Loatse

@Mélusine ou la Robe de Saphir.

Sans « belles idées » nous serions encore à nous deplacer à cheval, a dependre dans nos vieux jours de la charité publique ou de nos enfants, a vivre sans scanner, ni doliprane, ni plastique (essentiel dans le domaine medical et pas que..

Nous nous chauffons avec des matieres radioactives, nous passons des radios qui nous sauvent la vie avec des matieres radioactives, d’un autre coté il y eut hiroshima, nagasaki et les armes à l’uranium..

L’electricité idem, invention percue comme diabolique pour certains encore aujourd’hui pour les avancees technologiques que cela permet, mais là aussi d’un autre coté, certains s’en sont servi pour torturer des hommes..

Toutefois j’admet volontier que le bien (ou le désir de bien faire) peut se transformer en mal des l’instant ou :

1. L’humain est depossédé de son libre arbitre
2. le progrès tombe dans les mains d’individus mal intentionnés.

@Mélusine ou la Robe de Saphir.

si une mère flippée refile pendant 9 mois ses angoisses à son enfant, le bebe in vitro ca peut être une bonne chose. enfin meilleure que le recours à une mère porteuse au niveau ethique et ca peut même mettre fin aux ivg par transfert de l’embryon puis adoption.

« L’auteur ne conclut pas »

C’est dommage. Rien n’empêche de conclure tout en restant dans l’hypothèse bien sur

Un article dans le figaro ce matin ainsi que d’autres articles, livres ainsi que des rencontre avec des « ex covidés » de toutes classes sociales, très agés je précise en réadaptation-et donc pas euthanasiés en l’occurence -, me ferait pencher pour cette version ci dessous, qui contrairement à d’autres excluent toutes visées genocidaires.

Je ne crois pas que nous soyons dirigés par des monstres (sauf preuve du contraire bien sur) mais par des gens qui ont majoritairement en vue un objectif commun, le défi du XXIeme siecle : résoudre les principaux problèmes auxquels le monde est confronté : guerres incessantes, famine, malnutrition, rarefaction des ressources (eau, petrole, gaz) et repartition de celles ci de manière équitable, pollution, especes animales et végétales en voie de diminution et... demographie galopante. 

Le virus, dans ce que j’appelerai ce scenario là représente une opportunité qui ne s’est jamais présentée dans l’histoire. Celle de permettre aux utopies de se réaliser ( eventuelle régulation démographique -mais cela l’avenir seul nous le dira si -et bien si- le remède a des effets sur la fertilité humaine-, Empêcher la révolte des peuples suite aux réformes économiques (couvre feu, interdiction de réunions, de manifestations... reduction à visée écologique des déplacements avec teletravail et achats via les geants du net, mise en place plus aisée (sous couvert de mesures sanitaires) de la généralisation des achats en ligne, de la disparition des moyens de paiements en espèces..(fin de la criminalité d’ordre crapuleuse par surveillance des flux monétaires et disparition des actuels moyen d’échange)

et cerise sur le gateau, in fine, toutes les opportunités au niveau medical qu’ouvre la therapie genique après essai à grande échelle notamment grâce aux nanotechnologies..

(Evidemment comme toutes les avancées technologiques— il peut y avoir là possibilité d’utilisations à d’autres fins dont on trouve description dans de nombreuses fictions...)

maintenant, Imaginez des cancers traités de manière très ciblée et non chimique comme c’est le cas aujourd’hui avec des traitements qui comportent de lourds effets indésirables. Demain et non plus dans des décennies ceci peut devenir une réalité.

La question que je me pose est celle ci : y’aura t’il alors des individus qui refuseront cette opportunité ?

« la société chinoise »Hongyang International Investment Company« , qui a racheté six exploitations dans le Berry pour un total de 1.750 hectares de terres céréalières. Des céréales destinées au marché chinois2. »

et quand la terre sera épuisée puisque m’étonnerait que ceux ci pratiquent la mise en jachère, non plus (une obligation tous les 7 ans, appelée shemita dans le judaisme, non respectée non plus « là bas » ce qui fait polémique)... sans compter que ces pratiques d’usage d’engrais chimiques, pesticides, desherbants et autres cochonneries chimiques finissent dans les nappes phréatiques en plus de notre alimentation. 

ps : je pensais faire un potager dans mon nouveau jardin. Helas celui ci jouxte une rue dans laquelle sont utilisés des deherbants regulierement, l’olivier de ma voisine en creva... comme jadis ma vigne dans mon ex jardin, peu de temps après le passage des « desherbeurs » dans la ruelle pietonne ou le macadam était fissuré laissant le passage à des pissenlits..

C’est que le pissenlit, fleur considérée comme non noble, qui en l’occurence ne gênait personne, ca fait désordre... 

Combien de temps tiendront les refractaires si ceux ci ne peuvent plus jamais toucher et recevoir chez eux, non seulement leurs amis mais leurs proches ne vivant pas au foyer (enfants, petits enfants) ?

Deja les restriction pour les voyages à l’étranger, les spectacles, l’accès aux parcs dits à theme, les expos et musées, les associations,, les cafés et restaurants réduisent le lien social ... là ce serait le néant en mode long terme. avec ce que cela implique psychologiquement et physiquement donc par voie de conséquence.

La nourriture, par essence semble - à tort- reconnue donc comme seule vitale (pas les soins de santé en suède ai je entendu dire -à verifier - pour les plus de 70 ans atteints par le virus. Idem concernant un village en alaska ou les non vaccinés n’ont pas accès aux supermarchés/epiceries). toutefois le probleme n’est pas insoluble (si pass sanitaire exigé) tant qu’il est possible de se faire livrer... 

 là aussi Les commerçant les moins exigeants n’en sont pas pour autant non exempts de respecter des règles en matière sanitaire imposées par les autorités et qui peuvent se durcir... (des amendes conséquentes peuvent avoir rapidement un effet dissuasif même chez les plus arrangeants)

Restera comme pendant la « dernière » la possibilité du recours au marché noir, ce qui j’imagine ne sera pas à la portée de tous et ne règlera pas le point crucial du problème, à savoir le manque cruel de contact physique 

Pour les soins infirmiers à domicile ce sera encore plus problématique si jamais cela s’applique à ce secteur..

On occulte la possibilité que la vaccination puisse etre acceptée, bon gré mal gré par la majorité des populations et les non vaccinés percus comme des dangers publics (c’est déjà le cas mais pas encore généralisé) et donc traités comme tels et par l’entourage et par les autorités.. d’ou le risque d’une relégation sociale totale et pas que, de ceux ci...

oui, je sais c’est flippant et ca ressemble à une fiction, mais n’est pas ce à quoi ressemble déjà la situation à laquelle nous sommes soum.. euh confrontés ?