Le rôle réel des
responsables musulmans dans les manifestations de haine et de violence des
« islamistes » est trop souvent caché ou minimisé par nos gouvernants
et nos journalistes dhimmis.
Ce sont bien ces
responsables qui, ouvertement ou hypocritement, entretiennent chez les simples
croyants de l’islam le sentiment que ceux-ci sont des victimes dans les
sociétés démocratiques, et qu’ils ont « un droit à la violence » quand
est montrée la réalité de leur religion et de leur prophète, ou quand on leur
demande simplement de se soumettre à la loi commune.
Vous vous trompez
cependant sur l’innocence des responsables des autres monothéismes se réclamant
de la filiation spirituelle d’Abraham Ceux-ci, contrairement à ce que vous
dites, continuent d’être indirectement complices de la violence islamique.
C’est tout de suite
après Auschwitz que les dirigeants du judaïsme et, surtout, du catholicisme,
auraient dû rejeter fermement, une fois pour toutes, leur enseignement de la
prétendue « bonne violence » de Dieu.
Or cette indispensable réforme,
contrairement à ce que vous dites, n’est toujours pas faite. Voyez ici :
http://www.centpapiers.com/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse-1/38279
ou
ici :
http://blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/
Extrait :
»" Il
faut au moins savoir gré à Benoît XVI d’avoir re-précisé et souligné, dans le
nouveau catéchisme de l’église catholique, sa conception duale, violente,
criminogène de Dieu. Lorsqu’il
n’était encore que le cardinal Ratzinger la responsabilité du comité de rédaction
lui fut confiée. Ce comité donna une fois de plus valeur de dogme à la croyance
en une « bonne violence » de Dieu. Il confirma qu’il fallait continuer de
l’enseigner et la transmettre aux générations futures.
Il le fit, certes,
indirectement mais de manière parfaitement claire en réaffirmant que le Livre
de Josué est aussi « saint » que tous les autres de l’Ancien Testament (passage
120 du Nouveau catéchisme), que tous ces livres « ont Dieu pour auteur », sont
jugés par l’Eglise « sacrés et canoniques », « avec toutes leurs parties »
(105), laquelle Eglise « n’accueille pas seulement une parole humaine, mais ce
qu’elle est réellement : la Parole de Dieu » (104). Il le fit en réaffirmant
que « Dieu est l’Auteur de l’Ecriture Sainte en inspirant ses auteurs humains »
et qu’il « donne ainsi l’assurance que leurs écrits enseignent sans erreur la
vérité salutaire » (136), « tout ce qui était conforme à son désir et cela
seulement » (106), qu’ils
enseignent « fermement, fidèlement et sans erreur la vérité que Dieu a voulu
voir consignée pour notre salut
(107)…
Mais, bien sûr, le
Catéchisme contient aussi les tortueuses précisions sur la nécessité de faire
les « bonnes interprétations » de toutes les horreurs « conformes au désir de
Dieu » qu’on rencontrera dans « l’Ecriture ». Il faut dire sans détours que,
loin d’atténuer le caractère maléfique des affirmations précédentes, elles le
renforcent impardonnablement. Elles sont tout simplement une monstrueuse
tricherie supplémentaire.
« »