• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > Technologies > Trous noirs, relativité d’Einstein et big bang : et si tout était (...)

Trous noirs, relativité d’Einstein et big bang : et si tout était faux ?

La relativité générale d’Einstein gouverne la physique du cosmos et de l’univers depuis 100 ans. Elle a suscité des controverses passionnées avant d’être acceptée par les physiciens. Elle a engendré une somme colossale d’études, non seulement empiriques mais aussi théoriques, avec les modèles d’univers utilisant des métriques spécifiques et puis ces étranges solutions que sont les trous noirs. Pendant cette époque, les observations astronomiques ont été utilisées pour appuyer un modèle de cosmogonie reconnu comme le récit officiel de l’histoire de l’univers. Ainsi le big bang décrit la naissance et l’expansion de l’univers à partir d’un état d’extrême densité et une phase inflationnaire. Quant aux trous noirs, d’aucuns pensent qu’il existent et qu’ils pourraient rendre compte de certaines observations astronomiques alors que du côté de la théorie, la description quantique du trou noir initiée dans les années 70 par Bekenstein et Hawking a beaucoup intrigué les physiciens.

Et maintenant en 2014, si on réfléchissait. Il se pourrait bien que ces trois piliers essentiels de la cosmologie moderne aboutie soient en vérité inexacts. Vous avez bien lu. La relativité d’Einstein est un modèle théorique du cosmos « astronomiquement valide » mais « ontologiquement faux ». Les trous noirs tels qu’ils sont conçus par la relativité d’Einstein n’existent pas. Ils renvoient à autre chose comme le suggère Monsieur Hawking en soumettant le trou noir à l’épreuve de la physique quantique, et plus spécialement face au principe universel gouvernant la matière, la symétrie CPT. Le sort du big bang est aussi en balance, malgré l’intense consensus de la communauté scientifique pour ce modèle sans oublier l’adhésion du grand public à ce récit qui constitue à la fois une cosmogonie bâtie avec de la science et une sorte de mythe pour grands enfants.

Le fait que le big bang est une conception « vacillante » ne fait aucun doute pour les scientifiques et philosophes doués de perspicacité et du « bon sens » scientifique. Leurs propos restent néanmoins confidentiels, publiés dans quelques journaux, sur le Web, ainsi que des ouvrages avec parfois des éditeurs sérieux comme Le Seuil qui vient de publier une étude de l’historien des sciences Thomas Lepeltier dans laquelle il est montré que les physiciens ont « forcé » l’utilisation des données astronomiques pour privilégier une approche, celle du big bang, tout en délaissant les autres options possibles. Dans un autre registre, le physicien Jean-Marc Bonnet-Bidaud prend l’affaire en main et dans un entretien s’explique sur six points scientifiques nécessitant un débat contradictoire sur le big bang qui est en réalité basé sur des hypothèses très restrictives alors qu’il est possible d’aborder ces six points scientifiques avec des options distinctes de celles régissant le modèle standard de l’univers. C’est le cas de la géométrie du cosmos, du décalage vers le rouge qui peut avoir une autre explication que l’éloignement des galaxie, ou encore du rayonnement diffus dans le cosmos qui pourrait avoir une autre explication que l’hypothèse d’une trace de l’explosion primordiale puis du refroidissement de l’univers.

Faut-il revoir le big bang ? Ma réponse est oui. Maintenant, il faut défendre cette position. Les critiques de Bonnet-Bidaud sont utiles mais elles n’économisent pas un angle d’attaque plus théorique en plaçant la cosmologie sous le crible de l’autre mastodonte physique, la théorie quantique. Regardons la situation en face. La théorie d’Einstein utilise une formule quasi-magique pour décrire l’étendue et une formule on ne peut plus classique pour décrire la matière. Or, c’est cette matière qui s’ordonne tout en ordonnant l’univers. Pour résumer la situation, nous avons une matière décrit par la physique quantique (plus le modèle standard), un cosmos décrit par la relativité générale qui est une description classique de l’étendue et de la gravité mais qui n’inclut pas certaines lois fondamentales de la « matière quantique » (Mon idée étant que la Gravité est d’une part double et d’autre part qu’elle supprime dialectiquement les effets quantiques. Ces idées sont consignées dans mon essai intitulé Après Newton et Einstein, la cosmonadologie quantique, qui cherche un éditeur).

Cela dit, autant y aller le plus directement. D’après Stephen Hawking, le trou noir conçu avec la relativité d’Einstein violerait un principe fondamental de la physique quantique, la symétrie CPT. Hawking, coutumier des déclarations provocatrices, a donc fait une mise au point récemment en concluant que les trous noirs ne sont pas ceux que l’on pensait être. Il a notamment modifié la conception de l’horizon du trou noir. Hawking n’est cependant pas allé jusqu’à l’ultime provocation en énonçant une possible conséquence de ses recherches sur le trou noir quantique : la relativité générale n’a plus cours pour des situations d’extrême densité de matière. Il a néanmoins jeté un trouble immense car au final, c’est quand même la théorie d’Einstein qui est contredite avec le remplacement de l’horizon classique du trou noir par un horizon apparent consécutif à l’application de la physique quantique et de la symétrie CPT.

L’équation canonique de la cosmologie relativiste d’Einstein s’écrit ainsi

[ R ] = [ T ] traduit en termes « primitifs » : [ Géométrie ] = [ Matière ]

La physique du 21ème siècle s’apprête à découvrir que cette équation ne décrit pas l’univers dans sa complétude. Elle n’est pas une approximation d’une théorie plus englobante (comme peut l’être la mécanique de Newton face à la relativité d’Einstein). Elle est une équation qui décrit un univers tronqué ! Cette situation est la conséquence ultime de la science moderne (qui signe son échec à comprendre et connaître la nature, que ce soit en physique, en biologie ou en psychologie). Il y aurait une matière géométrie, celle des équations cosmologiques, et une autre « matière » ou si l’on veut, une autre « substance ».

