C’est le seul impôt que chacun peut éviter de payer. Le seul tort de l’état est de pas le présenter comme ce qu’il est réellement : un moyen de revenu.
Ce n’est pas contre les radars qu’il faut se battre, mais contre les limitations de vitesses arbitraires et injustifiées
« si au-delà de la fin de l’année, les licenciements se poursuivaient, le système risquerait de s’écrouler car il n’y aurait plus suffisamment de travailleurs pour assurer la survie du patronat »
Mais, mon vieux, les patrons n’ont pas besoin des Français pour survivre : ils ont à leur disposition 7 milliards d’humains qui ne demandent qu’à travailler pour eux, alors les 65 millions de Français...
En effet, rien ne prouve que l’usage du français nuise à notre activité industrielle et commerciale. Ceux qui mettent en avant l’obligation d’utiliser l’anglais commercial le font par lâcheté et ne sont animés que par la facilité, du moins le croient-ils. Car, enfin, ce faisant ils se mettent dans le troupeau de la concurrence internationale et de la pensée unique, incapables de promouvoir une quelconque originalité.
Il est aberrant que certains pays francophone soient plus francophiles que la France. Je pense notamment au Québec qui francise tous les termes anglais qui peuvent apparaître et en oblige l’usage.
Il est singulier de constater que les français sont moins fiers de leur langue que les Belges flamands de la leur. Même les allemands font la promotion quelque fois de leur produit en France en langue allemande, qui n’est pourtant pas aussi répandue dans le monde que le français.
La promotion de la langue ne peut se faire qu’au niveau de l’état, indépendamment des lobbies (euh, je veux dire des factions) industriels et commerciaux, et ceci de manière volontariste. Notre devoir de citoyen est de l’exiger.
Pour information, une pétition circule pour contrer la proposition de loi ESR « Fioraso » :