La recette imparable pour promouvoir sa cause ?
Prenez des mômes (même si ce ne sont pas les vôtres ) et mettez-les en têtes de gondoles
Pour qu’ils pleurent et que cela fasse plus vrai : n’hésitez pas de les pincer ( vous leur expliquerez aprés que vous l’avez fait pour leur bien ( et aussi pour le vôtre )
Chalot , encore admiratif du buzz fait avec le petit Elyan et des bénéfices que cela à généré
1 million de migrants sur 3 ans....chapeau les artistes
Chalot voyant que sa cause stagne a décidé de frapper un grand coup :
Lui aussi il va parler des mômes dont les droits sont bafoués....merde....y a pas de raison
Ils se gênent pas ?
Moi non plus j’vais pas me gêner d’en parler
" Bon...alors voilà....c’était un pauvre gosse qui s’appelait Armand....l’avait pas de papa...l’avait pas de maman....C’ pauv’ gosse naquit dans la misère
Aussitôt on lui demanda
S’il voulait vivre avec sa mère
Puisqu’il n’avait plus de papa
C’était un pauv’ gars
Qui s’appelait Armand
Y n’avait pas d’papa
Y n’avait pas d’maman
Mais un jour pendant la têtée
Trouvant la nounou un peu plate
Il lui souffla dans les nénés
Jusqu’à c’que la nounou éclate
C’était un pauv’ gars
Qui s’appelait Armand
Y n’avait pas d’papa
Y n’avait pas d’maman
Son père disparut à treize ans
Un soir dans la cour de l’école
Alors qu’il jouait gentiment
A la balle et à pigeon vole
C’était un pauv’ gars
Qui s’appelait Armand
Y n’avait pas d’papa
Y n’avait pas d’maman
Sa mère qui avait la jaunisse
L’avait r’filée à son amant
Qui attendait l’moment propice
Pour la repasser à Armand
C’était un pauv’ gars
Qui s’appelait Armand
Y n’avait pas d’papa
Y n’avait pas d’maman
La seule fille qui en fut amoureuse
Ne savait que garder ses moutons
Elle lui r’fila la fièvre aphteuse
Et c’est lui qui garda ses bo