Mes salutations, j’ai bien aimé, entre autre la conclusion, "Dans un siècle ou
deux, les historiens étudieront avec effroi et fascination cette
période où les peuples d’Europe, rendus apathiques et débiles par
une propagande médiatique incessante et un effondrement des
contre-pouvoirs, laissèrent sans réagir une clique d’imbéciles, de
salauds et de corrompus, mener tout le continent européen à son
suicide collectif.
«
Certes bien sur, si nous survivons en tant que espèce, pas sur, je ne vois même pas pourquoi l’humain existe encore, sauf si c’est ça l’enfer. Mais même... ???? Soit L’univers créateur est très con et totalement indifférent à tout, soit c’est nous qui sommes devenus ainsi.. ??
Par contre si il y a propagande, c’est juste pour accentuer un phénomène que nous faisons tout seul nous mêmes comme des grands, que cette bêtise, cette débilité etc elle est un des signes d’une vie perçue et »survécu« uniquement comme disons matérielle, = ce que voit l’œil, ce que la main touche etc , sans aucun moment de » transcendance" et finie, alors que la seule capacité encore en marche , la pensée analytique apte uniquement à ce qui est pratique veut l’immortalité, du moins l’imagine t’elle.. et passe sa désormais non vie en quete d’immortalité et d’absolu, ni l’un ni l’autre ne seront au RDV, la folie des humains vient entre autre de là.. la propagande ne fait que amplifier, elle ,e crée pas notre démence, nous le faisons nous même et très bien quel succès !! mes respects , si si..
Ceci était notre état de la psyché dans ce qui fut nos débuts parfaitement inconnus...comment pourrait t’on alors savoir ça si nos débuts sont inconnus ? Parce que nous n’aurions jamais survécu..ce qui au vu du résultat fut aussi bien... un telle absurdité, un tel non sens, une telle violence gratuite, une telle haine de soi que les autres vont payer etc Vivre était le miracle, ça ne nous suffit pas, et alors nous en avons fait un cauchemar de souffrances constantes inavouées, ça nous rend fous, déments, avec en plus le refus que naître = mourir, = refus de la vie. qui nous fait sortir du miracle de la vie.. l’enfer n’est rien d’autre que notre psyché que nous avons détruite. Sauf une capacité inapte à vivre..En effet la pensée esy juste apte et en ce sens vitale physiquement, apte au monde pratique, qui est et sera juste un moyen, qui essaye de se prendre pour le sens, ayant détruit le sens de nos vies.. Dans une psyché intacte la coopération équitable et bien plus, comme le refus d’un maître font partie intégrante de ce que l’on aurait du être.. mais voila en refusant la vie on refuse ça pour le remplacer par le combat de tous contre tous appelé compétition, détail amusant la compétition élimine, est guerres, vols, tortures, destructions etc Plus d’état alors si on est sur ce chemin, qui est LE chemin ? Bien sur que non... Sans aide divine que globalement nous rejetons comme la vie que nous rejetons car naître = mourir, on n’y arrivera pas et c’est très bien parti.. c’est du moins ce que je perçois..
