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Commentaire de ffi

sur La mécanique quantique menacée par une théorie universelle de l'entropie-formation ?


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ffi ffi 20 février 2013 21:08

Merci,
Je n’en suis pas encore à la mise en équation, je peaufine encore l’hypothèse...

 
Rendez-vous compte, la relativité, entre son début (Michelson) et sa fin (Einstein), c’est 20 ans ; l’atome, entre son début (Thomson) et sa fin (Dirac), c’est plus de 30 années... Le tout grâce à des scientifiques du monde entiers, dans une émulation soutenue de plus par des grands financiers (congrès Solvay).
 
Ne me demandez pas, moi, petit individu anonyme, de vous pondre la mise en équation à moi tout seul. Je gribouille beaucoup, certes, mais je ne ferais pas à moi tout seul l’équivalent de 30 années de travail des plus grands scientifiques des pays les plus avancés, même pas si je vivais 200 ans !
 
Par conséquent, je préfère en rester pour l’instant à du qualitatif et bien expliquer mes hypothèses, de manière à ce qu’elle soit compréhensibles par tous, dans l’espoir de susciter quelques vocations.

Il s’agirait, par exemple, de déterminer la force de rappel sur une charge parmi chacun des 230 groupes d’espace cristallins... Il pourrait être envisagé des ordonnancement de charges fractals. A l’échelle mésoscopique, pour les fluides, nous aurions des feuillets qui glissent les uns sur les autres et pour les gaz, des petites billes qui roulent les unes sur les autres.
 
Ceci dit, à priori, les harmoniques sphériques sont un bon choix, puisque nous voulons connaître, dans chacune des directions autour de la charge étudiée, l’intensité du champ électrique rémanent, afin d’identifier la fréquence propre de nos oscillateurs harmoniques selon la direction dans le « cristal » de charges.

Il s’agit en fait d’envisager les mouvements de la charge dans la cavité qu’elle occupe, autour de sa position d’équilibre, un peu comme une boule de billard qui rebondirait sur les bords, sauf qu’on n’a pas vraiment de bords, c’est le potentiel électrique du réseau de charge qui modifie la trajectoire de la charge.
 
Comme de toute façon l’on cherche un mouvement périodique en 3D, les harmoniques sphériques s’imposent naturellement, on est donc assuré de trouver les bonnes quantités de nombres quantiques.
 
En fait mon idée revient à substituer à l’idée d’un noyau central positif, l’idée d’une position naturelle d’équilibre de la charge, fonction des caractéristique du réseau qui l’environne.

Au lieu d’imaginer qu’il y a un noyau au centre du mouvement, j’imagine qu’il n’y a rien, c’est une simple cavité dans laquelle oscille une charge.
 
Cela revient à l’équation de Schrödinger (une cavité résonnante), mais tourné différemment. Au lieu d’avoir une charge au centre de l’oscillation, j’ai les charges tout autour. Ce n’est pas le modèle du système solaire, c’est le contraire, c’est l’inverse, ce qui permet d’évacuer le problème de la singularité centrale.


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