Ce qui ouvre non pas vers une nouvelle manière de « voir » l’univers comme au temps de Copernic et Galilée mais une nouvelle manière de « concevoir » l’univers. Bien évidemment, cette éventualité n’a rien de fantaisiste, elle découle de l’autre grande théorie, la physique quantique qui comme on l’a vu, se « frite » à la cosmologie relativiste au niveau du trou noir. Dans 10 ou 50 ans, les historiens de la physique écriront que l’affaire des trous noirs a permis à la physique de montrer les limites de la relativité d’Einstein. Une bataille décisive va s’engager et verra la (une) physique quantique l’emporter.

Autant dire que la cosmologie est un domaine qui a de l’avenir et qui devrait intéresser les jeunes chercheurs car il va s’y passer beaucoup de choses. Et d’ailleurs, quelques physiciens post-doc sont sur le tarmac, prêts à en découdre avec les anciens en développant la dynamique des formes dans de multiples directions, trous noirs inclus. J’aurai peut-être quelques nouvelles à présenter ici ou alors je les inclurai dans mon essai sur la cosmonadologie quantique où j’esquisse une compréhension inédite de la matière et du cosmos.


Moyenne des avis sur cet article :  3.5/5   (24 votes)




Réagissez à l'article

36 réactions à cet article    


  • Caveman Caveman 7 novembre 2014 09:21
    Bonjour Mr Dugué

    Les théories de la relativité et des trous noirs seraient une vue de l’esprit, donc appréhendables uniquement par l’esprit, si je puis dire. Même si les scientifiques s’accordent sur le bien fondé de ces théories, ils ne peuvent appréhender complètement ce concept de manière rationnelle ou mathématique, car ils leur manquent une certaine vision ou l’outil adéquat.

    Sans remettre en cause le travail de ces chercheurs, les concepts de la relativité ou des trous noirs nécessitent d’être corroborés.

    Pourquoi ne pas lire les témoignages de certains auteurs gênants pour la science ?

    Ces derniers pratiquant la décorporation, technique qui leur permet justement de toucher du doigt en partie, ces fameuses théories.

    La décorporation, selon ces auteurs, fait état, suite à la projection de la conscience, d’une modification de la perception de l’espace temps leur permettant d’avoir accès à la mémoire de l’univers ou à la rencontre d’autres formes d’ existences, ou bien de poser la question sur la création de l’univers, rien de moins !

    Tout cela est vertigineux et « fout tout par terre » , mais n’est ce pas le prix à payer si l’on veut changer de paradigme ?

    En tout cas, la jonction et confrontation de ces deux techniques de recherche semble aujourd’hui inévitable.

    C’est une question de temps justement, ’quanta’ l’espace de réflexion, il ne manque pas !



    Réf : Comment dieu devint Dieu et Les annales akashique ...Daniel Meurois

    Lire aussi Victor Laszlo, scientifique qui va dans ce sens



    • philippe913 7 novembre 2014 13:22

      @caveman "La décorporation, selon ces auteurs, fait état, suite à la projection de la conscience, d’une modification de la perception de l’espace temps leur permettant d’avoir accès à la mémoire de l’univers ou à la rencontre d’autres formes d’ existences, ou bien de poser la question sur la création de l’univers, rien de moins !

      Tout cela est vertigineux et « fout tout par terre » , mais n’est ce pas le prix à payer si l’on veut changer de paradigme ?"

      Tout cela ne révèle qu’une chose : que l’abus de drogue est dangereux pour l’intellect.


    • bourrico6 7 novembre 2014 10:10

      « astronomiquement valide » mais « ontologiquement faux »

      MOUAHAHAHAHA.... on va s’arrêter la pour ce matin hein.

      En fait, ce qui importe du point de vue de la science, c’est le premier, la théorie est donc valide.
      Et encore une fois ELLE NE REPRESENTE PAS LA REALITE, n’en a jamais eu la prétention.

      Le second point de vue est celui des « masturbateurs intellectuels » tels l’auteur, il n’a pratiquement aucun intérêt.... au comme le souligne l’auteur lui même, est déconnecté de toute réalité concrète et palpable.

      Le mélange des genres est la professions de foi de monseigneur Dugué.

      Mr Dugué en quête de la Vérité Ultime est en réalité à le recherche de Dieu, et reproche à la science de ne pas le lui montrer, encore, et encore.


      • Nicolas_M bibou1324 7 novembre 2014 10:40

        « La relativité générale d’Einstein gouverne ... »


        Faux et archi faux. Simplement parce que la relativité générale d’Einstein n’existe pas comme postulat, mais comme théorie. Il existe aujourd’hui de nombreuses autres théories alternatives permettant d’expliquer d’autres phénomènes de l’univers, et aucun scientifique ne prétend connaitre une vérité absolue.

        « Et si tout était faux ? »

        Ben ça ferait plaisir aux scientifiques. Parce que ça voudrait dire qu’il existe un protocole permettant d’affirmer que la théorie ne peut pas être vraie. Donc qu’on aurait progressé dans la compréhension de l’univers. Aujourd’hui, aucun scientifique n’affirmant la véracité absolue de la relativité, ça ne changerait cependant pas grand chose.

        « ontologiquement faux »

        Juste le fait que vous parliez d’ontologie dans un article se voulant scientifique, montre très clairement que vous êtes tout sauf un scientifique, et que vous ne maîtrisez aucune des notions que vous utilisez.

        Je vous explique simplement pourquoi :

        Ontologie = terme philosophique = masturbation intellectuelle sans essayer de tenir compte des observations pouvant être faites dans l’univers.

        Scientifique = observation de l’univers + élaboration d’hypothèses en fonction des observations + validation ou invalidation de ces hypothèses via des protocoles conçus spécifiquement dans cet objectif. Elaborer une hypothèse ne pouvant être vérifiée et sans aucune conséquence, est inutile pour un scientifique, puisqu’il s’agit de masturbation intellectuelle. 

