Buzzcocks

@Ruut
Pendant ce temps là un viticulteur du Cognac annonçait que pour faire le sale boulot de ramasser le raisin, il ne trouvait que des espagnols car les « de souches » ne veulent pas se casser le cul... ils préfèrent voter FN et attendre que l’état les aide tout en maudissant les bicots qui prennent leurs emplois qu’ils ne veulent pas faire.

@La Dame du Lac
Vous êtes bête à pleurer.... 99% des victimes de daesh sont des musulmans (chiites, kurdes, turkmènes, alaouites).
Pour votre culture, il fut un temps, où les juifs d’europe se réfugièrent dans les pays maures pour fuir les persécutions des chrétiens. Au moyen age, quand les rois chrétiens imposèrent la rouelle aux juifs, ils migrèrent vers les califats d’espagne.
Donc bon, selon les époques, les religions sont plus ou moins tolérantes, et dans l’ancien testament, on retrouve à peu près les mêmes messages guerriers que dans le coran, sans que vous trouviez le besoin de nous en faire une lecture syntaxique.

C’est effectivement une réforme comptable... on n’a plus une thune, donc le but est bien de baisser les horaires afin de supprimer des postes. La droite a fait la même chose en supprimant l’histoire en terminale S.
Après, je vois bien une solution, est ce que les profs de maths qui constatent cette baisse du niveau, conséquence d’une baisse du volume horaire, sont prêts à ne plus travailler 18 heures par semaine mais 20 ?
On peut déjà commencer les agrégés, j’ai justement un cousin agrégé en maths, il officie en .... collège... 15 heures par semaine.... est ce normal ? On gagnerait combien de postes en remettant les agrégés au niveau des certifiés ?
Mais je rêve... il y aurait une révolte dans la rue.

@Spartacus
Un cyclone, ça détruit du capital, c’est donc super pour la croissance... comme pour la nouvelle orleans, le fait de reconstruire la ville rasée, ça donne du boulot et ça booste le PIB. Donc vive les cyclones et les typhons.

@Spartacus
Le capitalisme empêche donc les cyclones de se former mais visiblement pas les hangars de s’écrouler sur la tête des ouvriers.