@leypanou L’Inde EST un pays socialiste. La pénurie est le produit du socialisme comme la pomme est le produit du pommier. Partout où on le met en pratique, la pénurie apparaît. On l’a vu en URSS, en Chine, au Vietnam, en Europe de l’est, à Cuba, partout avec les mêmes résultats.
Pas la peine d’aller au Venezuela pour en constater : en France, nous ne voyons les premiers effets. Pénurie de logement. Pénurie de médecins. Pénurie d’emplois. Pénurie de transports. Bien sûr, on peut continuer à porter des oeillères en se disant que « depuis 4 ans la France va mieux », la réalité est cruelle. On ne manque pas encore de nourriture, car nous sommes toujours un grand pays agricole, ni d’énergie, grâce aux centrales nucléaires que Hollande veut d’ailleurs fermer. Mais on n’est pas à l’abri que la prochaine équipe dirigeante soit encore plus conne.
Le combat antifasciste est devenu une invocation identitaire pour la gauche, surtout depuis qu’il n’y a plus de fasciste. C’est une breloque que l’on agite en tête de manifestation, en psalmlodiant des « ventre fécond » et des « heures les plus noires », mais qui est dépourvue de substance, et les électeurs finissent par en tirer les conséquences. Alors, tandis que le « débat politique » à gauche se résume maintenant à savoir quel parti à 1% va charogner le plus gros morceau du parti à 10% quand il sera tombé, tout ce petit monde reste toujours très attentif à d’évanescents bruits de bottes, les espérant plus que ne les craignant, d’ailleurs, pour justifier encore leur existence. En revanche, vous restez sourds aux appels du muezzin, que les Français entendent de plus en plus.