        Typiquement, supposer l’inexactitude de la relativité n’est pas scientifique, puisque ce n’est ni démontrable, ni instructif en terme de conséquences logiques. Alors que supposer son exactitude est riche en conséquences, donc scientifique. Si demain un indice laisse entrevoir une autre possibilité de théorie, avec d’autres conséquences, il faudra les étudier et étudier leurs conséquences. Comme cela a été fait pour la théorie des cordes et autres théories alternatives.

        Ontologie et sciences étant opposés, les mêler dans un article montre clairement, malgré vos diplômes, votre inculture crasse et votre méconnaissance profonde des méthodes scientifiques. Essayez de faire des études de logique, pour changer. Ne serait-ce que math-sup, un peu de théorie des ensembles, ne vous ferait pas de mal.

        • Hervé Hum Hervé Hum 9 novembre 2014 10:53

          bibou,

          c’est vous qui montrez une inculture crasse, l’histoire enseigne que la science moderne est née de la philosophie, comme un lien de causalité.

          La philosophie consiste à s’interroger sur le sens de la réalité, c’est ainsi qu’est né la nécessité d’observer la réalité.

          Science et philosophie sont intimement lié par l’ontologie, tout simplement parce que la science ne vous renseigne pas sur le sens de ce qu’elle observe.

          Or, la réalité admet des lois dites naturelles ou universelles et seule la philosophie permet de leur donner sens, pas la science.

          Question : à toute limite physique existe t-il une limite de sens (ontologique) ? et réciproquement !

          Autrement dit, les lois qui gouvernes la matières n’obéissent t-elles pas à une ontologie, une raison d’être de cette même matière pour lui donner vie et donc expliquer son mouvement traduit par la gravité et l’électromagnétisme ? La réponse est positive.

          La science d’aujourd’hui ne peut plus évoluer car elle refuse de se poser ces questions essentielles, existentielles et qui lui sont nécessaires pour aller au delà des apparences ;.

          Eh oui, la science actuelle est bloqué par la limite des apparences observables, tant dans l’infiniment petit que grand (espace) et dans l’infiniment rapide que lent (temps). La réponse du point de vue philosophique est très simple, mais évolue en complexité de manière exponentielle quasi instantanément. Ce qui rend son appréhension extrêmement difficile.

          La faute est dû aux tautologies, postulats de bases sur lesquels s’appuient la pensée humaine et qui sont biaisée.


        • mic0741 mic0741 11 novembre 2014 16:27

          Hervé,

          « La philosophie consiste à s’interroger sur le sens de la réalité, c’est ainsi qu’est née la nécessité d’observer la réalité. »
          Quelle réalité ? la réalité externe, la réalité consensuelle ou la réalité interne ? (voir l’ouvrage de Marc Tegmark : »Notre univers mathématique »)

          « les lois qui gouvernent la matière n’obéissent t-elles pas à ...une raison d’être de cette même matière… « (j’ai corrigé les fautes d’orthographe)
          Quand on parle de raison d’être de quoi que ce soit de l’univers, on n’est pas loin d’affirmer l’existence de Dieu. Or ça, ce n’est qu’une hypothèse, une construction du cerveau humain, une croyance intime…, rien de scientifique. Pourquoi faudrait-il une raison d’être à la matière ?

           »la science actuelle est bloquée par la limite des apparences observables »
          Ca n’est pas d’aujourd’hui, la science a toujours été limitée par les possibilités d’observation de l’homme, même au temps de Galilée. L’évolution de la science est concomitante avec l’évolution des moyens d’observation, depuis la naissance de l’humanité. Et toute théorie scientifique est et a été confirmée ou infirmée dès que les moyens d’observation ont permis de la confronter à la « réalité » de l’observation.

        • Hervé Hum Hervé Hum 12 novembre 2014 00:23

          mic

          la réalité est par définition externe et par conséquence de cette extériorité, commune à tous les « êtres ».
          Mais à partir de quoi peut on dire « être » ?

          L’habitude nous fait penser à un être vivant, complexe, mais un atome n’est il pas un « être » en tant qu’objet identifiable, unique et interagissant avec tous les autres existant ?

          En interne, je ne parle pas .de réalité mais de vérité, qui est la conséquence de cette intériorité.

          A partir de là, commence un jeu qui va en se complexifiant exponentiellement.

          A notre dimension ou échelle, la réalité existe indépendamment de l’observateur, mais pas l’observateur que nous sommes  ! C’est ainsi que pour l’humain, la réalité a longtemps été avec une Terre plate, puis encore quelque temps, le centre géographique de l’Univers. Mais l’absence de certitude quand à l’existence d’autres formes de vie intelligente fait que l’on peut continuer à croire être le centre spirituel de l’Univers, donc en vérité ! Mais est ce la réalité ? Est ce un mensonge ? (par le déni d’une réalité qui pousse à penser que la vie existe ailleurs). 

          Par contre, comme nous faisons tous partie de l’Univers, nous pouvons répondre de la vérité avec un grand V de l’Univers, soit, donner sens à l’existant !

          mais de la réalité de l’Univers, là, nous ne pouvons affirmer que notre proche environnement, soit notre système solaire seulement.

          Quand on parle de raison d’être de quoi que ce soit de l’univers, on n’est pas loin d’affirmer l’existence de Dieu. Or ça, ce n’est qu’une hypothèse, une construction du cerveau humain, une croyance intime…, rien de scientifique. Pourquoi faudrait-il une raison d’être à la matière ?

          Certes, mais le hic de ce point de vue, c’est que vous ne pouvez pas affirmer que l’humain est une construction du cerveau humains sans en faire un dieu, celui d’être son propre créateur.

          Or, si vous remontez de proche en proche à quel moment pouvez vous dire « c’est là qu’il y a une raison d’être et là il n’y en a pas » ? Vous pouvez dire qu’il n’y a aucune raison d’être, mais que faites vous ici alors ?

          Vous ne pouvez pas le dire sans « prendre partie ». Si vous ne prenez pas partie, vous ne pouvez plus rien dire du tout, absolument rien !

