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kasko

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  • kasko 12 août 2011 22:32

    Tout faux. Démasquer les fraudeurs et les sanctionner, c’est d’abord protéger les vrais nécessiteux. La plupart du temps, les fraudeurs ne sont pas des « pauvres » mais des « faux-pauvres », voire, pour certains, des « privilégiés » qui profitent honteusement de la générosité des autres et de notre protection sociale . Donc affirmer que créer un fichier centralisé pour ces fraudeurs consiste à stigmatiser les « plus vulnérables » est une contre-vérité. Cela ne résiste pas à deux minutes de bon sens !
    Comparer cette action avec 1940 relève d’un humour d’une très grande finesse et va probablement rallier aux propos de l’auteur bon nombre d’internautes intelligents.... 



  • kasko 18 mars 2011 11:43

    Gaijin,
     D’accord avec votre conclusion : "le progrès technologique a accomplit son objectif : Si nous le voulions nous pourrions assurer a chaque être humain une vie paisible et confortable. Il est temps de passer au progrès humain.« Mais pas sur le chemin à emprunter : prendre le pouvoir par la force, en substituant une force (laquelle ?, peu importe) à d’autres (l’argent, les armes,...) ne conduit à rien. La seule vraie »force" capable de tenir dans la durée et contre les aléas inévitables, c’est la conscience collective raisonnée. Ceci ne se construit que par une appréhension complète et largement partagée des problèmes. Toutes les informations disponibles sont à la fois un avantage et un handicap. La possibilité à chacun de s’exprimer comporte aussi des aspects positifs et négatifs. La démocratie est un jeu compliqué et risqué. Il demande du temps mais apporte la sérénité. La précipitation amène la manipulation et la remise en cause permanente des choix faits.
     Tout ceci peut paraître utopique mais il n’y a pas d’autre approche solide. Pour l’avoir pratiqué à petite échelle, je peux affirmer que c’est possible, que le délai n’est pas prohibitif et que le résultat amène un sentiment de bien-être collectif fort appréciable. Malheureusement, et c’est probablement son handicap majeur dans notre société ultra-médiatisée, ce n’est pas spectaculaire et ça ne débouche pas sur des articles et déclarations emphatiques, compassionnelles et conflictuelles !



  • kasko 17 mars 2011 20:17

    Article très intéressant, malheureusement incompris par beaucoup parce qu’il est plus facile de traiter les autres de « pourris » : les politiques, les lobbys, les savants-fous, les profiteurs, les patrons,...que de réfléchir sereinement pour corriger et améliorer notre système de décision et de contrôle.
    Oui le nucléaire s’inscrit dans le fil de la recherche d’énergies supplémentaires, oui de par la dimension et la nature du risque il nous fait changer d’échelle, il exige donc une approche nouvelle. Le drame de fond est que nos processus de décision n’ont pas progressé aussi vite que les technologies. La démocratie est en retard parce qu’elle s’enlise dans des combats stériles et puérils, vivement encouragés et entretenus par les médias : il est plus facile de faire du catastrophisme ou du compassionnel que de la pédagogie pour faire progresser la connaissance du grand public !
    Quel média aurait le courage de parler (ou d’écrire) sur le nucléaire en posant le problème sous toutes ses formes (sanitaire, économique, militaire,...), en consultant des personnes de tous bords et en s’interdisant de parler de solution tant qu’un consensus significatif ne serait pas atteint sur le problème à traiter - contrairement à ce que beaucoup pensent « poser un tel problème » complètement, sous tous ses aspects, avec toutes ses ramifications et interdépendances est difficile et long. Personnellement, je crois qu’un certain consensus sur le problème est possible, même si il n’est pas simple à acquérir. Et partant de là, un accord sur une solution permettrait un choix stable et solide car basé sur une majorité robuste et pérenne.
    Mais je crains que notre arrogance actuelle à s’estimer capable de rassembler sur une solution sans obtenir au préalable une appréhension commune du problème ne nous conduise dans le mur : des choix conjoncturels, remis en cause au gré des événements et des opportunités qui ne manqueront pas de se présenter, donc des choix sans effet.



  • kasko 15 mars 2011 22:36

    Toujours négatifs !
    Contre le nucléaire ? Un référendum montrerait que la majorité des Français est contre, c’est certain. Mais cette majorité que signifie-t-elle ? Rien. Car une vraie majorité, qui a du sens, est une majorité qui est POUR quelque chose. Or il n’y a pas de majorité aujourd’hui pour une solution alternative au nucléaire. Il y a des minorités avec chacune sa solution et cet ensemble de minorités se déclare MAJORITE. C’est une majorité médiatique, pernicieuse, stérile, voire dangereuse. Multiplier les articles contre le nucléaire, organiser des manifestations contre l’atome, ce n’est pas la priorité.
    Faut-il pour autant ne rien faire ? Certainement pas. La priorité est un débat pour trouver une solution réaliste et rapide, puis des négociations pour construire une vraie majorité POUR cette solution alternative. Et ensuite un référendum sur cette solution. Ce n’est que de cette manière qu’on peut sortir concrètement de ce problème difficile.
    Tirons les leçons de ces référendums négatifs (la constitution européenne par exemple dans un passé récent) et devenons des adultes responsables alors que nous nous comportons souvent comme des enfants capricieux et pleurnichards !



  • kasko 10 février 2011 22:43

    Ce n’est pas le « bon » combat
    Ce que l’on oublie c’est que développer des débats de procédure tatillons et s’éloignant de l’esprit de la loi et du bon sens favorise les « riches » et « les gros » car eux peuvent s’offrir les services d’avocats compétents, subtils et malins. Plus c’est compliqué et plus les grands avocats, les grands cabinets et les services juridiques des grandes entreprises se frottent les mains,...et plus les particuliers, les artisans et les petites entreprise se trouvent spoliés sans bien comprendre ce qui leur arrive.

    L’égalité devant la loi doit avoir pour principe de base : lois simples, privilégiant clairement l’esprit par rapport aux procédures, référence permanente au bon sens commun. Sans cela, c’est un piège : un puits sans fond, des dépenses de justice jamais suffisantes, des délais sans fin, des puissants qui s’en sortent toujours mieux (avec le temps et l’argent), des petits qui ne comprennent plus rien, des journalistes qui se régalent avec des injustices « à sensation »...

    C’est pour cela que je considère que le combat pour plus de ressources dans la justice est pernicieux car allant à l’encontre de ce que les Français attendent au fond. 

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