pourquoi pas. Mais pas aux prédictions apocalyptiques.

                Mais la plupart des gens sont vraiment trop cons pour avoir du bon sens.
                Après tout, la démocratie est sans doute une perle jetée aux cochons.
                La tyrannie est ce qui leur convient le mieux.
                D’ailleurs c’est ce qu’ils réclament.


              • confiture 10 octobre 2020 17:07

                Pourquoi ne répondez-vous pas à leypanou et à moi-même ? peut-on faire un prélèvement covid sur une plaie ?


                • leypanou 10 octobre 2020 18:50

                  @confiture
                  pour moi, ce n’est pas sur une plaie, c’est 2 jours avant l’opération qu’on teste avec la tige dans le nez.
                  Pour une personne qui n’a aucun symptôme, c’est extraordinaire.


                • Bernard Dugué Bernard Dugué 11 octobre 2020 14:21

                  @confiture J’avoue que votre question dépasse de beaucoup mes compétences scientifiques. Je vous invite à contacter Michel Cymès, Patrick Cohen ou Luc Ferry pour avoir une réponse à cette question délicate


                • Désintox Désintox 10 octobre 2020 17:17

                  Décélération ? 

                  Regarder le site de l’université John Hopkins, et notamment l’encadré en bas à droite, qui se nomme « Daily cases » : on voit que le nombre de cas ne diminue pas encore à l’échelle mondiale.

                  En cliquant sur la petite flèche en bas à droite, on affiche une graphique nommé « daily deaths » : force est de constater qu’il ne diminue toujours pas.

                  Alors, il y a peut être une « décélération » au sens où « ça augmente moins vite », mais cela ne veut pas dire « diminution ».

                  Et en France, on en est à 20 000 nouveaux cas recensés par jour. L’épidémie a d’abord repris chez les jeunes et se propage maintenant chez les plus âgés, ce qui est inquiétant.


                  • mac 10 octobre 2020 18:01

                    @Désintox
                    On peut faire augmenter ce que l’on veut ou ne pas diminuer ce que l’on veut, il suffit pour cela d’adapter la définition d’un « cas » ou d’un décès covid en fonction...


                  • Bernard Dugué Bernard Dugué 10 octobre 2020 18:43

                    @Désintox un cas ne fait pas un malade
                    C’est toute l’erreur des systèmes de santé qui détectent des cas et veulent stopper la circulation du virus. C’est l’inverse qu’il faut faire, circulation et immunité collective plus protection des personnes à risques


                  • Gasty Gasty 11 octobre 2020 12:23

                    @Désintox

                    Je vois 20000 cas pour le 09/10, pas 20000 par jour. Pour le 10/10 il n’y a rien pour le moment. Pour le 11 il faudra diviser le nombre avec ceux qui ne sont pas encore apparus pour le 10.
                     Un autre lien à propos du Covid : https://www.les-crises.fr/pandemie-covid-19-ou-en-sommes-nous-au-6-octobre/


                  • pipiou2 10 octobre 2020 17:41

                    Les réanimations sont pourtant au plus haut depuis juin, pourquoi alors prétendre une décélération ??

                    Sachant que ce serait forcément pire si on n’avait pris aucune mesure.

                    Le nombre de décès demeure « raisonnable », ce qui n’est surprenant puisque la prise en charge s’est nettement améliorée grâce au retour d’expérience.


                    • HELIOS HELIOS 10 octobre 2020 19:28

                      @pipiou2

                      ... tout dépend de ce qu’on « nomme » réanimation !

                      En Mars  Avril, la réa c’etait le coma artificiel pendant quasiment 1 mois.

                      Aujourd’hui la réanimation c’est deux jours (quelquefois un seul) avec un tuyau de lave-glace a oxygène au bord du nez, le temps de la prise de l’antibiotique...

                      ... alors faire des equivalences en siuations qui n’ont rien a voir les unes avec les autres.... c’est comme le chomage.. ce qui compte ce n’est pas le nombre de chomeur, c’est le temps qu’ils restent au chomage. Ce n’est pas pareil que d’etre 1 mois a pole emploi une fois tous les 3 ans que 3 ans au chomdu !

                      Merci l’auteur pour les précisions de votre billet.


                    • pipiou2 11 octobre 2020 13:50

                      @HELIOS
                      Je ne sais pas d’où viennent vos informations sur le nombre de jours, mais si le taux d’occupation de réa augmente alors que les gens restent très peu, ça veut dire que la cadence des admissions en réa est d’autant plus élevée.

                      Mais franchement dire qu’il y a décélération en ce moment c’est sacrément gonflé !
                      Même les Allemands instaurent des couvre-feu alors qu’ils sont particulièrement bon dans la gestion de l’épidemie.


