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  • Effix 1er octobre 2007 23:26

    « a l’epoque on etait pas au courant des radiation solaire, si il y avait eu une eruption solaire quand les équipages etait dans l’espace ils n’auraient pas survecu, donc si on refait une navette il faut des blindages ce qui augmente considerablement le poid et donc le prix. »

    On était au courant de l’existence des radiations solaires. Mais par contre les missions étaient beaucoup plus courtes que celles vers Mars (de l’ordre d’une semaine pour les missions Apollo tandis qu’on parle en années pour aller sur Mars). Le risque sur une semaine est beaucoup moins important que sur des années, et étaient donc acceptables (à noter que les astronautes d’Apollo emportaient des instruments pour mesurer la quantité de radiations qu’ils recevaient).

    Sinon vous vous alarmez parce que il n’y a pas eu beaucoup de nouveaux modèles de fusée depuis 50ans. Mais c’est vrai dans bien d’autres domaines. Dans l’automobile la plupart des principes ont quasiment un siècle (bien sur moteurs diesel et essence mais aussi le principe de la compression). Même en informatique, même si les capacités des ordinateurs ont une croissance exponentielle, les techniques de programmation datent pour la plupart des années 70 et il n’y a pas eu de réelle innovation dans ce domaine.

    En comparaison finalement l’astronautique a fait de grand progrès : augmentation de la capacité de mise en orbite, atterrissage de sondes sur Mars ou Jupiter (enfin dans ce cas c’est pas vraiment un atterrissage), les satellites sont capables de plus en plus de taches, l’ISS...

    Bon c’est vrai que c’est moins spectaculaire que de marcher sur la Lune.



  • Effix 20 septembre 2007 00:03

    Si c’est une bombe nucléaire on peut imaginer que l’administration US trouve une centrale dans le monde qui ai pu fournir de l’uranium : dans un des ex-pays de l’est par exemple, ou encore mieux une centrale française pour niquer ces connards de français qui ont refusé de venir faire la guerre avec nous : normal qu’ils voulaient pas venir faire la guerre contre l’Irak et le terrorisme, ils étaient dans l’autre camp.

    Mais bon les armes de destruction massive peuvent de d’autres types par exemple chimiques. Il doit bien y avoir un type d’arme qui ne renseigne pas sur son lieu de production. Au pire on crée un accident qui détruit lesdites armes ce qui prouve qu’elles existaient, mais ne dit pas comment elles ont été faîtes.

    Je sais que je semble insister et m’obstiner, mais ce que je veux montrer c’est que bien que la version officielle possède ce qui semble être des invraisemblances, la version défendue ici n’est pas logique quand on la pousse jusqu’au bout et qu’elle omet beaucoup trop de points. La différence de difficulté entre l’organisation de faux attentats et la simulation d’armes de destruction massive en Irak est clairement un de ces points au désavantage des théories alternatives.



  • Effix 19 septembre 2007 23:44

    Je rejoints Tall sur son point de vue : le gouvernement américain n’avait pas besoin de faire tomber les tours pour justifier une ou deux guerres.

    En effet les trois grandes innovations terroristes du 11 septembre sont l’attaque sur le sol américain et l’utilisation massive de civils comme moyen de destruction et l’attaque sur des infrastructures civiles (ce dernier point n’est pas nouveaux). A elles seules, ces trois « innovations » (ça me fait un peu mal d’utiliser ce terme car normalement il est connoté positivement) justifient l’entrée en guerre des USA. Et la chute des deux tours bien que spectaculaire n’a finalement eu que des conséquences modestes comparée aux attaques en elles même.

    Or j’espère que personne ne va nier l’utilisation d’avions pleins de civils pour attaquer des infrastructures civiles sur le territoire américain. Je les ai bien vu s’écraser ces avions.

    Quel aurait alors été l’intérêt de faire tomber les tours alors étant donné que le mal était déjà fait ? Pourquoi prendre le risque de compliquer un processus, avec finalement des gains négligeables ?

    Bien sûr je sais que l’on va me dire que c’est pour récupérer l’argent des assurances (j’espère que Bush n’a pas d’amis dans les assurances car là ils y ont laissé des plumes). Mais deux tours éventrées dont les structures porteuses ont été fortement fragilisées (rappel : sur les Twins Towers, c’est la façade qui était porteuse et non pas le noyau central comme sur beaucoup de buildings), les réparations auraient coûtées sans doute aussi cher qu’une reconstruction totale. Et puis il y a plus efficace pour créer de l’argent que de détruire.

    Pour ce fameux bâtiment 7, j’ai également envie de dire qu’il y a plus simple pour détruire des documents : par exemple les destructeurs de documents (je ne sais pas si cela porte un autre nom, mais je sais que le FBI et CIA ont tout à fait les moyens de s’en offrir beaucoup) ; il y a aussi le simple incendie accidentel ou même criminel très simple à mettre en œuvre et facile à dissimuler, avec aucun problème de commission d’experts. Et puis aussi pourquoi détruire des documents et en aussi grande quantité ? On peux penser pour les cacher au grand public, mais même en temps normal le grand public n’a pas accès à tous les documents du FBI et de la CIA. Donc il n’y a pas un grand besoin de détruire ces documents finalement.

