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BAERTJC

Producteur de bouteilles à la mer, pluridisciplinaire ,dans les secteurs d’application de la sureté de fonctionnement des systèmes technico-humains.
Diplomé de l’expèrience de terrain auprés d’administrations et d’organisations internationales, européennes et nationales en charge des activités de la Recherche et de l’Innovation , de l’Energie, de la Santé ,de la Défense, de la Sécurité, des Transports, de l’Education et de l’enseignement supérieur,de l’Environnement, du Sport et des activités socio-culturelles éducatives.

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Derniers commentaires



  • BAERTJC 4 juillet 2007 07:19

    Vou avez ,appremment gardé les pieds sur terre. Félicitations !Même si d’un certain côté le 1er Ministre engage les français à s’élever d’avantage , il faudra bien des gens comme vous pour le ramener sur terre. Il vole trop haut le nouveau 1er en tout !



  • BAERTJC 4 juillet 2007 07:14

    Tout d’abord cette TVA sociale c’est TRICHER. En effet c’est transférer des fonds du Trésor public dans des caisses privées de la Sécurité Sociale. On sait ce que cela donne au pays de la « débrouille »,cette fameuse idée d’économie mixte. Secundo, l’augmentation de la TVA va de facto renforcer l’attractivité pour les fraudeurs à la TVA. En France Monsieur François Coppé ex Ministre du Budget a admis publiquement en Février 2007 que la fraude à la TVA non payée par les entreprises s’élevait à 11 Milliards d’Euros/an pour le trésor public français. Si donc la TVA augmente, mécaniquement ce montant de faude (qui n’est pas que française, mais européenne) va donc s’accentuer. S’agissant du travail dissimulé, l’attractivité renaîtra, notamment dans le bâtiment pour les travaux de rénovation et là deux écueils se présentent : évanouissement de la collecte de TVA et marché de l’emploi en perte de vitesse. Enfin pour les entreprises le retour au sans facture et fausses factures redeviendra à la mode pour espèrer garder des clients hexagonaux . Tertio, mécaniquement tous les prix vont donc augmenter même si le gouvernement, comme d’habitude, fera des exceptions pour certaines activités qui de ce fait vont faire l’objet de détournement d’objet social : exemple si la TVA social ne s’applique pas sur le café vendu aux collectivités,des petites épiceries qui seraient soumises à la TVA sociale s’approvisionneront en douce auprès de collectivités pour augmenter leurs marges. Décidement rien n’a changé, plutôt que de s’attaquer à la fraude sur les comptes sociaux,à la fraude aux Assedic,à la fraude fiscale, qui ,globalement représentent plus de 100 milliards d’Euros /an de manque à gagner pour le trésor public et les comptes sociaux,on préfére la fuite en avant de la msie en oeuvre d’une usine à gaz dont personne ne sait comment elle vieillira ! Rappelez -vous la vignette automobile destinée aux « vieux » ! Le syndrome FBI (Fausse bonne idée) a gagné la France et les français y perdront à coup sûr. Si c’est cela l’intelligence prônée par le 1er Ministre, au secours !!!!!!!!



  • BAERTJC 23 avril 2007 16:39

    Puissiez-vous être entendue ?! Mais voilà, au pays de c’est go l’haine, de la frime, de la triche et du fric,on adore les minorités...il paraît que cela rend plus fort. Donc ,toutes les éoliennes politiques de nouvelle génération vont chercher le vent et rien ne dit qu’à ce jeu de « cons » ,les premiers ne seront pas les derniers !



  • BAERTJC 18 avril 2007 15:57

    Votre inclinaison pour les mesures FB sont vraiment consternantes. Voir l’étude rendue par vos concurrents spécialistes de l’économie

    Zoom sur la mesure fétiche de Bayrou

    La mesure Bayrou, 2 emplois sans charges :

    un gâchis d’argent public sans grand effet sur l’emploi.

    François Bayrou a frappé le public par une mesure à grand spectacle : permettre à chaque entreprise d’embaucher 2 emplois nouveaux sans charges sociales. Sous-entendu, compris par presque tous les auditeurs : 2,5 millions d’entreprises françaises à 2 emplois, cela fait 5 millions ; le chômage est résorbé. En fait, un chiffrage de cette proposition, confirmé par l’UDF, montre qu’elle générerait au maximum 900.000 emplois supplémentaires en 5 ans mais au prix d’un gâchis d’argent public formidable : pendant le même temps, deux millions d’emplois, qui auraient été créés de toutes façons (1), bénéficieront en effet de la mesure. D’après l’UDF, environ 18.000 € d’argent public perdu par emploi créé alors qu’il est possible de créer des emplois sans dépenser d’argent et au contraire en en faisant rentrer dans les caisses du Trésor. Mais la mesure Bayrou souffre d’une autre malformation : elle ne crée pas d’entreprises, elle utilise seulement le réservoir d’emplois non pourvus par les entreprises par crainte de ne pouvoir licencier. Une fois ce réservoir épuisé, la pompe à créer des emplois s’arrête. Et elle n’utilise même pas complètement ce réservoir : d’après nos enquêtes statistiques, moins de la moitié. Nous avons besoin d’une autre politique. Il nous faut d’abord remplir le réservoir des emplois non pourvus, mais 2 millions et pas 900.000, et sans dépenser un sou d’argent public. Il nous faut simultanément créer les entreprises qui nous manquent et qui se traduisent par un retard de 5 millions d’emplois non créés dans les 20 dernières années sur les Anglais. Cette mesure Bayrou est un attrape-mouche ; espérons que les Français n’y viendront pas s’y coller.