                    • mac 10 octobre 2020 18:05

                      Visiblement, l’Italie s’en sort maintenant beaucoup mieux que nous. Serait-ce parce qu’on se débrouille moins bien qu’eux ou qu’on nous raconte des sornettes ?


                      • pipiou2 11 octobre 2020 13:51

                        @mac
                        Serait-ce qu’ils respectent mieux les consignes sanitaires ??


                      • mac 11 octobre 2020 19:35

                        @pipiou2
                        Quelles consignes sanitaires ?
                        La Suède ne voit presque aucune augmentation ses décès et n’a pas de consignes sanitaires particulières.
                        Ces consignes sanitaires sont un faire valoir d’un gouvernement qui ne sait plus où donner de la tête...


                      • markos 10 octobre 2020 18:16

                        en pleine pandémie, je me souviens de graphiques avec le nombre de décès 2020 avec en parallèle ceux de 2019 et 2018.

                        on y distinguait nettement une surmortalité en mars et avril puis un retour à la normale.

                        depuis l’été, je ne vois plus ce graphique.

                        il n’y a pas de malice dans mon message, je pense que l’excédent de mortalité donne un aperçu des méfaits du virus. je me méfie du décompte officiel qui aurait tendance à mettre sur le compte du c19 des décès de personnes souffrant de comorbidités ou de multimorbidités.

                        or je n’arrive pas à trouver un graphique simple montrant le nombre de décès en juillet, aout et septembre 2020 et ceux des années précédentes.

                        si quelqu’un peut me donner des chiffres, je l’en remercie d’avance.


                        • Le421... Refuznik !! Le421 10 octobre 2020 19:32

                          Dites...

                          Je peux dire une connerie ?

                          Si on laissait chacun mesurer les risques qu’il prends.

                          Enfin, je dis ça, je dis rien, hein.

                          Et pi si vous ne voulez pas me voir, pas de souci.

                          C’est marrant, quand les gens sont en panne et ont besoin de moi, ils ne font pas tant de chichi.

                          Car si quelque chose les embête, je fais demi-tour.

                          Chez moi, tout va bien... smiley

                          Si vous avez la flotte qui pisse dans la cuisine et que le plombier se pointe sans masque, vous faites quoi ? Vous appelez les argousins ?


                          • Bertrand Loubard 10 octobre 2020 20:01

                            Merci pour votre article. Vous y dites : « Clusters. .... est un concept nouveau appartenant à la novlangue de la nouvelle épidémiologie inventée pour le Covid ».
                            Je pense (je ne crois pas) que ce mot vient plutôt du mot vénitien getto ou ghetto signifiant « fonderie », quartier de Venise où les autorités Vénitiennes de l’époque (1516) avaient « autorisé » les Juifs à séjourner, à y pratiquer leurs rituels religieux et à y imposer le shabbat, et les autres pratiques « cashers ». «  Le mot a été rapproché, dès le XVIe siècle, de la racine hébraïque guet, qui signifie « séparation », « divorce », mais ce rapprochement n’est pas justifié. Rarement employé, le terme de « cancel » est aussi utilisé dès 1428 ....etc..... ».
                            Sans être plus qu’un simple citoyen lambada, je voudrais cependant qu’« on » se penche sur cette question .... : quelle est la différence entre « Ghetto » et « Cluster », sauf que le cluster est défini sur base d’un modèle de protocole dû à un certain Neil Ferguson....qui n’ayant pas de chance, voit ses découvertes et modélisations utilisées à pas très « bon escience ».
                            Bien à vous.
                            P.S. J’ai reçu votre livre....Est-ce qu’il y aura d’autres épisodes.... ?


                            • Citoyen de base 11 octobre 2020 00:13

                              M. Dugué, honneur à vous et à votre travail de ré information. Mais comme vous, je suis effondré de la bêtise et de la veulerie d’une majorité de nos concitoyens. Je ne leur trouve pas d’excuses comme Iris, car exercer sons esprit critique est la base pour toute personne aspirant à vivre en démocratie, même si on a abattu l’école en partie pour l’éviter. Or, le conformisme, et en particulier celui des jeunes est extrême. Cette plan-démie m’aura au moins montrer comment naissent les dictatures : parce que c’est facile ! L’être humain est grégaire et si on lui sert la soupe à heure fixe il saura se satisfaire de n’importe quel tyran. 

                              « Un peuple qui élit des menteurs, des voleurs, des traîtres et des corrompus n’est pas victime, il est complice ! » G. Orwell

                              Sinon un lien vers l’article d’Opposition contrôlée qui rappelle les vraies raisons de cette mascarade : https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/panorama-du-monde-d-apres-227618#forum5874264


                              • Hijack Hijack 11 octobre 2020 00:23

                                Article complet, bien documenté. Merci.


