Melara

« violence stigmatisante à chaque meeting de Marine Lepen » : à quoi faites vous allusion ?
aux personnes qui viennent crier « résistance » pour exprimer leur désaccord ?
Et je n’ai pas compris, de quel piège il s’agit et qui l’a tendu ? Vous voulez dire que sous prétexte que les médias ne veulent voir que l’affrontement front contre front, M. Mélenchon devrait ménager son adversaire politique ?

L’image de pitbull me plaît bien : avec un pitbull bien dressé on se sent en sécurité.

Effectivement ma remarque peut vous paraître tirée par les cheveux puisque je répond sur ce qui constitue aussi un humain, sa colère et son indignation, ce qu’à fait Ariane dans son article « socialistes je vous hais ». A ce niveau pas de contradiction entre mettre l’humain en avant et un tel article.
Vous, en fait, vous l’interpellez non sur l’humain, mais sur la fraternité qu’elle aurait du manifester avec vous, socialiste. Je comprend la blessure, mais l’article de AW était dans l’idée que « qui aime bien châtie bien ». Quand on a le sentiment que quelqu’un coure à sa perte, faut-il se taire pour ne pas le froisser ou le secouer en espérant une prise de conscience ? Vaste débat et chacun y répond à sa manière, mais rien de mystérieux la dedans.

@cedric

La nature du blog de JLM semble vous avoir échappé et si vous y avez débarqué avec cette histoire de Cohn Bendit, pas étonnant que le webmaster vous ait éjecté, car on est plus dans la provocation que dans la participation constructive.

De surcroît, en 2009, M. Mélenchon n’a pas fait un appel du pied à un individu (Cohn Bendit), mais à une nouvelle force politique, EELV. Je sais que certains estiment que DCB résume à lui tout seul EELV, mais quand même l’amalgame est grossier et ne peut fonctionner que pour un esprit partisan ou un esprit sans beaucoup de reflexion.

Pour rappel « bête malfaisante » et « chacals » s’adressaient à l’attitude très stigmatisante pour une partie de l’humanité de la part du FN. Souffrez que certains humains s’insurgent verbalement contre une violence stigmatisante qui, elle, pourrait se traduire en actes et souhaitent la combattre dans les urnes.
Et puis c’est de bonne guerre de relayer sur un meeting de plus d’une heure, ce que les médias mettent en avant pour éviter de traiter tout le reste du message :
l’humain d’abord, avant le portefeuille de quelques uns.

Il n’y a pas de contradiction.
Socialiste je vous hais est un cri de colère.
Et la colère est un sentiment très humain.