Tipol

[...] un bon « coup de pied au cul »... ?
Ben ! On n’est déjà pas en phase.
Seuls la guillotine, la pendaison, et le bucher pourront venir à bout de cette longue collection multi-décennale de traitres malfaisants qui se succèdent sans interruption.
Il n’y a même pas besoin de tribunal fort compliqué, juste une représentation populaire suffisante pour justifier d’actions à valeur de masse populaire et pas d’actions individuelles.
On n’a surtout plus besoin de leurs tribunaux, mais des nôtres. Avec des usines à fabriquer des guillotines.

Les lois ne sont plus faites pour aller dans le sens de la liberté et du bonheur, pour améliorer la vie, l’indépendance, la fraternité, l’humain, la logique, la construction... Aujourd’hui, les lois sont tout le contraire.
Les lois sont des lois majoritairement imbéciles, faites par des abrutis infinis corrompus œuvrant pour une minorité élite dirigeante asservir, rendre captif, soumettre et détruire les élites neutres ou résistantes.
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Pire, les lois sont faites pour détruire la vie, détruire tout ce qui peut l’être parce que détruire augmente le PIB, le PNB... Détruire est ce qu’il y a de plus productif aujourd’hui en terme économique, parce que détruire est bien plus rapide que construire.
Je suis bac+5, ingénieur, très cultivé, expérimenté, obligé de vivre avec le RSA, la CMU... quasiment par objection de conscience sur l’escroquerie générale organisée, mais surtout par ostracisme d’être libre.
Je passe ma vie dans l’exclusion imposée, j’ai appris à vivre avec rien. Ma seule facture est Internet. Pas d’assurances, pas de facture, rien.
J’ai une vie hyper active, mais je ne dépense rien, je ne produis rien pour la société, je suis une charge totale, en pleine santé à ne rien faire.
Il suffirait juste de modifier légèrement quelque lois pour me rendre actif, ils le savent, mais ne le veulent pas.
Ils ne veulent pas libérer les forces créatrices, inventives, productives... libres, ils veulent des forces soumises.
Je viens récemment encore de m’en rendre compte sur une action ponctuelle ancienne.
Le 23 octobre 2003, je remettais à Chirac, président, en déjeuné à 500 m de chez moi, un courrier où je décrivais le manque, et le fonctionnement, et le but d’une agence pour la création industrielle, bien différente de la fonction du CNRS.
En 2004 Chirac annonce la création de cette Agence de l’Innovation Industrielle...(sans moi, puff)
Je n’ai pas compris à l’époque, les années qui ont suivi, le coup d’éponge du CNRS sur cette agence. Ben aujourd’hui, oui, je comprends. C’est simple. Le CNRS, c’est l’entité innovante soumise de la mondialisation, les alignés de la pensée, les créateurs imposés. L’Agence crée par Chirac était un bug, un bureau autonome qui permettait la créativité des indépendants insoumis.
Il est certain que ce projet a été démonté à gros boulets par les mondialistes.
Le bonheur libre n’est plus autorisé en France.
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Que pensez-vous que ferait un exclus sans travail, si la loi l’autorisait à avoir un bout de terrain ? Il construirait sa propre maison au lieu de regarder la TV.

C’est tout le fondement de la démocratie européenne qui n’est pas à la marge, mais en plein dedans.
En résumé rapide, la révolution française, c’est les catholiques virés par les libéraux, les francs-maçons. Le mariage religieux remplacé par le civil, le presbitaire par la mairie, le dicèse par la préfecture... tout a été simplement copié, et transposé. Je ne juge pas.
Aujourd’hui même, la justice indépendante, c’est indépendante du peuple, déconnecté de tout contrôle populaire, indépendante même de plus en plus du pouvoir politique qui reste encore un reliquat du pouvoir populaire, pour mieux être pilotée par la Franc-maçonnerie dont on sait qu’elle noyaute tout le système judiciaire.
La justice, comme toutes les institutions, ne devrait pas être indépendante.
Rien ne devrait être indépendant ; rien ne l’est jamais sur Terre. Tout ce qui est indépendant du peuple, est forcément dépendant d’une autre direction !
Les institutions devraient être fonctionnellement autonomes, mais pas indépendantes, hiérarchiquement attachées au peuple par des élections, mêmes internes.
Tout fonctionne à l’envers. Le peuple se laisse « baliverner » par les armes médiatiques qui nous explosent chaque jour pour nous étouffer.
Moi, c’est pas les armes chimiques occidentales en Syrie qui me donnent la nausée, mais les armes médiatiques, BFM qui ne raconte incessamment qu’un tas de manipulations.

La première cause de mortalité sur Terre est la mondialisation. La route de ces escrocs est jonchée de morts violentes, de suicides commandités, et d’accidents commandés, de révolutions biens ficelées, et de guerres humanistes incessantes.
Il faut simplement déplacer leurs âmes, les renvoyer à leur maître, le Diable.

Ca va bien au-delà de la dictature financière. C’est une escroquerie planétaire très organisée.
La finance que nous attaquons sans relâche n’est même pas la responsable.
Elle n’est que l’outil mis en place pour une escroquerie planétaire organisée par une poignée de familles.
L’escroquerie a été avalisée par les politiciens de la loi de 1973, Pompidou et Giscard principalement. Mais tous les politiciens successifs depuis 1969, le départ de De Gaule, sont corrompus par cet esprit d’escroquerie du peuple. Aujourd’hui plus que toujours.
Le principe de l’escroquerie est simple.
L’activité économique est le vrai créateur de la monnaie. J’achète 40, je revends 100, le bénéfice de 60 est une pure création monétaire car il n’existait pas avant ; mais le billet manquant est imprimé par les escrocs qui s’accaparent cette création due au travail.
La FED via le réseau bancaire, de banques centrales, locale... imprime du papier et vole le fruit du travail mondial avec des photocopies.
Ils mettent ainsi, grâce à des photocopies, leurs noms sur tous les actes de propriétés de la planète, sur tous les biens, sur toutes les multinationales, sur toutes les concessions d’exploitations de ressources, sur tous les robinets...
De plus, par un système bien organisé, la création de monnaie apparaît comme une dette ! Incroyable !
Comme tout ce système considère la création monétaire comme une dette, ces gens volent deux fois de la valeurs de l’argent sans rien faire ; la première fois lors de la création monétaire, la seconde lors des remboursements de dettes.
Le principe tourne alors en boucle de façon exponentielle, jusqu’à l’effondrement obligatoire, car c’est pyramidal. Mais même quand tout s’effondra, se sera vos économies, ces escrocs auront bien encore tous les actes de propriétés à leurs noms.
La bonne justice voudraient quatre principes de base :
1) La création monétaire revient aux peuples, elle est un bien collectif.
2) L’annulation de la « Dette », toutes les dettes, est la seule mesure qui rend au peuple ce qui lui appartient de droit.
3) La confiscation de tous les biens et avoirs excessifs de toutes formes de sociétés : bancaires, financières, anonymes, personnelles, immobilières... pour une création d’un fond souverain collectif. C’est la seule façon de reprendre le fruit volé du travail.
4) Tribunal, et décisions populaires collectives de pendaisons et de guillotines pour les animateurs de ce système d’escroquerie organisée, et de leur descendance, depuis les années 60, voir même après-guerre. Inclus tous ceux qui ont vendu les biens souverains et collectifs à des sociétés non souveraines.