Colza Il y a moins de mépris à notre égard que n’en n’ont eu jusqu’à présent les instances dites responsables. Déjà, faire appel et référencé notre cas, c’est pour nous, faire un pas vers la reconnaissance de notre condition par les médias et de là, vers le public. Ne pas nous avoir demandé notre autorisation, ce n’est pas grave car nous non plus ne l’avons pas demandé à ces petits martyrs....
La grande échelle n’est pas de prévoir
obligatoirement une centrale précise. Actuellement beaucoup de fermes
s’autosuffisent, reste la modifications sur leurs propres engins. Pour ce
qui est des animaux au pré, seul un pourcentage de l’ordre d’un tiers l’est. Le
reste du bétail compte tenu de l’hivernage, se trouvant quant à lui en stabu,
donc sur place et sur son fumier par couche successives, ce qui, il faut
l’avouer réduit le curage à une fois l’an réduisant par la même le charroi tel
qu’on le connait pour la betterave sucrière dont l’utilité elle reste à
démontrer.... Les fermes ne sont pas obligatoirement isolées et
pourraient pourvoir à l’alimentation en énergie de tout ou partie d’un
village qui avec l’aide d’un isolement adéquat de ses habitations deviendrait
indépendant. Pourquoi pas ?
Bien que sans connaissance approfondies des systèmes que vous proposez j’y adhère pleinement, surtout au méthane. Mais nous sommes dans une société qui affrête des bateaux pour aller jeter en mer le cuir et importons du pétrole pour fairedes chaussures ou des vêtements acryliques. A quand le retour du cahier des charges de richelieu optimisant la qualité au profit (draps d’Elbeuf etc...), quoique, normalement l’un découle de l’autre s’il y a respect du travail bien fait.
Je ne suis pas attiré par les idées en avance
sur leur temps, mais cette idée est bonne.Toutefois le séchage naturel serait
plus économique me semble t-il ? Ce qui me gêne dans le nucléaire c’est le
manque de maitrise et de sécurité par faute de volonté, les moyens nécessaires
sont détournés au profit des actionnaires. En quelque sorte un effet
inversement proportionnel au but avoué, à savoir, la sécurité au top, nécessaire
à une pareille entreprise. Avec l’annonce du journal le monde relatant que
la France ne maitrise même pas la construction des centrales qu’elle vend de par
le monde et qu’au moins sur deux de celles-ci, la fin de construction a été
retirée à la France pour être assurée par des étrangers(Russes et Américains)
avec les fonds d’EDF condamnée à de lourdes pénalités. Comme quoi le cocorico ne
s’entend qu’en France mais surtout pas à l’étranger et encore moins dans ce
domaine. Les éoliennes ne sont pas encore assez puissantes.
Comme d’habitude cinq étapes dans le cycle d’un
système. - La première, faite sur des fonds privés avec des pauvres gars qui
y croient et se faisant, s’appauvrissent. - La seconde, des l’amorce d’une
réussite des premiers, spoliations, récupérations à bon prix de leurs travaux
par des chevaliers d’industries. - La troisième, sans investissement ou si
peu, revente à très bon prix d’un produit fini qui ne demande qu’à faire ses
preuves. - La quatrième, l’exploitation normale avec développement du produit
et de sa commercialisation. La réussite avec vente d’une entreprise gagnante. -
La cinquième, pour la baisse des coûts d’exploitation, trouver des astuces peu
importe la direction, le carnet des charges et les engagements donnés concernant
le personnel, les produits utilisés d’ou abandon de l’étique au nom des
« actionnaires ».