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olivier derruine

olivier derruine

Economiste, écologiste, spécialiste des politiques économiques et sociales européennes. Ancien syndicaliste, ancien cabinettard, actuellement assistant au Parlement européen et conseiller politique. 

Tableau de bord

  • Premier article le 24/08/2007
  • Modérateur depuis le 19/09/2007
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Derniers commentaires



  • olivier derruine olivier derruine 5 novembre 2015 00:25

    @christophe nicolas
    Je ne suis pas vraiment optimiste quant à la capacité de l’Homme à se créer de nouvelles possibilités d’extraction de ressources, même si les prix de celles-ci augmentent, ce qui les rendraient économiquement intéressantes... mais pas nécessairement rentables car il faut de plus en plus d’énergie pour extraire un même kilo de cuivre, palladium ou quoi que ce soit. 

    Le recyclage n’est pas non plus la panacée, même si les taux de recyclage augmentaient en raison de l’usage dispersif de certaines ressources (titane), des alliages de plus en plus compliqués (métallurgie), etc.
    Je vous recommande vivement la lecture de Philippe Bihouix, « L’âge des low tech » et d’Ugo Bardi, « Le grand pillage » (dans lequel il est notamment question de la limite des changements isotopiques).


  • olivier derruine olivier derruine 29 juillet 2012 14:37

    bonjour, j’ai réagi à l’un ou l’autre de vos commentaires dans la réponse à « zeb ».
    (et, pour info, il n’y a rien de scandaleux à avoir été un jour « cabinettard », le problème, c’est quand on n’a fait que ça dans sa vie ; je ne m’en cache pas, devrais-je ? c’est vrai que c’eut été plus sympa si j’avais mentionné dans la courte notice bibliographique les dons faits à la croix-rouge ou à oxfam ou encore les quelques courriers écrits il y a 15 ans pour amnesty international, mais ça n’aurait pas apporté beaucoup d’info pour comprendre qui tenait la plume.)



  • olivier derruine olivier derruine 29 juillet 2012 14:32

    bonjour zeb, au moins, le « valet pro-atlantique » que je suis présumé être selon vous, ne s’exprime pas sous couvert d’anonymat. contrairement à d’autres...
    ceci dit pour la forme, si des données mentionnées dans l’article sont erronées, merci de me le signaler en précisant les sources et merci également de m’indiquer en quoi ma conclusion qu’une catastrophe nucléaire en Iran ne produirait pas de pires effets pour l’économie mondiale que celle qui a frappé le Japon. Notez bien que le titre de mon article est univoque : « modeste essai » dans la mesure où je considère qu’il ne reflète pas « la » vérité (d’où « essai ») et qu’il ne prétend pas à appréhender toutes les dimensions de la problématique des catastrophes nucléaires (d’où « modeste »)
    veuillez aussi remarquer que l’article ne discute pas de la stratégie américaine à l’égard de l’Iran ou des BRICs, ce sur quoi, je peux vous rejoindre.
    enfin, je ne suis pas pro-nucléaire ; bien au contraire. j’ai une fille et qui avait 9 mois lorsque le drame de Fukushima a éclaté et très franchement, j’ai eu peur pour elle et pour, comme on dit un peu benoitement, le monde qu’on lui laisse.



  • olivier derruine olivier derruine 4 juin 2009 10:00

    Je ne conteste pas du tout vos chiffres, ni le fait que la France contribue davantage à l’UE qu’elle n’en reçoit.
    Mais votre raisonnement oublie de mentionner l’effet levier des fonds européens. Autrement dit, un euro de subside européen donne lieu à 3 euro d’investissement ou de production supplémentaire, ce qui crée de l’activité et de l’emploi.
    Si l’on suivait votre logique souverainiste, alors la réduction de la participation financière de l’UE à la France diminuerait le budget et donc atténuerait les politiques redistributives telles que la PAC ou les fonds structurels. Dès lors, il y aurait moins de solidarité. Par conséquent, cela renforcerait l’importance du marché unique et des politiques libérales. C’est l’argument des Britanniques et d’autres pays relativement hostiles à faire de l’UE autre chose qu’une zone de libre-échange. En définitive, face à une concurrence encore accrue, à l’exception des travailleurs hautement qualifiés ou employés dans des niches, tout le monde trinquerait. Pour nuancer ce tableau un peu sombre, il faut quand même dire que les entreprises françaises ne sont pas les dernières à profiter de ce grand marché (même si en fait, comme partout, un faible pourcentage se lance dans une activité d’exportation).
    Je serais intéressé de vous lire sur la même question mais cette fois-ci appliquée à l’ONU...



  • olivier derruine olivier derruine 21 avril 2008 12:45

    A propos de l’immobilier, je suis d’accord avec vous. Les prix ont doublé en l’espace d’une décennie. Le problème vient du fait que le poste "loyer" ne représentent que 16 % de l’indice des prix à la consommation alors que les ménages y consacrent entre un tiers et la moitié de leurs revenus. Pour réparer ce hiatus (qui s’explique par le nombre de propriétaires occupants qui tirent le chiffre vers le bas), eurostat et ses homologues nationaux travaillent sur une meilleure prise en compte de cette dépense.

    Quant au produits alimentaires acquis dans les hard discounts ou de marques de moindre renommée, ils subissent une plus forte augmentation que leurs substituts car la part des matières alimentaires dans le prix de vente final est plus importante parce qu’il y a moins de dépenses de R&D, de distribution... Donc, les autres sont doublement coincés : s’ils achetaient ces produits, c’est parce qu’ils ne pouvaient se tourner vers les autres mieux "notés" et comme les prix augmentent plus rapidement, ils n’ont d’autres choix que de rester sur ce segment du marché.


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