Alors, le temps de la digestion de la question passée, cette question effectivement parle d’un probleme certain, apparemment voir plus que apparemment. Un ami Indien demandait : l’ego peut t’il se suicider, ? non pas suicider le corps mais tuer l’ego ? On dirait un cul de sac. Et d’une manière certaine ça en est un et un énorme. Si je vois juste, et je rajoute expérimentalement parlant, mais mettons des ?? alors non l’ego ne peut pas se débarrasser de lui même, sauf réellement suicide, suicide intervenant comme issue vue par la pensée lorsque la souffrance, les souffrances en fait , les car il y a un tas de causes à ça, lorsque ces souffrances sont trop dures à gérer.. Pas facile à mettre en mots, mais au lieu de chercher des mots, je raconte. Dans des moments de souffrance intense, lourde etc limite ingérable, il peut arriver que la pensée donc cet ego, ou moi je, soit dépassé totalement, vaincu. Il est autant voir plus question de limites personnelle vite atteintes pour gérer ça que de puissance de souffrance. Pas facile à dire ce qui se passe car l’intellect est trop limité. Atteignant ces moments que je décris avant, moi dépassé totalement par la situation de tension ingérable énorme, arrive un moment difficile qui peut mener au suicide où à l’idée de. Plus « je » est dur au mal plus « je » , souvent va accepter , résister à ce mal, cette souffrance, ne voyant ni ne sachant rien faire d’autre dans sa mémoire, son savoir, je fais face à une inconnue .Genre MOA je suis un gros costaud...et va finir par tout admettre d’un monde dément. tel que nous le voyons devant nos yeux en général volontairement aveugles au global. Qu’y puis je « je » se dit t’il ? Seul ? Rien.. 300 000 ans se passent et rien de différent sur le fond ne s’est produit...sur la forme la souffrance et sa démence a générer certains variantes, on tue mieux et plus vite, on a des machines , etc JE = la pensée = capacité innée programmée et limitée à ce qui est pratique UNIQUEMENT, une machine donc, certes organiques. Jusqu’à là rien ne s’est produit de différent en 300 000 ans, je suppose que le même être a vécu 300 000 ans ou plus , basé sur le fait que nous reproduisons sans arrêt les mêmes « choses », encore et encore. Par formatage certes mais pas seulement par soi même aussi. Un jours, ce je qui est souffrance c’est son état réel, arrête de résister voyant que MOi ce formidable être humain parfait à ses yeux est en fait totalement détruit par ce poids totalement insupportable et se dit : je suis vaincu, j’abandonne le combat, peu importe ce qui se passera, je jette l’éponge, ans idée de suicide. A ce moment précis quand « je » est devenu ce qu’il est devenu c’est à dire pure souffrance, que je a refusé de voir pendant 300 000 ans, je s’est dissocié de ce qu’il est globalement, souffrance, alors là des choses imprévisibles , en terme de contenu, de puissance, d’effets, de durée etc vont se produire, à l’instant précis ou « je » n’est plus divisé de son état réel, « je » vois deux éléments, poi et souffrance là où il y en a un seul, moi qui souffre. Et là quelque chose va aider ce pauvre « je »,quelque chose qui sait visiblement.. Moments immanquables car une sorte d’état de grace, impossible à imaginer jamais vécu avant est là.. Un miracle s’est produit. Désormais lorsque « je » rencontre la souffrance, ce qui veut dire voit que je souffre, ayant désormais en mémoire quelque chose que je a fait, « je » va aller voir ce qu’il va essayer de prendre comme méthode et redevenir de suite LE CENTRE, qui ne peut que avoir des buts personnels en vue. Genre su MOI JE fais ceci, je reste avec ma souffrance il va se passer la même chose que l’autre fois, or je peut ne pas voir que il a repris le contrôle total ..et va donc échouer Ce qui a marché la premiere fois , innocemment,ne marchera pas deux fois = pas de méthode. Reste quand même quelque chose de ce premier moment impossible selon ceux qui n’en savent rien du tout, ce qui fait que à priori il est possible de ne pas attendre encore 300 000 ans pour vivre un deuxième moment en paix totale, indescriptible, indescriptible car nos mots sont bons pour ce qui se voit, la matière, normal la pensée est un outil lié à la matière, au coté pratique de la vie, mais pas de la même façon que la premiere fois. ce qu’il en reste est que quelque chose doit être fait avec cette souffrance, cette croix, que l’on peut résumer par, il n’y a rien que je puisse faire sauf souffrir sans fuir, ceci inclus ce qui est désormais inconscient pour je qui a tant détruit la psyché par son totalitarisme sur celle ci, exactement comme la pensée essaye de le faire sur la planète entière Bon là ça suffit.. mais c’est un sujet d’une vie..