@AUTEUR/Giuseppe Di Bella
Vous dites : "Doit-on s’attendre, dans les prochains mois, à
une opposition beaucoup plus marquée de la part de l’Eglise catholique
de France ? C’est l’idée qui se dégage clairement"
L’église est dans son rôle : elle défend les écritures.
Les relations entre personnes de même sexe est évidemment bannie par les textes monothéïstes, donc chez les catholiques aussi.
Si les catholiques sont aussi exigents, hormis le respect des textes,
c’est parce qu’ils se sont rendus compte que hors de France cette
religion progresse moins vite que ceux des évangélistes et des
musulmans.
Or chez les évangélistes comme chez les muslims, il n’est même pas pensable d’être un homo...
Ce que fait donc l’église catholique est donc plus que logique et
s’inscrit bien dans la réalité géopolitique ce qui apparemment a échappé
à l’auteur.
Je crois qu’il y a 1 milliard au moins de Catholiques...
Combien sommes nous en France déjà ?
Loi des grands nombres...
Contrairement à ce que certains commentaires semblent sous entendre, il
n’y a pas eu de preuves sur l’homosexualité de Jesus [qu’importe son
nom] ni de près ni de loin.
A ma connaissance ce monsieur aimait dans le sens noble du terme.
Si je dis que j’aime Giuseppe Di Bella cela ne fait pas de moi un PD. étant d’ailleurs une personne contre la pedeitude...
Je peux dire j’aime Giuseppe et être totalement contre ses idées...
Ca ne fait ni de Giuseppe ni de moi des monstres : nous ne sommes pas
d’accord sur CE point, mais qui sait ailleurs nous le serons peut-être.
Aimer peut s’entendre dans le cas de Jesus [qu’importe son nom] comme un amour filial.
Définitions possibles de l’Amour [oui il y en a plusieurs ]
"Ainsi, le français utilise le même verbe pour exprimer ce que d’autres langues expriment par des verbes différents
: « j’aime ma petite amie » et « j’aime les sucreries » par exemple
(alors qu’en anglais, on dira respectivement « to love » et « to like »,
et en espagnol « querer » ou « amar » et « gustar »).
On constate aussi une telle variété pour le mot amour, par exemple dans la pluralité des mots grecs désignant l’amour.
Les différences culturelles dans la conception de l’amour redoublent donc la difficulté d’en donner une définition universelle.
Le substantif amour a néanmoins une extension moins large que le verbe
aimer : on parlera rarement, par exemple, d’« amour » des sucreries,
même si l’on dit les « aimer ». Le sens du verbe aimer, qui peut aussi
exprimer l’amitié, ou plus simplement une affection pour quelque chose
qui est source de plaisir, est donc plus large que celui du mot amour."
"La philia se rapproche de l’amitié telle qu’on l’entend
aujourd’hui, c’est une forte estime réciproque entre deux personnes de
statuts sociaux proches. Elle ne pouvait exister à l’époque qu’entre
deux personnes du même sexe, du fait de l’inégalité entre les sexes."
"L’éros désigne l’attirance sexuelle, le désir.
Dans la pensée platonicienne, il est parfois vu comme l’une des passions
néfastes que produit l’épithumia (ou « appétit »), mais aussi comme une
« divine folie » qui est « la cause des plus grands biens pour les
hommes ».
Cependant il pouvait se mêler à la philia à travers la pédérastie, qui
liait un amant d’âge mûr (« éraste ») à un jeune aimé (« éromène »)"
"L’agapè est l’amour du prochain, une relation univoque que l’on rapprocherait aujourd’hui de l’altruisme.
Il se caractérise par sa spontanéité, ce n’est pas un acte réfléchi ou
une forme de politesse mais une réelle empathie pour les autres qu’ils
soient inconnus ou intimes.
Dans la tradition chrétienne des pères de l’Église, ce mot est assimilé au concept de charité, bien que celui-ci soit plus proche d’une relation matérielle établie avec des personnes en souffrance.
L’agapè originel ne revêt pas cette connotation morale de responsabilité devant une autorité divine."
« La storgê décrit l’amour familial, comme l’amour, l’affection d’un parent pour son enfant. »
(source : Amour - Wikipédia)
Merci à Giuseppe d’avoir donné son avis sur le sujet.
Cordialement
Leo Le Sage
(Personne respectueuse de la différence et de la pluralité des idées)