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Dominique LIN

Dominique LIN

Né à Paris, je vis en Vaucluse depuis plus de 30 ans. Mais comme ils disent ici, si tu n’es pas allé à la communale, tu n’es pas d’ici… je resterai donc un étranger.
 
Si beaucoup de Provençaux ont « émigré » à Paris pour des raisons professionnelles, j’ai fait le chemin inverse par choix de vie.
 
En dehors du travail, je consacre mon temps à ma famille, la musique afro-cubaine et surtout à l’écriture. J’ai écrit deux romans, parus chez Elan Sud, Toca Léòn ! et La grande Borie. D’autres romans sont en cours.
 
Je suis secrétaire de 2 associations :
• Expressions Littéraires Universelles : promotion et animation autour de la littérature
Une des actions d’ELU est le prix Première Chance à l’Écriture, concours de manuscrits avec un contrat d’édition en bonne et due forme à la clé !
 
• Editer en Vaucluse (association des éditeurs du Vaucluse) : soutien à la profession, mise en commun des actions, fédération des énergies.
 
Pour le reste, je fais comme tout le monde, je vis en essayant de garder les yeux ouverts sur un monde qui change très vite et dont les valeurs fluctuent dans tous les sens
 

Tableau de bord

  • Premier article le 12/03/2008
  • Modérateur depuis le 22/04/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 15 51 251
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Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Dominique LIN Dominique LIN 20 août 2009 17:05

    Si certains ne sortent jamais sans elle…, leur carte bancaire (pour ne pas citer de marque), je ne pars jamais sans quelques feuilles et un stylo, des fois que la vie m’offre un peu de temps.
    C’est ce dont on manque le plus



  • Dominique LIN Dominique LIN 20 août 2009 16:41

    Bonjour
    Comme quoi, il n’est pas bon de crier au loup… sans être allé au fond des choses…
    Merci de votre commentaire et d’avoir relevé l’incohérence, il fallait lire (j’aurais dû écrire) :

    Il suffisait d’attendre pour que le temps passe, laisser faire.
    J’évoquais dans cette phrase le fait que les lecteurs étaient venus et que j’avais pu officier en tant qu’auteur.

    Comme vous le relevez si bien, ce n’est pas un publi-reportage, mais un billet écrit « sur le tas ». J’ai profité du temps qui m’était offert pour continuer d’aiguiser ma plume.
    Les « petits » auteurs, les inconnus, sont obligés de viser l’excellence car c’est leur seul arme, contrairement à certains qui remplacent le style par l’effet médiatique.
    Peu importe, j’aime écrire, et, faute d’en vivre, j’en jouis !



  • Dominique LIN Dominique LIN 20 août 2009 15:44

    Chacun peut regarder le monde comme il veut, ce n’est pas ce qui le fera changer. Accepter les réalités est un pas vers la sagesse…
    Quand on est édité, c’est déjà une chance. On croit qu’on va bouleverser le monde, refaire l’histoire, mais, au bout du compte, on comprend qu’écrire est un chemin, qu’il est question de construire ce qu’on espère, un jour, être une œuvre, et que la route est longue.
    Soit on se bat contre les moulins et on oublie l’expérience d’un certain Don quichotte, soit on profite du chemin, de l’apprentissage de l’écriture, et alors seulement, on peut grandir pas à pas.
    Chaque instant est une opportunité, pour écrire, pour accepter, pour participer à une aventure qu’on peut partage avec les autres. L’important est de garder son humour, un peu de recul et une once d’imagination.
    L’ingratitude de ce monde n’implique pas qu’il faille vivre comme un ingrat.



  • Dominique LIN Dominique LIN 5 août 2009 11:13

    @ Paul : Vous avez tout compris. Les escapades comme celles-ci aèrent l’esprit, ravigottent les zygotes, frères jumeaux ou sœurs jumelles de notre être qui a tant besoin de vivre !

    @ plus que Robert : Les Cévennes et ses habitants vivent toute l’année, je vous rassure, les portes ne se referment pas. Mais ils vivent à un autre rythme, avec d’autres plaisirs, plus simples, moins bling bling.

    @ brieli67 : si vous voulez vous joindre à la ronde, contactez l’asso, les conteurs changent en partie chaque année
    http://www.contes-al-pais.org/



  • Dominique LIN Dominique LIN 4 août 2009 11:01

    Cette marche des conteurs va plus loin que des hommes « accrochés ». Parmi ces 30 nomades du mot, il y a des Canadiens, Belges, Marseilllais, Ardèchois, Parisiens, Algériens, … et des locaux.
    Chaque conteur ne reste que 2 années de suite maximum pour laisser la place à d’autres.

    Leur démarches est originale. Pas d’argent à donner, pas de vente. Ils sont reçus de village en village. Si quelqu’un veut donner, il peut le faire, mais la base est le partage.
    Belle expérience

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