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cniko

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  • cniko 9 juin 2020 19:46

    @Alcyon
    On le sait que la première étude a été très critiquée, la seconde beaucoup moins, et les résulats sur ples de 3000 patients encore moins.
    Effectivement il semble y avoir des problèmes de méthodes sur le premier papier de Raoult.
    Par contre les autres arguments, sur les dates par exemple, ne valent rien, vous ne semblez pas avoir lu correctement.
    Et vous ne faites pas références aux éléments sur la dangerosité, ni à l’étude des 8 cas en France. Ensuite, l’étude Brésilienne est bien enregistrée en tant que telle. Alors certes ils ont donné le médoc en télé-médecine, mais ils ont eu moins de patients hospitalisés dans le groupe traité que dans le groupe doliprane.

    Votre mauvaise foie me fatigue. Ces médecins traitent leurs patients, et ont visiblement de meilleurs résultats que ceux qui attendent le samu.

    Car votre argument, c’est surtout de dire qu’il ne faut pas prendre le traitement car ce serait dangereux. Mais tout va dans le sens de son innocuité et d’un très probable effet positif (lorsque pris à temps). Pourquoi cette opposition dogmatique ?



  • cniko 9 juin 2020 17:28

    @CoolDude
    Les trolls de service vont nous dire que comme ça vient de l’IHU c’est du fake. A chacun de voir s’il fait confiance au Docteur Véran ou au Professeur Raoult au final... 
    C’est juste que je n’arrive pas à comprendre le schéma de pensée qui permet de remettre en cause toutes les études réalisées sur les traitements en début de maladie, pour mettre en avant ceux qui appliquent le traitement trop tard. 

    D’autant qu’il ne s’agit pas de dire que l’hôpital a fait n’importe quoi, mais d’exprimer un doute certain quand aux décisions prises par les instances et comités. Pour ma part je suis persuadé que les médecins hospitaliers ont fait ce qu’ils ont put mais plusieurs décisions politiques posent question : 

    • Pourquoi les décisionnaires se basent sur les études « tardives » et non sur les études réalisées avant de rentrer à l’hôpital ?
    • Pourquoi les cliniques privées ont elles été si peu utilisées alors qu’elles avaient les compétences et les ressources ?
    • Pourquoi transférer les patients à l’autre bout de la France et pas en clinique privée
    • Pourquoi les personnes en EPAHD ont elles été ainsi méprisées, ne pouvant rejoindre l’hôpital à la moindre suspicion de Covid, avec des personnels sans matériel, et aucune procédure dès le départ pour les protéger plus que les autres ?
    • Pourquoi faciliter l’application de traitement palliatifs (Rivotril), sans l’accord des malades et parfois seulement avec une télé-consultation au lieu d’essayer de les soigner, ce d’autant plus quand l’épidémie circulait dans un établissement ?
    • Pourquoi les médias sont ils si prompts à parler des études n’allant pas dans le sens du traitement et de l’autre côté taisent les études ?
    • Pourquoi a t’on interdit aux médecins d’agir en leur âme et conscience et leur interdisant d’appliquer un traitement, ce que certains estiment comme non constitutionnel ?
    • Comment est il possible qu’un éditeur de revue scientifique puisse avoir le même actionnaire qu’un laboratoire (cf BlackRock, actionnaire de Gilead et Lancet) ?
    • Pourquoi nous alerte t’on sur la grande dangerosité d’un médicament ultra connu et prescris dans des conditions strictes alors que la mortalité du Covid semble bien plus le souci ?
    • Comment faire confiance à l’agence du médicament quand on voit le scandale Servier ?
    • Comment faire confiance à Lacombe ou DelFraissy compte tenu de leur liens d’intérêts avec Gilead ? (là j’ai une réponse, M. Drahi, qui détient BFM est aussi actionnaire de Gilead...)
    • Comment faire confiance à Véran (pour l’ensemble de son oeuvre) ?