    Pour en finir sur ce bâtiment 7, j’ai envie de poser une question : si au lieu de loger des bureaux du FBI ou de la CIA, celui-ci n’avait accueilli finalement que des stockages de brochures d’information pour touristes (le genre de chose qui n’intéresse personne et pas plus le gouvernement américain), et qu’il s’était quand même écroulé, serait-ce toujours par l’intervention du gouvernement américain ? Est-ce qu’on se serait autant acharné à trouver un motif à sa chute ? Est ce qu’il est impossible de trouver une explication qui n’implique pas le gouvernement américain ? Car au fond le fait qu’il abrite des documents compromettants, c’est un motif mais pas une cause. Et il est plus facile de trouver des motifs que des causes. Malheureusement ou plutôt heureusement les motifs n’ont jamais constitué une preuve.



  • Effix 19 septembre 2007 19:33

    « Il s’agit d’une operation de camouflage assez sophistiquée, suffisante pour induire en erreur les experts. D’ailleurs personne n’est expert dans l’ecroulement d’un gratte-ciel suite à un crash d’avion, puisque ca n’arrive jamais. »

    Attention à ce que vous avancez !! D’abord vous dites que l’opération de camouflage est suffisamment bien faite pour qu’aucun expert ne s’en aperçoivent, surtout qu’il n’existe pas d’experts en écroulement suite à un crash. Mais vous dites aussi que ces experts, qui n’en sont pas puisque ça n’existe pas, disent que le scénario officiel n’est pas possible et qu’ils s’en sont aperçus. Le début du paragraphe auquel je fais allusion est pour le coût très hypothétique et ne repose sur aucune preuve solide (un témoignage comme quoi on aurait vu un ouvrier travaillé de nuit n’est pas une preuve car il est tout à fait compatible avec la version officielle). Son principal caractère est de coller à peu près avec les faits observés et l’opinion de ceux qui émettent cette hypothèse. Ca ne la rend pas vraie.

    Quand au bâtiment 7, les médias en ont parlé, je me souviens l’avoir vu à la TV, mais c’est vrai que comparée aux deux autres tours c’est une information plus que modeste (pas un très gros bâtiment, pas de morts ...). Et puis si un ensemble d’explosif est capable de faire tomber un bâtiment en moins de 7 secondes en s’attaquant aux structures vitales, pourquoi un incendie n’en serait pas capable en s’attaquant aux même structures ? Le fait qu’il y ai des bureaux de la CIA ou du FBI ne change rien aux lois de la physique.

    Ce que j’essaye de pointer du doigt, c’est que la plupart des théories alternatives (il y en a plusieurs alors que en toute logique la vérité est unique) se basent sur des raisonnements du type : « Je comprends pas ce qui s’est passé, alors je crée une réponse en accord avec mes connaissances ». Mais finalement il n’y pas une seule preuve vraiment tangible du type un gars qui vient et qui dit : « j’étais un des mecs de la conspiration, à cause de moi et de mon action des milliers de personnes sont mortes, ce qui est contraire aux valeurs de mon pays. Je n’arrive plus à en dormir la nuit et j’accepte finalement de me sacrifier pour dire la vérité. » Alors que sur une conspiration qui doit réunir plusieurs centaines de personnes, il me semble impensable qu’il n’y ai personne qui soit près à témoigner même au péril de sa vie (pour satisfaire sa conscience, pour « liquider » politiquement Bush par exemple).



  • Effix 19 septembre 2007 18:39

    On peut également dire que les partisans des théories « alternatives » réagissent également en faisant rentrer leur théorie pour qu’elle s’accorde avec ce qu’ils ont envie de croire. Il faut bien voir que ces théories se sont énormément développées depuis que les Etats Unis connaissent des difficultés en Irak et que la popularité du président Bush à chuter. La plupart des personnes les défendant sont hostiles au gouvernement Bush et inconsciemment cela est leur premier argument.

    Ensuite l’argument comme quoi, d’après ce qu’on dit, les experts off micro disent ne pas croire à la théorie officielle est réversible. On m’a par exemple dit que les experts interrogés pour soutenir les théories alternatives disent off micro ne pas croire en ces même théories.

    Maintenant je ne suis pas un expert en destruction de bâtiment, mais faites moi confiance je m’y connais plus que la très très grande majorité des personnes et pour moi la théorie officielle est tout à fait compatible avec ce que j’ai vu à la TV, tandis que les arguments opposés manquent un peu, voir parfois beaucoup, de logique et de cohérence. Pourtant la vérité est logique et cohérente.

    Un dernier point, je n’ai aucun sentiment particulier, qu’il soit affectif ou répulsif, envers l’administration américaine. Mais là je ne peux pas le prouver et vous n’avez d’autre solution que de me croire ou de ne pas me croire.

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