Les chinois ont trouvé la solution : une dictature communiste capitaliste.
Les inconvenients et abominations des trois systèmes regroupés au sein d’un même concept. et ils ont appelé ça République Populaire de Chine. On en rève dans les hautes sphères.
Evidemment ce n’est pas aux individus de se repentir. C’est à l’état de le faire en tant que personne morale. Car la mémoire collective est une des composantes fondamentales des nations. Comprendre ce point de vue permet de comprendre pourquoi l’esclavage est encore tellement present dans la conscience antillaise, pourquoi les rapports à la vie et au travail sont si différents aux Antilles et en métropole. D’autant plus que le rapport de force qui existait entre blancs et noirs au temps de l’esclavage s’est transmis dans les esprits au fil des générations, se transformant selon les époques. Là est la responsabilité de la France, et des Békés, qui ont de concert transformé esclavage en infantillisation du peuple Noir Antillais.
C’est vrai, car la profitation existe aussi en métropole, la vie chère, les salaires trop bas etc. Ce qui empêche les abus d’atteindre un paroxisme comme aux antilles, c’est l’application des lois anti-trust, anti-monopole.
Qui est assez naif pour croire que si les Carrefour, Casino et autres avaient le monopole de la grande distribution en métropole, leurs pratiques seraient différentes de ce qui a cours en Guadeloupe ?
Il n’y a qu’à regarder comment ces boites traitent leurs employés.
Total, qui abuse de sa position monopolistique aux Antilles par l’entremise de sa filiale a quand même réalisé 15 milliards de bénéfices cette année, en pleine crise de l’énergie, sur le dos du consommateur Français et de pays exploités , et la classe politique a salué l’excellence de ce résultat qui est un bel exemple de profitation à la française.
Ce qui se passe en Guadeloupe est facilement transposable à ce qui se passe en France. Le pourrissement du conflit répond aux mêmes mécanismes que ce qui s’est passé en métropole à chaque fois que ça a pèté dans les banlieues. Sauf qu’ici il a fallu presqu’un mois de mépris, de mascarades politiciennes, avant que ça dégénère. En Métropole, quand ça démarre, ça prend feu beaucoup plus vite.
L’état emprunte pour prèter aux magnats de l’automobile, car comme le dit sarko dernier, les caisses sont vides.
L’état fait gonfler la dette une fois de plus pour preter à des grosses entreprises privées du cac40 qui soit n’en ont pas réellement besoin, soit sont au bord du gouffre, crise mondiale dévastatrice oblige.
Exercice périlleux que de preter à une entreprise en difficultés. Quelles sont les garanties ? A-t-on la certitude que les prets ne seront pas transformés en subventions ?
La seule certitude est que le contribuable aura à rembourser cette dette, lui ou ses enfants, et en double de surcroit, car c’est lui qui achète les bagnoles.