          Alors, pourquoi faudrait-il une raison d’être à la matière ? Mais parce que nous sommes constitués de matières et sommes doués de raison d’être !

          Ce que vous ne pouvez ou voulez pas percevoir, c’est qu’au niveau d’un atome ou d’une galaxie, les dimensions changent et les notions de raisons d’êtres aussi. Bref, vos notions d’espaces temps sur lesquels s’appuient votre sens de la raison d’être sont invalide à ces niveaux dimensionnels. Ce qui reste valide, c’est le fait que l’Univers dans lequel nous vivons, c’est à dire tel qu’il se fait connaître en nous ayant crée et faisant vivre, est donner sens à l’existant.

          Enfin, la question posé dans mon commentaire est de savoir si lorsque nous ne pouvons pas aller au delà d’un certain seuil dans l’observation de la réalité, cela ne signifie t-il pas qu’il faille s’en remettre uniquement au sens ontologique et de le déduire de la réalité que nous observons ?

          Mais encore faut il bien appréhender la réalité que nous observons !!!

          C’est la grande question philosophique ET scientifique ET religieuse.

          J’ai bien ma petite idée sur la question...


        • ezzteban 5 janvier 2015 15:38

          C’est tellement navrant : Que de blabla pour ne rien dire, et de divagation !

          C’est pourtant simple : la science n’a aucune prétention de « d’expliquer », juste de « prévoir » ! A partir de là, une théorie est bonne si elle peut prévoir certains résultats, et qu’on la confronte avec l’observation !

          C’est ça, la science, les faits, rien que les faits !! Certains voudraient en faire un globiboulga imbuvable, ou le scientifique devrait mettre un « sens » dans ses découverte, mais rien que le fait d’imaginer un « sens » montre un subjectivité qui nuira automatiquement au résultat !

          Beaucoup de scientifique le font aujourd’hui, et ça donne beaucoup d’étude biaisé suivant les intérêts des un et des autres ! On a donc pas besoin d’un énième charlatan qui non seulement, n’a rien compris à l’histoire des sciences, mais en plus, ne connait visiblement pas bien les courant philosophique !

          Merci d’avoir essayer....


        • soi même 7 novembre 2014 10:41

          Dédier à ta pensé profond Bernard !
          http://www.youtube.com/watch?v=cz3e9rWvC5g


          • Electric Electric 7 novembre 2014 13:02

            Bonjour Bernard,

            oui, le chemin emprunté par la cosmogonie officielle est dans une voie de garage depuis 100 ans.

            Les théoriciens de l’univers électrique apportent des réponses simples sur la base des observations et des travaux expérimentaux sur les plasma en laboratoire (scalable).

            Einstein :

            http://www.alterinfo.net/Pour-bien-percevoir-Einstein_a45564.html

            Les trous noirs :

            http://www.alterinfo.net/La-problematique-super-massive-du-trou-noir_a21400.html

            http://www.alterinfo.net/Les-trous-noirs-deforment-la-verite_a26338.html

            http://www.alterinfo.net/Le-trou-noir-au-coeur-de-l-astronomie_a31285.html

            Matière noire :

            http://www.alterinfo.net/Noire-et-partie-les-pieds-devant_a75017.html

            Expansion :

            http://www.alterinfo.net/L-expansion-de-l-Univers-est-elle-prouvee_a32382.html

            Champ gravitationnel :

            http://www.alterinfo.net/Champ-de-gravitation-champ-electrique_a106917.html

            La gravité électrique :

            http://www.alterinfo.net/La-gravite-electrique-dans-l-Univers-electrique_a39821.html

            Abstract : « La gravité est due à l’orientation radiale de dipôles électrostatiques à l’intérieur des protons, neutrons et électrons de la Terre. [18] Entre deux dipôles électrostatiques alignés, la force varie en fonction de l’inverse de leur distance à la quatrième puissance, et la force combinée de dipôles électrostatiques similaires alignés sur une surface donnée s’exprime au carré. Le résultat, c’est que la force de dipôle à dipôle, qui varie en fonction de l’inverse de puissance quatre entre dipôles colinéaires, devient pour les corps étendus la force bien connue, variant à l’inverse du carré, de la gravité. La réponse gravitationnelle et inertielle de la matière peut être considérée comme due à une même cause. L’extrême faiblesse bizarre de la pesanteur (mille billions de billions de billions de billions de fois plus faible que la force électrostatique), est à la mesure de l’infime distorsion des particules subatomiques dans le champ gravitationnel ».

            C’est pourtant pas bien compliqué non ?

            Comment fonctionne le système solaire électrique ?

            http://www.alterinfo.net/Le-mecanisme-electrique-du-systeme-solaire-de-Newton_a31854.html

            Evidemment, il y a encore beaucoup de travail à effectuer pour parachever ce que ces défricheurs ont mis en évidence.

            Allez, 20% des budgets alloués aux seuls trous noirs permettraient aux théoriciens du plasma de répondre à toutes les questions que se posent les astrophysiciens depuis 100 ans.

            Constat : vous ne commentez pas et ne prenez jamais partie pour cette approche qui consiste pour l’essentiel à remplacer les lois de la thermodynamiques utilisées à tord pour décrire l’univers par les lois de l’électromagnétisme et les propriétés très particulières des plasma ?!

            Les lois de Maxwell et Lorentz, l’effet de convection mis en évidence par Marklund, les travaux du Los Alamos laboratory sur la z-machine et les plasma (effet de striction longitudinale et Antony Perratt) en allant jusqu’aux travaux du Nobel de physique Hannes Alfven permettent de mettre à jour un univers cohérent.

            On laisse tomber la thermodynamique des gaz et la force gravitationnelle pour lire l’univers avec les lois déjà existantes depuis 150 ans de l’électromagnétisme et des plasmas.

            En une seul question : Et si la pesanteur était une force dipolaire électrique ?


