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Commentaire de docdory

sur L'Islam et les Trente oiseaux


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docdory docdory 17 novembre 2014 16:22

@Fergus

Le fait qu’une idéologie aussi fondamentalement mauvaise que l’idéologie mahométane laisse apparaître des gens tout à fait fréquentables comme les poètes persans que vous citez n’a rien d’étonnant.

L’histoire nous apprend que la barbarie mahométane a vaincu la civilisation raffinée de la Perse après une série de massacres et de batailles sanglantes. Mais l’occupation d’un pays par une puissance étrangère ne veut pas dire que la civilisation du pays occupé perde son génie propre. ( La France n’a pas perdu ce qui faisait sa civilisation pendant l’occupation nazie ).
Ces poètes dont vous parlez n’ont pas écrit de belles choses parce qu’ils étaient musulmans, mais malgré le fait que leur civilisation ait été convertie par la force brutale à l’islam et qu’ils aient donc été bien obligés de devenir musulmans. ( De même que de grands musiciens du rock ou du jazz du XXème siècle ont fait de l’excellente musique non pas grâce aux drogues qu’ils absorbaient à haute dose, mais malgré ces drogues ! ).

Si les pays du monde musulmans ne se sont pas entièrement entre-détruits par les guerres civiles ou étrangères, c’est que l’être humain est doté, comme d’autres primates, d’une sorte de morale naturelle, plus ou moins développée selon les individus, qui s’oppose à la « morale » sociale extrêmement arbitraire et absurde imposée par l’islam (manger une tranche de jambon, c’est « mal » et ça peut conduire à « l’enfer », exterminer les infidèles, c’est recommandé par le prophète, c’est « bien » et ça mène au paradis d’Allah). 
Ce conflit permanent entre morale naturelle et « morale » islamique est certainement à l’origine du très grand retard qu’ont pris les pays musulmans par rapport à d’autres pays qui, eux, sont sans islam.

Ce qu’on voit ces derniers jours, c’est que la conversion à l’islam transforme en deux ans un jeune Rogerbourgeron ( campagnard normand résidant à Bosc-Roger en Roumois ), décrit unanimement comme un garçon sympathique et sans problèmes par son voisinage, en un effroyable monstre sanguinaire capable de décapiter de sang-froid un autre être humain. On n’a pas l’impression, ces jours-ci, que les convertis à l’islam aient la moindre tendance à se convertir simultanément à la poésie ou à quelque autre art aimable ou raffiné que ce soit ... 

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