  • cniko 9 juin 2020 16:35

    @Alcyon
    En dehors des dénigrements, je ne vois aucun argument solide dans vos propos.
    Selon vous toutes les études qui vont dans le sens d’une certaine efficacité sont soit « LOL, truquée (sur quelle base ?), illégale, sauvage », puis s’en suit une bouillie de mots, de propos injurieux, du tutoiement, des raccourcis à l’emporte pièce.

    Je vous invite à participer à une étude sur les origines congénitales de la bêtise, je suis certain que la science aura beaucoup à apprendre en vous étudiant



  • cniko 9 juin 2020 14:59

    Si quelqu’un en a le temps et les compétences, il serait intéressant de faire le lien entre les différentes études publiées en montrant les éléments suivants : POur ou contre le traitement / préciosité d’utilisation / titres dans les médias / Soutients affichés (avec leurs conflits d’intérêts) / critiques de l’étude / détracteurs (ici aussi avec leurs conflits). 

    En essayant d’être objectif.

    Je vais essayer d’en faire une partie : 

    Chez les contre

    • Etude chez les vétérans US / effets néfastes / prises très tardives et méthodes largement contestée / soutenu par Véran
    • Lancet / pas besoin d’en ajouter
    • Autres études US sur des patients hopistalisés
    • Recovery sur des patients hospitalisés
    • Boulware : idem
    • Etude du CEA —> en comparant sur des singes... Del fraissy

    Chez les pour

    • Raoult / Pas de double aveugle (ne peut on comparer avec les cohortes de gens non traités ?)
    • institut Pasteur au Sénégal (pas de double aveugle mais des résultats dans la gestion de l’épidémie) + une partie en randomisée
    • Algérie (pas une étude mais une épidémie qui semble être sous contrôle)
    • Etude des 88 cas en France
    • Etude Indienne
    • Le résumé ici : https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586

    A ce jour, je n’ai trouvé aucune étude fiable démontrant la toxicité du traitement préconisé, bien au contraire, éventuellement des mises en garde mais sans contexte et sans étude précise. Plusieurs séries d’études à travers le monde, lorsque le traitement est donné en première intention semblent démontrer un bénéfice pour les patients.

    Les études « contre » sont fortement médiatisées, là où la plupart des « pour » sont passées sous silence. 

    En conclusion, il est démontré que le risque de cette bi-thérapie est négligeable, que son bénéfice n’est pas quantifié mais semble être concret d’un point de vue empirique. Nous avons donc un bénéfice constaté sur un risque quasi nul (sous réserve de le prendre dans les conditions adéquates). Comment justifier encore le refus de cette posologie, et pire en interdisant aux médecins de prescrire en fonction de leur âme et conscience ? 

    La HAS, le conseil scientifique, Véran, l’INSERM et les ARS auront beaucoup de mal à justifier de leurs positions quand toute la lumière sera faite (si ça arrive un jour). Les médias aussi pourront être mis en cause de part leur traitement partial et incomplet. Quand à Rosmar et Alcyon : « you can bring a man to school but you can not make him think »



  • cniko 9 juin 2020 13:44

    @Alcyon
    C’est tout de même remarquable de valider les études « contre » aussi facilement que vous le faites et ensuite de taper sans véritable argument sur les études « pour ».

    Allez voir ce lien https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586

    Si vous êtes en mesure de démontrer que les arguments présentés sont falacieux ou erronés, n’hésitez pas. A défaut d’être en mesure de le démontrer (avec de vrais arguments, pas des généralités à 2 francs ou des insultes, une vraie analyse scientifique), il serait temps de vous montrer un peu moins agressif et de vous demander si finalement, entre un traitement qui fonctionne probablement et n’induit pas de risque (sous réserve d’une administration contrôlé et d’un suivi), et aucun traitement, quel est le choix le plus raisonnable ?

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