            • philippe913 7 novembre 2014 13:19

              tous vos liens sont identiques


            • doctorix, complotiste doctorix 7 novembre 2014 23:55

              Le Big Bang, on s’en fout un peu.
              Par contre, l’invention de John Searl, on voudrait bien la voir au grand jour.
              Il s’agit là aussi d’envisager une nouvelle physique, la précédente commençant à être bien ringarde.
              http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/09/23/22127468.html
              Finalement, les sceptiques du genre Philippe sont des gens bien inutiles.
              Ils ont choisi d’être des freins. Ici, on préfère les moteurs.
              Un esprit, même intelligent (à vérifier), mais sans imagination, c’est un boulet.
              Parce qu’enfin, toute invention commence par un rêve.


            • Hermes Hermes 7 novembre 2014 13:18

              Bonjour,

              il y a eu bien trop de « génies » hélas !!! du temps de Léonard deVinci, il suffisait de crayonner quelques dessins sur un coin de table pour avoir l’air d’un scientifque, aujourd’hui la tâche est plus ardue, n’est-ce pas ?

              L’énergie que vous mettez à tenter d’obtenir une reconnaissance dans cette direction est impressionnante. La pierre philosophale ontologique de la science existe-t-elle ? Si cela existait ne faudrait-il pas inclure le scientifique lui-même dans l’objet d’étude ? Cela signifie voir COMMENT dans son propre corps il mène sa démarche, à quelles attentes et tensions elle répond........ Comment les sarcasmes viennent alimenter ses tensions et renforcer sa démarche, et comment sa conscience s’y emprisonne.

              Une auto-oservation qui permettrait d’éliminer les filtres pour avancer vers une perception plus directe des choses, et plus épanouissante, moins intellectualisée peut-être....

              C’est juste une suggestion. A chacun son chemin.

              Cdt.


              • Electric Electric 7 novembre 2014 13:58

                Errata :

                Bonjour Bernard,

                oui, le chemin emprunté par la cosmogonie officielle est dans une voie de garage depuis 100 ans.

                Les théoriciens de l’univers électrique apportent des réponses simples sur la base des observations et des travaux expérimentaux sur les plasma en laboratoire (scalable).

                Einstein :

                http://www.alterinfo.net/Pour-bien-percevoir-Einstein_a45564.html

                Les trous noirs :

                http://www.alterinfo.net/La-problematique-super-massive-du-trou-noir_a21400.html

                http://www.alterinfo.net/Les-trous-noirs-deforment-la-verite_a26338.html

                http://www.alterinfo.net/Le-trou-noir-au-coeur-de-l-astronomie_a31285.html

                Matière noire :

                http://www.alterinfo.net/Noire-et-partie-les-pieds-devant_a75017.html

                Expansion :

                http://www.alterinfo.net/L-expansion-de-l-Univers-est-elle-prouvee_a32382.html

                Champ gravitationnel :

                http://www.alterinfo.net/Champ-de-gravitation-champ-electrique_a106917.html

                La gravité électrique :

                http://www.alterinfo.net/La-gravite-electrique-dans-l-Univers-electrique_a39821.html

                Abstract : « La gravité est due à l’orientation radiale de dipôles électrostatiques à l’intérieur des protons, neutrons et électrons de la Terre. [18] Entre deux dipôles électrostatiques alignés, la force varie en fonction de l’inverse de leur distance à la quatrième puissance, et la force combinée de dipôles électrostatiques similaires alignés sur une surface donnée s’exprime au carré. Le résultat, c’est que la force de dipôle à dipôle, qui varie en fonction de l’inverse de puissance quatre entre dipôles colinéaires, devient pour les corps étendus la force bien connue, variant à l’inverse du carré, de la gravité. La réponse gravitationnelle et inertielle de la matière peut être considérée comme due à une même cause. L’extrême faiblesse bizarre de la pesanteur (mille billions de billions de billions de billions de fois plus faible que la force électrostatique), est à la mesure de l’infime distorsion des particules subatomiques dans le champ gravitationnel ».

                C’est pourtant pas bien compliqué non ?

                Comment fonctionne le système solaire électrique ?

                http://www.alterinfo.net/Le-mecanisme-electrique-du-systeme-solaire-de-Newton_a31854.html

                Evidemment, il y a encore beaucoup de travail à effectuer pour parachever ce que ces défricheurs ont mis en évidence.

                Allez, 20% des budgets alloués aux seuls trous noirs permettraient aux théoriciens du plasma de répondre à toutes les questions que se posent les astrophysiciens depuis 100 ans.

                Constat : vous ne commentez pas et ne prenez jamais partie pour cette approche qui consiste pour l’essentiel à remplacer les lois de la thermodynamiques utilisées à tord pour décrire l’univers par les lois de l’électromagnétisme et les propriétés très particulières des plasma ?!

                Les lois de Maxwell et Lorentz, l’effet de convection mis en évidence par Marklund, les travaux du Los Alamos laboratory sur la z-machine et les plasma (effet de striction longitudinale et Antony Perratt) en allant jusqu’aux travaux du Nobel de physique Hannes Alfven permettent de mettre à jour un univers cohérent.

                On laisse tomber la thermodynamique des gaz et la force gravitationnelle pour lire l’univers avec les lois déjà existantes depuis 150 ans de l’électromagnétisme et des plasmas.

                En une seul question : Et si la pesanteur était une force dipolaire électrique ?


                • Gollum Gollum 7 novembre 2014 14:11
                  et si tout était faux ?


                  Il y a déjà un bon moment que je suis arrivé à cette conclusion aussi. Non pas par la pensée scientifique mais en m’en éloignant de plus en plus et ce de façon définitive.

                  Pourquoi ? Parce que la science part d’en bas. Et que partant d’en bas, jamais elle ne pourra avoir une vue globale et vraie des choses. Guénon l’avait bien expliqué en son temps. 

                  Et Jean de la Croix aussi quand il explique qu’il faut remonter à Dieu d’abord, pour pouvoir ensuite retourner de façon vraie, vers la créature ou la Création, en bas.

