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Ciriaco

Ciriaco

L'époque, c'est l'histoire du feu de bois. Vital et donné à tous pendant 3 millions d'années avant que ce soit d'autres qui coupent le bois et que les ennuis commencent.
Je suis un homme de feu de bois et je n'aime pas qu'on me le coupe.

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  • Premier article le 22/09/2012
  • Modérateur depuis le 26/01/2017
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Derniers commentaires



  • Ciriaco Ciriaco 17 mars 2020 19:21

    Excellent smiley



  • Ciriaco Ciriaco 8 octobre 2018 11:22
    Un complément intéressant (témoignage d’une ex-député EELV, après qu’elle ait quitté cette fonction).

    Une entrée dans les instutitutions est nécessaire pour le fonctionnement démocratique, et vous faites bien de rappeler qu’elle serait saine vue les conditions sociologiques de ce début de siècle. Mais ce n’est pas suffisant : car nous avons besoin, collectivement et en rapport aux problèmes qui s’annoncent très sérieux dans les temps qui viennent, d’une ouverture de la fenêtre politique aux alternatives sociales et économiques.

    Vous parlez de peuple. En France, un mouvement (la FI) se propose d’être un initiateur de cette transformation ; tous ces points programmatiques s’appuient sur cette volonté. De quoi sommes-nous collectivement capables ? Agir par seul intérêt, constester sans y croire, se replier sur l’identité ou prendre de la hauteur.


  • Ciriaco Ciriaco 6 octobre 2018 13:46
    Diable, qu’est-ce que la pensée du plus-que-parfait ?

    Perso je prendrais avec plaisir sur mon « Congé Individuel Formation » - blague du temps politique - pour avoir des cours de français en entreprise.

    On juge à peu près tout le temps qu’une fois la formation de base faite selon les principes de l’école, les bases sont acquises, un peu à la manière dont on jugerait par ce silence qu’elles ne sont nécessaires que selon l’efficacité que l’on a rendre dans le métier.

    L’entreprise et le patronat jugeant qu’ils sont meilleurs gestionnaire en tout, je leur proposerais bien de réfléchir à cette question, où ils sont, comme pour d’autres, confortablement absents.

    J’en parlerai au représentant du personnel de ma boite du moment, même si je crains à cette occasion de passer une nouvelle fois pour le vilain petit canard.

    Merci pour cet article !


  • Ciriaco Ciriaco 4 octobre 2018 08:23

    @Paul Leleu

    Vous avez décelé que je tiens dans une ontologie particulière le fait poétique ; je ne suis pas le seul. Ce qui n’est pas contradictoire avec la réalité des classes sociales, l’exploitation, l’expression de caractères de domination mis en valeur par l’ordre économique.

    La domination et l’ordre sont socialement construits. Je tiens la poésie pour un autre rapport au monde, dans une construction alternative, et au plus proche. Un élément sérieux d’opposition (et non exclusif) en ce sens qu’il prend ses racines jusque dans la dialectique de la réalité et de la perception et dont il n’est rien de dire que s’il aiguise la conscience en plus, il n’est pas fondé pour établir de la domination sociale et de l’exploitation, mais pour se coller à la présence des autres (lorsque ce ne sont pas des brutes) et du monde (lorsqu’il est vivable).


  • Ciriaco Ciriaco 4 octobre 2018 00:48

    @alinea

    Je l’avais lu avec intérêt. Hormis qu’on choisira toujours le fonctionnaire adéquat, par la formation et le caractère, pour accomplir les basses besognes, c’est aussi le fait d’une impuissance d’échelle : à la tête, les gestionnaires comprendront les enjeux et les chiffres, ceux-là qui leur donneront toujours raison, mais ils seront complètement étrangers à la réalité des choses.

    C’est aujourd’hui ce qui gouverne, et c’est une impasse dramatique, car ce n’est rien d’autre que le réel qui s’échappe. Cela à sa gloire, économique, mais elle pourrait être de courte durée à l’échelle historique.

    Les alertes sur le climat et l’environnement se multiplient. Je crains que les gestionnaires, englués dans leur idéologie, n’y puissent absolument rien, et qu’ils soient complètement pris au dépourvu face à des conséquences non linéaires et très rapides.

    La communauté humaine serait raisonnable, les progrès technologiques et les techniques économiques (mondialement développées, il faut le souligner, pour réduire le risque économique des échanges, ce qui reste d’ailleurs à prouver avec les bulles inflationnaires - et non pas pour une utilité lucide) nous serviraient à quelque chose.

    Ce n’est pas faute, et depuis longtemps, de l’avoir souligné à qui sait entendre.
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