                                • stef 11 octobre 2020 07:06

                                  Aucune restriction de circulation pour venir en France depuis tous ces pays là :
                                  États membres de l’Union européenne, Andorre, Australie, Canada, Corée du sud, Géorgie, Islande, Japon, Liechtenstein, Monaco, Norvège, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni, Rwanda, Saint-Marin, Suisse, Thaïlande, Tunisie, Uruguay, Vatican.

                                  https://losangeles.consulfrance.org/cov ... opolitaine

                                  Par contre on n’entre pas en Allemagne comme dans un moulin français

                                  https://de.ambafrance.org/FAQ-tests-de- ... e-allemand

                                  ni au Royaume Uni

                                  https://uk.ambafrance.org/COVID-19-Cond ... -Uni-28925

                                  c’est finalement plus facile de venir de Thaïlande ou du Rwanda ou de Londres que d’aller boire une bière au bistro du coin ! ! !


                                  • kanopus 11 octobre 2020 10:51

                                    Un simple rappel, trop souvent oublié :

                                    610 000 décès « ordinaires », peu ou prou, recensés annuellement en France,

                                    49 000, en moyenne et PAR MOIS,

                                    soit 1500, toujours en moyenne, PAR JOUR.

                                    — 392 000, environ, pour ces 8 DERNIERS MOIS,

                                    dont 32 500 attribués, sans aucune certitude, à la Covid19.

                                    Soit une différence de 359 500 qui sera classée de quelle façon par ce

                                     que l’on appelle à tort l’autorité compétente ?

                                    Aux Etats-Unis, ce sont, environ, 2 900 000 décès par an, soit, et toujours

                                    environ, 240 000 décès PAR MOIS, donc plus de 8 000 PAR JOUR.

                                    Bien évidemment, ces chiffres n’ont d’autre but, en dehors de toute morbidité,

                                    que d’« affûter » la réflexion de chacune et chacun à propos de ce qui n’est

                                    qu’une épidémie. Et fort bienvenue semble-t-il... ! Mais pas pour tout le monde...


                                    • xana 11 octobre 2020 17:02

                                      @kanopus

                                      Vilain conspirationniste !
                                      Avant le Covid, les gens vivaient éternellement.
                                      l suffit de consulter les statistiques des médias. Ceux qui sont morts (en fraude) les années passées sont morts, évidemment, du Covid déguisé sous un faux-nom.
                                      Qu’est-ce que le suicide, si ce n’est le Covid de l’âme ? Que sont les accidents de la route, si ce n’est le désir d’arriver le plus tôt possible dans les hôpitaux « surchargés » ? Qu’est-ce que le cancer, si ce n’est un Covid pernicieux ?


                                    • confiture 11 octobre 2020 12:12

                                      Pourquoi avoir effacé votre commentaire ?


                                      • Francis, agnotologue Francis 12 octobre 2020 08:08

                                        Coronavirus : Au CHU de Nantes, des soignants positifs continuent de travailler

                                         

                                        « HÔPITAUX - Des cas signalés à Nice, à Bourgoin-Jallieu, au Puy-en-Velay et désormais au CHU de Nantes. Faute de remplaçants, “plus de 11 soignants” asymptomatiques de l’hôpital de Loire-Atlantique continuent de travailler et d’assurer leur mission de soins, alors qu’ils sont actuellement positifs et contagieux au coronavirus, annoncent nos confrères de Ouest-France et d’Europe 1 ce samedi 10 octobre. Cette situation est légale et validée par le Haut conseil de la santé publique depuis la fin mai, si le médecin positif est asymptomatique et ne peut être remplacé pour “raison de tensions particulières en ressources humaines” au sein de l’établissement. »


                                        • Réflexions du Miroir AlLusion 12 octobre 2020 09:14

                                          Ce weekend, je publiais « SurVivre aux incertitudes ». Billet dans lequel, je faisais référence au denier magazine « Psychologies ».

                                          Celui-ci tentait d’apporter son concours pour atténuer les sentiments négatifs vis-à-vis de cette crise.

                                          Je concluais par donner ma version sans influencer qui que ce soit en m’interviewant.

                                          Je répondais aux questions : en disant que je n’avais pas été influencé outre mesure par la pandémie. Que rien n’avait réellement changé dans mes habitudes de jogging, de faire du vélo en solitaire et de rentrer chez moi pour mettre mes idées au propre par écrit.

                                          La raison ?

                                          Mon amour de la solitude, un peu comme Olivier de Kersauson qui lui l’a toujours recherché sur les mers.