                  Autrement dit, la science ne pourra que continuer à faire fausse route. Et de façon d’autant plus dramatique qu’elle est efficace. Cette efficacité est le leurre ultime, la singerie qui permet au scientifique de rester accroché à son monde et de s’y retrouver piégé.

                  Du reste il y a une analogie forte entre cette science qui essaye d’éclairer tant bien que mal, les choses de proche en proche, avec l’humanisme moderne qui veut fonder une harmonie sociale en évacuant le Principe premier. Là aussi on en voit les fruits : une montée globale de la haine, comme la science, elle, nous amène au bord du gouffre de par le totalitarisme même de la technique.

                  L’esprit scientifique est typiquement moderne. Pour un Ancien, une vie bien remplie est une vie qui se tourne vers l’Un, vers le Brahman. Alors le sens de la vie se dévoile : une vie en harmonie avec le reste de l’Univers de par cette Unité recréée au sein de l’homme.

                  • philippe913 7 novembre 2014 15:36

                    « la science est fausse mais elle marche. »

                    N’y a t-il pas un problème à votre raisonnement ?
                    Et vous vous basez sur quoi pour dire qu’elle est fausse et fait fausse route ?


                  • Gollum Gollum 7 novembre 2014 16:12

                    La science est vraie dans un champ relativement étroit ce qui lui permet une efficacité certaine. Par contre elle a toutes les chances de se planter dès qu’on touche à l’infiniment petit, on le voit avec la prolifération tout à fait babélienne des particules et des théories toutes plus ou moins extravagantes à des degrés divers : théorie des cordes avec un nombre extravagant de dimensions, etc… Même chose pour l’infiniment grand où l’on ne sait pas bien à quoi attribuer le décalage du spectre des galaxies, certains y voient une accélération, d’autres supposent une vitesse de la lumière variable, bref c’est le grand foutoir et cela dure depuis un bon moment déjà…


                    Tous ces symptômes montrent une crise profonde d’un outil mal adapté à l’infini : car à ce niveau il devient de plus en plus difficile d’expérimenter et l’abondance babélienne des différentes théories montrent bien qu’il y a un manque qui laisse place à l’imaginaire. Enfin, l’intellect lui-même n’est pas forcément adéquat non plus car trop limité.

                    Enfin, ce que vise la science, et on le voit et le perçoit de plus en plus, c’est l’efficacité et non pas la vérité. D’où l’emprise de plus en plus grande de la technique sur le savoir véritable, la recherche pure. Comme la science est efficace localement, elle n’a aucune légitimité et efficacité quand on a affaire à des systèmes globaux. On le voit pertinemment par les dégâts occasionnés sur l’environnement. Un bon exemple est le cas des antibiotiques, efficaces localement : on tue les microbes, formidable, tout le monde est content.. Sauf que l’on n’est pas vraiment dans un système local mais bien dans un cadre global où le vivant se défend et où le miracle d’hier se transforme en cauchemar aujourd’hui avec de nouvelles souches dont plus personne ne sait comment s’en débarrasser.. Cet exemple est tout à fait général où pratiquement toutes les conquêtes scientifiques, efficaces je le repère dans un cadre donné, se transforment en cauchemar : les centrales nucléaires deviennent de véritables bombes à retardement, les OGM de Monsanto perturbent plus qu’ils n’apportent véritablement quelque chose, la « science » (je sais ce n’en est pas une) économique ne maîtrise plus rien non plus, avec là aussi, une catastrophe qui nous attend à plus ou moins brève échéance..

                    Que cette science, encensée jusqu’à encore très récemment, ne fasse qu’empirer une situation planétaire devenue de plus en plus ingérable, cela devrait quand même titiller quelques cerveaux qui devraient quand même commencer à se poser des questions sur le pourquoi d’échecs de plus en plus flagrants dès qu’on élargit un peu le cadre.

                    Un esprit Traditionnel au sens de Guénon aurait vite répondu : le coupable est l’intellect, la raison, incapable de maîtriser un système complexe. Et l’Univers, la Vie, la Terre sont des systèmes complexes et c’est la raison pour laquelle ils sont aujourd’hui gravement menacés… 
                    (enfin pas l’Univers heureusement, son immensité, tout à fait providentielle notons le, le mettant à l’abri de nos imbécillités)

                  • Gollum Gollum 7 novembre 2014 16:14

                    efficaces je le repère 


                    je le répète, bien sûr… et non pas repère. Putain de correcteur automatique foireux..

                  • Hermes Hermes 7 novembre 2014 16:15

                    Oui Gollum ! et l’efficacité ne donne pas en rétribution la satisfaction profonde et durable attendue..... donc il faut aller toujours plus loin dans la division analytique du monde extérieur, en s’éloignant toujours plus de l’unité intérieure.

                    E=MC2 <---> Etre = Matière (le bas) avec la puissance de la Lumière (le haut)

                     smiley


                  • philippe913 7 novembre 2014 17:54

                    Je ne suis pas d’accord, ça n’est pas parce qu’on ne maîtrise pas tout qu’on ne sait rien et que ce qu’on sait est forcément faux.

                    Et dire « Comme la science est efficace localement, elle n’a aucune légitimité et efficacité quand on a affaire à des systèmes globaux » me parait être d’une certaine mauvaise foi.
                    Peut être confondez vous la science, qui est en perpétuelle évolution, et son usage, ou son ingénierie.
                    De plus vous prenez des exemples qui, à mon avis, ne sont pas très pertinents.
                    - Avant les antibiotique, on ne soignait pas les bactéries. Après les antibiotiques, soit on aura trouvé autre chose, soit on en reviendra au même point. Rien n’a donc réellement empiré par rapport à la situation antérieure.
                    - Concernant les OGM, je vous trouve bien péremptoires quant à leur toxicité.
                    - au sujet de l’infiniment petit, la mécanique quantique, fausse selon vous, a pourtant des applications concrètes qui fonctionnent parfaitement.

