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passifou

Ex-Gérant de petite SARL, ex-prestataire de services à la campagne, proche de l'agriculture fermière et de la vie rurale, démocrate convaincu, et respectant toutes les opinions qui visent à un bien commun.

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Derniers commentaires



  • lib 12 mai 2007 17:06

    Clap, clap ! Je suis soufflé de l’analyse. Franchement, voilà qui fait plaisir à voir, et à lire, quelqu’un qui pense.

    Bien vu ou non, bravo, et merci de nous agiter un peu le bocal.

     smiley

    lib.



  • lib 2 mai 2007 19:54

    Bonjour,

    J’aime beaucop les Cassandre. Surtout quand l’UMP figure Troie. Seulement voilà, si l’histoire me plaît, je me demande si ce n’est pas de la fiction.

    D’un point de vue arithmétique la gauche ne peut pas gagner. Si Mme Royal, la plus fine, et la femme la plus déterminée, dans le monde politique, qu’on ait vu depuis longtemps, s’est fait prendre des voix au centre et les retrouve, elle ne peut espérer faire le plein ce WE.

    Pour Mr sarkozy, c’est très différent.

    Il a tellement brouillé les cartes, et surfe sur un tel malaise social, moral, et culturel, que les esprits cherchent l’homme providentiel fort, et qui présente bien.

    Or Mr sarkozy est quelqu’un de très particulier. Il manie à tour de bras la carotte et le bâton ramenant autour de lui, et s’infeodant des gens qui font un éventail incroyable. Réunir Mr Tapie et Mr Juppé, incroyable...

    Il marie l’eau et le feu dans son discours tant dans son comportement que dans son discours, et, enfin, il faut l’avouer, il a un magnétisme et une énergie phénoménale.

    Evidemment, si l’on regarde de près, on voit vite qu’il est extraordinairement large devant et tout à fait étroit derrière. Ce n’est qu’une façade alléchante pour tous, mais avec un projet libéral précis, à l’américaine.

    Or l’amérique est un rêve, ou plutôt un cauchemar. Je glisse là-dessus, elle a tout fait dans l’horreur, en commençant par l’amérique du sud, l’asie, et en finissant par son propre territoire.

    Mais Mr Sarkozy part favori, et les sondages ne me semblent pas se tromper.

    Alors, qui est ce monsieur qui dit oui, qui dit non, et qui n’a pas peur de faire taire ses adversaires sans considération des moyens, par les coups, ou les caresses ?

    Qui sont les rois de la propagande, et de la matraque ?

    Qui, une fois au pouvoir, ne connaît plus de règles ? Et les barons de la droite, à ce jeu là, ont trouvé leur maître.

    Les Sarkozystes, et je suis loin de penser qu’ils soient tous si mauvais, le libéralisme peut être une théorie défendable, et les convictions de chacun sont libres dès lorsqu’on les défend loyalement, ces sarkozystes comprennent-ils ce qu’ils sont en train de promouvoir ?

    Quand on voit la tête de Mr Villepin, de Mme Alliot-Marie, qui en rajoute dans la bassesse des arguments vestimentaires, elle qui avait de la hauteur, au moins par l’image de résistance, et celle de Mr Raffarin, de Mr Juppé, de Mme Veil, et tant d’autres avec qui l’on peut ne pas être d’accord, on se demande tout de même, comment les a-t-il tous liés, tous piégés, tous réduits ?

    Parce que l’adhésion de ceux là est forcée, n’en doutons pas.

    Quant à son chef naturel, trahi deux fois, spolié de ses droits et de sa descendance, traîné dans la boue, exilé dans sa tour d’or élyséenne, qu’en pense-t-il ? Mr Chirac, celui qui s’est fait détruire alors même qu’il était au sommet.

    C’est que c’est l’homme des sommations, et du vous êtes avec ou contre moi. Pas de place à autre chose, pas de place à une autre expression, à la contradiction. Et la situation ne justifie-t-elle pas toutes les mesures ?

    On a rarement vu la possibilité de concentrer le pouvoir dans des mains aussi avides de l’exercer.

    Pour le bien commun, dit-il. On verra bien.

    Parce que si l’on peut tromper quelques mois, les mesures ne seront pas invisibles et surtout sans effets.

    Sarkozy n’ira pas très loin si c’est un bruit de bottes qu’il fait sonner. Parce que la misère fait brûler ses vaisseaux, et les vaisseaux des autres, et pas seulement dans les cités.

    Il y a des colères qui ne se noient pas dans la bière ou la fumée d’un joint, et d’un passe-droit. Attention de ne se retrouver à s’exiler pour de bon,ceux qui ne peuvent se rendre tranquillement sur le territoire dont ils ont soi-disant la maîtrise, et plus grave, la responsabilité. Responsabilité qu’ils pourront toujours évoquer, à gstaad ou à Monaco, avec les copains.

    Lib.



  • lib 2 mai 2007 19:07

    Salut,

    Charlety, c’est 25 000 places assises sans bourrer, avec wikipedia.

    Ce n’était pas plein vu les impératifs d’organisation, on dira 20 000 assis, comptons 10 000 debout, au moins,mais je pense plus, cela contient un stade, plus pas mal de monde autour, allez 40 000 minimum, peut-être plus, bien plus, tout confondu.

    C’est pas si mal.

    Lib.



  • lib 9 février 2007 17:39

    Bonjour,

    Désastreux l’effet produit par un article qui stigmatise sur le ton de la justice, et qui se fait encore une fois l’outil de la manipulation.

    Reste à savoir qui elle sert, cette manipulation.

    Autrefois, les bénéficiaires ont été, et à coup sûr, les islamistes extrémistes, furieux et fanatiques, aujourd’hui ce sont les politiques en charge de se prétendre rempart, contre les premiers.

    Qui lit charlie Hebdo ? Quelle portée ? Quelle influence ? qui connaissait charlie hebdo autrement que fugitivement avant les caricatures ? Combien de fois a-t-il manqué de disparaître ce ... ? Comment l’appeler d’ailleurs ?

    Mais qu’est-ce que peut bien avoir à faire de charlie hebdo quelqu’un qui mène sa vie « en bon père de famille » ?

    Puisque l’expression consacre le pacifique et honnête homme sans histoires.

    De la même façon qui aurait pu connaître l’existence de cette obcure publication danoise ou je ne sais quoi ?

    Il fallait du grain à moudre, de la menace, de l’insulte, de l’anti-Dieu aux islamistes. Ils l’ont trouvée et exploitée. Pourquoi continuer dans la lancée ?

    Jusqu’à ce que cela se tasse et qu’ils en trouvent une autre de guéguerre à sanguinoler ?

    Le fanatiques tuent leur ennemis, et tout le monde est leur ennemi pour eux. Il leur faut jute le bras assez long, et toute leur vie se résume à cela : se donner les moyens.

    Les caricaturistes caricaturent. Parfois comme des imbéciles heureux. On va les laisser tuer ?

    Il faut cesser sur le sujet.

    Compter les morts, et savoir pourquoi, et tenter d’arrêter les massacreurs, et les raisons qui leurs donnent tant de légitimité pour tant de malheureux.

    Et ne pas faire de pub aux artistes ratés, ou réussis parfois, mais fauteurs de troubles.

    Bref, il faut raison garder. Quand on a des soucis de bon père de famille.

    lib

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