                                          Chez nous, qui sommes dans les tops de la Covid après la Tchéquie, des résolutions de plus en plus drastiques se sont imposées et s’imposeront probablement si le nombre de personnes testés positifs continueront à doubler tous les dix jours. Nous sommes dans des bulles de quatre. Moi dans une bulle de deux. J’ai de quoi voir venir. 

                                          Sans famille, libertaire, mécréant, ne dépendant pas d’une foule de personnes qui influencent ma vie, comme il n’est pas possible de l’être plus. 


                                          • pierrot pierrot 12 octobre 2020 10:41

                                            On peut prendre les 5 à 8 paramètres d’indicateurs de covid-19 : globalement actuellement ces paramètres sont, certes, environ 7 à 10 fois inférieurs à ceux de mars-avril, mais ils sont quasiment tous en augmentation depuis le 20 juillet environ, signe que l’épidémie reprend mais à un rythme plus faible qu’au printemps.

                                            Chaque caractéristique a ses faiblesses mais aussi sa pertinence, il faut donc les évaluer ensemble.

                                            Le principal changement me semble que les patients sont mieux pris en charge, la maladie mieux connue, d’où moins de décès (50 à 70 /j au lieu de 300 à 600 au printemps.

                                            Cela provient pour partie, aux corticoïdes, à la prise en charge du risque cardiaque, aux nouveaux et nombreux équipements d’assistance respiratoire, au port très généralisé du masque, de la distanciation, de l’hygiène par le gel hydroalcoolique (surtout chez les personnes âgées très prudentes).

                                            C’est une synthèse rapide mais plausible !


                                            • Bernard Dugué Bernard Dugué 12 octobre 2020 13:36

                                              @pierrot
                                              Je n’ignore pas l’explication sociologique sur les mesures barrière sont l’efficacité est impossible à établir, même si pour ma part je doute de l’utilité du masque. Plus plausible serait l’explication à partir des catégories exposées plus ou moins, des tranches d’âge. Evidemment, on peut peut ignorer le changement dans les soins médicaux. Les cliniciens ont enfin compris l’utilité des corticoïdes. Début avril, on était monté à 1000 décès/j. Sinon, je continue à penser à une atténuation du virus si bien qu’il y aurait deux épidémies, dont une immunise sans affecter gravement les contaminés, ou alors sans les affecter du tout, asymptomatisme


                                            • Réflexions du Miroir AlLusion 12 octobre 2020 19:00

                                              @Bernard Dugué,
                                               Le grand problème actuel, c’est la détection des asymptomatiques. 
                                               Il y a des files en drive in pour se faire tester et on en arrive à fermer ces postes de dépistages.
                                               Ce matin, on revenait encore une fois à l’autre moyen de dépistage par la salive. Un système développé par ULiège Moins précis mais plus accessible.


                                            • Pierre Alain Reynaud Pierre Alain Reynaud 12 octobre 2020 18:01

                                              Et si le prétexte du coronavirus n’était qu’une grande mystification pour installer une dictature à la française ? En utilisant le Covid-19, le pouvoir politique a voulu faire peur aux populations. Voir plus

                                              http://www.lafranceliberee.fr/journal-pages/republique-sociale/et-si-le-coronavirus-n-etait-qu-une-grande-mystification.html



                                              • Réflexions du Miroir AlLusion 12 octobre 2020 19:04

                                                @Pierre Alain Reynaud,
                                                 La dictature, il vaudrait mieux la rechercher si Donald Trump est réélu le 3 novembre d’après sa nièce, Mary qui vient de publier son livre « Trop et jamais assez ». 


                                              • markos 13 octobre 2020 10:21

                                                lors de ma dernière intervention au sujet de l’article de M Dugué et je m’interrogeais sur le fait qu’on ne trouvait plus les graphiques du nombre de décès en france avec les courbes des années précédentes..

                                                c’est juste la curiosité qui m’anime mais aussi vers quel type de danger on fait face.

                                                je suis tout simplement allé sur le site de l’insee ou ils recensent le nombre de décès chaque mois et j’ai pris ma calculette.

                                                comme je ne suis pas statisticien et que je n’ai pas de méthode, j’ai fait au plus simple en additionnant chaque mois sur un cycle de 12 mois à partir du dernier recensement insee, en l’occurrence celui du mois d’aout 2020.

                                                et ça donne ça :

                                                de aout 2020 à septembre 2019, 632 600 décès.

                                                de aout 2019 à septembre 2018, 608 417 décès. une surmortalité de 24 182

                                                de aout 2018 à septembre 2017, 613 675 décès. une surmortalité de 18 975

                                                de aout 2017 à septembre 2016 606 025 décès. une surmortalité de

                                                26 575

                                                alors oui, il y a bien un excédent de mortalité en moyenne de 23 244 sur les 3 années précédentes, concentré sur deux mois, mars et avril.

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