                    Après, si toutes les conquêtes scientifiques se transformaient en cauchemar, avec tout ce qui a été découvert, nous devrions vivre en enfer à l’heure qu’il est. Il me semble qu’on en est loin. Et quand bien même, le problème ne viendrait toujours pas de la science, mais de son utilisation, ce qui ne voudrait toujours pas dire que ce que l’on sait est faux, juste qu’on l’a mal utilisé.

                    Que de nouvelles hypothèses plus ou moins extravagantes surviennent de temps à autre devrait vous ravir, montrant que la science avance, encore et toujours, et que des gens cherchent toujours la vérité, tout en sachant pertinemment qu’ils ne l’atteindront sûrement jamais.


                  • ezzteban 5 janvier 2015 15:45

                    Mon dieux...la science est efficace !! Quelle hérésie !! C’est forcément pour ça qu’elle se trompe !

                    Bien sur , un scientifique vous dirait que pour remplacer le modèle de « science » actuel (qui ne prétend pas, contrairement à ce que vous pensez, expliquer le monde, mais essaye juste de faire corroborer des observation avec des théories), il faudrait le remplacer par autre chose d’aussi « efficace » !

                    Vous prônez quoi alors ? On élabore de la théorie au doigt mouillé en écoutant quelques obscures personnes se prétendant omnisciente ? On établie des règle qui nous plaise, et on prie pour qu’elle s’applique au monde extérieur ? C’est même plus de la paresse intellectuel, c’est du « menfoutismecarjairiencompris » sévère !!

                    Mention spéciale pour vos exemples sur les antibiotiques, qui n’ont jamais prétendu être sur à 100% , mais qui ont plus que montré leur utilité !! D’après Gollum, une hérésie, la meilleures façon de faire, c’était de ne RIEN faire, laisser crever les gens, ou attendre qu’ils guérissent !! Merveilleux programme humaniste que voilà !!

                    Retournez donc dans votre grotte plutôt que de jouer au penseur pour débutant...


                  • quid damned quid damned 7 novembre 2014 14:59

                    Bonjour Bernard,
                    Une fois de plus même si je ne dispose pas d’un niveau scientifique pour émettre un avis crédible, je salue votre engagement dans une recherche qui s’émancipe de la lise dogmatique.
                    Le concept big bang, intuitivement me paraît assez naïf, même si je m’en sers comme base d’une réflexion que j’ai commis ici. En fait un raisonnement par l’absurde qui n’était pas censé en être un au départ. Peu importe, revenons à votre propos : « Hawking ... Il a néanmoins jeté un trouble immense car ... » vous évoquez là un aspect qui me semble primordial et très navrant. Je n’arrive pas à comprendre comment la communauté des scientifiques qui est censée être la plus circonspecte des instances puisse à ce point manquer de réserve sur les théories qui servent de base à leurs travaux, eux (les scientifiques) qui devraient s’enthousiasmer au lieu d’être troublés lorsque des éléments viennent bousculer l’édifice. Qu’il soit rénové, reconstruit, qu’il ait de nouvelles portes ou baies. Je crains que l’« Esprit Scientifique » ne s’obtienne pas avec les diplômes aussi pompeux soient-ils. Cela fait à peine 100 ans que nous sommes capables de faire décoller des aéroplanes, comment peut-on à ce point manquer d’humilité, évidemment que la relativité d’Einstein n’est qu’une étape, un schéma primitif pour décrire le monde, même si elle a profondément perturber les bulbes de ceux qui se prenaient pour le sommet et l’aboutissement de l’évolution. Nous ne sommes que des méta-primates engoncés dans notre suffisance.
                    Bonne continuation à vous Bernard.


                    • slave1802 slave1802 7 novembre 2014 15:30

                      C’est Cabanel qui ne va pas être contant. Sans la relativité et tout ce qui en découle il va bien falloir admettre qu’une centrale nucléaire ne peut pas fonctionner avec de l’uranium et que depuis des années le complexe militarojudaïque nous cache la vérité : Dans chaque réacteur se cache en fait des rejetons de Godzilla capturé par les croisés lors du siège de Jérusalem.

                      Et un lézard, ça ne pollue pas, ça n’explose pas, ça pue, c’est tout ! smiley


                      • Pyrathome Pyrathome 7 novembre 2014 18:12

                        Sans la relativité et tout ce qui en découle il va bien falloir admettre qu’une centrale nucléaire ne peut pas fonctionner avec de l’uranium
                        .
                        Dugué n’a jamais dit que la physique nucléaire pourrait être fausse, il évoque seulement les trous noirs, le big band et la relativité générale......
                        C’est pas avec une chaudière à MOX que vous allez explorer l’univers......


                      • christophe nicolas christophe nicolas 7 novembre 2014 18:20

                        Il vous manque de la matière dans l’univers ? Moi ça ne m’étonne pas, en revanche pour calculer, c’est très compliqué. Il faut d’abord expliquer ce qui est proche : 

                        • nucléaire basse énergie
                        • hydrolyse basse énergie
                        • antigravité
                        • ....
                        tous les phénomènes qui présentent une anisotropie importante des orientations de rotation microscopique. Il faut d’abord faire cela avant de parler de l’univers dont on avait une vision isotropique.

                        Après, des tables de conversion avec les données actuelles se dégageront sans doute. On tombera certainement sur un univers quasi stationnaire. Il serait même intéressant que les spécialistes calculent les paramètres empiriquement maintenant ainsi, ils pourront valider les théories.

                        On a 15% de masse visible. Autrement dit, lorsqu’on voit de la matière distribuée de façon isotrope, on en voit 15%, je ne sais pas leur façon de faire alors j’imagine...

                        On peut donc augmenter un poids d’au moins 6,5 en l’orientant

                        A Garabandal, les fillettes avaient 10-12 ans et pesaient 30 kg. En transe, elles étaient insoulevables les pieds s’enfonçaient dans le sol. Le ciel fait bien ce qu’il veut mais il agit pour nous donner des indications.

