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Pierre Meur

Pierre Meur

Que suis-je ? Je suis un libre-penseur et un humaniste. Je refuse tout autre étiquette parce que celles-ci nous enferment plus qu’elles nous libèrent. La libre-pensée est née de l’affrontement de l’ordre clérical oppressif et des intellectuels de la société civile qui aspiraient à la simple expression dans un cadre qui ne soit plus imposé et convenu. Elle a proposé le déisme pour l’opposer au théisme qui était la marque de l’oppression de l’époque. Sa plus grande victoire a été la laïcité qui avant d’être une institution a été la marque philosophique des libres-penseurs.

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  • Premier article le 18/09/2008
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Derniers commentaires



  • Pierre Meur Pierre Meur 17 octobre 2012 12:56

    Bien dit, et c’est bien ce qui compte pour Mélenchon.



  • Pierre Meur Pierre Meur 9 août 2012 07:27

    C’est parce que vous confondez liberté et permissivité que vous ramenez à vous les contraintes de la loi. L’unité de l’humanité, ce n’est pas l’individu mais la famille. Vous ne comprenez pas les impératifs liés à l’espèce. L’espèce humaine est une espèce grégaire, ne l’oublions pas.



  • Pierre Meur Pierre Meur 9 août 2012 07:16

    Liberté ou permissivité ? Il n’est pas certain que les uns et les autres ne les confondent pas. La liberté est une valeur, et toutes les valeurs ont un prix que l’on doit accepter de payer pour s’en prévaloir.


    Et d’abord est-on libre tout seul ? Il est évident que cette valeur de liberté est une valeur sociale sans quoi parler de liberté individuelle correspond à l’étendue de sa permissivité. Augmenter sa liberté, c’est augmenter le champ commun par la contrainte sur soi-même.

    L’unité de l’humanité n’est pas l’individu, mais la famille. Lorsque l’on comprend ça, on comprend la relation humaine et bien entendu cette notion de liberté dans la loi.


  • Pierre Meur Pierre Meur 5 août 2012 09:48

    Le principe de sélection naturelle s’applique aussi aux systèmes. Il ne consacre pas la loi du plus fort, mais la loi du plus efficace. Et quoi de plus efficace que la solidarité ? S’ils ne sont pas efficaces, les systèmes passeront. Quand l’être humain oublie l’efficacité de la solidarité, il s’expose à bien des désillusions.


    On le voit bien avec Israël où la cohésion sociale a disparu au profit d’une paranoïa individuelle tout azimut. Cela produit encore plus de paranoïa qui n’est efficace que quand l’émotion rencontre une réalité adéquate, mais qui tuera plus sûrement Israël parce que la réalité n’est pas une création humaine à l’égale de la paranoïa israélienne.

    Israël, aujourd’hui, ne peut subsister que grâce à un état de guerre. Tant que le rapport de force sera en faveur d’Israël. Mais peut-on éternellement être le plus fort ? La solution pour Israël est d’exporter le conflit au monde entier ou de faire la paix. La paix, même les israéliens n’y croient pas. C’est tellement antinomique avec les agissements du gouvernement israélien que chaque israélien espère que la guerre devienne totale. Israël attaquera l’Iran dès qu’il aura l’assurance que les USA les suivront.

    Le problème, c’est que la crise financière sévit partout, même en Israël et aux USA. On ne fait pas la guerre en la finançant avec des boutons de culotte.

    J’ai pris Israël comme exemple de système pour montrer que l’être humain ne contrôle pas le système et que le système a ses propres lois qui ne tiennent que tant que l’être humain nourrit le système suivant ses propres lois. Les conséquences de la perte de contrôle d’un système sont infiniment destructrices, même pour ceux qui croient en être les maitres.

    Le grain de sable intervient toujours dans la machine. Plus longtemps la machine existe, et plus sûrement l’intervention du grain de sable arrivera.


  • Pierre Meur Pierre Meur 21 janvier 2012 19:04

    Autant je trouve que Stéphane Hessel n’est pas dans son rôle d’« indigné » en demandant à Jean-Luc Mélenchon de se rallier au PS, autant je trouve très irrespectueux de le traiter d’idiot. Quand on ne respecte plus des personnes comme lui qui ont tant apporté à l’humanité, on ne se se respecte plus soi-même.


    Soyez certain que l’intention de Stéphane Hessel était louable, mais que malheureusement il ne se rend pas compte de l’inutilité, pour la gauche, du PS.
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