• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

passifou

Ex-Gérant de petite SARL, ex-prestataire de services à la campagne, proche de l'agriculture fermière et de la vie rurale, démocrate convaincu, et respectant toutes les opinions qui visent à un bien commun.

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 89 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • lib 4 mai 2008 17:19

    Votre article est bien léger, comme tout ce qui ignore les faits pour se perdre dans les brumes des supputations aériennes inféodées…

    Interview de Nicolas Sarkozy : quoi de neuf sur le plan économique ? Votre titre était alléchant.

    Oui, quoi de neuf sur le plan économique, puisque toute l’attente des français se situait à ce niveau. Et pratiquement, presque uniquement à ce niveau, comment et de quoi vivre dans les années qui deviennent dures, mais pas pour tout le monde ?

    Quelle analyse peut-on faire des déclarations du président de la République sur le plan économique ? Vous répétez encore le titre de votre sujet, alors suivons, que dites vous ?

    Vous avez rencontré un ovni médiatique : Nicolas Sarkozy était à la fois lui, et pas lui. Moi aussi.

    Mais comme à son habitude, que du vent, des indignations, de la petite histoire, et pas de décisions, pas de directions, pas de mesures qui tendraient à favoriser le retour de la confiance en l’avenir des français.

    Vous rappelez que sur certains aspects, Nicolas Sarkozy avait presque l’accent d’un PDG d’entreprise. Sauf que comme tous les fonctionnaires, il n’a d’obligation de résultat que devant sa hiérarchie. Et sa hiérarchie, ce sont ceux qui font la France, 100% des électeurs, qui jouent le jeu de la démocratie.

    Un président ne fait pas tout ce qui lui vient à l’idée, en rattrappant ses bévues par du brouillage de communiquant, il fait ce pour quoi il a été élu.

    Or, le premier point qui intéressait les français, c’est bien le travail, et le pouvoir d’achat.

    Ils sont bien sûrs prêts à faire les sacrifices qu’il faut, mais tous ensemble. Qu’a-t-il dit de neuf à cette interview ? Sur sa politique, à part qu’il allait continuer, rien de particulier…

    Or, à vue, de près et de loin, la seule chose qui intéresse maintenant ses partisans, ou même ceux qui l’ont fait, c’est que tout ne se casse pas la gueule trop vite.A ce sujet un Balladur est éloquent. Il faut sortir de sarkozy sans trop de casse. Et le ramener à la niche, après ses échappées de fou.

    Pour ce qui est de votre analyse économique, rien du tout, vous restez au niveau de la déco, et cela, ce n’est pas du sujet.

    Tout le monde dit que la conjoncture mondiale est mauvaise, alors d’où viennent tous ces bénéfices ? Toutes ces augmentations mirobolantes des salaires et des indemnités. Et d’où viennet ces émoluments de ces si hauts dirigeants d’entreprise, qui foutent en l’air leur outil de travail régulièrement, et bien sûr comment finance-t-on ces augmentations dans l’état, à commencer par la présidence ?

    Pourquoi tant d’abattement fiscaux, pourquoi tant de facilités à ceux qui ont déjà tout ? Pourquoi des régimes spéciaux somptueux pour les parlementaires ?

    Si ça allait si mal, pourquoi ne pas répartir un petit peu la charge ? Un peu sur les plus riches, n’est-ce pas ?

    On a peur qu’ils s’en aillent ? Mais ils s’en vont déjà. Et ce sont nous, en europe, qui sommes les premiers clients, ils finissent de nous appauvrir avant de continuer, et recommencer avec les pays émergeants.
    C’est la politique économique de la terre brulée…On ne tue plus, mais on laisse des régions dévastées, et des milliers d’hommes et de femmes désemparées. En les trahissant. en plus on leur faire faire les nouvelles guerres qu’on ne sait pas trop qualifier...

    Enfin, un peu de jugeote, quand ça va mal, c’est pour tout le monde, ou alors, c’est le bonheur des uns qui fait le malheur des autres ?
    Bien sûr. C’est exactement cela, avec une mention spéciale pour les états unis, et sa flopée de milliardaires.

