Michel J. Cuny

@Gasty
Mais, oui.
Encore n’est-ce qu’un début...
C’est votre cravate ou votre langue, que je vois pendre si lamentablement ?
Remettez-vous !... Je vous en prie...

@SPQR Sono Pazzi Questi Romani
Je vous remercie à mon tour, et ne peux que vous recommander de ne pas hésiter à me dire ce qui vous paraîtrait erroné dans ce que j’avance. Je n’en deviendrais que plus pertinent.
Bien à vous, qui me comprenez pour ce que je suis effectivement.

@Opposition contrôlée
Je suis désolé de ne pas partager votre avis quant au parallélisme que vous établissez entre l’Allemagne et la France. Mes arguments et les documents qui les accompagnent sont dans le lien que je vous donne, et sur près de 500 pages... qui remontent jusqu’à l’époque de Voltaire et de Frédéric II de Prusse.
Mieux vaut que les Françaises et les Français restent dans leur profonde ignorance... Il y a des réalités qui leur seraient trop insupportables...

Mais rien que la photographie de couverture de ce livre que j’ai publié en 2019 pourrait suffire à les mettre devant leur abaissement... Au surplus, laissez-moi vous dire qu’en Allemagne, on a des yeux pour voir... cela... par exemple...
https://livrescunypetitdemange867999967.wordpress.com/2019/08/23/26-lallemagne-victorieuse-de-la-seconde-guerre-mondiale-1ere-edition-2019/

@Séraphin Lampion
J’imagine, cher Séraphin, que vous avez parfaitement reconnu, au bout du lien que vous donnez, le visage de... Maurice Nadeau.
Lire le texte dans son entier (au lieu, comme je le souligne dans cet article-ci, de vous en tenir au titre et à l’image) vous aurait évité d’écrire n’importe quoi...
Ne vous inquiétez pas : j’ai bien le tête que j’ai...
Quant à la vôtre, je ne doute pas qu’il vaille mieux la masquer... Hein ?...

@Bendidon
Merci.
Je ne vois pas où vous prenez que je serais... « coco »... ou « trop coco ».
Et je ne vous trouve pas si dénué d’intelligence que vous ne puissiez comprendre que l’utilisation de ce genre de qualificatif ne peut servir qu’à vous ranger dans une catégorie qui n’est décidément pas la vôtre, selon ce que j’en pressens...
Ainsi comprendrez-vous ce que je vous écris ici, au vu et au su de qui sait lire, dont vous-même.
(Ce genre d’ineptie me tue, je vous assure !)

Très cordialement, toutefois.