    Analyse

    La réduction d’une partie des charges sociales associées à l’embauche de 2 nouveaux salariés est une façon habile de contourner les obstacles aux licenciements du Code du Travail qui sont la raison pour laquelle les entreprises françaises se retiennent d’embaucher environ 2 millions de salariés. Le calcul d’un employeur sera en effet le suivant : "si j’embauche et suis obligé de licencier mon salarié au bout de 2 ans, cela me coûtera au moins 6 mois de salaire ; plus au fur et à mesure que le temps passe. Mais si j’ai économisé sur les charges sociales (tous calculs faits, environ 20% du salaire total), en 2 ans, cela me paie à peu près le coût du licenciement. Et si le marché me le permet, je garde un salarié formé. Je ne risque donc rien à embaucher".

    Les limites du nombre de création d’emplois par ce mécanisme sont assez faciles à évaluer. Les expériences étrangères, notamment danoises, et deux enquêtes statistiques menées en France par l’iFRAP ont montré que les emplois bloqués par la crainte des employeurs de ne pouvoir licencier en cas de retournement de conjoncture sont de 12% des 18 millions d’emplois marchands existants, soit environ 2 millions. Les mêmes enquêtes montrent que la mesure Bayrou toucherait seulement 45% de ce total, les autres 1,1 millions étant dans les entreprises qui seraient disposées à embaucher plus de 2 personnes si les restrictions aux licenciements du code du Travail étaient supprimées. Ce chiffre maximum de 900.000 est d’ailleurs en harmonie avec les évaluations de l’UDF qui situent l’effet de la mesure entre 87.500 et 140.000 emplois créés par an pendant 5 ans, soit au total de 437.000 à 875.000 emplois maximum.

    Un énorme gâchis d’argent public.

    La mesure Bayrou est un double gâchis : Il est possible de récupérer non pas 875.000 ou 900.000 emplois mais 2 millions en ayant le courage politique de faire ce que les Danois ont fait : permettre à de nouveaux embauchés de choisir entre les contrats CDD et CDI existants et ce que nous avons appelé le contrat CAPE (Contrat d’Accès au Plein Emploi), l’acceptation optionnelle par le nouvel embauché de ne pas s’opposer à un licenciement sauf pour des motifs dont la liste est à définir (harcèlement sexuel, etc. (2)). En contrepartie, le signataire du CAPE bénéficierait en cas de licenciements d’allocations chômage et de durée de couverture chômage fortement augmentées, le produit des deux étant approximativement doublé. La réduction du chômage a permis à la fois de payer ce doublement au Danemark et de renflouer les caisses chômage.

    Deuxième gâchis : pour récupérer seulement au maximum 140.000 emplois par an, il faut arroser du bénéfice de la mesure chaque année environ 3 fois plus d’emplois : 400.000 emplois qui se seraient créés de toutes manières mais qui vont sauter sur l’aubaine. L’Institut de l’Entreprise a calculé et l’UDF confirme que cette mesure coûterait au total 3,3 à 4,3 milliards d’euros en année pleine, une fois déduits les rentrées de TVA, d’IS, etc. issus de ces créations d’emplois. C’est aussi mauvais comme rendement de l’argent public que la plupart des mesures prises depuis 20 ans et qui nous ont laissé avec le chômage que l’on connaît. Alors qu’il est possible de faire beaucoup mieux et ne rien coûter à l’Etat en créant des emplois. C’est ce qu’ont fait les Américains avec les sociétés dites Suchapter S. nous pouvons le faire en France avec des mesures de même inspiration comme l’ISF-emploi.

    (1) : Il se crée en France tous les ans environ 500.000 emplois nouveaux, dont 350.000 dans des créations d’entreprises. En se limitant à deux emplois par entreprise et aux entreprises de moins de 50 personnes, ce sont 400.000 emplois qui se seraient de toutes façon créées qui bénéficieront de la mesure soit un effet d’aubaine touchant 2 millions de personnes en 5 ans. (2) : Ni la législation ni la jurisprudence ne sont parvenues à définir le « motif réel et sérieux » visé par les articles 122-14-3 et suivants du Code du Travail et la Cour de Cassation se perdait encore récemment en conjectures sur le sens à lui donner ; ce serait l’occasion d’en dresser une liste.



  • BAERTJC 18 avril 2007 15:33

    la France de c’est go l’haine,on la sent bien dans son désir de frime, de triche et de fric. Peu importe si les français et les françaises sont en majorité des sinistrés intllectuels précoces d’une machine éducative défaillante mue à l’énergie PS multicolore , on aime se gargariser des phrases venant d’hommes ou de femmes qui sont pour la plupart hors jeu puisque disparus et que ce triste état ne leur a pas donné le pouvoir de vivre avec notre temps. Appliquer des cittions sorties de leur environnement c’est le pari de l’éolienne politique de nouvelle génération qui voudrait ressembler à Edgard Faure, maître es-girouette et linguiste de l’Assemblée nationale consommé !

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