Si vous retrouvez pas ce mél, je pourrai vous le recopier ici quasi intégralement.
Ce sujet n’est pas anodin, car on tient un exemple d’abus de confiance de la part des « responsables ». Nous citoyens bénéficions du secret sur nos données, ce qui est a priori une condition pour exercer notre libre arbitre. Mais quand il nous revient, de la part de ceux qui sont autorisés à les consulter, une présentation fausse des données contenues dans les fichiers, il faut commencer par s’interroger. Puis se poser la question des bonnes pratiques avec l’informatique.
De débats précédents je retiens que la confiance, celle qu’on accorde à celui qui détient nos données, devrait être réservée à des individus physiquement accessibles. C’est un peu vouloir revaloriser la parole.
N’empêche qu’Epicure ne me dit pas de quoi avaient été faits les atomes plus que parfaits dont j’étais fait du temps où j’étais un Dieu, ni comment ils se sont dégradés en atome presque parfaits dont on parlera à l’imparfait après ma mort. Pas sûr que le Dieu Chronos soit présent en diachronie.
Avez-vous le projet de mettre évidence le résultat de votre travail (en collaboration avec P.Chaillot) qui montre bien qu’il ne faut pas laisser aux politiciens l’art de présenter les statistiques ?
Je vous ai fait un mél à l’adresse que vous indiquez, peut-être que vous la consultez peu.
Ben moi j’ai lu votre réponse, et même les précédentes. Vertu du hasard qui semble dicter à quelles conversations vous vous mêlerez selon l’instant qu’il choisit pour vous connecter.
Il semble que le schéma hasard-nécessité convienne à @freddo. Utile pour combattre les anciennes superstitions, ce modèle a du mal avec un mot aussi simple que responsabilité.
Désormais, faut-il parler de nos irresponsables politiques ? Il faudra m’expliquer qu’une certaine unanimité à travers le monde provient bien du hasard qui dicterait leurs choix.