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Serge-André Guay

Serge-André Guay

Marié et père de quatre enfants, Serge-André Guay est né à Lévis (Québec, Canada) en 1957. Depuis 2003, il est président éditeur de la Fondation littéraire Fleur de Lys, une maison d’édition en ligne.

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  • Premier article le 18/03/2008
  • Modérateur depuis le 01/05/2008
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Derniers commentaires



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 10 janvier 2009 17:52

    Le journalisme citoyen ne consiste pas à informer les citoyens mais plutôt à s’informer entre nous. Le journaliste citoyen n’est pas comme le journaliste professionnel qui se voit souvent lui-même au-dessus, supérieur à son lectorat parce qu’il prétend être mieux informer.

    Vous écrivez « qu’aucune déontologie ne dirige l’amateurisme en matière de ’’journalisme’’ ». C’est faux. Un amateur est une « personne qui cultive un art, une science pour son seul plaisir (et non par profession). » Il faut savoir que la déontologie n’est pas attachée à la personne mais à l’activité. Il faut lire la politique éditoriale d’Agora Vox.



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 10 janvier 2009 17:40

    La citoyenneté d’une femme ou d’un homme n’est pas liée à la représentativité et au sufrage.

    Citoyen-ne : N. m. et f. (1751). Mod. Personne considérée comme personne civique ( Ressortissant) ; se dit particulièrement des nationaux d’un pays qui vit en république, et (suivi d’un nom de ville), de toute personne qui remplit les conditions requises pour avoir le droit de cité (aujourd’hui purement honorifique) dans cette ville ( Abus, cit. 3 ; agent, cit. 8 ; anachorète, cit. 1 ; antérieur, cit. 2 ; arbitraire, cit. 9 ; attentat, cit. 9 ; attroupement, cit. 2 ; brutalité, cit. 5 ; capacité, cit. 8). | Un citoyen français, une citoyenne française et un sujet britannique. | Jean-Jacques Rousseau, le citoyen de Genève. | La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. | Accomplir son devoir de citoyen. Voter. | Aux armes, citoyens !, refrain de la Marseillaise. | Admettre un étranger au nombre des citoyens. Naturaliser. | Citoyen d’honneur* d’une ville. | Simple citoyen, qui ne remplit aucune charge honorifique.

    Personne qui respecte les libertés démocratiques. | Agir en citoyen. è Démocrate, républicain. | Un bon, honorable citoyen. | Un vrai citoyen, une âme de citoyen : une personne qui met le bien de l’État au premier rang de ses préoccupations. è Patriote. | Un grand citoyen, qui a rendu d’éminents services à son pays. — (xviie ; repris xxe). | Citoyen du monde, de l’univers, qui met l’intérêt de l’humanité au-dessus du nationalisme.

    Source : Le grand Robert de la langue française.

    Le journaliste citoyen est loin d’être une imposture.

    Si vous aimez mieux les blogs personnels où l’auteur affiche ses partis pris, c’est votre affaire. Mais tous les blogs perso ne sont pas militants.




  • Serge-André Guay Serge-André Guay 10 janvier 2009 17:24

    Des explications seraient les bienvenues.



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 5 mai 2008 18:38

    Laissez-moi tranquille. Je dirige ma fondation comme je l’entends.



  • Serge-André Guay Serge-André Guay 5 mai 2008 00:11

    Madame David,

    Permettez-moi avant tout de vous préciser que je fais ici allusion au genre féminin en référence à « l’entreprise Lulu.com ». Dans mon article, je ne conteste pas le fait que Lulu.com soit une solution pour plusieurs mais plutôt que cette entreprise américaine nuit à l’économie québécoise, comme les entreprises de textile chinoise entraîne des fermetures d’usines de textile au Québec (et ailleurs dans le monde). Je ne dis pas non plus que c’est l’objectif ultime de Lulu.com, quoique l’hégémonie américaine soit bien connue.

    En fait, mon article pointe très clairement du doigt les responsables du sous-developpement de l’édition en ligne au Québec : l’Union des écrivaines et des écrivains québécois et le quotidien montréalais Le Devoir parce qu’il offrent une visibilité gratuite dans leurs actualités à l’américaine Lulu.com, et ce, au détriment des entreprises d’ici. Les auteurs et les éditeurs québécois qui se tournent vers les services de Lulu.com placent le Québec dans une position de dépendance face aux américains.

    Hier, pour reprendre l’exemple de la Chine, il n’y avait pas trop de problèmes avec les importations chinoises « à bas prix ». Aujourd’hui, ce sont des milliers de pertes d’emplois que doit encaisser l’économie québécoise en raison de sa dépendance aux bas prix chinois. Qu’est-ce qui se produira demain dans nos imprimeries ?

    Bref, le problème, c’est le manque de nationalisme de nos auteurs et de nos éditeurs qui préfèrent l’américaine Lulu.com aux entreprises d’ici.

    P.S. : Je ne cherche pas à obtenir une subvention puisque j’ai mis fin à toutes relations gouvernementales.

    Voir : Histoire de nos relations gouvernementales.

     

     

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