Bravo pour votre interview qui résume parfaitement l’état de la littérature de l’imaginaire.
Vive la science-fiction qui reste l’un des rares domaines de reflexion dans ce bas monde si mercantile et abrutissant.
Mais qui s’attaque à l’imaginaire ? et pourquoi ?
Certains ont-ils des plans pour le futur ? Quels sont leurs objectifs ?
Imposer l’existant (au contraire de l’imaginaire) permet-il de mieux contrôler les gens ?
Sommes-nous tous condamnés à devenir des machines, au profit d’un petit nombre de profiteurs ?
Est-ce que je deviens complétement parano ?
La vision du futur ne peut-elle être que noir ?
Les livres sont-ils nécessaires à notre liberté ?
La connaissance peut-elle se passer d’apprentissage et de reflexion ?
La sience-fiction ne serait-elle pas notre seul moyen de penser ?
Si le futur est notre seule alternative, alors... Engouffrons-nous dedans sans plus attendre !
"...promouvoir la coopération paneuropéenne en recherche, coordonner les ressources publiques (en personnel, budgets et équipements), et favoriser les interactions entre l’éducation, la recherche et l’innovation, tant dans le secteur public que privé."
ça c’est une réelle avancée et j’espère que les mesures seront à la hauteur des mots.