Monsieur Partiblanc,
Vos propos sont d’une intolérable absurdité pour tout individu doué de
raison, et je ne doute point que vous en soyez privé…de raison. Vous êtes une
insulte à la Raison, à l’Esprit, à l’Intelligence, Monsieur Partiblanc. Sachez-le !
Mais l’absurdité d’une chose n’étant pas une raison contre son existence,
je me dois d’en conclure dans votre cas que s’en est la condition. triste
condition, mais condition tout de même.
Monsieur Partiblanc : le vote n’est ni un droit, ni un devoir ; c’est
une fonction relevant de la souveraineté nationale ; cette abstention qui
semble justifier vos absurdes propos ne fait que confirmer que cette fonction
se devrait d’être réservée à des individus ayant les capacités intellectuelles
et économiques de l’assurer : les citoyens actifs et capables seuls et non
cette masse informe de parasites sociaux, inutiles pour la Nation se réfugiant
dans l’abstention ou le vote dit protestataire ; si ce n’est comme vous le faîtes en des démonstrations
virtuelles et absurdes d’un soi-disant progressisme : ce qui témoigne donc bien de l’urgence et impérieuse
nécessité de restaurer le vote censitaire ainsi que la conscription pour régénérer
notre nation décadente et réaffirmer ses valeurs.
Il est absurde Monsieur Partiblanc de considérer que chacun aurait le droit
de voter, seuls les plus aptes et les possédants se doivent d’assurer cette
souveraine fonction afin de guider notre patrie et de sortir enfin de ce cycle
de la décadence et du déclin ; et donc ni les parasites sociaux, ni la chienlit
cosmopolite ni les métèques ne sauraient être admis à assurer une fonction souveraine
nationale.
La conscription, par contre, leur sera ouverte en vertu de sa fonction
essentiellement éducatrice, l’amour de la discipline ainsi que celui de la
patrie les prépareront à comprendre quelle est la place que la Nature leur a
réservé et que les errements d’une chienlit autant pédéraste qu’étrangère à
notre nation ne sont que des errements que la Raison ne saurait tolérer trop
longtemps.
Aussi, serait-il impératif d’abolir le droit de vote des femmes, une autre
absurdité, judéo-bolchévique sans nul doute ; celles-ci connaissent la
place que Dieu et la Nature leur ont accordé. Et même si nous ne contestons pas
que nos fidèles moitiés aient quelque intelligence, la force de leur
intelligence n’apparaît que lorsque par amour pour son époux et son esprit, la
femme abandonne le sien propre, et ainsi poussée par la force de l’esprit de
son homme sur un terrain qui jusque là lui était naturellement étranger, lui naît
un second esprit.
Donc Monsieur Partiblanc, j’espère que vous saurez comprendre l’absurdité
de vos propos et saurez vous en repentir en reconnaissant la place qui est la vôtre
et vous abstenir à l’avenir de parler de ce qui ne peut vous concerner de par
votre nature et condition.