Par Lisa SION 2
(xxx.xxx.xxx.38)
12 août 14:00
"En
résumé, ne vaut-il pas bien mieux lutter pour éradiquer les causes de la
pauvreté plutôt que de se limiter à en atténuer les effets ? "
Et
si la cause c’était eux ?
En effet, ils ont réussi à échapper à l’impôt
par des holdings...
J-P LL :
Les causes de la pauvreté d’un grand nombre d’habitants de la planète sont indépendantes des réductions d’impôts obtenues par les milliardaires. Dommage, d’ailleurs. En effet, il suffirait de ponctionner plus d’impôt sur les milliardaires et, par le jeu des vases communicants, les pauvres ne le seraient plus. Ce serait tellement plus facile et simple !
D’ailleurs, j’ai lu que quarante milliards suffisaient pour
multiplier par deux les revenus d’un milliard d’humains les plus
pauvres.
J-P LL :
Je ne vois pas comment il serait possible de doubler le revenu annuel de ce milliard d’humains (qui serait de 40 annuel per capita) avec un « supplément » (don ?) de 40 (Euros, Dollars) annuels per capita (40 Dollars-Euros / 365 jours = 0,11Dollar-Euro par jour).
Autre chose, la fondation BG a entrainé une vaccination de 55
millions d’enfants africains, c’est à dire, encore tout bénef pour le
big pharma, celui qui, quand il fait peur, à la première fausse alerte,
entraine immédiatement les politiques à cracher les milliards...
J-P LL :
Pourquoi considérez-vous que tout profit est illégitime ? En l’occurrence, la marge nette de l’industrie pharmaceutique a été payée par la fondation Gates et les enfants ont été vaccinés gratuitement. Gardez-vous de vouloir une économie à « marge nette nulle »...