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ExSam

J’ai grandi dans le sud-ouest. J’habite dans les Yvelines et je sais pas où je finirai, mais ça sera pas loin de la mer.
Commencé comme animateur de ciné-club, j’ai continué comme représentant en capitalisation avant de plonger dans l’insertion, comme formateur, quelques temps.
Mon boulot actuel est un peu de côté. J’avais besoin de prendre l’air, de faire de petites choses et des plus grandes.
J’aime les études, je les ai poursuivies longtemps mais elles ne m’ont servi à rien, sauf à entretenir un pseudo-intellectualisme qui ne m’empêche pas de me raser.

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  • ExSam 16 juillet 2007 20:23

    Barbarthoustra

    Je te suis pas trop là, tu peux développer ?..



  • ExSam 16 juillet 2007 16:08

    C’est vrai que la Bible nous promet un Paradis d’infinie béatitude...

    Les avancées technos-scientifiques bousculent et remettent en question des problèmes physiques, philosophiques et psychologiques.

    Cet article le montre bien.

    Pendant que la techno-sience va son chemin de pointe couvert de dollars vers le trans-humain, le post-humain ou le cyborg, elle laisse derrière elle l’humain.

    Au bord du chemin, il serait déjà un vieux jouet cassé, une faiblesse de chair et de sang dépassée, un brouillon pour la supériorité qui le regarde de loin, sans qu’il puisse l’appeler puisque son Nom ne lui est pas donné, et qu’il ne pourrait même le prononcer s’il le connaissait.

    Alors, permettez-moi d’être un peu triste pour lui. On ne lui pas donné sa chance encore. Ses trésors, ternis sous certains regards, sont toujours là, et nous ne les connaissons pour ainsi dire pas. A commencer par le plus beau, le plus fragile, celui qui peut lui permettre d’épater ceux qui partaient déjà, de bon matin, sur le chemin de la techno-sience : son esprit.



  • ExSam 16 juillet 2007 13:48

    Un peu binaire l’article...

    A incriminer quelque chose, ce serait plutôt le marché et les fortunes que les grosses entreprises se permettent de claquer, sans contrepartie d’emplois, de salaires, de statuts.

    Du grand n’importe quoi. Des enfants, des irresponsables qui se couvrent d’or mutuellement. Versailles est couvert d’or et ça crève de faim partout.

    Une économie, une société, sont des entités à réguler. Aux appétits comme à la sauvagerie, il faut mettre un terme, des freins puissants, des sanctions exemplaires. C’est de structure qu’il faut parler, de régulation mondiale. Très essentiel, cela.



  • ExSam 15 juillet 2007 21:52

    Très bon article qui pointe le doigt sur une dérive autoritaire manifeste dont les lois Patriot Act I et II sont un résultat tragique en termes de libertés.

    Tout n’est pas fini. L’opposition citoyenne se lève. Ce qui va s’amplifier au vu des sondages de popularité de la Busherie.

    Un exemple à suivre pour les anglicistes, et à choper dès trad en gaulois, il me semble (copié-collé de la prez sur Mondialisation.ca) :

    L’Irak à vendre

    Les profiteurs de guerre) est un documentaire de 75 minutes qui sera à l’affiche à compter du 8 septembre et qui sera disponible en format DVD le 26 septembre.

    Le film est l’oeuvre de Robert Greenwald qui a traitait au cours des dernières années de sujets comme l’empire Wal-Mart, de l’emprise de Rupert Murdoch sur la presse occidentale, et du scandale Enron.

    Cette fois, il s’en prend aux entreprises qui réalisent des profits excessifs en Irak, soit pour la sécurité ou encore la « reconstruction ». Par exemple, Donna Zovko, mère de l’un des quatre agents de Blackwater tués par les insurgés en 2004 accuse l’entreprise d’avoir négligé de fournir du matériel adéquat à son fils et ses compagnons.

    Greenwald explore aussi les dossiers de Halliburton KBR qui offre des services d’approvisionnement et de construction, et ceux des sociétés CACI et L3 TITAN qui fournissaient des traducteurs, interprètes et « interrogateurs » à la prison de Abu Ghraib.

    Le film réalisé à la Michael Moore promet de faire beaucoup de bruit, mais une de ses particularités est qu’il a est entièrement financé et produit grâce à des dons de plus de 3 000 personnes recueillis principalement grâce à Internet.

    Robert Greenwald a ainsi réussi à contourner toute la structure des grands producteurs et des chaînes de télévision.

    De plus, le site Web du film comporte une section transactionnelle permettant d’acheter le DVD pour la somme de 12,95 $ US, ou encore 5 copies pour 50,00 $ ou 30 pour 240,00 $ ce qui permet au producteur de ne pas avoir recours aux filières habituelles de distribution...

    Pour les petits fauchés, nul doute que Daily Motion ou autre vont le populariser...



  • ExSam 15 juillet 2007 21:10

    Cette article se veut une sorte de prévention, de calmant pour les petites crises sécuritaires.

    Il est tout à fait bienvenu, quand on voit les méandres ou entraine son apparition...

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