    Idem dans tous ces pays où sont d’un coup apparus des centaines de nouveaux millionnaires qui le sont devenus avec nos sous, l’exploitation de leurs compatriotes, et le fantôme de nos usines, c’est bien nous leurs clients…

    Un peu de protection ferait du bien, un peu de justice sociale pour tout le monde aussi, surtout dans ces pays de misère, mais ça ne convient pas à ces gros malins qui surfent sur leur avoirs financiers.

    Qui en a des avoirs financiers ? Les journalistes ? Oui, ils n’aiment plus trop la valeur travail…C’est plus jolis les allées de secrétaires pomponnées que les ornières des tracteurs, les écrans nikel des ordinateurs, que la sueur sur le visage de ceux qui font bouger leur bras…Mais on y reviendra.

    Ils ont soutenu de toutes leurs forces une campagne éhontée, et ils sont payés maintenant de retour, par le ch^mage...Qui va bouger pour la presse ? Pas la presse, on dirait...

    La crise des subprimes devrait interroger autrement un chef d’état, il fallait annoncer des mesures d’encadrements, et pas s’agiter en levant les bras.

    L’augmentation du pétrole est lié directement à l’affaire d’Irak, et aux malversations internationales des compagnies, que les états se défendent donc, l’europe est un client, elle a des droits, et des moyens.

    La croissance est un fourre-tout qui n’est pas recevable, il y a des moyens encore à ce niveau d’agir au niveau franco-français, si ce n’est européen. Qu’on lâche un peu la bride aux petits salaires, on s’en fout, nous, de vuitton, et dior…

    Non, le chômage ne va pas mieux, c’est la façon de compter qui diminue le taux, le malheur de beaucoup est toujours là. Et cela, c’est insoutenable, de mentir comme cela, en toute impunité devant des journalistes qui savent.

    Les mesures sur la grande distribution sont n’importe quoi. Libérer la grande distribution pour qu’elle puisse encore mieux écraser ce qui reste d’indépendant, et tenir définitivement sous le joug les producteurs, et les industriels de l’alimentation. Incroyable. Mais de qui sarkozy est-il donc l’élu ? Toute une partie de la droite traditionelle, qui croirait un peu aux valeurs de l’entreprise personnelle, et familiale devrait s’en rendre compte tout de même !

    A croire que plus personne ne pense. Il a fait autant de vide dans les têtes qu’ils en a dans la sienne, au niveau de se egagements envers le pays.

    Pour le reste, on a retrouvé les promesses de campagne. Et les promesses, on a déjà vu ce que a donne depuis un an.

    On passe sur les embrouillamini, la familiarité de ton, et de discours, le peu de hauteur, bref, la nullité, et disons le, la petitesse habituelle du pesonnage devant encore une fois des journalistes à sa hauteur… Même si l’on a senti des vélléités.

    Sarkozy n’aurait pas tenu trente secondes dans les années quatre-vingt. Quand il y avait encore une opposition, et quelques valeurs, même à droite.

    Pour ce qui est de votre article, pour moi, il n’a de valable que l’occasion de le dire une nouvelle fois, il faut lancer la grève générale en europe… Et soutenir les Irlandais qui auront certainement la bonne idée de balancer à la mer le traité de sarkozy premier.

    Bonne continuation. je suis bien désolé d’exprimer tout ceci, même si personnellement, j’ai dépassé le stade de l’écoeurement, maintenant, il faut simplement se débarasser de la vermine qui nous assaille.

    Que chacun lisse son prochain bulletin de vote, et se fasse entendre, autant que possible, dans la rue ou ailleurs, en attendant.

    Lib.
     



  • lib 27 avril 2008 17:57

    Soyons clair, sarkozy est un tricheur.

    Reste à savoir pourquoi, et ce qu’il veut vraiment.

    Il a une feuille de déroute pour les français, oui, mais pour les siens, il a une feuille de route très précise, et ne déroge pas à des réformes qui s’apparentent à une contre-révolution sociale.

    A quand le premier mai travaillé ?

    Il faut travailler aussi le dimanche, et après soixante-ans, et la nuit, pour ceux qu veulent, et bien sûr pour ceux qui peuvent. Mais qui va raiment décider. et à quels tarifs. Les salaires n’explosent que dans les hautes sphères. a la présidence, et au parlement, salaire et idemnité de chômage font un feu d’artifice...

