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Cyrrus Smith

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  • Cyrrus Smith 10 juillet 2007 21:58

    khtml est aussi la base de konqueror le navigateur libre du bureau KDE que j’utilise sous GNU/Linux Mandriva, en alternance avec d’autres interfaces graphiques (Icewm, XFCE, Blackbox,...)

    (Une des difficultés du logiciel libre, c’est qu’on a le choix )

    Je ne connais pas Safari, mais Konqueror est vraiment une merveille.

    • navigateur rapide, plus que Mozilla et compagnie.
    • gestion des onglets depuis des années (pas une nouveauté de IE !)
    • gestionnaire de fichier performant et multiforme
    • client ftp
    etc..

    J’ai de plus en plus de mal à m’en passer. Konqueror devrait être disponible pour windows dans les mois qui viennent.

    Les logiciels libres, il y a moins bien, mais c’est plus cher...



  • Cyrrus Smith 10 juillet 2007 21:41

    Je comprend que l’on évoque la mixité scolaire comme solution, mais elle présente 2 inconvénients.

    a) Elle fait assumer à des enfants la responsabilité de résoudre les problèmes de société crées par les adultes.

    Les enfants de la classe moyenne ne sont pas armés pour cette confrontation avec les enfants du prolétariat, qu’il soit français ou immigrés. Les enfants de la classe moyenne sont éduqués dans l’idée que la connaissance le savoir, le raisonnement juste sont des valeurs positives, pas les enfants du prolétariat, et c’est une des principales causes de leur échec scolaire. Bien sûr ce sont des généralités. souvent fausses, mais encore plus souvent justes. Sans parler de la violence physique plus grande (pour des raisons dont je ne discuterait pas ) des enfants du prolétariat. Les enfants d’ « intelectuels » comme les stigmatisent les petits prolétaires, ont appris à résoudre grosso-modo les conflits par le dialogue et la recheche de la solution équitable, les enfants du prolétariat confondent comme leurs parents, se faire respecter et se faire craindre.

    Cette explication n’est certe pas politiquement correcte, mais ce n’est pas mon soucis. que le prolétariat se remette en cause sur ses approches du savoir, du respect, et de la négociation, et il ne sera plus le prolétariat.

    b) Des classes homogènes permettent une pédagogie plus homogène, une fois que l’on a exclus les malades désocialisés, qui n’ont pas leur place dans l’école actuelle. il leur faut des structures évidament spaciales. Quand j’ai enseigné en ZEP, ma plus grande frustration était de ne pouvoir aider les gosses qui voulaient s’en sortir par les études à cause de quelques braillards démolis par un milieu social à la Zola.

    http://www.predoenea.org/physique/college.html



  • Cyrrus Smith 10 juillet 2007 21:38

    Je comprend que l’on évoque la mixité scolaire comme solution, mais elle présente 2 inconvénients.

    a) Elle fait assumer à des enfants la responsabilité de résoudre les problèmes de société crées par les adultes.

    Les enfants de la classe moyenne ne sont pas armés pour cette confrontation avec les enfants du prolétariat, qu’il soit français ou immigrés. Les enfants de la classe moyenne sont éduqués dans l’idée que la connaissance le savoir, le raisonnement juste sont des valeurs positives, pas les enfants du prolétariat, et c’est une des principales causes de leur échec scolaire. Bien sûr ce sont des généralités. souvent fausses, mais encore plus souvent justes. Sans parler de la violence physique plus grande (pour des raisons dont je ne discuterait pas ) des enfants du prolétariat. Les enfants d’ « intelectuels » comme les stigmatisent les petits prolétaires, ont appris à résoudre grosso-modo les conflits par le dialogue et la recheche de la solution équitable, les enfants du prolétariat confondent comme leurs parents, se faire respecter et se faire craindre.

    Cette explication n’est certe pas politiquement correcte, mais ce n’est pas mon soucis. que le prolétariat se remette en cause sur ses approches du savoir, du respect, et de la négociation, et il ne sera plus le prolétariat.

    b) Des classes homogènes permettent une pédagogie plus homogène, une fois que l’on a exclus les malades désocialisés, qui n’ont pas leur place dans l’école actuelle. il leur faut des structures évidament spaciales. Quand j’ai enseigné en ZEP, ma plus grande frustration était de ne pouvoir aider les gosses qui voulaient s’en sortir par les études à cause de quelques braillards démolis ar un milieu social à la Zola.



  • Cyrrus Smith 10 juillet 2007 21:28

    Il y a un vrai problème que la gauche n’ose pas dire.

    Ce site est tenu par un citoyen clairement à la droite de Sarkozy, mais bien que me définissant à gauche, je pense que les faits décrits sont réaliste et l’analyse en grande partie juste.

    http://racismeantiblanc.bizland.com/

    On ne laisse pas venir sans cadre sérieux des millions de personnes du prolétariat ou des campagnes du tiers monde sans que cela ait des conséquences, surtout si on les entasse dans des grands ensembles.

    J’habite la campagne, et si j’encroit les histoires que j’entend sur la vie d’autrefois, les rapports étaient déjà physiques et pas forcément courtois. Concentrons ainsi une population sous instruite selon nos critères, séparée de ses mécanismes de régulation sociale, sans lui donner les moyens d’intégrer les notres, ce qui n’est pas évident, + le souvenir/justification des dégats de l’époque coloniale ou du racisme ordinaire, et on obtient en contre coup un autre racisme anti blanc. L’existence de ce racisme anti blanc est un fait.

    Quelle solution à tout cela ?



  • Cyrrus Smith 10 juillet 2007 21:22

    Au XIX siècle avant les changement Hausmaniens, les concierges habitaient le rez de chaussé, les bourgeois aisés, le 1ier étage, puis la prosperité diminuait avec le nombre de marches à grimper pour arriver aux chambres sous les toits de la vie de bohéme.

    La mixité sociale était donc réalisée par la cage d’escalier.

    Ceci dit il y a eut quand même effectivement des zones plus ou moins riches, mais les distances étaient de l’ordre de quelques dizaines de mètres entre les belles demeures et les arrières cours.

    Ce qui change actuellement c’est l’ampleur du phénomène ou ce sont des zones de milliers ou de dizaines de milliers d’habitans qui se différencient. On est à l’échelle de villes.

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