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Commentaire de Chamalliya.

sur La manifestation du fanatisme dans les trois grandes religions monothéistes


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Chamaliya. Chamalliya. 3 décembre 2010 22:14

@Odal GOLD.

Sachez Monsieur que le Coran est un GRAND chef d’ouvre littéraire parfaitement digne de ce nom ! Il peut vous être traduit en français, en italien, en tchèque, en biélorusse ou encore en québécois-malgache, le sens premier des termes qu’il contient vous échappera toujours... ! Hé ouais.

S’agissant du refus de Musulmans pour la traduction du Saint Coran, permettez moi de vous dire à vous ainsi qu’au philosophe en herbe qui est l’auteur de cet article penché au dessus de nos têtes, que vous êtes de parfaits imposteurs, fourbes et manipulateurs de surcroît !

Ledit refus ne s’explique pas du tout pour les raisons que vous évoquez [je vous cite : « qu’une traduction les gêne par ses folies révélées »], mais bien parce que la langue arabe est extrêment riche et très diversifiée mais surtout très complexe pour la compréhension pour les simples d’exprit que vous êtes. Traduire le Coran reviendrait donc à coups sûrs à le trahir puisque le seul sens que nous pouvons lui attribuer est son sens primaire donc en arabe... Ne vous en déplaise !!!
 
Et puis, qu’est ce à dire de tous ces Musulmans qui ne parlent pas un seul mot d’arabe ? Les Chinois, les Turcs, les Russes, les Indonésiens, ou encore les Iraniens, les Pakistanais, les Américains, les Brésiliens, les Philippins, ETC ??? Comment croyez vous qu’ils se démmerdent pour faire bonne application de leur religion, passant ainsi par la lecture du Saint Livre ?

De la merde en pack de douze vos propos.

Tenez, et lisez ça avant de dormir ce soir.

“Voulant par la présente tentative surclasser mes prédécesseurs et proposer quelque chose qui saurait faire résonner, quoique faiblement, la rhétorique sublime du Coran arabe, j’ai éprouvé toutes les peines à maîtriser les rythmes complexes et magnifiquement variés qui, outre le message lui-même, permettent au Coran de compter incontestablement parmi les plus grands chefs-d’oeuvre littéraires de l’humanité. Cette caractéristique, cette “symphonie inimitable” - ainsi que le croyant Pickthall décrit
son « Holy Book » dont les airs poussent les hommes à l’extase et aux larmes” - a été presque totalement ignorée par les traducteurs précédents ; ainsi, on ne s’étonne guère de constater que ce qu’ils ont écrit parait terne et plus par rapport à l’original, somptueusement orné”

Arthur J. Arberry, “The Coran Interpreted”, University Press, Oxford, 1964, p. 10.


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