    Mais personne ne pose la question du nombre d’heures par semaine accordées aux caissières de supermarché, par exemple...personne ne s’intéresse à la mentalité de loups affamés qu’on impose à tous ceux qui sont au contact du public pour vendre cher ce qui n’a que très peu d’usage ou de valeur réelle. 

    Deux heures de travail de huit à dix, et trois heures de quatre à sept. C’est le pied pour ces dames. Une vie sur les dents, entre l’exigence de rentabilité sous la botte du contrôleur , et le contact faussé avec les gens, pour les autres. Le stress a de beaux jours encore.

    Il s’agit simpement de crever la bête. Il faut revenir aux braves gens, la casquette à la main, analphabètes, et capables de courir sur des mitrailleuses à travers les barbelés. pour cela pression maximum et tout azimuts.

    Ces gens là, du MEDEF, et de Sarkozie sont des monstres.

    Ils pillent et accaparent la richesse commune à travers les privatisations et les rachats publics des entreprises déficitaires.

    Toutes les charges vont au commun, et tous les avantages au particulier.

    Eux même se taillent tous les avantages possibles sur mesure.

    Les gns sont doux et tolérant, ils ont intégrés des valeurs de vie en commun et d’humanité, le résultat des appels à la générosité est là pour le montrer. Mais attention.

    Le pays est encore puissant, riche, de moyens et de cerveaux, il ne faut pas laisser faire.

    Sarkozy doit être attrapé au collet, et le mettre contre le mur de ses responsabilités.

    Il est là pour l’avenir de tous, et pas seulement pour celui, en or, des siens. Et il est temps qu’on le lui rappelle. Grève générale.

    Défendons nous.

    Lib.

     

     



  • lib 26 avril 2008 13:35

    Une grève générale, ce n’est pas la fin du monde.

     C’est le déclenchement d’un processus qui vise à mettre fin à des abus insupportables, comme le coût de la vie et le niveau des bas salaires et des petites pensions. De même la situation de l’hôpital, l’avenir des services publics en général, et celui de nos enfants, comme de nous même lorsque bientôt nous n’aurons plus les forces de subvenir à nos pauvres besoins.

    Nous n’avons pas vocation à élever les futurs esclaves d’une élite qui n’a rien d’admirable, de digne, ou de respectable, à part le niveau obscène de ses avoirs et de ses comptes en banques, pour finir dans des mouroirs, sans le statut vénérable des anciens d’avant, quand un vieux, ce n’était pas un inutile, mais un sage plein d’expérience et dont la parole comptait.

    Maintenant, ça suffit de cette société de dingue, où il n’y a de place que pour les sur-riches, et où les autres n’ont qu’à crever, en silence.

    Il est temps de rappeler le temps deceux qui ont fait la démocratie, la justice sociale, et un avenir où tous ont une place.

    Et cela commence par quelques conflits qui vont faire perdre beaucoup d’argent à ceux qui en ont trop, et rendre leur capacité de réponse et un bénéfice non négligeable à ceux qui n’ont pour eux que leur capacité de combat.

    Il ne s’agit pas de mourir, bien au contraire, il s’agit de vivre, mais de vivre debout. Et tous.

    Lib.



  • lib 20 avril 2008 20:24

    Bonjour,

    Oui, merci pour cet excellent article.

    En effet, une grève générale en Europe serait une excellente idée.

    Bon, courage. D’abord les trolls vont nous pourrir la vie. C’est la finance qui nous étrangle, et on voudrait nous faire croire que la lutte des classes est un concept exclusivement réservé à l’espace LCR.

    Les salaires qui reculent, les conditions de vie qui se détériorent à un rythme jamais vu, et les profits qui augmentent, c’est pourtant significatif.

    Mais ensuite se mettront gaillardement en route les médias, puis pour finir, les gros bras de la police de telle ou telle officine, pour nous faire entrer dans la tête que le mieux est de ne rien faire, sinon...

    Il faut une opposition à ce qui se passe, et il n’y a plus d’opposition.

    La grève générale, c’est bien pour ceux qui sentent tout se dérober sous leurs pieds.

    Que les autres se penchent un peu ailleurs que sur les cours de la bourse...

    Oui, grève générale, tout de suite, maintenant, ça suffit.

    Lib.



  • lib 2 avril 2008 23:31

    Merci, merci et encore merci de dire si bien dans vos textes ce que tant de gens pensent, sans savoir aussi bien l’exprimer.

    Lib.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv