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DG.

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  • Premier article le 20/04/2006
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Derniers commentaires



  • DG. damien G 28 août 2006 13:08

    article intéressant, mais je suis perplexe...Il y a quelque chose de bizarre la dedans et j’ai plusieurs remarque.

    Avant toute chose, je dois dire que je suis contre forme d’assurance obligatoire, y compris celles existantes. En effet, il n’est pas cohérent de dire « assurer-vous, c’est obligatoire : vous pouvez quand meme choisir votre assureur ». je suis contre les obligations de contracter.

    Si une chose est obligatoire (dans cette hypothèse), c’est a l’Etat de l’assumer, il n’a pas a en déléguer la jouissance. mais ce faisant, l’Etat ne fait qu’instaurer une forme de copinage, de corporatisme, entre institutions dont les objectifs sont, théoriquement, différent. Bien sur, libre a ceux qui veulent cotiser près le privée de le faire, en supplément.

    Ce qui m’amene a poser cette question. Si la fin du monopole est appliqué, pourra-t-on cotiser au pres de l’Etat, et seulement au pres de l’Etat, en ce qui concerne ces prestations, c’est a dire peut-on cotiser plus que la loi ne l’exige, afin de béneficier de meilleurs prestation ?

    je pose cette question, car, il n’ya aucune sécurité a cotiser au pres, ou via,un oganisme privé, car celui-ci peut faire faillite, et vous voila avec de l’argent perdu, qui aurait alors mieux servi à être employé ailleurs !!! (voire ce qui se passe dans les pays de langue english, a propos des retraites)

    on pourra me répondre qu’il y a des garanties d’Etat, ou l’Etat sera repreneur ! Oui, mais, alors cela signifie, que en dernier recours, c’est l’Etat qui paira ! En claire, ces sociétés d’assurrances n’assument aucun risque tant qu’elles seront bénéficiaires, mais si elles encours la faillite, et qu’elles n’assument plus leurs obligations contractuelles, ce n’est pas l’actionnaire qui paira de ses deniers personnels : le beurre et l’argent du beurre. La charge sera alors transféré à la collectivité.

    Que l’on cotise volontairement auprès le privé, sans obligation, d’accord ! mais que les parties contractantes assument pleinement leur engagements, sans venir pleurer aupres de l’Etat. Si ce n’est pas ainsi, alors c’est bien du copinage, du corporatisme !!



  • DG. Damien G. 12 août 2006 18:13

    Excellente remarque



  • DG. Damien G. 12 août 2006 18:01

    je suis tout a fait d’accord avec toi.

    sauf dans le dernier paragraphe, l’etat ne laisse même pas le citoyen regler ses propre probleme comme il le souhaiterait, ou comme il le juge souhaitable ; il lui met des batons dans les roues quand il essaye de s’en sortir, mais pas dela manière dont l’Etat le souhaiterait (j’exagère a peine). ET je n’irais jusqu’a dire que les français ont tous une mentalité d’assisté.



  • DG. Damien G. 12 août 2006 17:44

    La démocratie n’est pas seulement une histoire d’institution.

    La démocratie est d’essence culturelle, elle dépend intimment de l’esprit de la société qui compose l’Etat démocratique.

    cela suppose plusieurs caractères :

    - RESPONSABILITE : des élus envers les citoyens, des élus envers la Justice ; des citoyens envers eux-même, responsabilité politique de lutte contre la tyrannie.

    - SINCERITE DES INSTITUTION : cela signifie que le mensonge d’Etat doit être considéré comme un crime de haute trahison passible de la peine capital ; cela signifie la fin de la solidarité gouvernementale, et l’eviction des brebis galeuses (au regard de la loi) sans sentiments.

    - LIBERTE : la bonne démocratie n’est pas le règne de la majorité contre une minorité (ou l’inverse), la loi doit pouvoir laisser le choix au citoyen dans le maximum d’aspect de sa vie possible (ex a contrario : les obligations légales de contracter, genre assurance) ; la loi ne doit pas régire toute la vie des citoyens (et des entreprises). la loi ne doit pas sanctionner le citoyen lorsqu’il ne cause pas de préjudice (exemple : le fait de ne pas porter de ceinture de sécurité). cela suppose d’abroger certaines lois contraires a ces principes.

    - INDEPENDENCE DE LA JUSTICE : vue ce qui précéde, et que la loi n’a pas a tout régire, il convient de dire que le Juge devrait avoir davantage de marge de manoeuvre pour régler les litiqes en ce fondant sur la Constitution, les Traité internationaux, la jurisprudence. la loi n’a pas a envisager chaque cas de litige.

    - SOLIDARITE : sans tomber dans l’assitanat ; aider les plus démunie ; l’Etat doit mettre en oeuvre tout les moyens dont il dispose pour permettre au entreprises, de naitre et de se développer, cela suppose une infrastructure économique de base fiable (réseau de transport, santé, education) accesible a tous et au moindre coût. Soit mutualisé (dans un cadre public ou privé) les activité ne supportant aucun (ou peu) risque d’entreprise. cela suppose aussi la fin de la catégorisation strict des personnes (exemple le contrat sénior, cpe, distinction arbitraire PME/grand entreprise pour régime fiscale, ou syndical), qui n’est qu’une forme de frustration pour ceux qui en sont exempts, ce qui renforce les antagonismes betement.

    - FIN DES CORPORATISMES : on peut citer B. Mussolini « Le Fascisme devrait plutôt être appelé Corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’état et des pouvoirs du marché. » (genre Traité européen) En realite, cela implique donc une séparation stricte, dans leur fonctionnement, entre les institutions d’Etat et les entreprises, cela n’interdit pas la coopération.

    Cela suppose aussi une indépendance dans le fonctionnement de l’Etat, et des lois qu’il souhaite appliquer sur son territoire, sans courrir le risque de se voire menacer de sanctions par un autre Etat. un sociéte démocratique doit aussi avoir le levier de son action notament comme le stipule, par exemple, la constitution US « Le Congrès aura le pouvoir De battre monnaie, d’en déterminer la valeur et celle de la monnaie étrangère,.. » (section 8 article 5).

    Sans cela, toute promesse politique n’est qu’une coquille vide, crier par des bralliards incompétents, et impuissants.

    La démocratie doit resplendire mais le chemin est long et ardu. la bureaucratie, l’inflation législative étouffe le citoyen. Paradoxalement, une meilleurs démocratie demande peut-etre moins de loi, mais plus efficientes.



  • DG. Damien G. 12 août 2006 15:36

    « elle utilise une matière première qu’elle transforme »

    en fait, c’est plus un processus juridique, contactruel, et comptable qu’une « transformation » économique au sens strict.

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