@njama La résistance à cette dictature vaccinale et aux dragonnades qui vont l’accompagner, va devoir passer par l’organisation d’une école de substitution pour nos enfants interdits d’école publique.
Cette école publique déjà mal en point, va donc concentrer une proportion encore plus forte de malheureux enfants autistes, agités, incapables de fixer leur attention sur un sujet, souvent atteints de maladies chroniques à bas bruit, et abonnés aux séances à rallonges chez les orthophonistes (merci à eux qui assurent la voiture balais de ce système dément) et aux traitements de longue durée avec par exemple la Ritaline, ce psychotrope, véritable camisole pour enfants, fabriqué par les mêmes laboratoire qui nous concoctent ces myriades de vaccins assassins.
A ces écoles parallèles, le plaisir d’utiliser les promesses de l’enseignement par Internet, la transmission du savoir par les parents, oncles, amis et grands-parents. Les Catarrhes qui ont su trouver en eux la force de résister à l’oppression, les Amich qui ne savent pas ce qu’est un enfant autistes, nous montrent le chemin par lequel l’humain retrouve sa dignité par l’ acte de dire Non.
Valls a eu des discussions approfondies avec l’équipe Sarkozy lors de l’opération ouverture du quinquennat précédent. Il a été à deux doigts de faire comme Eric Besson, Kouchner, Bockel.
Valls est un proche de l’agence de com ex RSCG (comme Cahuzac d’ailleurs), fameuse pour son activité de lobbyiste sans foi ni loi au service de DSK, Lagardère (vous vous souvenez de l’opération « Privatisons l’Aérospatiale » entre ces deux là), et aujourd’hui lobbyiste patentée à Bercy et à l’Élysée.
L’action de Valls au ministère de l’intérieur est uniquement gouvernée par un plan communication concocté avec cette agence. Les valeurs de justice, de réparation des saloperies faites aux fonctionnaires saqués pour avoir agi honnêtement : il s’en fout.
Valls premier ministre ? Mais quelle idée stupide ! La seule chose sure est que Valls est plus Sarkoziste que Socialiste.
Cahuzac a laissé la tête sous l’eau à l’inspecteur des impôts saqué par Woerth sous Sarkozy, pour avoir le premier fait état de soupçons sur ce même Cahuzac.
Valls fait de même avec les fonctionnaires de police saqués sous Sarkozy pour avoir dénoncé les agissements de leurs hiérarchie ou bien les errements de leurs collègues : il les laisse la tête sous l’eau et promeut les coupables et les corrompus.
De ce point de vue Valls est aussi infect que Cahuzac. Comme lui il vient de la galaxie DSK qui ne voit dans le PS que le moyen de se différencier et de se rapprocher du pouvoir.
Dans l’interview, le docteur Lapraz affirme quelque-chose de très inexact sur l’homéopathie lorsqu’il dit :
"L’homéopathe
espère ainsi qu’en donnant à un patient présentant des symptômes
proches ou identiques à ceux qu’un médicament appliqué à dose forte ou
toxique a déclenchés chez des sujets sains, ce même médicament prescrit
en dilution à dose infinitésimale le guérira."
En fait l’homéopathe met en correspondance les symptômes du patient avec ceux le plus identiques possibles induits chez un être humain par la prise répétée d’une substance sous la forme d’une dilution infinitésimale et potentialisée de celle-ci. Cette approche mise en œuvre par Hahnemann, fondateur de l’homéopathie, est à mille lieux de la recherche d’une similitude avec le médicament appliqué à dose forte ou toxique dont nous parle le docteur Lapraz. Ce docteur pour le coup me parait avoir une idée très fausse de l’homéopathie. La pratique du docteur Lapraz me parait par contre être très proche de l’alllopathie en ce sens qu’il cherche à éteindre un symptôme (ce ne pourra malheureusement être le plus souvent que temporaire ou se traduire par une suppression du symptôme au profit d’autres plus nocifs) donné par une substance (même végétale, naturelle etc.) provoquant chez l’homme sain un symptôme opposé.
Les effets d’une substance appliquée à dose forte ou toxique n’ont le plus souvent rien à voir avec ceux de la même substance appliquée à dose infinitésimale et potentialisée qui sont beaucoup plus subtils, couvrent la sphère somatique et psychique du patient et sont bien souvent très différents.