Entre : - L’élection de l’UDC - Les affres de la compensation genevoise - Les français (et autres) qui vivent en France et bossent en Suisse - Les plus pauvres des Suisses qui ont choisi de vivre en France sans se déclarer - Tout le monde qui spécule sur le logement des deux cotés de la frontière - Le français de France haïssant les ma-tu-vu de frontaliers, détestés par les suisses de Suisse, saupoudrez le tout de 50 nationalités qui ne se parlent pas. - Les suisses de Suisse qui viennent faire leurs courses dans la forêts de supermarchés installés à la frontière (1m2 de surface commerciale par habitant, imaginez un instant !) et tout le merdier de circulation qui en découle...
Vous ne feriez rire personne à Genève car c’est déjà la guerre !
Une grande partie des grecs ne paient plus leur crédits et leurs loyers, et c’est pas parce que ce sont des piques-assiettes. C’est tout simplement car il ne le peuvent plus.
En Grèce les indemnités chômage n’existent quasiment pas (faut avoir
bossé 4 années dans une seule et même boite pour espérer avoir 350 Euros
quelque soit le salaire perdu) Le RMI, ça existe pas. L’impôt de tous les employés est payé à la source. Il n’existe aucun abattement d’impôt de complaisance (travaux à la maison, investissements DOM TOM... et tout le bordel qui permettent à un assujetti à l’ISF de payer zero, légalement)
Alors il reste plus grand monde pour payer, que les des vrais riches qui ont tous le pognon et qui ne paient jamais rien, la France est dans le même cas, affaires UBS et HSBC désormais... qui aboutissent toutes à de douces régularisations. Si vous voulez faire payer ces gens là sans prendre quelques précautions, vous finissez avec 2 balles dans la tête.
Donc : - Généraliser à tous les grecs n’a aucun sens. - Chasser les petits commerçants ne suffira jamais à payer la facture. - Poser les questions que vous posez n’ont aucun sens.
De plus je pourrai rajouter : la France est en déficit tandis que la Grèce a dégagé un excédent de 4%, je pourrai rajouter ceci parmi tant d’autres choses Et je pourrai dire que les français sont des fainéants avec leur RMI, les APL... et qu’ils dépensent sans compter. Et je vous accuserai vous, parce que vous êtes français, de pique assiette ?
J’vous donnerai l’adresse de ma supérette bien française qui me donne un ticket une fois sur deux, vous irez faire le zorro de l’impôt si vous voulez.
On ne peut pas stipuler sur le social en arbitrant entre l’émotionnel et le rationnel.
Tout simplement car il n’y a pas uniquement deux zones distinctes dans le cerveau qui traitent l’émotionnel et le rationnel séparément : il y en a trois ! Elles traitent l’émotionnel, le social et le rationnel distinctement. Et toute information perçue est traitée dans cet ordre respectif.