                        Leur poids théorique était d’au moins 30 x 6,5=195 kg 

                        Un pieds exerce une pression d’environ 0,4 MPa ce qui fait 2,6 Mpa

                        J’ai fait des essais de compactage et un enfoncement de 5 cm est normal pour cette pression sur un sol en terre normal. Il est également normal que les adultes ne pouvaient pas les soulever.

                        Bon je pense que 6,5 est le ratio très minimaliste, c’était pour mettre un peu fun. Si on sait le faire un jour, on sera comme des super costauds parce que les fillettes de Garabandal arrivaient à se soulever entre elles. Bizarre, n’est-ce pas...
                         

                        • philippe913 8 novembre 2014 16:33

                          @christophe Nicolas

                          ne confondez pas masse et poids svp.

                          Et puis votre exemple sur les fillettes de Garabandal, euh, comment dire, vous mettez cette charlatanerie au milieu d’un discours qui se veut scientifique. Pas mal pour se dézinguer tout seul...


                        • Attilax Attilax 7 novembre 2014 20:07

                          J’ai rien compris... Je dois être trop con. J’aime bien vos articles d’habitude, mais là, franchement, c’est imbittable. Votre gourou doit être terrible...


                          • Layly Victor Layly Victor 7 novembre 2014 20:22

                            J’ai eu le bonheur intellectuel de lire et de comprendre les équations de la relativité générale. Ce fut un dur labeur qui m’a pris beaucoup de temps, notamment la démonstration du théorème de Lévi-Civitta. On a dit de la relativité générale qu’elle est la plus belle construction de l’esprit humain et, de ce que j’ai lu, je veux bien le croire. Non seulement c’est une très belle construction de l’esprit, mais en plus elle colle parfaitement à notre monde physique. La confirmation du bien fondé de la relativité générale fut obtenue pour la première fois lors d’une éclipse de soleil, qui permit de confirmer la déviation de la lumière en présence d’une masse importante. Mais cette confirmation se produit à chaque instant quand vous utilisez votre GPS.
                            Ce qui est réconfortant dans la méthode scientifique, c’est qu’elle procure une grande liberté car vous pouvez vérifier n’importe quel théorème, si vous en avez le courage. Vous pouvez aussi le contester, mais ceci se fait sur la base de calculs souvent très durs, et en employant des méthodes rigoureuses. Mais cette liberté fait peur aux paresseux de l’esprit qui préfèrent s’en remettre à des liens pour des sites de pseudo-science et d’imaginaire créatif (la fin du monde le 21 Décembre 2012 et autres fariboles) ou chamaniques. Je n’ai rien contre le chamanisme, mais c’est un monde différent de celui de la Science.
                            La Science n’a pas la prétention d’interpréter le monde. Elle se contente modestement d’essayer de trouver des lois qui permettent de faire des prédictions et d’avancer (faire voler des avions, faire fonctionner des semi-conducteurs, envoyer des sondes dans l’espace).
                            Que des rêveurs imaginent des lois plus ou moins ésotériques et des univers fictifs, c’est tout à fait leur droit et c’est respectable. Qu’ils s’en prennent à la Science avec irrespect, sans même faire l’effort de prendre connaissance de ses principes élémentaires, ce n’est pas correct.
                            Je donne un exemple : il n’est pas exclu que la terre se trouve un jour sur une trajectoire de collision avec un astéroïde qui ferait planer la menace d’une extinction de masse, comme çà s’est déjà produit. Dans ces conditions, ce sont les scientifiques qui feront le travail d’essayer d’écarter cette menace, en utilisant les lois de Newton que vous méprisez tant.


                            • hopeless 8 novembre 2014 22:53

                              « Elle se contente modestement d’essayer de trouver des lois ... » 


                              Hum, c’est le terme « loi » qui me dérange un peu. 

                              La Science ne « découvre » pas des lois, elle élabore des modèle mathématiques, des plus simples aux plus sophistiqués, qui rendent bien compte de ce qu’on peut observer et qui permettent d’exercer un certain contrôle sur la matière et notre environnement, ce qui est une très bonne chose. 

                              De là à parler de « lois », dans le sens « lois de l’Univers » bien sûr, cela semble un peu présomptueux non ? 

                              J’ai toujours cru que les scientifiques étaient conscients de cet abus de langage, mais j’ai de plus en plus de craintes à ce sujet. La modestie n’est pas leur fort !

                              PS :

                              Personne ne semble avoir mentionné les 2 récents articles de Jean-Pierre Petit sur les trous noirs :

                            • BlueMan BlueMan 8 novembre 2014 01:18

                              Une sélection de vidéos sur les trous noirs pour les amateurs : http://www.blueman.name/Des_Videos_Remarquables.php?titre=trou%20noir&mode=liste


                              • Ni naïf Ni Crédule dede 8 novembre 2014 10:52

                                Fallait e-penser !


                                • L'enfoiré L’enfoiré 8 novembre 2014 21:25

                                  Ai-je la berlue ? Est-ce une deuxième édition de l’article précédent ? 



                                    • Rmanal 9 novembre 2014 22:33

                                      Si votre soit disante théorie est aussi ’démonstrative’ que votre article, on comprend pourquoi personne avec un minimum de connaissance physique ne la publie.



                                      • Ruut Ruut 13 novembre 2014 07:45

                                        Et si au lieu du temps (notion arbitraire définie pas l’humain) qui variait, c’était la vitesse de la lumière qui changeait avec la densité.
                                        Vos équations ne seraient elles pas plus justes ?


                                        • Zevengeur Zevengeur 3 décembre 2014 11:03

                                          Merci pour cet article,
                                          il est clair que même la relativité n’est qu’une théorie qui sera peut être infirmée pas une autre théorie plus globale dans le futur. C’est d’ailleurs presque une certitude au vu de son incompatibilité avec la TQ.

                                          C’est encore pire pour les trous noirs car rien ne démontre formellement leur existence jusqu’ici même si le consensus règne.

                                          Quand au big bang, il existe des théories alternatives.

                                          Aucune théorie n’est aujourd’hui (comme hier) certaine.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès